La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1466)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-03-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1466)
chienne Kajira (devenue esclave Clytoris) au Château – (suite de l'épisode N°1461) –
Mais je savais que cela n’allait pas tarder car après toute punition, vient le moment d’implorer Son pardon...
- Je t’écoute chienne !
- Maitre je renouvelle prosternée à Vos pieds, mes mots. D’abord, je Vous demande de bien vouloir pardonner le fait que je n’ai pas su garder le silence lors de la sanction ce qui Vous a obligé à tout recommencer. Ensuite, je Vous demande aussi pardon pour ne pas Vous avoir demandée l’autorisation de m’endormir à ma place à Vos pieds… Je puis Vous assurer, Maitre, que j’ai bien compris la leçon et que cela ne se reproduira pas
Je disais ces mots tout en versant des larmes de honte et de culpabilité. Maitre ne disait rien et attendit un moment pour me laisser le temps de comprendre et de me calmer. Ensuite, Il prit la parole :
- Ma belle chienne, regarde-Moi et sèche tes larmes. C’est passé et tu es pardonnée, bien entendu. Tu as encore du travail pour devenir un jour une esclave MDE, mais Je sais que tu en es capable sinon tu ne serais pas à Mes pieds aujourd’hui, si Je ne t’en sentais pas apte. Ton puissant besoin de soumission, Je le ressens en toi, ainsi que ta vraie et forte dévotion envers Moi. C’est pour cela qu’avec Walter, on va travailler sur ce qui te manque pour pouvoir porter Mes Initiales… Tu vas pouvoir dormir encore un peu dans la voiture et une fois arrivée au Château, tu iras dormir dans le Chenil... Je veux que tu reprennes des forces car tu vas en avoir bien besoin. Une fois bien reposée, tu iras en cuisine te restaurer comme il se doit. J’aurais entre temps donné Mes directives à Marie pour ton repas et quand tu auras fini de manger, tu rejoindras Walter dans son bureau et tu suivras Mes Exigences que Je lui aurais donné pour poursuivre ton dressage d’esclave. Me suis-Je bien fait comprendre, Ma chienne ?
- Oui Maitre, parfaitement compris. Merci Maître de m’éduquer ainsi pour faire de moi, une meilleure esclave…- Bien, maintenant en voiture et dans le coffre et essaie de dormir.
Le Châtelain me dit cela en prenant ma laisse et en me faisant grimper dans le coffre de la voiture. Je m’installais en boule et les petites secousses de la route me bercèrent et je m’endormis durant tout le trajet, sans le réveiller. Arrivé au Château, Maitre descendit de la voiture pour se rendre dans Son bureau. Quant à moi et à quatre pattes je pris la direction du Chenil pour m’endormir de nouveau en boule et couverte d’une chaude couverture. Je ne sais pas combien de temps j’ai pu dormir mais ce fut d’une traite. A mon réveil, il faisait déjà jour, je pris alors la direction des cuisines où Marie la cuisinière était en train de travailler.
- Ah, enfin tu es réveillée, la chienne, me lança-t-elle d’un air plus que sévère, limite méprisant. Il t’aura fallu deux jours pour te remettre de ton séjour, ça n’aurait été que de moi, tu aurais été réveillée à grand saut d’eau froide, comme je le fais souvent aux chiennes et aux chiens de ton espèce, quand Walter ne peut pas. Mais bon, tu es là comme Monsieur le Marquis te l’as ordonné pour te restaurer. Donc voilà ta pâtée, la chienne et tâche de ne pas en mettre de partout sinon, il t’en cuira, sale chienne gâtée.
La sévère Marie me déposa à même le sol, le repas que Maitre lui avait dit de préparer. Cela me paraissait appétissant, mais au moment où j’allais commencer à manger à quatre pattes, le nez reniflant cette pâtée, je m’aperçus de la matière blanchâtre qi recouvrait cette bouillie nutritive. Marie s’aperçut que je restais quelques secondes immobile à observer ma gamelle sans commencer à manger, alors elle me lança avec un air très pervers :
- Tu te demandes quelle sauce recouvre ta pâtée ? Je trouvais qu’elle était un peu fade, alors j’ai voulu l’arroser d’une bonne sauce, fabrication maison ! Ça ne sera que meilleur ! Ha ! ha ! ha ! … Oui tu as bien deviné, la chienne, c’est du foutre des chiens soumis, ceux qui sont de corvée aujourd’hui, ici, aux cuisines. J’ai exigé à la dizaine de mâles esclaves de se branler et de décharger leur sperme dans ta gamelle Et comme la plupart n’avait pas giclé depuis longtemps, il y a abondance car en se vidant les couilles, leur foutre était épais et abondant… Allez, maintenant mange et tu as intérêt à tout manger …
Je n’avais pas d’autre choix que de manger face à cette nouvelle idée perverse de Marie digne de sa réputation de femme perverse. Alors et sans un mot je mangeais ce qu’il y avait dans cette gamelle, cette bouillie à la ‘sauce spermes’ en faisant attention de ne pas en mettre partout et de bien tout avaler, pendant que la cuisinière s’occupait des autres soumises et soumis présents dans ses cuisines… Une fois terminé le repas, c’est une des soumises qui retira la gamelle. Et Marie me dit :
- Bien, sale chienne tu as fini de manger et tu n’as rien gaspillé. Visiblement tu as savouré ma sauce spermes ! Je le note, ainsi tu auras d’autres occasions d’en goûter, salope… J’aurai bien voulu profiter de toi, mais Walter t’attend dans son bureau. Ce n’est que partie remise la chienne, assez vite, tu viendras me donner du plaisir... J’aime gerber ma mouille sur le visage de pute… Maintenant file, hors de ma vue, esclave salope …
Je m’exécutais rapidement et allais rejoindre Monsieur Walter dans son bureau qui était ouvert. Je toquais à la porte et il me fit entrer et attendre à genoux, dans un coin de la pièce. Il était occupé à travailler sur son ordinateur. Dès qu’il eut fini, il s’approcha de moi et me dit :
- J’ai vu avec Monsieur le Marquis que tu avais du mal à te retenir quand Monsieur le Marquis t’impose le silence lors d’une punition. Nous allons donc y travailler durant les prochains jours voir les prochains mois s’il le faut, j’ai tout mon temps. De plus, tant que tu ne sauras pas te retenir d’émettre des sons quand le silence est exigé, tu n’auras pas droit à la jouissance, encore moins à être en présence de Monsieur le Marquis. Et durant le temps qu’il te faudra pour y parvenir. Tu resteras au Château pour être dressée et pas question de sortir pour aller dans ton petit château ou dans ton entreprise ou bien même d’aller à l’extérieur du Domaine comme par le passé. Donc à toi de te donner les moyens d’y parvenir rapidement...
- Je ferais selon Les Exigences du Maître et donc je suivrai vos directives à la lettre, Monsieur Walter- Bien. Suis-moi jusqu’au Donjon, c’est l’endroit où tu vas vivre le temps qu’il te faudra pour parvenir à fermer ta gueule de chienne quand le silence est exigé.
Je le suis donc en quadrupédie dans le Donjon du Château. Walter avait déjà tout préparé, panier couverture et divers accessoire, prévus pour moi.
- Bien, commençons. Afin d’être plus endurante au silence malgré l’effort, tous les jours, tu auras du tapis de course à faire. Au moins 30 minutes pour commencer et on augmentera au fur et à mesure pour arriver à un bon 1h30 voir 2h comme peux le faire soumise Keira MDE quand elle s’entraine. Elle est arrivée à n’émettre uniquement le son discret de sa respiration plus rapide et rien d’autre. C’est l’objectif pour toi. Et tu devras après ton passage ici continuer tous les jours, voir tous les 2 jours, en fonction de ton emploi du temps. Ensuite, tu auras un entrainement de résistance à supporter en silence, avec moi-même durant 1h, pour commencer. Et comme pour le tapis de course, on augmentera en fonction de tes progrès, bien entendu. Ce deuxième exercice a pour fonction de maîtriser ta bouche qui ne peut s’empêcher de s’ouvrir et d’émettre des gémissements, des cris de jouissance ou autres sons non autorisés. Et une dernière chose, toi tu ne peux pas voir Monsieur le Marquis, mais sache qu’à travers les caméras de surveillance, Lui peut observer le moindre de tes agissements. Aller, maintenant trêve de blabla debout, sur le tapis et au boulot…
Je montais donc sur le tapis et commençais à courir. Les 30 minutes se passèrent sans difficulté, donc Walter décida de tester mon endurance. Je donnais mon maximum et au bout de 45 minutes, il stoppa l’exercice voyant que pour le moment j’avais atteint mes limites physiques, où mon souffle rapide était ponctué de rauques gutturaux dus à l’essoufflement. Il me laissa une heure me reposer avant de revenir pour m’installer sur la croix de St-André et commencer avec le martinet. Il commença doucement avec ce martinet à me fouetter puis petit à petit intensifia les coups pour que cela soit plus dur et puissant, tout en faisant attention à mes réactions pour tester encore une fois mes limites physiques mais aussi mentales, en changeant d’accessoire, au fil du temps… Le reste du temps, j’étais seule dans le Donjon sauf quand Walter venait pour me porter le repas, très souvent à la ‘sauce spermes’ préparé par Marie ou pour une nouvelle séance de résistance. Tout cela dura un long moment, je ne saurais pas dire combien de temps car sans sortir de ce Donjon, j’avais perdu le sens du temps qui passe car le Majordome ne venait jamais au même moment. Mais le travail imposé et intense portait ses fruits, je le remarquais au fil du temps.
J’arrivais à 2h de tapis de course sans problème et j’y prenais même plaisir à en faire. Et pareil pour ma résistance à me taire, j’arrivais beaucoup plus facilement à endurer fouet court et long, cravache, badine, martinet en cuire doux ou dur, les différents paddles, pince à tétons et pinces à lèvres intimes, mais aussi autres accessoires divers et varier, sans rien dire, sans gémir et en restant aussi silencieuse qu’un carpe et aussi sans bouger aussi concrètement qu’une statue. Durant tout ce temps, jamais Walter ne pas m’utilisa sexuellement et mon dieu que j’en avais envie et c’est bien ce qui me faisait peur. Car après tout ce temps sans jouir, ni même à être utilisée, j’avais peur de ne pas retenir un orgasme quand on déciderait de m’utiliser de nouveau.
Ce fut après trois mois de ce traitement intensif que je pus enfin sortir pour me retrouver un peu perdu et désorienté par ce trimestre enfermée. Je fus conduite par soumise Chloris MDE dans la salle de bain des soumises pour subir un lavement anal en bonne et due forme une douche à l’eau froide pour bien me laver car durant les trois mois, je ne pus me laver qu’avec un gant. Je compris que nous étions le soir et qu’il était fort possible à la vue de la préparation que je subissais, on était soit le premier samedi du mois et que j’allais participer à la soirée D/s du mois organisée par Maitre… Une fois prête, on me banda les yeux et on me conduisit au milieu de ce que je supposai être la grande et vaste salle de réception. On me mit dans la position du Nadu à genoux jambes écartées et paumes de mains sur mes cuisses regardant le plafond et moi tête baissée. Je pouvais entendre au fil des minutes des voix dans la pièce où je me trouvais et qui devaient donc bien être celle la salle de réception du Château. Au bout d’un certain temps tout le monde fit silence. Je compris donc que Maitre venait de faire Son entrée...
(A suivre …)
Mais je savais que cela n’allait pas tarder car après toute punition, vient le moment d’implorer Son pardon...
- Je t’écoute chienne !
- Maitre je renouvelle prosternée à Vos pieds, mes mots. D’abord, je Vous demande de bien vouloir pardonner le fait que je n’ai pas su garder le silence lors de la sanction ce qui Vous a obligé à tout recommencer. Ensuite, je Vous demande aussi pardon pour ne pas Vous avoir demandée l’autorisation de m’endormir à ma place à Vos pieds… Je puis Vous assurer, Maitre, que j’ai bien compris la leçon et que cela ne se reproduira pas
Je disais ces mots tout en versant des larmes de honte et de culpabilité. Maitre ne disait rien et attendit un moment pour me laisser le temps de comprendre et de me calmer. Ensuite, Il prit la parole :
- Ma belle chienne, regarde-Moi et sèche tes larmes. C’est passé et tu es pardonnée, bien entendu. Tu as encore du travail pour devenir un jour une esclave MDE, mais Je sais que tu en es capable sinon tu ne serais pas à Mes pieds aujourd’hui, si Je ne t’en sentais pas apte. Ton puissant besoin de soumission, Je le ressens en toi, ainsi que ta vraie et forte dévotion envers Moi. C’est pour cela qu’avec Walter, on va travailler sur ce qui te manque pour pouvoir porter Mes Initiales… Tu vas pouvoir dormir encore un peu dans la voiture et une fois arrivée au Château, tu iras dormir dans le Chenil... Je veux que tu reprennes des forces car tu vas en avoir bien besoin. Une fois bien reposée, tu iras en cuisine te restaurer comme il se doit. J’aurais entre temps donné Mes directives à Marie pour ton repas et quand tu auras fini de manger, tu rejoindras Walter dans son bureau et tu suivras Mes Exigences que Je lui aurais donné pour poursuivre ton dressage d’esclave. Me suis-Je bien fait comprendre, Ma chienne ?
- Oui Maitre, parfaitement compris. Merci Maître de m’éduquer ainsi pour faire de moi, une meilleure esclave…- Bien, maintenant en voiture et dans le coffre et essaie de dormir.
Le Châtelain me dit cela en prenant ma laisse et en me faisant grimper dans le coffre de la voiture. Je m’installais en boule et les petites secousses de la route me bercèrent et je m’endormis durant tout le trajet, sans le réveiller. Arrivé au Château, Maitre descendit de la voiture pour se rendre dans Son bureau. Quant à moi et à quatre pattes je pris la direction du Chenil pour m’endormir de nouveau en boule et couverte d’une chaude couverture. Je ne sais pas combien de temps j’ai pu dormir mais ce fut d’une traite. A mon réveil, il faisait déjà jour, je pris alors la direction des cuisines où Marie la cuisinière était en train de travailler.
- Ah, enfin tu es réveillée, la chienne, me lança-t-elle d’un air plus que sévère, limite méprisant. Il t’aura fallu deux jours pour te remettre de ton séjour, ça n’aurait été que de moi, tu aurais été réveillée à grand saut d’eau froide, comme je le fais souvent aux chiennes et aux chiens de ton espèce, quand Walter ne peut pas. Mais bon, tu es là comme Monsieur le Marquis te l’as ordonné pour te restaurer. Donc voilà ta pâtée, la chienne et tâche de ne pas en mettre de partout sinon, il t’en cuira, sale chienne gâtée.
La sévère Marie me déposa à même le sol, le repas que Maitre lui avait dit de préparer. Cela me paraissait appétissant, mais au moment où j’allais commencer à manger à quatre pattes, le nez reniflant cette pâtée, je m’aperçus de la matière blanchâtre qi recouvrait cette bouillie nutritive. Marie s’aperçut que je restais quelques secondes immobile à observer ma gamelle sans commencer à manger, alors elle me lança avec un air très pervers :
- Tu te demandes quelle sauce recouvre ta pâtée ? Je trouvais qu’elle était un peu fade, alors j’ai voulu l’arroser d’une bonne sauce, fabrication maison ! Ça ne sera que meilleur ! Ha ! ha ! ha ! … Oui tu as bien deviné, la chienne, c’est du foutre des chiens soumis, ceux qui sont de corvée aujourd’hui, ici, aux cuisines. J’ai exigé à la dizaine de mâles esclaves de se branler et de décharger leur sperme dans ta gamelle Et comme la plupart n’avait pas giclé depuis longtemps, il y a abondance car en se vidant les couilles, leur foutre était épais et abondant… Allez, maintenant mange et tu as intérêt à tout manger …
Je n’avais pas d’autre choix que de manger face à cette nouvelle idée perverse de Marie digne de sa réputation de femme perverse. Alors et sans un mot je mangeais ce qu’il y avait dans cette gamelle, cette bouillie à la ‘sauce spermes’ en faisant attention de ne pas en mettre partout et de bien tout avaler, pendant que la cuisinière s’occupait des autres soumises et soumis présents dans ses cuisines… Une fois terminé le repas, c’est une des soumises qui retira la gamelle. Et Marie me dit :
- Bien, sale chienne tu as fini de manger et tu n’as rien gaspillé. Visiblement tu as savouré ma sauce spermes ! Je le note, ainsi tu auras d’autres occasions d’en goûter, salope… J’aurai bien voulu profiter de toi, mais Walter t’attend dans son bureau. Ce n’est que partie remise la chienne, assez vite, tu viendras me donner du plaisir... J’aime gerber ma mouille sur le visage de pute… Maintenant file, hors de ma vue, esclave salope …
Je m’exécutais rapidement et allais rejoindre Monsieur Walter dans son bureau qui était ouvert. Je toquais à la porte et il me fit entrer et attendre à genoux, dans un coin de la pièce. Il était occupé à travailler sur son ordinateur. Dès qu’il eut fini, il s’approcha de moi et me dit :
- J’ai vu avec Monsieur le Marquis que tu avais du mal à te retenir quand Monsieur le Marquis t’impose le silence lors d’une punition. Nous allons donc y travailler durant les prochains jours voir les prochains mois s’il le faut, j’ai tout mon temps. De plus, tant que tu ne sauras pas te retenir d’émettre des sons quand le silence est exigé, tu n’auras pas droit à la jouissance, encore moins à être en présence de Monsieur le Marquis. Et durant le temps qu’il te faudra pour y parvenir. Tu resteras au Château pour être dressée et pas question de sortir pour aller dans ton petit château ou dans ton entreprise ou bien même d’aller à l’extérieur du Domaine comme par le passé. Donc à toi de te donner les moyens d’y parvenir rapidement...
- Je ferais selon Les Exigences du Maître et donc je suivrai vos directives à la lettre, Monsieur Walter- Bien. Suis-moi jusqu’au Donjon, c’est l’endroit où tu vas vivre le temps qu’il te faudra pour parvenir à fermer ta gueule de chienne quand le silence est exigé.
Je le suis donc en quadrupédie dans le Donjon du Château. Walter avait déjà tout préparé, panier couverture et divers accessoire, prévus pour moi.
- Bien, commençons. Afin d’être plus endurante au silence malgré l’effort, tous les jours, tu auras du tapis de course à faire. Au moins 30 minutes pour commencer et on augmentera au fur et à mesure pour arriver à un bon 1h30 voir 2h comme peux le faire soumise Keira MDE quand elle s’entraine. Elle est arrivée à n’émettre uniquement le son discret de sa respiration plus rapide et rien d’autre. C’est l’objectif pour toi. Et tu devras après ton passage ici continuer tous les jours, voir tous les 2 jours, en fonction de ton emploi du temps. Ensuite, tu auras un entrainement de résistance à supporter en silence, avec moi-même durant 1h, pour commencer. Et comme pour le tapis de course, on augmentera en fonction de tes progrès, bien entendu. Ce deuxième exercice a pour fonction de maîtriser ta bouche qui ne peut s’empêcher de s’ouvrir et d’émettre des gémissements, des cris de jouissance ou autres sons non autorisés. Et une dernière chose, toi tu ne peux pas voir Monsieur le Marquis, mais sache qu’à travers les caméras de surveillance, Lui peut observer le moindre de tes agissements. Aller, maintenant trêve de blabla debout, sur le tapis et au boulot…
Je montais donc sur le tapis et commençais à courir. Les 30 minutes se passèrent sans difficulté, donc Walter décida de tester mon endurance. Je donnais mon maximum et au bout de 45 minutes, il stoppa l’exercice voyant que pour le moment j’avais atteint mes limites physiques, où mon souffle rapide était ponctué de rauques gutturaux dus à l’essoufflement. Il me laissa une heure me reposer avant de revenir pour m’installer sur la croix de St-André et commencer avec le martinet. Il commença doucement avec ce martinet à me fouetter puis petit à petit intensifia les coups pour que cela soit plus dur et puissant, tout en faisant attention à mes réactions pour tester encore une fois mes limites physiques mais aussi mentales, en changeant d’accessoire, au fil du temps… Le reste du temps, j’étais seule dans le Donjon sauf quand Walter venait pour me porter le repas, très souvent à la ‘sauce spermes’ préparé par Marie ou pour une nouvelle séance de résistance. Tout cela dura un long moment, je ne saurais pas dire combien de temps car sans sortir de ce Donjon, j’avais perdu le sens du temps qui passe car le Majordome ne venait jamais au même moment. Mais le travail imposé et intense portait ses fruits, je le remarquais au fil du temps.
J’arrivais à 2h de tapis de course sans problème et j’y prenais même plaisir à en faire. Et pareil pour ma résistance à me taire, j’arrivais beaucoup plus facilement à endurer fouet court et long, cravache, badine, martinet en cuire doux ou dur, les différents paddles, pince à tétons et pinces à lèvres intimes, mais aussi autres accessoires divers et varier, sans rien dire, sans gémir et en restant aussi silencieuse qu’un carpe et aussi sans bouger aussi concrètement qu’une statue. Durant tout ce temps, jamais Walter ne pas m’utilisa sexuellement et mon dieu que j’en avais envie et c’est bien ce qui me faisait peur. Car après tout ce temps sans jouir, ni même à être utilisée, j’avais peur de ne pas retenir un orgasme quand on déciderait de m’utiliser de nouveau.
Ce fut après trois mois de ce traitement intensif que je pus enfin sortir pour me retrouver un peu perdu et désorienté par ce trimestre enfermée. Je fus conduite par soumise Chloris MDE dans la salle de bain des soumises pour subir un lavement anal en bonne et due forme une douche à l’eau froide pour bien me laver car durant les trois mois, je ne pus me laver qu’avec un gant. Je compris que nous étions le soir et qu’il était fort possible à la vue de la préparation que je subissais, on était soit le premier samedi du mois et que j’allais participer à la soirée D/s du mois organisée par Maitre… Une fois prête, on me banda les yeux et on me conduisit au milieu de ce que je supposai être la grande et vaste salle de réception. On me mit dans la position du Nadu à genoux jambes écartées et paumes de mains sur mes cuisses regardant le plafond et moi tête baissée. Je pouvais entendre au fil des minutes des voix dans la pièce où je me trouvais et qui devaient donc bien être celle la salle de réception du Château. Au bout d’un certain temps tout le monde fit silence. Je compris donc que Maitre venait de faire Son entrée...
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