La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1469)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1469) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-04-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1469)
Camélia au Château - Devenue chienne Maera - (suite de l'épisode N°1464) -
- Tu n'as cependant pas oublié que tu as une punition pour la récidive de tout à l'heure et j'ai eu le temps de réfléchir à quelle sanction tu vas avoir droit, Ma chienne salope ... Voici ce que j'ai décidé pour avoir joui sans Mon autorisation alors que cela t'était strictement interdit. Tu sais que c’est une faute que Je considère comme grave car c’est un clair manque d’obéissance avéré et inadmissible… Alors tu vas passer trois jours au Cachot, sans voir la lumière du jour et tu vas porter une ceinture de chasteté. Walter en aura la clef, ainsi il ouvrira et enlèvera cette ceinture, seulement quand les nombreux chiens de Mon Cheptel viendront se vider les couilles dans tes trois trous de salope. La plupart d’entre eux n'ont pas joui depuis plus d'un mois, voire plus, et donc ils sont tous en manque de sexe et leur appétit à te baiser sera grande... Tu auras bien sûr la totale interdiction de jouir pendant ces trois jours de Cachot car c'est une punition et non du plaisir... Et bien évidemment, à l’issue de la sanction, tu devras Me supplier de te pardonner…, me dit le Maître en tournant les talons, sans plus m'adresser un seul regard et me laissant perdue dans mes pensées.

J'entendis donc la porte du Donjon du Château se refermer et les pas du Maître s'éloigner jusqu'en devenir inaudible. J'attendis ainsi en position d'attente dans le plus grand des silences. Après une bonne dizaine de minutes j'entendis à nouveau des pas se rapprocher puis un homme ouvrit la porte de cette vaste pièce ancestrale. Je restais aussi immobile et silencieuse qu'une statue. C'est alors que le Majordome s'adressa à moi d'un ton glacial :
- Allonge-toi sur le ventre, la chienne, pour que je puisse te mettre cette ceinture de chasteté avant de t'emmener au Cachot, me dit-il, avec un claquement de doigts.

Je me mis donc de suite dans la position exigée. Il installa la ceinture de chasteté sur mon sexe après avoir vérifié l’état d’humidité de ce dernier, en me doigtant allégrement. Ensuite il la fixa autour de ma taille en me soulevant les jambes tout en insérant, dans ma chatte de salope en chaleur, la partie constituée d’un gode en verre dur. Puis Walter vérifia que tout était bien en place et condamna le cadenas de fermeture avec la clé qu'il mit ensuite dans sa poche… Une fois ceci fait, le Majordome tira sur ma laisse pour m'obliger à le suivre à quatre pattes jusqu’à mon Cachot, puis me fit entrer et me dit avant de repartir :
- Tu vas servir pendant ces trois jours de vide-couilles aux soumis et esclaves mâles de Monsieur le Marquis. Ses chiens pourront, et ont reçu l'ordre, de se vider dans tes trois trous, soit l'un après l'autre, soit les trois en même temps, c'est à dire chatte, cul et bouche qui leurs serviront juste d'orifice, de réceptacle pour se vider leurs couilles bien pleines de foutre… Ils pourront même éjaculer sur ton visage, sur tes seins ou bon leur semblera. J'ai eu des consignes claires de Monsieur le Marquis, ils pourront aussi bien venir le jour que la nuit, dit Walter en refermant la porte du Cachot, tout en s'éloignant.

La soirée se termina ainsi et je trouvais le sommeil assez difficilement, repensant à ma faute inadmissible. Je fus réveillée au beau milieu de la nuit par la porte grinçante du Cachot. Le Majordome, donnant des consignes à trois esclaves mâles décagés pour l’occasion, avant d'entrer. Je sentis un coup de cravache sur ma croupe comme pour me réveiller entièrement. Puis il m'enleva la ceinture de chasteté en ouvrant le cadenas de sa clé et me fit me mettre à quatre pattes, tout en ordonnant aux trois chiens esclaves présents en les nommant pour que j'entende bien :
- Cette chienne de Monsieur le Marquis est punie pendant trois jours ici au Cachot car elle a joui et que cela lui était formellement interdit. Pour cette désobéissance avérée, sa sanction est qu’elle vous est offerte. esclave André, esclave Mathieu et esclave Vincent, vous pouvez la baiser par tous ses trous de salope et en jouir à volonté, là où vous le souhaitez et sans modération, afin de vous vider vos couilles pleines… Bien sûr, seul votre plaisir compte et pas le sien, vous pouvez donc vous vider en la baisant pleinement sans se soucier de son plaisir à elle. Ça lui apprendra à ne pas savoir se retenir de jouir sans y être autorisée… Les chiens, prêts pour la prendre en même temps ? Ainsi elle ressentira encore plus pleinement sa punition en se faisant pilonner par trois grosses bites à la fois. Attention … Partez !…
Le manque de sexe depuis de nombreuses semaines avait provoqué chez ces trois esclaves mâles, une érection fulgurante et très impressionnante, avec des couilles énormes, emplies de foutre, à l’évidence… Alors, ils ne se firent pas prier pour fondre sur moi comme des oiseaux rapaces sur leur proie. Sans se concerter entre eux, le besoin puissant de copuler étant tellement fort en eux, que ce fut le premier arrivé, le premier servi ! Comme un forcené, il m’attrapa les deux jambes afin de m’écarter les cuisses pour, au plus vite, m’enfiler sa bite dressée et gorgée de désir dans mon entrecuisses afin de me pilonner à grands coups de reins sans modération. Le deuxième se dirigea tout aussi vite sur ma bouche qu’il investit au plus vite également, me la baisant comme un vagin. Le troisième bousculait celui qui me baisait le sexe, lui disant de lui laisser me prendre le cul. Alors, le premier me fit mettre rapidement à quatre pattes et me repris la chatte comme une forcené, couché par-dessous afin que son acolyte puisse m’enculer dans une rapide bestiale saillie, tandis que le second précipitamment avait vite remit sa grosse queue dans ma bouche de pute… Visiblement ces trois mâles étaient en rut ! (logique état par des semaines d’abstinence imposées à ces trois esclaves)
Ainsi, ils s’étaient ainsi mis prestement, un dans ma chatte, un dans mon cul et un dans bouche. Et ils me pilonnèrent à grands coups de boutoirs dans des assauts répétés et acharnés. Je ne pouvais même pas sucer avec application la grosse verge dans ma bouche car cette bite allait et venait beaucoup trop vite jusqu’au fond de ma gorge tandis qu’il avait empoigné les cheveux pour me forcer de garder en bouche… Ainsi prise, je n’étais plus que trois simples trous bons à remplir et je me sentais de plus en plus être cette salope de chienne en chaleur au bord de l'orgasme, qui s’il avait été autorisé, aurait été explosif… mais il ne fallait pas de nouveau fauter et c’est avec tant bien que mal que je retenais une jouissance. J'étais traitée comme un vide-couilles et j’en éprouvais une extrême excitation, je dois bien le reconnaître...

Après juste quelques minutes, assez rapidement en fait, j'entendis les bruits proches de la jouissance de ces trois chiens esclaves qui se mirent à éjaculer de concert dans des longs et sonores râles de mâles en rut. Par leurs grosses mains, on me maintenait fermement mes hanches, ma tête, mes cuisses quand je sentis leur sperme coulant en flots saccadés à l'intérieur de ma chatte et de mon cul. En même temps, le chien soumis qui avait pris possession de ma cavité buccale avait choisi de retirer sa grosse bite de ma bouche, juste avant, afin d'éjaculer sur mon visage et mes cheveux… Ils s’étaient à peine remis de leur fulgurante copulation, que Walter, placé dans l’encadrement de la porte, leur lança illico presto :
- Parfait, les chiens, vous reviendrez plusieurs fois, durant ces trois jours car je sais que vous ne tarderez pas à rebander de nouveau… Allez m’attendre, agenouillés, tête baissée, mains derrière le dos, dans le couloir… (puis il appela en direction de ce même couloir) - Aux suivant, à vous les trois autres chiens…
Et je vis entrer trois autres esclaves mâles décagés aussi tous aussi excités que les trois premiers, exhibant pour chacun d’eux déjà une forte érection… Ils investissaient sans tarder mes trois trous dans le même comportement que les précédents, tout aussi en rut, se bousculant pour prendre ma chatte ou mon cul, le troisième allant directement dans ma bouche… Et ce fut ainsi, le Majordome appelant trois autres esclaves une fois que ceux qui me baisaient avec joui et tous copulaient comme des bêtes sans se soucier de mon bien-être et se vidaient sur mon ventre, dans ma bouche, dans mon cul, dans ma chatte, sur mes seins, sur mon visage et sur mes fesses selon leur passage, toujours trois par trois. Je me sentais vraiment souillée de sperme, de foutre sur tout mon corps et traitée comme un vulgaire objet sexuel et cette réalité m’excitait au plus haut point, mais je ne pouvais en pas jouir… Une fois que tous les chiens soumis eurent fini de me prendre mes trois trous, et il y en a eu au total, quinze soit cinq passages de trois mâles à la fois, je n'étais plus qu'une loque épuisée d'avoir été autant utilisée et d'avoir retenue tant d'orgasmes non autorisés… Walter prit la parole parlant dans le couloir, où les quinze esclaves étaient alignés et agenouillés le long du mur:
- Bien les quinze chiens, j'espère que vous avez apprécié à sa juste valeur le cadeau de Monsieur le Marquis tout en ayant pu participer à une punition d'une de vos sœurs de soumission... Vous reviendrez tous et souvent durant ces trois jours… Quant à toi, la chienne, tu resteras puante de sperme ainsi emplie de foutre aussi bien sur ton corps que dans tes trous de pute. Tu pourras te laver uniquement quand tes trois jours ici seront passés et juste avant de te présenter à Monsieur le Marquis d'Evans pour Le supplier de te pardonner… Avant de repartir pour te laisser dormir et te reposer, je vais te remettre ta ceinture de chasteté. Mets-toi sur le dos que je te la remette…
Le Majordome referma la ceinture de chasteté puis sortit du Cachot en faisant signe aux quinze esclaves du Maître des lieux de le suivre à quatre pattes. Une fois la porte refermée, je me sentais si triste d'avoir fauté si bêtement et si humiliée d'être autant souillée. Les autres jours et nuits passèrent au Cachot et se ressemblèrent comme tout ce que je viens de narrer… En effet, je fus de jour comme de nuit, prise par mes différents trous, maintes et maintes fois pour servir de vide-couilles aux nombreux chiens esclaves du Cheptel à être utilisée autant que voulu, à outrance et avec toujours autant de fortes excitations en moi, non assouvies par d’improbables orgasmes lesquels je n’avais pas droit. Au troisième jour de Cachot, j'étais totalement épuisée, humiliée et mon corps et mes trous étaient emplis de foutre, je puais excessivement l’odeur du foutre… Quand tout à coup, j'entendis la porte du Cachot s'ouvrir mais cette fois-ci seulement avec le Majordome. Il s'avança vers moi et tira sur ma laisse pour m'ordonner de le suivre en silence. Je le suivis en quadrupède à la hâte, ne souhaitant pas lui déplaire et pressais ainsi le pas. Après une traversé dans le chai et la crypte, nous arrivâmes dans une salle entièrement carrelée. Walter me dit :
- Lave-toi bien comme il faut. Il y a du savon et du shampoing, tu pues. Mais avant je vais t'enlever ta ceinture de chasteté pour que tu puisses te nettoyer de manière rigoureuse. Je te rincerais à l'eau froide pour faire disparaitre toutes les dernières traces de sperme et toute odeur avant de te présenter à Monsieur le Marquis…
Une fois débarrassée de la ceinture de chasteté, je me frottais avec le savon, de manière énergique, n'oubliant pas la moindre partie de mon anatomie, des pieds à la tête et inversement. Je me fis aussi un salvateur shampoing, mes cheveux étant tout collant de sperme séché… Après de longues bonnes minutes de ce traitement, je me tenais immobile et Monsieur Walter dirigea le jet d'eau froide vers moi visant toutes les parties de mon corps pour enlever toutes les traces qui pouvaient rester aussi de bien savon, de shampoings, que de sperme. Une fois ceci finit, il me tendit une grande serviette éponge et je me séchais alors rapidement puis nous quittâmes cette pièce et après quelques minutes, nous nous retrouvâmes devant la porte du bureau du Maître tant Vénéré. Le Majordome frappa et je pus entendre la voix du Seigneur et Maître s’exclamer :
- Entrer …
(A suivre …)

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