La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1486)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-05-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1486)
La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode 1476) -
… Je vais te prendre et marquer ainsi Ma Possession par ta jouissance... Je demeurai ainsi immobile, le cul en feu et la bouche remplie par la culotte souillée de la belle voisine... Je ne sais combien cela dura, longtemps cependant car je pouvais entendre par moments les gémissements sans retenue de Chloé qui jouissait d'être ainsi possédée par le jeune Marquis Edouard d'Evans, aussi et déjà expert pour les choses du sexe qu'en matière de Domination, malgré son jeune âge. Lorsqu'enfin la porte de la chambre s'ouvrit, Le Maître n'avait rien perdu de Sa superbe, décontracté, alors que Chloé le suivait, passablement décoiffée, entièrement nue, se tenant aussi près que possible du Noble sans pour autant oser Le toucher. On la sentait totalement sous l'Emprise du Châtelain qui cependant ne lui accordait pas la moindre attention. S'approchant de moi, Sa servile conquête Le suivant pas à pas, Il me saisit par les cheveux et m'entraîna sans ménagement jusqu'à la cage qui était désormais devenue mon abri quotidien. Me poussant à l'intérieur, il m’exigea de prendre du repos, car les jours à venir seraient sans doute fort éprouvants...
- Mais pour l'instant, tu peux te reposer, me dit-Il, car ce soir j'ai fort à faire et tu ne me serais d'aucune utilité.
Et la porte de la cage se referma, tandis que Le Maître éteignait la lumière me laissant ainsi à ma condition d'objet inutile pour s'en aller vivre de palpitants instants avec Sa nouvelle conquête... Le récit de cette soirée, je ne saurai prétendre qu'il est parfaitement exact, car naturellement l'esclave dans sa cage n'y était pas. Mais réunissant diverses bribes de récits entendus de la bouche du Châtelain, ou de la belle voisine désormais asservie, bien souvent l'esclave remisé dans sa cage a pu y penser, en rêver et envier tellement celle qui l'avait vécue... Chloé avait été autorisée par Monsieur le Marquis à prendre une rapide douche, faire une rapide toilette et à s'apprêter afin d'être digne de L'accompagner là où Il daignerait la mener. L’ayant accompagnée dans son appartement, sur le même palier que celui du Maître, le Châtelain l'avait attentivement observée encore et encore nue mais cette fois sous le jet de la douche, appréciant les courbes de ce corps dénudé qu'Il venait de plier à toutes Ses Exigences quelques minutes auparavant. Dans la façon dont la belle trentenaire se comportait pour sa toilette, le jeune Marquis d'Evans savait qu'elle était déjà totalement sous Son Emprise. L'abandonnant un instant tandis qu'elle s'exhibait sans pudeur, le Noble fit un peu le tour de l'appartement, afin de mieux apprécier la personnalité de celle qui désormais serait toujours plus dépendante de Lui. Fouillant la riche garde-robe, Il pensait déjà aux accessoires qui en seraient bannis et à d'autres, qui deviendraient au contraire les compléments indispensables du quotidien de Chloé...
Le Châtelain choisit des bas de fine soie, un porte-jarretelle des plus sexy et une robe noire dont la simplicité soulignerait l'élégance naturelle de celle qui la porterait ce soir en Sa Compagnie. Des escarpins aux fins talons, compléteraient cette tenue, discrètement embellis par la semelle rouge qui est le symbole de la prestigieuse marque des chaussures. Certes un peu trop noble pour une soumise, mais le Maître n'oubliait pas qu'Il voulait que Chloé soit Sa chose, mais aussi qu'elle exprime une autre facette de sa nature, qu'il devinait plus complexe. Elle n'était pas une esclave, mais une femme de caractère qu'Il aurait plaisir à voir parfois dominer les inférieurs, tout en sachant qu'Il n'aurait qu'à claquer des doigts pour qu'elle vienne humblement se prosterner à Ses Pieds... Justement, la belle femelle s'approchait, seulement vêtue d'une serviette enserrant sa chevelure encore humide, le corps nu ondulant de la croupe arrondie vers Celui qu'elle ne cessait de désirer, Celui dont elle était consciente qu'Il la rendait un peu plus dépendante à chaque minute écoulée. D'un signe, Monsieur le Marquis lui intima l'ordre de stopper. Elle s'immobilisa dans l'instant, se tenant bien droite, mains jointes dans le dos, les cuisses légèrement écartées, la tête droite mais les yeux baissés. Elle eut honte de sentir qu'à nouveau, comme à chaque fois en Présence du Noble, elle mouillait déjà, sentant son bas-ventre réagir dans l’instantané. Le Jeune Maître n'en doutait pas, un bref rictus sur le beau visage fin de Sa soumise le Lui avait révélé. Il s'approcha en souriant et lui caressa la joue dans une douceur hors norme de tendresse...
- Allons, un peu de retenue, nous devons sortir...
Le jeune Maître vit avec délectation les joues de Chloé rosir de gêne...
- Là où nous allons, il convient que tu te montres sous ton meilleur jour. Certes tu me désires, mais tu vas devoir attendre et réfréner tes ardeurs, car la nuit sera longue... Allons ! Habilles toi et finis de te préparer, il est temps maintenant ! Je t'accorde dix minutes, pas une de plus. Sinon...
Il n'en fallut que sept à Chloé pour se tenir prête et suivre Monsieur le Marquis d'Evans vers cette soirée dont elle ignorait tout mais qui déjà excitait ses sens... Le taxi mena Le Châtelain et Chloé jusqu'au meilleur restaurant gastronomique de la ville. Une table était réservée et à l'attitude déférente et empressée du personnel, la jeune trentenaire comprit que le jeune homme qu'elle accompagnait était un habitué des lieux et qu’Il était considéré comme un client de la plus haute importance. Ayant eu l'occasion en de rares occasions de s'y rendre elle-même dans le cadre de ses activités professionnelles, elle pouvait juger de la qualité du moment qui lui était ainsi offert. Et le repas fut naturellement somptueux, le service parfait et discret, le menu choisi par le jeune Noble (qui avait clairement fait comprendre à Son invitée que Lui seul prenait les décisions) absolument exquis, accompagné d'un grand cru... La soirée était déjà parfaite et la conversation avait été menée tambour battant, portant autant sur les produits savourés que sur divers événements culturels du moment et les questions précises et incisives du jeune Edouard d'Evans sur les activités professionnelles et extra-professionnelles de Sa voisine et désormais docile et dévouée soumise.
Même si en peu de temps elle avait appris à mieux comprendre ce que pouvait être une relation de D/s, Chloé était cependant encore quelque peu effarouchée devant la froide précision des répliques du Noble... Le Châtelain n'épargnait en rien la pudeur de Son interlocutrice. Il voulait tout savoir de sa vie privée, de ses pratiques, de son passé le plus intime qu’il soit, tout savoir sur sa sexualité. Plus rien ne devait être confidentiel. Il exigeait d'elle une transparence totale, une mise à nue sans concessions, et malgré des moments d'hésitation, la belle trentenaire se pliait à cette Volonté de fer. Elle ne Lui cachait rien, lui avouait tout, Lui dévoilait ses plus honteux secrets, ses désirs les plus inavouables... Chloé avait la sensation de devoir désormais tout dévoiler et elle se sentait soudain plus légère, comme libérée du poids de ses propres non-dits. Elle n'avait plus qu'un désir, maintenant, rentrer à l'appartement avec l'espoir que le Maître qu'elle vénérait désormais, consentirait à l'accompagner et à la plier une fois encore à toutes Ses Directives... Qu'Il daignerait la prendre encore une fois, deux fois... dix fois ! Qu'Il la possède, totalement, de toutes les façons, dans toutes les positions qu'il Lui plairait. Chloé Lui laissant libre accès à tous ses orifices… Elle allait prendre sa voix la plus humble afin de le supplier de lui accorder cela lorsque Le Noble lui caressant la croupe à travers la fine étoffe de la robe :
- C'était fort agréable et j'ai apprécié ta sincérité. Et puisque tu as mérité une récompense, je vais maintenant t'initier au lieu le plus privé et même secret de cette ville. Un lieu où tu n'aurais jamais eu accès sans Moi. Un lieu où tu seras reconnue pour ce que tu es, sans jugement, ni provocations... où tu pourras simplement être celle que tu es et vivre ton état de servilité naturelle.
Et Le jeune Châtelain entraîna la jeune femme vers les rues piétonnes du centre de la cité, dans les quartiers les plus huppés de la ville. Jusqu'à un impressionnant immeuble haussmannien de fort belle facture. Tapant un code d'accès sous le porche d’une grande porte majestueuse, Monsieur le Marquis entraîna Chloé à Sa suite d'abord par une cour intérieure pavée qu'elle traversa avec quelque difficulté sur ses talons de luxe, vers une autre porte, plus petite et discrète et via un nouveau code. Cette porte ouvrait sur un escalier étroit, descendant profondément. Et à chaque marche franchie vers le bas, une musique légère envahissait les lieux. Enfin, ils arrivèrent dans un espace assez vaste, une pièce ronde, avec seulement le comptoir d'un vestiaire derrière lequel se tenait une belle jeune femme, entièrement nue, portant seulement au cou un épais collier de métal où l’on pouvait très distinctement y lire ce qui était gravé dessus en lettres d’or, les trois Initiales ‘‘M D E.’’. A la vue de Monsieur Le Marquis, elle sortit prestement de derrière son comptoir pour venir au plus vite s’agenouiller de suite et avec déférence devant Lui et demanda s'Il voulait un vestiaire.
- Pour elle seulement, répondit le jeune Marquis.
Et d'un geste, il fit pivoter Chloé et fit glisser lentement la fermeture éclair qui courait tout au long de la robe, jusqu'à la faire choir au sol. Chloé n'était plus vêtue que du porte-jarretelle et de ses bas, perchée toujours sur ses escarpins de luxe. La trentenaire sursauta, mais n'osa rien dire, ne pouvant cependant réfréner un geste des bras afin de tenter de cacher un peu sa nudité. Amusé, Le Noble la força doucement à garder les bras le long du corps, ne cachant ainsi rien de sa nudité. Il claqua alors des doigts et la jeune femme esclave du vestiaire ramassa prestement la robe légère devenue simple amas de tissus, puis la fixa sur un cintre, donnant au Maître un jeton de nacre numéroté en échange.
Edouard d'Evans prit Chloé par la taille et l'entraîna vers une porte dissimulée derrière un épais rideau cramoisi. A leur approche, le rideau fut écarté par un homme imposant en smoking, qui s'inclina respectueusement, tout en ouvrant une nouvelle porte. Prenant le bras de Chloé, le Noble entraîna la jeune femme dans une vaste salle à l'ambiance feutrée mais néanmoins sans équivoque. Au fond, une scène où une chanteuse interprétait un air connu. Elle était aussi entièrement nue, ne portant qu'un épais collier de métal aux même Initiales que celle l’esclave du vestiaire mais d'où de fines chaînes agrémentaient sa nudité, reliées par des pinces à ses tétons jusqu’à son intimité aux lèvres intimes pincées... Un large bar en bois précieux avec un comptoir en bronze occupait un autre côté de la vaste salle et au centre, des tables avec de confortables fauteuils étaient disposées. Femmes et hommes élégants y étaient installés, avec à leur côté, parfois assis sur une chaise, parfois se tenant debout, des esclaves, mâles et femelles, nu(e)s et immobiles portant chacun (e) le même collier de métal aux Initiales ‘‘M D E.’’...
Un majordome vint saluer Monsieur le Marquis Edouard d'Evans et Lui indiqua que Sa table était prête. Ladite table portait en effet une plaque frappée aux armoiries des Evans et une bouteille de champagne attendait dans un seau à glace, avec trois coupes... Le Châtelain s'installa à Son Fauteuil, indiquant à celle qui l'accompagnait une chaise de bois doré. Chloé s'y installa et Le Noble d'une main douce mais ferme, lui fit prendre une position précise, assise bien droite, les cuisses largement ouvertes, les bras ballants de chaque côté du corps. L'intimité de la jeune femme était ainsi parfaitement accessible et sa poitrine merveilleusement mise en valeur. Elle n'osait rien dire, quelque peu intimidée par cette ambiance étrange, à la fois calme et emplie d'une tension érotique exacerbée. Le jeune Marquis non plus ne disait rien, tandis que le majordome emplissait les trois coupes. Avec stupéfaction, Chloé venait de comprendre, en l’observant attentivement, que la chanteuse sur la scène était la véritable interprète des succès qu'elle distillait d'une voix douce. Une véritable vedette, fort connue et habituée des émissions de télévision et qui en réalité était une esclave MDE ! Le jeune Noble remarqua le trouble de Sa belle soumis :
- Oui, c'est bien elle, tu l’as bien reconnu. Elle est en effet une de Mes esclaves, du Maître des Lieux, donc de Moi-même. Lieux que l'on appelle "Le Cercle des Supérieurs", connu des seuls Initiés les plus éminents. Sache bien que rien, aucune information, aucune indiscrétion ne sort de ce lieu. Celui ou celle qui se permettrait de transgresser cette règle, quel que soit son statut, Maître ou esclave, verrait sa vie se transformer en enfer. Donc tu vas voir et savoir bien des choses, mais cela restera scellé entre tes lèvres et jamais tu n'en parleras. Est-ce bien clair ?
- Oui Maître, ne put que répondre Chloé, encore interloquée par ce monde qu'elle ne faisait que découvrir et qui déjà la fascinait…
Mais voici qu'un homme élégant, aux cheveux argentés, en smoking parfaitement coupé rejoignait leur table. Le Marquis l'accueillit chaleureusement et lui indiqua Chloé qui par réflexe resserrait un peu les cuisses. Le Noble lui donna une petite tape sur la cuisse, et cela suffit à lui faire comprendre qu'elle se devait de reprendre sa position de totale disponibilité en exhibant son sexe sans aucune pudeur tolérée. Ce qu'elle fit déjà presque naturellement mais instantanément…
(A suivre …)
… Je vais te prendre et marquer ainsi Ma Possession par ta jouissance... Je demeurai ainsi immobile, le cul en feu et la bouche remplie par la culotte souillée de la belle voisine... Je ne sais combien cela dura, longtemps cependant car je pouvais entendre par moments les gémissements sans retenue de Chloé qui jouissait d'être ainsi possédée par le jeune Marquis Edouard d'Evans, aussi et déjà expert pour les choses du sexe qu'en matière de Domination, malgré son jeune âge. Lorsqu'enfin la porte de la chambre s'ouvrit, Le Maître n'avait rien perdu de Sa superbe, décontracté, alors que Chloé le suivait, passablement décoiffée, entièrement nue, se tenant aussi près que possible du Noble sans pour autant oser Le toucher. On la sentait totalement sous l'Emprise du Châtelain qui cependant ne lui accordait pas la moindre attention. S'approchant de moi, Sa servile conquête Le suivant pas à pas, Il me saisit par les cheveux et m'entraîna sans ménagement jusqu'à la cage qui était désormais devenue mon abri quotidien. Me poussant à l'intérieur, il m’exigea de prendre du repos, car les jours à venir seraient sans doute fort éprouvants...
- Mais pour l'instant, tu peux te reposer, me dit-Il, car ce soir j'ai fort à faire et tu ne me serais d'aucune utilité.
Et la porte de la cage se referma, tandis que Le Maître éteignait la lumière me laissant ainsi à ma condition d'objet inutile pour s'en aller vivre de palpitants instants avec Sa nouvelle conquête... Le récit de cette soirée, je ne saurai prétendre qu'il est parfaitement exact, car naturellement l'esclave dans sa cage n'y était pas. Mais réunissant diverses bribes de récits entendus de la bouche du Châtelain, ou de la belle voisine désormais asservie, bien souvent l'esclave remisé dans sa cage a pu y penser, en rêver et envier tellement celle qui l'avait vécue... Chloé avait été autorisée par Monsieur le Marquis à prendre une rapide douche, faire une rapide toilette et à s'apprêter afin d'être digne de L'accompagner là où Il daignerait la mener. L’ayant accompagnée dans son appartement, sur le même palier que celui du Maître, le Châtelain l'avait attentivement observée encore et encore nue mais cette fois sous le jet de la douche, appréciant les courbes de ce corps dénudé qu'Il venait de plier à toutes Ses Exigences quelques minutes auparavant. Dans la façon dont la belle trentenaire se comportait pour sa toilette, le jeune Marquis d'Evans savait qu'elle était déjà totalement sous Son Emprise. L'abandonnant un instant tandis qu'elle s'exhibait sans pudeur, le Noble fit un peu le tour de l'appartement, afin de mieux apprécier la personnalité de celle qui désormais serait toujours plus dépendante de Lui. Fouillant la riche garde-robe, Il pensait déjà aux accessoires qui en seraient bannis et à d'autres, qui deviendraient au contraire les compléments indispensables du quotidien de Chloé...
Le Châtelain choisit des bas de fine soie, un porte-jarretelle des plus sexy et une robe noire dont la simplicité soulignerait l'élégance naturelle de celle qui la porterait ce soir en Sa Compagnie. Des escarpins aux fins talons, compléteraient cette tenue, discrètement embellis par la semelle rouge qui est le symbole de la prestigieuse marque des chaussures. Certes un peu trop noble pour une soumise, mais le Maître n'oubliait pas qu'Il voulait que Chloé soit Sa chose, mais aussi qu'elle exprime une autre facette de sa nature, qu'il devinait plus complexe. Elle n'était pas une esclave, mais une femme de caractère qu'Il aurait plaisir à voir parfois dominer les inférieurs, tout en sachant qu'Il n'aurait qu'à claquer des doigts pour qu'elle vienne humblement se prosterner à Ses Pieds... Justement, la belle femelle s'approchait, seulement vêtue d'une serviette enserrant sa chevelure encore humide, le corps nu ondulant de la croupe arrondie vers Celui qu'elle ne cessait de désirer, Celui dont elle était consciente qu'Il la rendait un peu plus dépendante à chaque minute écoulée. D'un signe, Monsieur le Marquis lui intima l'ordre de stopper. Elle s'immobilisa dans l'instant, se tenant bien droite, mains jointes dans le dos, les cuisses légèrement écartées, la tête droite mais les yeux baissés. Elle eut honte de sentir qu'à nouveau, comme à chaque fois en Présence du Noble, elle mouillait déjà, sentant son bas-ventre réagir dans l’instantané. Le Jeune Maître n'en doutait pas, un bref rictus sur le beau visage fin de Sa soumise le Lui avait révélé. Il s'approcha en souriant et lui caressa la joue dans une douceur hors norme de tendresse...
- Allons, un peu de retenue, nous devons sortir...
Le jeune Maître vit avec délectation les joues de Chloé rosir de gêne...
- Là où nous allons, il convient que tu te montres sous ton meilleur jour. Certes tu me désires, mais tu vas devoir attendre et réfréner tes ardeurs, car la nuit sera longue... Allons ! Habilles toi et finis de te préparer, il est temps maintenant ! Je t'accorde dix minutes, pas une de plus. Sinon...
Il n'en fallut que sept à Chloé pour se tenir prête et suivre Monsieur le Marquis d'Evans vers cette soirée dont elle ignorait tout mais qui déjà excitait ses sens... Le taxi mena Le Châtelain et Chloé jusqu'au meilleur restaurant gastronomique de la ville. Une table était réservée et à l'attitude déférente et empressée du personnel, la jeune trentenaire comprit que le jeune homme qu'elle accompagnait était un habitué des lieux et qu’Il était considéré comme un client de la plus haute importance. Ayant eu l'occasion en de rares occasions de s'y rendre elle-même dans le cadre de ses activités professionnelles, elle pouvait juger de la qualité du moment qui lui était ainsi offert. Et le repas fut naturellement somptueux, le service parfait et discret, le menu choisi par le jeune Noble (qui avait clairement fait comprendre à Son invitée que Lui seul prenait les décisions) absolument exquis, accompagné d'un grand cru... La soirée était déjà parfaite et la conversation avait été menée tambour battant, portant autant sur les produits savourés que sur divers événements culturels du moment et les questions précises et incisives du jeune Edouard d'Evans sur les activités professionnelles et extra-professionnelles de Sa voisine et désormais docile et dévouée soumise.
Même si en peu de temps elle avait appris à mieux comprendre ce que pouvait être une relation de D/s, Chloé était cependant encore quelque peu effarouchée devant la froide précision des répliques du Noble... Le Châtelain n'épargnait en rien la pudeur de Son interlocutrice. Il voulait tout savoir de sa vie privée, de ses pratiques, de son passé le plus intime qu’il soit, tout savoir sur sa sexualité. Plus rien ne devait être confidentiel. Il exigeait d'elle une transparence totale, une mise à nue sans concessions, et malgré des moments d'hésitation, la belle trentenaire se pliait à cette Volonté de fer. Elle ne Lui cachait rien, lui avouait tout, Lui dévoilait ses plus honteux secrets, ses désirs les plus inavouables... Chloé avait la sensation de devoir désormais tout dévoiler et elle se sentait soudain plus légère, comme libérée du poids de ses propres non-dits. Elle n'avait plus qu'un désir, maintenant, rentrer à l'appartement avec l'espoir que le Maître qu'elle vénérait désormais, consentirait à l'accompagner et à la plier une fois encore à toutes Ses Directives... Qu'Il daignerait la prendre encore une fois, deux fois... dix fois ! Qu'Il la possède, totalement, de toutes les façons, dans toutes les positions qu'il Lui plairait. Chloé Lui laissant libre accès à tous ses orifices… Elle allait prendre sa voix la plus humble afin de le supplier de lui accorder cela lorsque Le Noble lui caressant la croupe à travers la fine étoffe de la robe :
- C'était fort agréable et j'ai apprécié ta sincérité. Et puisque tu as mérité une récompense, je vais maintenant t'initier au lieu le plus privé et même secret de cette ville. Un lieu où tu n'aurais jamais eu accès sans Moi. Un lieu où tu seras reconnue pour ce que tu es, sans jugement, ni provocations... où tu pourras simplement être celle que tu es et vivre ton état de servilité naturelle.
Et Le jeune Châtelain entraîna la jeune femme vers les rues piétonnes du centre de la cité, dans les quartiers les plus huppés de la ville. Jusqu'à un impressionnant immeuble haussmannien de fort belle facture. Tapant un code d'accès sous le porche d’une grande porte majestueuse, Monsieur le Marquis entraîna Chloé à Sa suite d'abord par une cour intérieure pavée qu'elle traversa avec quelque difficulté sur ses talons de luxe, vers une autre porte, plus petite et discrète et via un nouveau code. Cette porte ouvrait sur un escalier étroit, descendant profondément. Et à chaque marche franchie vers le bas, une musique légère envahissait les lieux. Enfin, ils arrivèrent dans un espace assez vaste, une pièce ronde, avec seulement le comptoir d'un vestiaire derrière lequel se tenait une belle jeune femme, entièrement nue, portant seulement au cou un épais collier de métal où l’on pouvait très distinctement y lire ce qui était gravé dessus en lettres d’or, les trois Initiales ‘‘M D E.’’. A la vue de Monsieur Le Marquis, elle sortit prestement de derrière son comptoir pour venir au plus vite s’agenouiller de suite et avec déférence devant Lui et demanda s'Il voulait un vestiaire.
- Pour elle seulement, répondit le jeune Marquis.
Et d'un geste, il fit pivoter Chloé et fit glisser lentement la fermeture éclair qui courait tout au long de la robe, jusqu'à la faire choir au sol. Chloé n'était plus vêtue que du porte-jarretelle et de ses bas, perchée toujours sur ses escarpins de luxe. La trentenaire sursauta, mais n'osa rien dire, ne pouvant cependant réfréner un geste des bras afin de tenter de cacher un peu sa nudité. Amusé, Le Noble la força doucement à garder les bras le long du corps, ne cachant ainsi rien de sa nudité. Il claqua alors des doigts et la jeune femme esclave du vestiaire ramassa prestement la robe légère devenue simple amas de tissus, puis la fixa sur un cintre, donnant au Maître un jeton de nacre numéroté en échange.
Edouard d'Evans prit Chloé par la taille et l'entraîna vers une porte dissimulée derrière un épais rideau cramoisi. A leur approche, le rideau fut écarté par un homme imposant en smoking, qui s'inclina respectueusement, tout en ouvrant une nouvelle porte. Prenant le bras de Chloé, le Noble entraîna la jeune femme dans une vaste salle à l'ambiance feutrée mais néanmoins sans équivoque. Au fond, une scène où une chanteuse interprétait un air connu. Elle était aussi entièrement nue, ne portant qu'un épais collier de métal aux même Initiales que celle l’esclave du vestiaire mais d'où de fines chaînes agrémentaient sa nudité, reliées par des pinces à ses tétons jusqu’à son intimité aux lèvres intimes pincées... Un large bar en bois précieux avec un comptoir en bronze occupait un autre côté de la vaste salle et au centre, des tables avec de confortables fauteuils étaient disposées. Femmes et hommes élégants y étaient installés, avec à leur côté, parfois assis sur une chaise, parfois se tenant debout, des esclaves, mâles et femelles, nu(e)s et immobiles portant chacun (e) le même collier de métal aux Initiales ‘‘M D E.’’...
Un majordome vint saluer Monsieur le Marquis Edouard d'Evans et Lui indiqua que Sa table était prête. Ladite table portait en effet une plaque frappée aux armoiries des Evans et une bouteille de champagne attendait dans un seau à glace, avec trois coupes... Le Châtelain s'installa à Son Fauteuil, indiquant à celle qui l'accompagnait une chaise de bois doré. Chloé s'y installa et Le Noble d'une main douce mais ferme, lui fit prendre une position précise, assise bien droite, les cuisses largement ouvertes, les bras ballants de chaque côté du corps. L'intimité de la jeune femme était ainsi parfaitement accessible et sa poitrine merveilleusement mise en valeur. Elle n'osait rien dire, quelque peu intimidée par cette ambiance étrange, à la fois calme et emplie d'une tension érotique exacerbée. Le jeune Marquis non plus ne disait rien, tandis que le majordome emplissait les trois coupes. Avec stupéfaction, Chloé venait de comprendre, en l’observant attentivement, que la chanteuse sur la scène était la véritable interprète des succès qu'elle distillait d'une voix douce. Une véritable vedette, fort connue et habituée des émissions de télévision et qui en réalité était une esclave MDE ! Le jeune Noble remarqua le trouble de Sa belle soumis :
- Oui, c'est bien elle, tu l’as bien reconnu. Elle est en effet une de Mes esclaves, du Maître des Lieux, donc de Moi-même. Lieux que l'on appelle "Le Cercle des Supérieurs", connu des seuls Initiés les plus éminents. Sache bien que rien, aucune information, aucune indiscrétion ne sort de ce lieu. Celui ou celle qui se permettrait de transgresser cette règle, quel que soit son statut, Maître ou esclave, verrait sa vie se transformer en enfer. Donc tu vas voir et savoir bien des choses, mais cela restera scellé entre tes lèvres et jamais tu n'en parleras. Est-ce bien clair ?
- Oui Maître, ne put que répondre Chloé, encore interloquée par ce monde qu'elle ne faisait que découvrir et qui déjà la fascinait…
Mais voici qu'un homme élégant, aux cheveux argentés, en smoking parfaitement coupé rejoignait leur table. Le Marquis l'accueillit chaleureusement et lui indiqua Chloé qui par réflexe resserrait un peu les cuisses. Le Noble lui donna une petite tape sur la cuisse, et cela suffit à lui faire comprendre qu'elle se devait de reprendre sa position de totale disponibilité en exhibant son sexe sans aucune pudeur tolérée. Ce qu'elle fit déjà presque naturellement mais instantanément…
(A suivre …)
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