La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1491) - histoire érotique

esclave 976-038-936 au Château – (suite de l'épisode N°1484) -
‘‘ … Puis le Maître me dit de rentrer chez moi, qu’il me contactera pour le troisième test…’’
La porte de ma cellule s’ouvre et je vois un autre esclave arrivé en quadrupédie et mené par Monsieur Walter. Et tout comme moi, c’est un esclave mâle mais qui me parait assez jeune, la trentaine environ, à la forte stature musclée et affichant entre ses jambes, une forte érection impressionnante alors qu’il n’est pas encagé. Le Majordome s’adresse alors à ma petite personne :
- Le chien, en levrette, le cul face à nous et écarte bien tes fesses avec tes mains… Ce jeune chien s’appelle esclave Alexandre MDE. C’est un esclave mâle pas comme les autres. Car il a été méticuleusement sélectionné comme reproducteur, c’est-à-dire qu’il est utilisé pour ensemencer quelque esclaves femelles du Cercle des Supérieurs, Cercle qui a des ramifications dans le monde entier. Ainsi, il peut être appelé et sollicité à tout moment aux Etats-Unis, en Asie ou d’ailleurs… Et quand il passe une longue période sans sollicitation, Monsieur le Marquis le fait régulièrement copuler afin qu’il garde toutes ses capacités sexuelles de reproducteur... C’est pour cette raison qu’il n’est jamais encagé. C’est donc le seul et exclusif esclave mâle autorisé à copuler autant de fois qu’il le désire… Et ce soir, il a émis la demande de se vider les couilles…Comme ce chien est un esclave bisexuel quasiment toujours en rut, le Maître a souvent le plaisir de lui offrir aussi bien une femelle esclave en chaleur, qu’un esclave mâle … comme toi par exemple … Tu vas donc te faire prendre par cet étalon de reproduction… Tu n’as même pas besoin de le prendre en bouche pour le faire bander, ce chien bande déjà à l’idée de t’enculer…
Je fais silence et je ne bouge pas en ma position de levrette quand je sens que Monsieur Walter me met du lubrifiant sur ma raie anale tout en faisant pénétrer dans mon anus par un doigtage lent afin de me dilater le cul toujours bien écarté par mes deux mains… Ce traitement dure une bonne dizaine de minutes quand ensuite, je sens une autre présence derrière moi, devinant qu’on est en train de me chevaucher au moment où je ressens le gros gland, sous un préservatif, se frotter contre mon œillet anal. C’est donc belle et bien la verge de cet esclave Alexandre MDE… Sans plus de précaution, il me pénètre d’un coup puissant de reins et profondément, ce qui me laisse échapper un cri ainsi qu’un souffle court… Il ne bouge pas quelques instant, puis me laboure le cul sans ménagement jusqu’à la garde par de longs va-et-vient profonds et réguliers…Il me baise ainsi, moi lui servant juste de vide-couilles… Je reprends alors mon souffre et commence à savourer cette grosse queue en moi qui m’excite beaucoup… Au bout d’une dizaine de minutes, je sens sa verge vibrer au fond de mon cul au moment où il lâche sa semence dans son préservatif, alors qu’il émet des rauques de cerf en rut… Restant un moment sans bouger au fond de moi en coït anale, j’entends alors le Majordome, lui fouetter le cul pour le dégager de son étreinte… esclave Alexandre MDE sort alors rapidement, et sans un mot, les deux hommes sortent et la porte de la cellule se referme derrière eux…
Il me faut du temps pour reprendre mes esprits de cette sauvage saillie bestiale… Par ailleurs, au bout d’une demi-heure et suite aux exigences de Monsieur le Marquis d’Evans à ce que j’écrive mes aventures vécues, et toujours sur ma feuille de papier, je continue donc la narration de mon expérience avec le premier Maître qui m’avait soumis :
‘‘ Trois jours plus tard, je reçois un message du Maître :
- Même jour, même heure… Le collier, tu le portes le plus possible, cela te rappellera ton appartenance à Moi, le Maître. Tu porteras des sandales, sans chaussettes, quel que soit le temps, un esclave ne mérite pas de porter des chaussures fermées. Tu devras également être toujours nu, mais cela est impossible compte tenu de notre société qui ne comprend pas notre façon d’être, alors porte le moins possible d’épaisseurs de vêtements et donc plus aucun sous-vêtements…
Le jour prévu, je me présente donc au Maître comme il me l’a ordonné. Il me montre, avant de me faire mettre en tenu, ce que je devrai faire en arrivant : Fermer les stores, déplacer la table basse pour lui laisser de l’espace. Puis il m’emmène à la cuisine qui sera mon vestiaire. Quand je serai nu, je devrai ouvrir son placard d’instruments et en choisir trois de fustigation qui, si ceux-là lui conviennent, serviront à me punir si j’en ai besoin ou de toutes façons pour les coups réglementaires. Nu, ou presque, j’ai même retiré ma montre, portant juste le collier, je choisis 3 martinets différents, l’un à longues lanières, un autre qui en comportent peu mais elles sont plus épaisses et un tout petit… Pendant ce temps, le Maître vaque à ses occupations. Ayant terminé, je dis à haute voix comme il m’a ordonné de le faire :
- Votre esclave est prêt, Maître
Je me mets à genoux en position d’attente. Je patiente quelques minutes, je suis bien. Je suis à ma place, utilisé en cas de besoin. Le Maître me prend par le collier et me fait entrer dans sa chambre, me jette au sol sur sa descente de lit en me disant :
- C’est ta place, ici.

Puis il repart et revient nu. C’est un bel homme, très poilu. C’est le Maître à qui je souhaite appartenir, je n'ai pas à porter d'appréciations sur son physique. Il m’ordonne de venir sur le lit, en évitant de le toucher avec mon corps d’esclave, et de commencer à le lécher comme un bon chien pour appréhender son corps. Je m’applique sur son cou, puis ses aisselles. C’est un peu plus dur pour moi… mais j’accepte mon travail. Je descends sur son torse, sa colonne vertébrale, puis ses fesses…un petit arrêt…
- J’ai dit tout mon corps… exécution…
J’avale ma salive… J’hésite, il ne bouge pas. Le Maître a compris mon hésitation et attrape ma chevelure pour l’empoigner et forcer mon visage à se coller contre sa raie anale. Je commence alors par le haut de son sillon… puis lentement, je descends…
- Écarte mes fesses pour mieux travailler…en profondeur…- Je… je dois vraiment Maître- Oui, mais rassure toi, mon cul est propre…- Merci beaucoup Maître
Alors, je me plonge entre les fesses, ma langue arrive à son anus… en effet aucune mauvaise odeur… Je m’applique le mieux possible pour une première.

- Enfonce ta langue, lèche bien… Oui c’est bien…
Ma figure doit être toute rouge…Quelle humiliation : Lécher avidement l’anus d’un homme. Et en plus, enfoncer sa langue dans ce trou qui sert à déféquer… Mais mon test de déchéance doit semble-t-il passer par là…
- Tu as une bonne langue, tu lèches bien. Rassure-toi je ne pratique pas, et ne fait pas pratiquer, le scato sur mes esclaves. Quand ils doivent lécher les anus, ce sont toujours des anus propres, l’hygiène est une règle incontournable…- Merci beaucoup Maître.

Le Maître semble prendre beaucoup de plaisir à cet anulingus, aussi je poursuis le mieux possible… sans prévenir, mais il n’a pas à le faire, le Maître se retourne…
- Allez reprends sur l’autre face…
A nouveau, je pars de son cou et descends petit à petit, m’attardant sur ses tétons un peu pointés, il semble apprécier… puis je descends sur son nombril, nouvel arrêt… le Maître gémit…J’arrive à sa verge que je prends avec douceur… n’est-ce pas le membre viril du Maître… Je titille avec ma langue son méat, le Maître gémit…Je prends alors sa verge dans ma bouche et je la pompe lentement tout en massant ses deux testicules avec mes mains libres…
- Très bien, oui… t’es un bon lécheur…
Je ne peux pas remercier de vive voix, on ne parle pas la bouche pleine…, mais j’essaye de mettre plus d’application possible pour montrer ma reconnaissance.

- Stop (j’obtempère)… - Position "écoute "
Je descends vite du lit du Maître et me positionne le mieux possible…
- Bien… Sache que je me fais tester régulièrement, je suis négatif au VIH, et je ne prends aucun risque avec et pour mes partenaires, tant amis, qu’esclaves. Le préservatif est et sera toujours une protection indispensable pour chaque sodomie quand je déciderai de prendre, de posséder ton corps physiquement. Aussi, je ne t’offrirai pas mon sperme aujourd’hui. Tu devras te faire tester et t’engager à n’avoir d’autres partenaires que moi ou ceux à qui je t’offrirai. Suis-je clair ?

- Oui Maître.
- Dans la baignoire, à quatre pattes, chien
J’obtempère… assis dans la baignoire, j’attends… Le Maître repart et revient, mais cette fois habillé… Il est au-dessus de moi… je garde la tête baissée…
- Aujourd’hui, tu as le choix… bouche ouverte ou fermée …
Je sens sur mon corps couler un liquide chaud… Quelques dixièmes de secondes me suffisent pour me rendre compte que le Maître urine sur moi… Que fais-je ? De toute façon, si je suis accepté dans son harem d’esclaves, je devrai un jour ou l’autre accepter de boire son urine… J’ouvre ma bouche et la tourne vers le haut…
- C’est très bien, je n’en attendais pas moins de toi… ma pute… mon chien, ma salope, ma bouche à pisse. Tu peux soit boire soit recracher cette fois…
Alors… ma déchéance est bien amorcée… je suis un urinoir… et peut-être bientôt un vide-couilles… Alors je déglutis au fur et à mesure… Ce n’est vraiment pas bon, mais il faudra que je m’y habitue car je pense que ce n’est pas la première et dernière fois que je devrais servir d’urinoir.

- Tu peux te rincer, puis essuies-toi. Ensuite, tu viens dans le salon pour recevoir ton fouettage réglementaire…
Vite rincé et essuyé, je ne dois pas faire attendre le Maître, je rentre à nouveau dans le salon et me positionne…
- Debout, jambes écartées, le buste incliné, les mains derrière la tête… Et tu ne bouges pas… ma salope. Tu as choisi entre autres le petit martinet, je vais me servir de lui qui est fait pour les couilles… 10 coups…- Shap !
- Oh !
- Assume ton choix… je reprends à 0- Shlap…(Je serre les dents, mais cela fait mal) - Shlap…Shlap…
Les dix coups assénés…
- Relève-toi, tu t’habilles, tu ranges le matos et la pièce et tu m’attends dans l’entrée.

Cela chauffe bien… Whao ! Je vais me rhabiller, le tissu du pantalon qui effleure mes couilles me fait rappeler les coups, je range le matériel dans le placard de matos, remet la table basse en place, remonte les volets et vais me positionner à genoux dans l’entrée.

- Votre esclave a terminé vos ordres, Maître.

Je patiente…
- Tu n’es pas encore mon esclave, il faut que je t’accepte… Alors, je te donnerai ma réponse sur Mon acceptation ou non dans mon harem d’esclaves, sous peu… Pour l’instant tu n’es rien pour moi. Embrasse mes chaussures pour me remercier du temps que j’ai pris pour toi.

Après la vénération des pieds du Maître, je me relève…
- Bonne journée Maître
C’est sans un mot du Maître, c’est normal, étant donné que je ne suis rien, que je sors de son appartement… ’’
(A suivre …)