La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1497)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1497) Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1497)
esclave 976-038-936 au Château – (suite de l'épisode précédent N°1496) -
- … Mais ?... mais ? … Que vois-je ? …
Madame Marie, se retourne et attrape la première des deux soumises, la plus proche d’elle et d’un air méchant et réprobateur, elle la prend par l’oreille, qu’elle lui tire fort pour l’approcher de mon bras qu’elle soulève… La soumise grimace, sous la douleur du lobe de son oreille tirée, mais aucun bruit ne sort de sa bouche. D’un geste brusque la cuisinière plaque le visage de la soumise contre mon aisselle :
- Y’a un poil, là, juste un seul, à la pliure… Difficile de le voir, il se confond avec la peau… Mais c’est tout de même un poil de trop, les salopes …
La cuisinière sortit alors de sa poche-poitrine une pince à épiler et sans douceur, elle arracha d’un coup net et rapide le poil rebelle, ce qui me fit sortit malgré moi un subit « aïe ! » de douleur sur l’instant. Je n’eus pas plus le temps de réagir plus, que je reçus une violente paire de gifles qui fusa avec une rapidité déconcertante.

- Tu apprendras à fermer ta gueule de chien quand on s’occupe de toi, sale cabot… Mais tu seras puni pour ce cri interdit, le jour où tu seras de service aux cuisines, tu ne perds rien pour attendre, je n’oublie jamais rien… Quant à vous, mes deux salopes, en levrette prosternée à mes pieds, tout de suite, les chiennes… dit-elle d’un ton extrêmement sadique tout en faisant siffler sa cravache dans les airs
Les deux femelles obéissent sans attendre et en une fraction de secondes, elles se retrouvent aux pieds de Madame Marie, le cul nu bien relevé, exhibant ainsi toute leur intimité :
- Vous connaissez le tarif, sales putes ! 10 coups de cravache chacune par poil non enlevé. Et comme, vous ne l’avez pas vu, ce sera 20 coups… Plus 10 autres parce que vous m’avez énervée…. Et si j’entends un seul son sortir de vos gueules de chienne, je recommence en doublant la sanction… (puis s’adressant à moi). Et toi, le chien, au lieu de rien faire, tu compteras chaque coup à haute et intelligible voix.

Ainsi j’ai la démonstration de l’extrême sévérité de la cuisinière. Je trouve que c’est cher payé juste pour un petit poil oublié, mais comme déjà dit, elle ne laisse absolument rien passer… Les coups de cravaches tombent un par un, alternant d’un cul à l’autre, d’une fesse à l’autre aussi. Et je compte, en alternance selon le cul frappé, de 1 à 30 pour chaque coup donné. Je comprends aussi qu’elles sont rompues à ce genre d’exercice car elles ne laissent aucun bruit sortir de leur bouche. Une fois fini, Marie me détache et m’attrape à mon tour par l’oreille pour l’approcher des fesses des deux femelles toujours dans la même position et toujours aussi immobile, le cul bien rougi. Me tirant ainsi l’oreille, elle me fait très mal mais je comprends qu’il vaut mieux ne pas crier et faire silence :
- Regarde, le chien. Regarde bien leur chatte de salope, tu es autorisé à passer tes doigts sur leur sexe et constate comme elles mouillent de mon traitement… De véritables salopes masos…
Je passe donc mes doigts sur le sexe de chacune d’elles et effectivement, la cyprine humidifie ceux-ci. Puis elle me lâche l’oreille, pour finir par dire :
- Aller, debout les putes, maintenant que ce chien est bien sec, huilez-lui son cuir qu’il fasse bonne impression à Monsieur le Marquis et à ses amis pour sa présentation et plus… Et que ça saute, ne perdez pas de temps …- Oui Madame Marie…
Madame Marie part sans dire un mot de plus …. De nouveau, les mains s’affairent sur mon corps qui commence à briller et une douce odeur de pin se répand dans la pièce. Rien n’échappe cette fois à ses véritables beautés de la nature que je peux contempler de près, des seins bien formées avec des tétons qui pointent bien, des torses légèrement musclés, mais sans trop et sans aucune trace de graisse, ni de poil, des visages de déesses grecques, des chevelures longues et ondulées, des silhouettes parfaites à la plastique proportionnée, des croupes et des hanches magnifiques... Même si par goût, maintenant ai-je droit à en avoir, je préfère la plastique masculine, je ne reste pas indifférent à ces femelles de Monsieur le Marquis. De nouveau, une des deux soumises appuie sur la télécommande, les préparatrices se mettent en position « Attente » quelques minutes après, c’est le Majordome cette fois qui rentre dans la pièce…
- Alors vous avez bien travaillé les chiennes salopes de Monsieur le Marquis. Voyons cela…
Je passe alors à l’inspection… du bout de mes doigts, aux orteils en passant bien entendu par ma nouille, mes couilles et mon anus…
- Bien cela peut toujours être mieux, mais ces animaux domestiques n’arrivent jamais à satisfaire pleinement leurs travaux… Toi, la salope de Monsieur le Marquis, injecte-lui une bonne dose de lubrifiant dans son cul. Monsieur le Marquis trouve qu’il n’est pas encore assez ouvert pour qu’il soit enculé à sec et ne voudrait pas l’abîmer… et bouchonne-le après avec ce plug queue de chien puis descends-le. Quant à toi esclave Clytoris MDE comme j’ai quelques minutes devant moi, mets-toi en position « Offrande » j’ai envie de te baiser. Mais je ne veux pas t’entendre, garde tes gémissements pour ce soir… Monsieur le Préfet qui est Invité saura te faire couiner avec sa Verge que tu connais et qui est de bonne taille. Et bien évidemment interdiction de jouir afin que tu restes une salope bien chaude…
Il faut que je m’habitue à ces réflexions qui pourraient-être crues et déplacées dans le monde « vanille » et qui dans le monde de Domination/soumission dans lequel nous prenons tant de plaisir à vivre, les Dominateurs et Seigneurs autant que nous les soumis, chiens ou esclaves, utilisons ces mots sans aucune retenue de pudeur (pudeur qui encore une fois est à bannir de notre vocabulaire puisque il n’a plus lieu d’exister). Pendant que le Majordome besognait esclave Clytoris MDE sans aucune retenue, à grands coups de reins, tout en constatant son cul meurtri par la cravache de Marie, la salope de Monsieur le Marquis m’a enfoncé dans le cul une canule pour injecter une bonne quantité de gel lubrifiant… Il faudra, si j’y suis autorisé, remercier le Maître de cette attention à mon égard. Puis nous nous mettons tous les deux en position d’« attente » pendant que Monsieur le Majordome finit de jouir dans le cul de l'esclave Clytoris MDE enculée en position de levrette et qui en bonne soumise de Monsieur le Marquis n’a émis aucun son malgré les assauts vigoureux. Son visage est impassible… Le Maître m’aidera dans mon dressage à parvenir à cette perfection dans la soumission.

- Han ! Han !

Le Majordome s’est retiré de l’anus de la femelle et déverse son sperme sur le crâne de la soumise…
- C’est très bon pour les cheveux…- Merci Monsieur Walter- C’est pas tout ça, j’ai encore du travail pour terminer les préparatifs de la soirée qui réserve de magnifiques plaisirs aux Invités de Monsieur le Marquis et vous en ferez les frais. Mettez ce chien dans sa cage.

En quadrupédie, je suis mené par esclave Clytoris MDE vers une cage qui se trouve entourée de deux autres, l’une assez grande avec à l’intérieur deux magnifiques esclaves mâles noirs encagés de la nouille et qui sont calmement couchés … L’autre cage plus petite comme la mienne est occupée par l’ancien maître à qui j’appartenais et qui est maintenant appelé « pute » (voir les premiers épisodes), sauf si le Maître lui a changé de nom. Je m’installe dans la cage pour être le mieux disposé possible. Et je peux observer que « pute » a été préparé comme moi, son corps brille également, il semble assez fatigué. Il me fait un sourire tout de même en mettant un doigt sur la bouche pour me signifier que nous ne devions pas parler... Combien de temps allons-nous rester dans ces cages ?... Le temps n’existe plus. … Au bout d’un moment un des esclaves noirs de la grande cage ose parler alors que logiquement cela lui est interdit, pour nous dire discrètement :
- Le Maître nous garde tous avant ses soirées l’estomac et la vessie vide après le lavement, pour éviter de salir les Verges qui nous prendront tant par la bouche que par le cul …
Pendant ce temps, le Noble converse avec son Majordome :
- Mon bon Walter. J’ai vu tout le travail accompli pour la décoration de la grande Salle du Château, je pense que nous allons bien nous divertir mes amis et moi. Viens également avec Marie, vous l’avez bien mérité avec tout le travail des esclaves que vous avez supervisé tant en cuisine, que dans le jardin, les chambres, la salle à manger et la grande salle de réception aménagée en donjon pour cette soirée.
- Merci beaucoup Monsieur le Marquis, nous ne manquerons pas cette invitation. A quel moment dois-je apporter les chiennes et chiens.
- Je pense que ce serait bien au moment où nous prendrons l’apéritif, certaines de mes créatures pourraient nous mettre en appétit et j’en profiterai pour présenter les nouveaux arrivants au Château.
- Très bien Monsieur le Marquis.

Le silence total est revenu… Pute est beaucoup plus calme que moi, il semble avoir déjà bien acquis son état de soumis, d’animal de plaisir, au point qu’il passe un bras à travers les barreaux de nos cages pour me caresser les cheveux avec un grand sourire d’encouragement… Cela me fait du bien d’avoir cette délicatesse de celui qui fut le maître de ma première servitude. Un bruit de porte… je prends quelques respirations profondes… le moment attendu est tout proche… On vient nous chercher… Combien de personnes seront présentes ? Des personnes que je connais ? Des personnages importants de la société ? Saurai-je me tenir convenablement ? Saurai-je savourer la Verge du Maître sans broncher? Le Maître va-t-il me rejeter ? Monsieur Walter entre à ce moment de mes réflexions. Je me calme. De toute façon, mon avenir n’est plus entre mes mains mais dans celles du Maître à qui je souhaite appartenir…
(A suivre …)

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