La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1500)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-06-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1500)
Camélia au Château - Devenue chienne Maera - (suite de l'épisode N°1494) -
Camélia Château devenue chienne Maera MDE (récit écrit à 4 mains par MDE et chienne Maera MDE) -
… il se rapprocha doucement mais sûrement des deux soumises ... Le Châtelain s'arrêta un instant, réfléchit, puis décida finalement de se placer en diagonale derrière la soumise Mei-Ling car c’était la moins timide et lui avait parlé d'un ton assuré, à la limite hautain. C'est donc elle qu'il sanctionnera en premier. Il le voulait ainsi et était sûr de son effet sur cette soumise ainsi que sur sa sœur. Il n'avait pas indiqué volontairement le nombre de coups qui allaient être administré aux soumises.
Le Noble laissa passer un peu de temps puis donna le premier coup de martinet et son bruit de sifflement venait rompre UN silence pesant installé dans la pièce. Immédiatement la première trace rouge apparut sur le fessier de la belle asiatique, cul déjà marqué par la cravache. Le Maître maniait à la perfection le martinet et les coups étaient parfaitement maîtrisés. Je pouvais constater, malgré mon immobilité, les mouvements du corps offert de la soumise entre les différents coups de martinet. Elle faisait des efforts pour ne pas bouger et rester silencieuse espérant satisfaire Maître Ho Shen. Après une trentaine de coups de martinet, Monsieur le Marquis d'Evans stoppa et se dirigea vers sa sœur de soumission qui eut droit au même nombre de coups sur sa croupe de salope, elle aussi tout en restant immobile et silencieuse également :
- soumise Mei-Ling et soumise Shan-Yu, j'ai cru comprendre que vous aviez été éduquées à être prêtes à bien vous comporter, mais peut-être me suis-je trompé ? Toute soumise dans Mon Château, sous Mon joug ou non, doit savoir qu'il faut remercier un Dominant et montrer sa reconnaissance envers celui-ci, pour vous avoir sanctionné et fait progresser dans votre éducation de chienne soumise... Ainsi, pour Me remercier, vous allez venir toutes les deux à Mes pieds, Me lécher pour chacune, un de ceux-ci. Et si je trouve que vous n'y mettez pas assez de conviction, Mon Martinet se chargera de réveiller votre motivation endormie. Vous viendrez à Mes pieds à quatre pattes dès Mon claquement de doigts. Il est inutile de préciser que tout temps d'attente ou bien hésitation sera sans aucune contestation possible, sanctionnés, dit le Maître des Lieux.
Après quelques minutes de silence complet savamment dosé pour laisser l’attente propice à l’atmosphère, le Noble claqua des doigts puis attendit immobile dans Sa splendeur et de Sa prestance l'exécution de Son Exigence. Les soumises avancèrent alors à quatre pattes et s'arrêtèrent aux pieds du Seigneur puis se mirent à Lui lécher doucement les chaussures vernies. Puis après avoir reçu quelques coups de martinet bien sentis, elles se mirent à les lécher avec beaucoup plus d'entrain. Le Maître regarda son hôte Ho Shen avec un clin d'œil complice et le sourire de celui-ci en retour semblait exprimer très agréablement la surprise de voir ses soumises obéissantes aux pieds d'un autre Maître… Le Châtelain se pencha et constata, avec un vrai plaisir qu’elles mouillaient quand il passa juste quelques instants, Ses doigts sur leur chatte fort humide... Puis Il décida au bout d'un moment de claquer des doigts pour qu'elles s'arrêtent puis il se dirigea vers son bureau. Il tira du tiroir des boules quies et deux bandeaux noirs puis se rapprochant des soumises et leur installa un bandeau sur les yeux à chacune ainsi que des boules quies dans leurs oreilles afin de les priver des sens de la vue et de l’ouïe. Il se dirigea ensuite vers son hôte chinois puis lui dit d'un ton amical :
- Voilà, ainsi elles ne nous voient pas et ne nous entendent pas. Nous pouvons ainsi échanger car elles n’ont pas à savoir nos propos… Comme vous avez pu le constater, je les ai testé là devant vous, en les punissant et en les faisant Me remercier à travers ce léchage de Mes chaussures. Celui-ci n'avait pour but que de faire tomber un peu plus leur orgueil encore trop ancré en elles, malgré leur évident besoin à la soumission, d’ailleurs elles en mouillent d’excitation de Me lécher les chaussures... J'ai l'impression qu'elles se comportent comme des soumises novices et n'ont pas encore acquis tous les codes universels de notre monde de la Domination/soumission… Comme vous m’avez informé que vous passez encore une bonne semaine en France, confiez-les Moi ici au Château durant votre séjour. Car je pense que cette période suffira pour un recadrage sous la direction de mon Majordome qui pourrait les rendre bien plus obéissantes, bien plus tolérantes à l’acceptation de la douleur et leur faire bannir tout orgueil déplacé… Ceci vous enlèvera, bien entendu à l’avenir, toute inquiétude à vous demander si elles seront obéissantes à tout autre Dominant. Et je pense que cela leur fera le plus grand bien de ne pas vous voir pendant quelques jours…
Monsieur le Marquis s’arrêta, repris son souffle tout en observant les deux soumises immobiles… Puis il reprit :
- … Et aussi d'être soumises à un Dominant faisant passer son autorité et la progression des soumises avant son amour ou bien ses sentiments… Vous seriez bien sûr informé chaque jour de l'état de progression de vos soumises mais elles n’auront aucunes nouvelles de vous. Elles dormiront pendant cette période au Chenil au Château, lieu beaucoup plus approprié à leur condition qu'une chambre, pour leur faire perdre leur orgueil... Je pense que tout cela peut les faire grandement progresser afin qu'elles ne soient soumises pas qu’à votre unique autorité durant cette semaine… Qu'en pensez-vous très cher Monsieur Ho Shen de ma proposition de vous aider. Et bien entendu tout cela je vous le propose gratuitement, je n’ai jamais fait de Mon Art de la D/s un commerce et je n’en ferai jamais… Proposition que vous pouvez bien évidemment refuser ?, dit Monsieur le Marquis d'Evans d'un ton amical empli de bienveillance.
- Cher Monsieur le Marquis, je n'aurais jamais assez de mots pour Vous remercier, ni Vous exprimer ma sincère reconnaissance pour cette magnifique opportunité que Vous daigniez bien m'offrir là. J'ai déjà pu remarquer un vrai progrès causé par la menace que je les répudie car si je tiens à elles, elles tiennent à l’évidence à moi… Mais elles ont encore quelques difficultés à obéir sans orgueil. Je pense effectivement qu'avec quelques jours passés sous Votre Autorité naturelle, tout cet orgueil mal placé et encore existant les aura quitté. J'accepte donc Votre belle proposition avec gratitude et je vous fais entièrement confiance pour remettre mes soumises dans le droit chemin. J’ai même hâte de voir leurs beaux progrès dans une semaine, dit Ho Shen
Le Maître Vénéré appela Walter avec l’interphone, attendit quelques minutes et on frappa à la porte. J'entendis un : "Entrez" puis le Majordome entra et attendit les ordres de Monsieur le Marquis. Le Maître regarda d'un sourire complice Walter :
- Walter, enlève leurs bandeaux et leur boule quiés, puis emmène-les au Donjon. Je les rejoindrais tout à l’heure. Attaches-les chacune à une croix de St-André et mets-leur des baillons-boules avant de les laisser seules à patienter Mon bon Vouloir... Je sais d’ailleurs par quoi, je vais commencer leur dressage dans nos murs...
Une heure après, c’est donc seul, sans son hôte chinois, mais avec moi qui le suivait en quadrupédie et tenue en laisse que le Châtelain rejoignit les deux soumises asiatiques dans le Donjon. Elles étaient placées comme il l’avait exigé, attachées bras et jambes écartés sur les croix Saint-André et flanquées pour chacune d’un bâillon-boule.
- soumises Mei-Ling et Shan-Yu, sachez que Maître Ho Shen m’a exprimé son amertume face à vos attitudes et votre orgueil non autorisés chez des soumises dignes de ce nom. Il vous a donc confié à Moi durant une semaine complète où vous ne le verrez pas durant cette période. Vous serez donc sous Ma responsabilité afin de vivre Mon Education et Dressage à vous comporter comme Maître Ho Shen le veut. Alors je vais être très clair avec Vous : Je veux une obéissance totale, une véritable motivation et donc un investissement complet via votre soumission, de votre part. Ce seront les seules conditions indispensables pour que je puisse faire de vous de vraies soumises… Sinon comme je vous l’ai déjà dit, Maître Ho Shen se verra contraint de se débarrasser de vous, car il n’aura pas ce qu’il attend de vous, c’est-à-dire des vraies soumises obéissantes à toutes ses exigences… Pour être encore très clair entre nous : Ici au Château rien ne se passe sous la contrainte forcée, mais toujours dans ce que j’appelle dans ‘‘la contrainte consentie’’. C’est-à-dire obéir par besoin de soumission, par besoin de satisfaire, en bannissant tout orgueil, juste en laissant exprimer votre propre Nature servile… Acceptez-vous de passer une semaine ainsi dans les conditions énumérées ? Car il est inutile de commencer votre Education en ces murs sans votre consentement totale. Si vous refusez, je vous libère, vous pourrez partir mais vous perdrez inévitablement Maître Ho Shen qui sera extrêmement déçu de votre choix… Hochez la tête positivement ou négativement selon votre choix, vous avez une minute pour réfléchir et répondre…
Les deux soumises firent de grands yeux de panique rien qu’à l’idée de perdre Maître Ho Shen (voir épisode précédent) et il ne fallut pas une minute pour que le Noble constate leur consentement total par des hochements positifs de la tête et sans équivoque.
- Parfait, nous allons donc pouvoir commencer. Vous allez ouvrir grands vos yeux. Pour l’instant, vous allez rester juste spectatrices ainsi attachées sur ces croix Saint-André car Je vais vous faire une démonstration via une séance D/s, de ce que j’attends de vous, en vous montrant l’obéissance totale de Ma chienne Maera MDE qui comme vous le voyez me suit comme un animal bien docile à quatre pattes tenue en laisse. (puis s’adressant à moi, tout en sortant d’un tiroir un volumineux plug dont l’extrémité finissait en queue de chien) : - chienne Maera MDE en levrette prosternée, tout de suite, me dit-il en claquant des doigts …
(A suivre …)
Camélia Château devenue chienne Maera MDE (récit écrit à 4 mains par MDE et chienne Maera MDE) -
… il se rapprocha doucement mais sûrement des deux soumises ... Le Châtelain s'arrêta un instant, réfléchit, puis décida finalement de se placer en diagonale derrière la soumise Mei-Ling car c’était la moins timide et lui avait parlé d'un ton assuré, à la limite hautain. C'est donc elle qu'il sanctionnera en premier. Il le voulait ainsi et était sûr de son effet sur cette soumise ainsi que sur sa sœur. Il n'avait pas indiqué volontairement le nombre de coups qui allaient être administré aux soumises.
Le Noble laissa passer un peu de temps puis donna le premier coup de martinet et son bruit de sifflement venait rompre UN silence pesant installé dans la pièce. Immédiatement la première trace rouge apparut sur le fessier de la belle asiatique, cul déjà marqué par la cravache. Le Maître maniait à la perfection le martinet et les coups étaient parfaitement maîtrisés. Je pouvais constater, malgré mon immobilité, les mouvements du corps offert de la soumise entre les différents coups de martinet. Elle faisait des efforts pour ne pas bouger et rester silencieuse espérant satisfaire Maître Ho Shen. Après une trentaine de coups de martinet, Monsieur le Marquis d'Evans stoppa et se dirigea vers sa sœur de soumission qui eut droit au même nombre de coups sur sa croupe de salope, elle aussi tout en restant immobile et silencieuse également :
- soumise Mei-Ling et soumise Shan-Yu, j'ai cru comprendre que vous aviez été éduquées à être prêtes à bien vous comporter, mais peut-être me suis-je trompé ? Toute soumise dans Mon Château, sous Mon joug ou non, doit savoir qu'il faut remercier un Dominant et montrer sa reconnaissance envers celui-ci, pour vous avoir sanctionné et fait progresser dans votre éducation de chienne soumise... Ainsi, pour Me remercier, vous allez venir toutes les deux à Mes pieds, Me lécher pour chacune, un de ceux-ci. Et si je trouve que vous n'y mettez pas assez de conviction, Mon Martinet se chargera de réveiller votre motivation endormie. Vous viendrez à Mes pieds à quatre pattes dès Mon claquement de doigts. Il est inutile de préciser que tout temps d'attente ou bien hésitation sera sans aucune contestation possible, sanctionnés, dit le Maître des Lieux.
Après quelques minutes de silence complet savamment dosé pour laisser l’attente propice à l’atmosphère, le Noble claqua des doigts puis attendit immobile dans Sa splendeur et de Sa prestance l'exécution de Son Exigence. Les soumises avancèrent alors à quatre pattes et s'arrêtèrent aux pieds du Seigneur puis se mirent à Lui lécher doucement les chaussures vernies. Puis après avoir reçu quelques coups de martinet bien sentis, elles se mirent à les lécher avec beaucoup plus d'entrain. Le Maître regarda son hôte Ho Shen avec un clin d'œil complice et le sourire de celui-ci en retour semblait exprimer très agréablement la surprise de voir ses soumises obéissantes aux pieds d'un autre Maître… Le Châtelain se pencha et constata, avec un vrai plaisir qu’elles mouillaient quand il passa juste quelques instants, Ses doigts sur leur chatte fort humide... Puis Il décida au bout d'un moment de claquer des doigts pour qu'elles s'arrêtent puis il se dirigea vers son bureau. Il tira du tiroir des boules quies et deux bandeaux noirs puis se rapprochant des soumises et leur installa un bandeau sur les yeux à chacune ainsi que des boules quies dans leurs oreilles afin de les priver des sens de la vue et de l’ouïe. Il se dirigea ensuite vers son hôte chinois puis lui dit d'un ton amical :
- Voilà, ainsi elles ne nous voient pas et ne nous entendent pas. Nous pouvons ainsi échanger car elles n’ont pas à savoir nos propos… Comme vous avez pu le constater, je les ai testé là devant vous, en les punissant et en les faisant Me remercier à travers ce léchage de Mes chaussures. Celui-ci n'avait pour but que de faire tomber un peu plus leur orgueil encore trop ancré en elles, malgré leur évident besoin à la soumission, d’ailleurs elles en mouillent d’excitation de Me lécher les chaussures... J'ai l'impression qu'elles se comportent comme des soumises novices et n'ont pas encore acquis tous les codes universels de notre monde de la Domination/soumission… Comme vous m’avez informé que vous passez encore une bonne semaine en France, confiez-les Moi ici au Château durant votre séjour. Car je pense que cette période suffira pour un recadrage sous la direction de mon Majordome qui pourrait les rendre bien plus obéissantes, bien plus tolérantes à l’acceptation de la douleur et leur faire bannir tout orgueil déplacé… Ceci vous enlèvera, bien entendu à l’avenir, toute inquiétude à vous demander si elles seront obéissantes à tout autre Dominant. Et je pense que cela leur fera le plus grand bien de ne pas vous voir pendant quelques jours…
Monsieur le Marquis s’arrêta, repris son souffle tout en observant les deux soumises immobiles… Puis il reprit :
- … Et aussi d'être soumises à un Dominant faisant passer son autorité et la progression des soumises avant son amour ou bien ses sentiments… Vous seriez bien sûr informé chaque jour de l'état de progression de vos soumises mais elles n’auront aucunes nouvelles de vous. Elles dormiront pendant cette période au Chenil au Château, lieu beaucoup plus approprié à leur condition qu'une chambre, pour leur faire perdre leur orgueil... Je pense que tout cela peut les faire grandement progresser afin qu'elles ne soient soumises pas qu’à votre unique autorité durant cette semaine… Qu'en pensez-vous très cher Monsieur Ho Shen de ma proposition de vous aider. Et bien entendu tout cela je vous le propose gratuitement, je n’ai jamais fait de Mon Art de la D/s un commerce et je n’en ferai jamais… Proposition que vous pouvez bien évidemment refuser ?, dit Monsieur le Marquis d'Evans d'un ton amical empli de bienveillance.
- Cher Monsieur le Marquis, je n'aurais jamais assez de mots pour Vous remercier, ni Vous exprimer ma sincère reconnaissance pour cette magnifique opportunité que Vous daigniez bien m'offrir là. J'ai déjà pu remarquer un vrai progrès causé par la menace que je les répudie car si je tiens à elles, elles tiennent à l’évidence à moi… Mais elles ont encore quelques difficultés à obéir sans orgueil. Je pense effectivement qu'avec quelques jours passés sous Votre Autorité naturelle, tout cet orgueil mal placé et encore existant les aura quitté. J'accepte donc Votre belle proposition avec gratitude et je vous fais entièrement confiance pour remettre mes soumises dans le droit chemin. J’ai même hâte de voir leurs beaux progrès dans une semaine, dit Ho Shen
Le Maître Vénéré appela Walter avec l’interphone, attendit quelques minutes et on frappa à la porte. J'entendis un : "Entrez" puis le Majordome entra et attendit les ordres de Monsieur le Marquis. Le Maître regarda d'un sourire complice Walter :
- Walter, enlève leurs bandeaux et leur boule quiés, puis emmène-les au Donjon. Je les rejoindrais tout à l’heure. Attaches-les chacune à une croix de St-André et mets-leur des baillons-boules avant de les laisser seules à patienter Mon bon Vouloir... Je sais d’ailleurs par quoi, je vais commencer leur dressage dans nos murs...
Une heure après, c’est donc seul, sans son hôte chinois, mais avec moi qui le suivait en quadrupédie et tenue en laisse que le Châtelain rejoignit les deux soumises asiatiques dans le Donjon. Elles étaient placées comme il l’avait exigé, attachées bras et jambes écartés sur les croix Saint-André et flanquées pour chacune d’un bâillon-boule.
- soumises Mei-Ling et Shan-Yu, sachez que Maître Ho Shen m’a exprimé son amertume face à vos attitudes et votre orgueil non autorisés chez des soumises dignes de ce nom. Il vous a donc confié à Moi durant une semaine complète où vous ne le verrez pas durant cette période. Vous serez donc sous Ma responsabilité afin de vivre Mon Education et Dressage à vous comporter comme Maître Ho Shen le veut. Alors je vais être très clair avec Vous : Je veux une obéissance totale, une véritable motivation et donc un investissement complet via votre soumission, de votre part. Ce seront les seules conditions indispensables pour que je puisse faire de vous de vraies soumises… Sinon comme je vous l’ai déjà dit, Maître Ho Shen se verra contraint de se débarrasser de vous, car il n’aura pas ce qu’il attend de vous, c’est-à-dire des vraies soumises obéissantes à toutes ses exigences… Pour être encore très clair entre nous : Ici au Château rien ne se passe sous la contrainte forcée, mais toujours dans ce que j’appelle dans ‘‘la contrainte consentie’’. C’est-à-dire obéir par besoin de soumission, par besoin de satisfaire, en bannissant tout orgueil, juste en laissant exprimer votre propre Nature servile… Acceptez-vous de passer une semaine ainsi dans les conditions énumérées ? Car il est inutile de commencer votre Education en ces murs sans votre consentement totale. Si vous refusez, je vous libère, vous pourrez partir mais vous perdrez inévitablement Maître Ho Shen qui sera extrêmement déçu de votre choix… Hochez la tête positivement ou négativement selon votre choix, vous avez une minute pour réfléchir et répondre…
Les deux soumises firent de grands yeux de panique rien qu’à l’idée de perdre Maître Ho Shen (voir épisode précédent) et il ne fallut pas une minute pour que le Noble constate leur consentement total par des hochements positifs de la tête et sans équivoque.
- Parfait, nous allons donc pouvoir commencer. Vous allez ouvrir grands vos yeux. Pour l’instant, vous allez rester juste spectatrices ainsi attachées sur ces croix Saint-André car Je vais vous faire une démonstration via une séance D/s, de ce que j’attends de vous, en vous montrant l’obéissance totale de Ma chienne Maera MDE qui comme vous le voyez me suit comme un animal bien docile à quatre pattes tenue en laisse. (puis s’adressant à moi, tout en sortant d’un tiroir un volumineux plug dont l’extrémité finissait en queue de chien) : - chienne Maera MDE en levrette prosternée, tout de suite, me dit-il en claquant des doigts …
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