La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1501)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1501)
Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) – (suite de l'épisode N°1410) -
- Jouit Ma salope, je l’exige…
Les premiers pas de soumise Marie au Château :
Un peu plus tard, le Seigneur d’Evans fit venir Marie, la nouvelle venue et future soumise, dans Son cabinet de travail. Quand elle fut autorisée à entrer, elle se mit à genoux à bonne distance de la table du Maître et attendit qu’Il prenne la parole, ce qu’Il fit quelques minutes plus tard.
- Marie, si je t’ai fait venir aujourd’hui, c’est pour plusieurs raisons. Tout d’abord comment se passe ton séjour, ici, dans Mon Château ?
- Très bien Maître, je Vous en remercie. J’ai été très bien accueillie par les membres de Votre noble Famille et par Vos soumises qui m’ont expliqué beaucoup de choses, notamment sur mon comportement à adopter, sur les Règles et le fonctionnement de Votre Château. Sinon, j’ai juste encore un peu de difficulté à m’orienter, tant Votre Demeure est vaste...
Le Seigneur d’Evans sourit intérieurement heureux que Ses soumises aient toujours été aimables et bienveillantes envers les nouvelles, sans jamais se prétendre supérieures. Mais cela venait de Lui car Il avait su leur apprendre à se respecter les unes envers les autres via Son Education, à veiller les unes sur les autres et surtout cela venait aussi du fait qu’Il avait un don inexplicable du fonctionnement humain (ce que l’on appelle de nos jours la psychologie humaine) et de respect de chaque personne le méritant.
- Très bien… Donc tu es parfaitement au courant de comment je fonctionne et surtout de ce qui t’attends !
- Oui, Maître, il n’y a aucune équivoque, tout est parfaitement clair dans mon esprit et je n’inspire qu’à une seule chose, devenir Votre soumise et faire Votre fierté…- Parfait … Alors approche un peu... et attend Mon bon Vouloir...
Le Maître se leva et alla dans Son armoire et en sortit un collier métallique. Ensuite Il se plaça devant le jeune Marie et lui enleva le modeste collier, sans nom, sans décoration, qu’elle portait jusqu’ici.
- Je t’ai fait faire un nouveau collier par mon maréchal-ferrant, un collier digne d’une soumise SCE (Sigle de l’époque voulant dire Seigneur Charles d’Evans). Mais, avant que je ne te le pose, es-tu prête à M’obéir, à suivre Mon Education, à te donner corps et âme, corps, cœur et esprit à Ma Noble Personne, à tout faire pour Mon plaisir et Ma satisfaction et en bonne connaissance de cause ?
- Oh oui Maître, cela est mon souhait le plus cher et je sais à quoi je m’engage et à Qui je donne ma vie, mon corps et mon esprit.
Le Seigneur d’Evans lui attacha alors le collier avec toute la solennité requise :
- Ce collier et gravé ‘soumise Marie SCE’, portes-le toujours avec fierté et reconnaissance. A partir de cet instant officiellement tu M’appartiens à vie et tu Me dois une obéissance absolue quand que j’exige. En retour, je m’engage à ne jamais te mettre en danger, à te protéger et à te faire grandir dans ta soumission, à Mes pieds…
Marie baisa la main du Maître avec une reconnaissance infinie et ne pouvant retenir ses larmes tant elle était heureuse et pleine de gratitude de ce cadeau que lui faisait le Maître de bien vouloir l’accepter dans Son Cheptel. Le remerciant chaleureusement et sincèrement, des larmes coulaient doucement sur ses joues tellement émue qu’elle avait du mal à trouver ses mots pour exprimer son impressionnant bonheur. Le Seigneur d’Evans Lui-Même était vraiment ému car c’était pour Lui, et c’est toujours, un grand moment la pose du collier pour la première fois...
- Une dernière chose avant de commencer ton dressage. Ecoutes-Moi bien, c’est très important : Le Château n’est pas une prison, tu es libre de partir quand bon te semble et de reprendre ta liberté mais attention si un jour tu fais ce choix ce sera sans possibilité de retour à Mes pieds. Tu as bien compris ?
- Oui Maître mais pourquoi voudrais-je quitter l’endroit que je n’aurais jamais espéré trouver ?
- Parfait. Maintenant que tout est clair, voyons pour ton dressage ... En levrette …
Le Maître claqua alors des doigts deux fois. Marie se mit aussitôt en levrette croupe relevée, jambes bien écartées.
- Je vois que tu as bien retenu ce qu’elles t’ont appris, cela Me sied.
Le Seigneur d’Evans tourna tout autour d’elle, admirant son magnifique corps nu à la peau blanche de cette jeune et très belle femelle à la superbe plastique, à ses formes bien proportionnées, à ses beaux et gros seins bien fermes aux tétons rosés, à ses larges hanches, à son cul bien exposé et sa chatte qui brillait déjà d’humidité d’une évidente excitation. Le Maître lui caressa les cheveux, la nuque, les épaules, le dos et les fesses qu’Il claqua également. Ensuite, Il passa Sa main sur sa chatte et y trouva de la cyprine dégoulinante accentuée par la situation inédite pour elle, mais aussi par Ses caresses et surtout Ses claques. Le Seigneur d’Evans commença alors par la doigter doucement, délicatement tout en agaçant son clito très réceptif. Soudain Son touché se fit plus inquisiteur, plus rapide, plus profond. Marie gémissait de plaisir le Maitre y mit presque la main entière dans un fist délicieux pour Marie. Quand Il la retira, Sa main était trempée de cyprine Il la lui présenta pour qu’elle lèche et la nettoie de sa langue de chienne. La jeune Marie lui nettoya Sa main et Ses doigts bien consciencieusement tandis que le Maître lui questionna :-Bien, je constate que tu n’es plus pucelle. Qui ta défloré ?
- J’ai été dépucelée, il y a 2 ans par un paysan du hameau du Petit Vallon, dans sa grange en plein été, le soir de la fête du village. Le brave vieux Benoit. Il m’a attrapé alors que je nettoyais les tables après le banquet champêtre. Il m’a attiré dans le foin et m’a embrassé doucement dans le cou, sans me demander mon avis… Au début je me débattais un peu et puis j’ai cédé car il n’a pas fait violence, j’ai apprécié ses agréables coups de langues qui m’excitaient, je dois bien l’avouer avec ses caresses lentes sur mon chemisier au niveau de mes seins, j’étais toute chose… Alors je me suis donné à lui car il a su m’exciter sans me prendre tout de suite et quand il m’a pénétré, j’ai aimé, il a usé de douceur et il m’a fait jouir…- Donc tu as aimé !
- Oui Maître- Et depuis ?
- Depuis, je me suis souvent donné au père Benoit en secret et officiellement au Comte du Forez …- Bien. Maintenant tu es à Moi et tu te donneras uniquement à Moi ou à ceux à qui je te prêterai. Est-ce clair ?
- Oui Maître, bien entendu.
- Alors, maintenant continuons… Debout penchée en avant, en appui sur la cheminée. Exécution salope.
- Oui Maître, répondit Marie en se mettant dans la position exigée.
Le Maître prit Son martinet et lui dit.
- Tu comptes avec Moi et Me remercie après chaque coup, en cas d’erreur ou d’un seul cri, je recommence à zéro. Est- ce bien clair?
- Oui Maître tout à fait.
Le premier coup tomba, pas trop fort car le Seigneur d’Evans voulait avant tout tester sa résistance.
- Un, merci Maître- Deux, merci Maître ...
(A suivre)
- Jouit Ma salope, je l’exige…
Les premiers pas de soumise Marie au Château :
Un peu plus tard, le Seigneur d’Evans fit venir Marie, la nouvelle venue et future soumise, dans Son cabinet de travail. Quand elle fut autorisée à entrer, elle se mit à genoux à bonne distance de la table du Maître et attendit qu’Il prenne la parole, ce qu’Il fit quelques minutes plus tard.
- Marie, si je t’ai fait venir aujourd’hui, c’est pour plusieurs raisons. Tout d’abord comment se passe ton séjour, ici, dans Mon Château ?
- Très bien Maître, je Vous en remercie. J’ai été très bien accueillie par les membres de Votre noble Famille et par Vos soumises qui m’ont expliqué beaucoup de choses, notamment sur mon comportement à adopter, sur les Règles et le fonctionnement de Votre Château. Sinon, j’ai juste encore un peu de difficulté à m’orienter, tant Votre Demeure est vaste...
Le Seigneur d’Evans sourit intérieurement heureux que Ses soumises aient toujours été aimables et bienveillantes envers les nouvelles, sans jamais se prétendre supérieures. Mais cela venait de Lui car Il avait su leur apprendre à se respecter les unes envers les autres via Son Education, à veiller les unes sur les autres et surtout cela venait aussi du fait qu’Il avait un don inexplicable du fonctionnement humain (ce que l’on appelle de nos jours la psychologie humaine) et de respect de chaque personne le méritant.
- Très bien… Donc tu es parfaitement au courant de comment je fonctionne et surtout de ce qui t’attends !
- Oui, Maître, il n’y a aucune équivoque, tout est parfaitement clair dans mon esprit et je n’inspire qu’à une seule chose, devenir Votre soumise et faire Votre fierté…- Parfait … Alors approche un peu... et attend Mon bon Vouloir...
Le Maître se leva et alla dans Son armoire et en sortit un collier métallique. Ensuite Il se plaça devant le jeune Marie et lui enleva le modeste collier, sans nom, sans décoration, qu’elle portait jusqu’ici.
- Je t’ai fait faire un nouveau collier par mon maréchal-ferrant, un collier digne d’une soumise SCE (Sigle de l’époque voulant dire Seigneur Charles d’Evans). Mais, avant que je ne te le pose, es-tu prête à M’obéir, à suivre Mon Education, à te donner corps et âme, corps, cœur et esprit à Ma Noble Personne, à tout faire pour Mon plaisir et Ma satisfaction et en bonne connaissance de cause ?
- Oh oui Maître, cela est mon souhait le plus cher et je sais à quoi je m’engage et à Qui je donne ma vie, mon corps et mon esprit.
Le Seigneur d’Evans lui attacha alors le collier avec toute la solennité requise :
- Ce collier et gravé ‘soumise Marie SCE’, portes-le toujours avec fierté et reconnaissance. A partir de cet instant officiellement tu M’appartiens à vie et tu Me dois une obéissance absolue quand que j’exige. En retour, je m’engage à ne jamais te mettre en danger, à te protéger et à te faire grandir dans ta soumission, à Mes pieds…
Marie baisa la main du Maître avec une reconnaissance infinie et ne pouvant retenir ses larmes tant elle était heureuse et pleine de gratitude de ce cadeau que lui faisait le Maître de bien vouloir l’accepter dans Son Cheptel. Le remerciant chaleureusement et sincèrement, des larmes coulaient doucement sur ses joues tellement émue qu’elle avait du mal à trouver ses mots pour exprimer son impressionnant bonheur. Le Seigneur d’Evans Lui-Même était vraiment ému car c’était pour Lui, et c’est toujours, un grand moment la pose du collier pour la première fois...
- Une dernière chose avant de commencer ton dressage. Ecoutes-Moi bien, c’est très important : Le Château n’est pas une prison, tu es libre de partir quand bon te semble et de reprendre ta liberté mais attention si un jour tu fais ce choix ce sera sans possibilité de retour à Mes pieds. Tu as bien compris ?
- Oui Maître mais pourquoi voudrais-je quitter l’endroit que je n’aurais jamais espéré trouver ?
- Parfait. Maintenant que tout est clair, voyons pour ton dressage ... En levrette …
Le Maître claqua alors des doigts deux fois. Marie se mit aussitôt en levrette croupe relevée, jambes bien écartées.
- Je vois que tu as bien retenu ce qu’elles t’ont appris, cela Me sied.
Le Seigneur d’Evans tourna tout autour d’elle, admirant son magnifique corps nu à la peau blanche de cette jeune et très belle femelle à la superbe plastique, à ses formes bien proportionnées, à ses beaux et gros seins bien fermes aux tétons rosés, à ses larges hanches, à son cul bien exposé et sa chatte qui brillait déjà d’humidité d’une évidente excitation. Le Maître lui caressa les cheveux, la nuque, les épaules, le dos et les fesses qu’Il claqua également. Ensuite, Il passa Sa main sur sa chatte et y trouva de la cyprine dégoulinante accentuée par la situation inédite pour elle, mais aussi par Ses caresses et surtout Ses claques. Le Seigneur d’Evans commença alors par la doigter doucement, délicatement tout en agaçant son clito très réceptif. Soudain Son touché se fit plus inquisiteur, plus rapide, plus profond. Marie gémissait de plaisir le Maitre y mit presque la main entière dans un fist délicieux pour Marie. Quand Il la retira, Sa main était trempée de cyprine Il la lui présenta pour qu’elle lèche et la nettoie de sa langue de chienne. La jeune Marie lui nettoya Sa main et Ses doigts bien consciencieusement tandis que le Maître lui questionna :-Bien, je constate que tu n’es plus pucelle. Qui ta défloré ?
- J’ai été dépucelée, il y a 2 ans par un paysan du hameau du Petit Vallon, dans sa grange en plein été, le soir de la fête du village. Le brave vieux Benoit. Il m’a attrapé alors que je nettoyais les tables après le banquet champêtre. Il m’a attiré dans le foin et m’a embrassé doucement dans le cou, sans me demander mon avis… Au début je me débattais un peu et puis j’ai cédé car il n’a pas fait violence, j’ai apprécié ses agréables coups de langues qui m’excitaient, je dois bien l’avouer avec ses caresses lentes sur mon chemisier au niveau de mes seins, j’étais toute chose… Alors je me suis donné à lui car il a su m’exciter sans me prendre tout de suite et quand il m’a pénétré, j’ai aimé, il a usé de douceur et il m’a fait jouir…- Donc tu as aimé !
- Oui Maître- Et depuis ?
- Depuis, je me suis souvent donné au père Benoit en secret et officiellement au Comte du Forez …- Bien. Maintenant tu es à Moi et tu te donneras uniquement à Moi ou à ceux à qui je te prêterai. Est-ce clair ?
- Oui Maître, bien entendu.
- Alors, maintenant continuons… Debout penchée en avant, en appui sur la cheminée. Exécution salope.
- Oui Maître, répondit Marie en se mettant dans la position exigée.
Le Maître prit Son martinet et lui dit.
- Tu comptes avec Moi et Me remercie après chaque coup, en cas d’erreur ou d’un seul cri, je recommence à zéro. Est- ce bien clair?
- Oui Maître tout à fait.
Le premier coup tomba, pas trop fort car le Seigneur d’Evans voulait avant tout tester sa résistance.
- Un, merci Maître- Deux, merci Maître ...
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