La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1517)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1517) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-07-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1517)
La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode N°1512) -
Ainsi elles se pénétrèrent mutuellement et jouirent uniquement sous ordre pour y être autorisées...

Comme c'était désormais le cas chaque matin, l'esclave Joëlle vint me sortir de la cage où Maitre Edouard, Marquis d'Evans, avait daigné m'accorder quelques heures de sommeil, après une longue séance nocturne durant laquelle la souplesse de mon orifice anal avait été mise à rude épreuve, afin de tester une série de godemichets qu'un créateur plasticien avait obtenu l'honneur de présenter au Noble. L'homme, que l'on sentait fort intimidé devant la personnalité et le fort charisme de Celui qui lui accordait audience, et ce malgré le fort jeune âge du Maître, avait pu présenter à Monsieur le Marquis toute une série de godes et plugs de sa création, faits dans une matière plastique plus ou moins élastique et qui imitait à merveille la chair, les veines d’une véritable verge en érection ... Par ailleurs, un ingénieux système permettait d'une simple pression sur une poire raccordée par un tuyau de les faire gonfler et durcir à l'instar d'un pénis humain (si à notre époque c’est devenu banal, dans les années 80 c’était assez novateur). Le créateur ne cachait pas son espoir que le jeune Châtelain puisse recommander auprès du Cercle des Supérieurs et de Ses nombreuses et prestigieuses relations, ces instruments pouvant être objets de plaisir, autant qu'accessoires contraignant.

C'était plutôt cette seconde option qui intéressait pour l'heure le Maître et j'avais du demeurer de longues heures en position d'offrande, le visage au sol, les reins cambrés, la croupe relevée et offerte, cuisses largement écartées, recevant les divers modèles et tailles de godes dans le cul. Ces accessoires maniés par leur créateur démontrant qu'ils pouvaient s'avérer une excellente façon de châtier un (e) esclave. J'avais été si longuement et diversement pénétré, enculé, sodomisé, que j'avais le sentiment que mon anus n'était plus qu'un trou béant, dans lequel il aurait été possible d'enfiler les plus épais madriers. Pas une fois le Maître n'avait daigné s'approcher de moi, l'esclave, qui espérait tant qu'Il le possédât. Il demeurait confortablement installé dans Son fauteuil favori, Joëlle et Chloé agenouillées nues chacune d'un côté, à portée de Sa Main. Monsieur le Marquis l'avait dit, Il ne jugeait pas que l'esclave puisse mériter de recevoir l'honneur d'être châtié directement par Lui. Après les esclaves-étalons, c'était donc maintenant ce créateur (de ce que l’on appelle maintenant des sextoys) qui faisait office d'instrument dirigé à distance par le jeune Noble qui ajoutait ainsi pour Son esclave, le désespoir de Son Dédain, à la douleur des punitions infligées.

Lorsque démonstration eut été faite de toutes les références du catalogue et de la façon de les utiliser dans le cul de l’esclave que je suis, le Maître ordonna qu’un gode d’un volume assez conséquent soit maintenu dans mon fondement. De plus, Il fit également tester un bâillon-pénis sur ma bouche. Je demeurai donc ainsi encore un long, très long moment, bouche et cul remplis, les yeux bandés. Mais j'entendais cependant que c'était maintenant au tour des deux femelles soumises de tester ces si nombreux sexes factices, sous Son regard attentif. Mais aussi, bonheur insigne pour elles, avec la participation du Maître qui tenait à constater par Lui-Même sur Ses chiennes la qualité des objets soumis à Son jugement. Ce n'est donc que loin dans la nuit, peut-être même au petit jour, mes yeux bandés m'interdisant de connaître la luminosité du moment, que je fus ramené à ma cage pour un trop bref moment de répit, enfin libéré des instruments qui avaient empli durant de longues heures mes orifices et en particulier mon trou du cul, maintenant en feu et largement dilaté...

Joëlle, donc, vint me chercher et à ma grand surprise, elle me mena jusqu'à la salle de bains, où une bassine d'eau encore savonneuse et un gant de toilette me permirent de faire une toilette plutôt correcte, même si c’était toujours à l’eu froide. Plus surprenant encore, une tenue classique m'attendait, même si je dus garder au cou le collier qui indiquait ainsi, lorsque je défaisais mon col de chemise, ma condition servile et mon appartenance par le monogramme et le nom prestigieux gravés sur le métal de la médaille pendant à un épais anneau. Ainsi sans doute allais-je sortir de l'appartement... ce qui ne m'était plus arrivé depuis le retour de la faculté et l'annonce de mes calamiteux résultats. Naturellement l'esclave Joëlle ne prononçait pas un mot, se contentant de me bousculer pour me presser ou me donnant une brève claque sur la nuque si je trainais trop à accomplir ce que l'on attendait de moi. C'est donc ainsi, vêtu d'un costume gris quelconque, d'une chemise blanche et d'une cravate que je suivis Joëlle à l'extérieur. Mon esprit fonctionnait aussi vite qu'il le pouvait, me demandant vers quelle nouvelle épreuve j'étais ainsi dirigé. Comme il se doit, je me tenais un pas en retrait par rapport à la belle esclave et m'appliquais à ne jamais me porter à sa hauteur puisqu'en l'occurrence, bien qu'elle fut esclave tout comme moi, elle évoluait en cette matinée en instrument du Maître et qu'à travers l'humble respect que je lui témoignais, c'est au jeune Châtelain que je le faisais...

Nous étions parvenus dans le quartier des affaires de La Défense où des centaines d’ouvriers étaient en train de construire ce que l’on va appeler plus tard la grande Arche de la Défense (nous sommes dans les années 80). Un peu plus loin, de hautes maisons de pierres de style immeubles haussmanniens, de larges avenues, des platanes feuillus, des berlines noires de luxe aux vitres teintées générant une ambiance feutrée à l’intérieur... Même avant que le jeune Marquis ne fit de moi Son esclave, j'étais intimidé à l'idée des décisions qui devaient être prises derrière ces murs épais, symboles de puissance financière. Dans ma condition d'esclave, je ne savais quoi penser. Pourtant, esclave Joëlle emprunta la porte monumentale de l'un de ces hauts immeubles, dont la raison sociale n'était indiquée que par une rutilante plaque de cuivre que je n'eus pas le loisir de déchiffrer. Nous étions entrés dans un hall immense, un vigile s'enquérant auprès de Joëlle de la raison de sa visite. Manifestement le colosse en costume noir impeccable fut satisfait de la réponse, puisqu'il indiqua à la belle soumise les ascenseurs, en lui précisant qu'il fallait se rendre au 6e étage... Malgré sa forte prestance, je devinais aisément qu’il devait s’agir d’un esclave car quand Joëlle prononça le nom du Châtelain, le vigile fut comme déstabilisé et baissa instinctivement la tête de longues secondes…
Tout en douceur et souplesse, l'ascenseur atteignit l'étage indiqué. Toujours sans un mot, Joëlle s'engagea dans un long couloir bordé de portes épaisses, toutes fermées. Il n'y avait pas un bruit, les talons de la soumise étant étouffés par l'épais tapis qui courait tout au long du couloir feutré. Enfin, Joëlle s'arrêta devant une de ces portes et frappa trois coups nets. La porte s'ouvrit sur une jeune femme en chemisier et jupe grise, très stricte au chignon et lunettes. Sans aucun sourire, ni un mot, elle nous introduisit en nous priant de la suivre par un simple geste convenu, traversant une sorte de pièce d'accueil où je devinais le bureau de celle qui venait de nous ouvrir. Sans aucun doute une secrétaire soumise car j’eu le temps d’apercevoir un gode fixé à la vertical sur son siège de bureau... Nous fûmes introduits dans un autre mais beaucoup plus vaste bureau derrière lequel se tenait... Chloé. C'est donc ici que la jeune et belle experte financière exerçait ses talents dans les affaires, lorsqu'elle n'était pas la créature soumise à toutes les Volontés du Maître Edouard d'Evans. D'ailleurs, le Maître était également présent, installé dans un fauteuil occupant le centre de ce vaste bureau cossu. Ce qui me fit comprendre que Chloé avait été placée dans cet immeuble pour travailler, certainement embauchée par le Châtelain après l’avoir débauchée de son ancien poste mais toujours en tant qu'experte financière … J’appris bien plus tard que cet immeuble appartenait au Cercle des Supérieurs…
- chienne Léa, que l'on ne nous dérange plus, intima Chloé à destination de la secrétaire soumise qui répondit un "Oui Madame" tout en baissant la tête juste avant de ressortir.

Mais chienne Léa, puisque c’est ainsi que ce nommait cette secrétaire, fit malencontreusement tomber son stylo qu’elle tenait à la main, en se retournant en direction de la porte de sortie. Elle se baissa alors pour le ramasser et j’eus le temps de découvrir son cul nu sous sa jupe courte relevée quand la belle se pencha pour attraper son stylo sur la moquette. Visiblement, elle avait été utilisée ou punie car des marques striées fort rougies avaient meurtri son fessier arrondi. De plus un impressionnant plug encombrait son fondement. Puis elle se redressa et sortit du bureau… Concernant Chloé, quelle différence ! Quel contraste entre la soumise que j'avais vue se livrer aux plus impudiques spécialités sexuelles en une servilité affichée et cette jeune femme d'une élégante sobriété. Elle était impeccablement coiffée et maquillée exprimant par son attitude une autorité dont je savais qu'elle n'était que de surface. Tant je l'avais vu et entendue exprimer, par les gémissements et les actes d’obéissance, toute l'impudeur de sa Nature réelle, de catin totalement dévouée aux Exigences du Maître.

Joëlle me fit avancer jusqu'au Maitre et d'un même mouvement, nous nous prosternâmes à Ses Pieds. Tandis qu'en appuyant Son pied sur ma nuque, le jeune Noble me faisait comprendre que je devais demeurer ainsi, alors qu’Il intima à Joëlle l'ordre de se lever et de revêtir une tenue préparée pour elle... Le jeune Châtelain m'avait fait placer à genoux, à Ses Pieds, et j'avais les mains liées dans le dos. De cette place, je pouvais embrasser l'ensemble de la pièce. La soumise Chloé se tenait assise derrière son impressionnant bureau, dans sa sobre et élégante tenue d'experte financière. A l’instar de la secrétaire qui nous avait introduits, les cheveux de Chloé étaient tirés en un chignon strict et des lunettes loin de l'enlaidir ne faisaient que mettre en valeur la pure beauté de son visage. L'esclave Joëlle se tenait debout un peu en retrait du siège directorial, vêtue d'un chemisier blanc très simple mais d'une pure soie extrêmement fine et d'une jupe parfaitement moulée d’un gris anthracite qui rendait à son cul toute sa rondeur de femelle... Tout était silencieux et immobile, manifestement, quelque chose se préparait et dans ma position si vile je me demandais bien quoi... Après quelques minutes de cet immobilisme sans aucun bruit, le téléphone interne résonna sur le bureau de Chloé et la voix de chienne Léa, la secrétaire annonça :
- Il est là, Madame, dois-je l'introduire ?
- Oui, fait-le entrer, répondit laconiquement Chloé.

La porte du vaste bureau s'ouvrit alors et un jeune homme entra. Son attitude un peu gauche et timide n'enlevait rien au charme de ce garçon d'une vingtaine d'années, vêtu d'un costume de bonne coupe. Il s'avança jusqu'au bureau de Chloé et se tint bien droit face à elle, qui le toisait sans mot dire. La présence supplémentaire de Joëlle au second plan semblait troubler plus encore le jeune homme qui n'avait pas encore remarqué la Présence du Maître Monsieur le Marquis Edouard d'Evans et de Son esclave nu, moi-même, à Ses Pieds. Le regard froid et distant de Chloé devait mettre le jeune homme mal à l'aise... Enfin, elle prit la parole...

- Donc, vous sollicitez la possibilité d'effectuer un stage de finances auprès de nos services ?
- Oui Madame- Vous êtes en Maîtrise de commerce international, en Ecole de Commerce, option finances d'entreprise... Mouais... un bon cursus... Mais c'est rarement suffisant...
- Je suis vraiment motivé pour apprendre et progresser auprès de vous, Madame...
- Si cela suffisait, il y aurait une file d'attente interminable devant mon bureau... Sachez que si cet entretien a été possible, c’est que je sais que vous êtes recommandé par le Baron Gothschild qui insiste sur certaines de vos qualités ? … J’ai Sa lettre de recommandations sous les yeux …- Oui Madame, le Baron Gothschild a été très bon pour moi... Il me suit et me conseille depuis le début de mes études
Chloé se redressa, fixant un regard perçant sur le jeune homme...

- Il te baise ?
- (un blanc...) euh... mais... je …, dit-il très gêné balbutiant ces quelques mots, baissant la tête par réflexe…
Le jeune homme était manifestement décontenancé par cette question directe, ses joues s’empourprèrent…
- Qu'est-ce que tu ne comprends pas dans la question ? Je n'aime pas me répéter : Est-ce que le Baron Gothschild te baise ? … Attention, sans réponse claire, tu n'es pas loin de sortir définitivement de ce bureau...

Il y eut quelques secondes d'un profond silence, puis, quelque peu tremblante, la voix du jeune candidat murmura avec une honte, une gêne affichée en chuchotant :
- Oui, Madame- Comment ? J'aime que l'on assume ce que l'on a à dire. Alors, je veux l'entendre haut et clair. Alors pour la dernière fois, est-ce que le Baron Gothschild te baise ?
- Oui Madame, le Baron Gothschild me baise, il m’encule souvent, même, répondit-il cette fois de manière plus affirmée- Bien, c'est mieux. Et si j'en crois Sa lettre de recommandation, il aime aussi bien te donner la fessée, t'attacher... éjaculer dans ta bouche, te pisser dessus… c'est juste ?

Le candidat était maintenant totalement paniqué. Lui qui venait postuler pour un stage de finances, voyait sa vie privée, intime, ainsi étalée sans la moindre pudeur. Pourtant, il souhaitait plus que tout manifestement décrocher ce stage car sur la place, nul (le) n'était meilleur que Chloé dans la spécialité qu'il ambitionnait de rejoindre
- Euh, je... oui Madame, en effet, je l’avoue… - En effet, quoi ?
- Oui Madame, le Baron Gothschild me donne parfois la fessée, il m'attache, éjacule dans ma bouche, me pisse dessus ... ce genre de choses...
- Eh bien, tu vois, ce n'est pas si difficile à dire... Que les choses soient bien claires. Si je t’accepte comme stagiaire, j'exige une disponibilité totale et que tu exécutes mes ordres sans discuter... Quels qu'ils soient ! Je parle de finances internationales, bien sûr, mais pas seulement. Si le Baron Gothschild t'a ainsi recommandé c'est parce qu'on a perçu en toi plus que du talent pour les affaires. Il m'écrit que tu sais être, je le cite "une merveilleuse petite salope", tu partages cette opinion ?

Le jeune homme ne savait plus vraiment quelle attitude adopter. Il balançait d'un pied sur l'autre, sa jambe droite tremblait...

- Je... oui... si le Baron Gothschild le dit…- Mais toi, que dis-tu, toi ? Es-tu une petite salope ? Je veux t'entendre !, lança Chloé d'une voix que je ne lui avais jamais encore entendue.
- Oui Madame, oui je suis une salope, Madame- Eh bien voilà ! On avance. Bien, maintenant que je sais à qui j'ai vraiment à faire. Nous allons pouvoir passer aux choses sérieuses et voir si tu as les capacités nécessaires pour devenir mon assistant au cours de ce stage. Ou si je devrai te renvoyer au Baron Gothschild avec un commentaire très négatif... Compris ?
- Je … J’ai compris… Oui Madame !
- Ah, par ailleurs, pour ton information, le Baron Gothschild fait partie du Cercle des Supérieurs, ça ne te dit très certainement rien du tout, mais je veux que tu le saches…
S'en suivit une litanie de questions professionnelles sur les finances auxquelles je ne comprenais rien. Mais manifestement le jeune candidat savait, lui, de quoi il s'agissait et ses réponses semblaient satisfaire Chloé. Jusqu'au moment où...

- Non !, s'irrita Chloé; Non, cette réponse n'est pas satisfaisante. Pose ta veste…
Et l'interrogatoire reprit, manifestement de plus en plus pointu et peu à peu, le jeune homme plutôt à l'aise au début perdait de sa superbe et... ses vêtements. Une réponse erronée ou approximative était sanctionnée par la dépose d’un vêtement … Il n'était plus qu'en caleçon et chaussettes. Et il devait vraiment tenir à ce stage, car au fil des questions et des erreurs, il se débarrassait de ses éléments d'habillement sans trop d'hésitations, sans doute conscient de l'engrenage dans lequel il était maintenant entrainé. Il s'appliqua cependant à essayer de répondre avec le maximum de justesse et de précision, repoussant quelque peu le moment fatidique et évidemment inévitable où il fut nu comme un ver... Bougeant pour la première fois, Joëlle vint ramasser ses vêtements et les emporta hors du bureau. Puis elle revint dans la pièce, se plaçant derrière le jeune homme qui tentait maladroitement de cacher son intimité de ses mains.

- Les mains dans le dos, intima Chloé
Et Joëlle saisissant les poignets du jeune homme le contraignit à obéir. Joëlle gardait les poignets prisonniers de ses mains et Chloé se leva enfin de son bureau pour venir se placer devant le candidat-stagiaire
- Bien. J’imagine que tu as compris que ce stage est assez... particulier. Tes qualités professionnelles me seront utiles et tu apprendras beaucoup ici. Mais tu découvriras que tes..."fonctions" iront bien au-delà de faire le café et compiler des dossiers. Tu devras donner de ta personne, sans jamais rechigner, sans hésitations ni contestation. Il te faudra donc être très obéissant à tout ce qui sera exigé dans un comportement servile et docile à satisfaire avant tout. Es-tu prêt à cela ?
- Oui Madame, affirma le jeune candidat...

(A suivre …)

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