La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1518)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1518)
L’esclave salope au Château (suite de l'épisode N°1477) -
- esclave salope, lève-toi et va t’installer sur la table de gynécologie et met bien tes pieds aux étriers …
Je me lève donc pour me repositionner à quatre pattes et me diriger vers la table gynécologique. Je m’y installe comme exigé par le Maitre. Sur le côté, je réussie à apercevoir une machine à baiser, avec un gros gode fixé à l’horizontal sur un axe-mandrin qui se déplace mécaniquement en allers-retours... Sans grande réflexion, je comprends que c’est pour moi. Je pense apercevoir aussi une machine à tatouage, mais je n’ai pas eu le temps de bien voir. Car au même moment, Walter arrive et m’attache d'abord mon collier au siège de façon à ce que je ne puisse pas bouger ma tête. Puis il m’attache les poignets aux accoudoirs et les chevilles aux étriers. Pour finir il attache le haut de mes cuisses, de façon à ce que je ne puisse plus les refermer, laissant ainsi mon intimité bien exhibée aux yeux de tous. Il approche ensuite la machine à baiser qu’il installe juste devant mon sexe mais sans me pénétrer, avec, pour le moment.
Ma chatte est déjà lisse et suintante ma cyprine d’excitation car être attachée ainsi, est tellement excitant, ne pas pouvoir bouger, la pensée d’être contrainte, de rester ainsi car c’est la volonté du Maitre m’excite tant, que je sens ma mouille couler sur le haut de mes cuisses, tellement je me sens en chaleur de cette situation. Apres plusieurs minutes ainsi exposée aux invités du Noble, ce dernier se dirige vers moi, et d’une corde en Ses mains, me bondage mes seins tout en passant les deux cordes, une par seins, autour de ceux-ci et remontant derrière ma nuque afin de maintenir mes mamelles de grosse salope bien relevées. Ensuite, il m’enfonce le sexe factice de la machine à baiser dans ma chatte en feu, et l’active en mode cadencé, afin de me sentir bien besognée de manière mécanique.
- Voilà ce qui va se passer, Ma chienne, tu vas rester ainsi à te faite baiser pendant 1h à une vitesse régulière, mais pour toi ce sera avec l’interdiction la plus totale de jouir. Durant cette heure, Moi et Mes invités allons réveiller ton côté masochiste, ce qui sera encore plus difficile pour toi de ne pas jouir. J’attends de toi une obéissance parfaite, la plus absolue, mais surtout que le moindre son ne sorte pas ta bouche de salope, pas de gémissements, je ne veux rien entendre. Je veux, J’exige le silence le plus total de ta part… (Puis se tournant vers l’assemblée) … Mes chers amis, cette chienne et à Votre disposition la plus totale, venez-vous divertir avec elle, et son côté maso…»
A ma gauche, assez loin, se trouve une petite table à roulette que je n’avais pas encore remarquée. Le Châtelain la tire de façon à la placer proche de moi. Ne pouvant bouger ma tête, je ne vois pas ce qui s’y trouve. Monsieur le Marquis me laisse ainsi et s’en va. Mais aussitôt un Dominant s’approche de moi, ne pas voir, ou ne pas sentir la présence du Maitre me fait un peu peur. Mais j’ai confiance en Lui et envers ceux à qui il me confie, ce qui me permet de pleinement me concentrer sur la satisfaction totale du Noble. Le Dominant m’observe d’un regard dur, froid et hautain comme la simple esclave soumise ou l’objet de plaisirs que je suis. Instinctivement, je baisse les yeux. Et me retrouver en cette situation d’infériorité par un simple regard dominateur me rappelle ma place et m’excite grandement. L’envie de jouir est déjà fortement présente, causée par la machine à baiser qui me besogne mon sexe sans s’arrêter dans un rythme digne d’un métronome et que je trouve rapide. Et il m’est donc tellement difficile de me retenir. Le Dominant approche sa grosse main sur mes seins, le gauche d’abord, il le caresse délicatement pour commencer, pour ensuite me le malaxer grossièrement en appuyant fortement, pour finir par me pincer le tétons bien fort et m’arracher une grimace de douleur quand il les étire tous les deux en même temps. Et c’est avec beaucoup de difficulté que je retiens un cri de douleur, mais ça me fait grandement mouiller. On me déverse aussi de la cire de bougie presque bouillante et on me pose des pinces mordantes aux lèvres intimes, aux tétons et sur les parties molles de mon corps comme sur le ventre…
Pour ne pas désobéir au Maitre qui m'a interdit tout son, tout cri, je m’abstiens avec difficulté de gémir aussi. Plusieurs dominants passent ensuite sur moi, certains me fouettent les seins et le sexe, à tour de rôle avec un martinet, d'autres s'occupent avec mes gros seins à travailler mes tétons, bref je suis utilisée de mille et une façon. J'ai plus d'une fois eu la sensation que j'allais désobéir, par la jouissance proche, prête à éclater, ou par des gémissements de plaisirs que je n’arriverai pas à contenir. Mais à chaque fois je pense à la déception que je causerai au Noble à désobéir me vient en tête et ça me donne la force de garde le silence et aussi de ne pas lâcher un orgasme dévastateur. Après cette heure passée, je reste seule attachée, essoufflée, épuisée, avec le souhait toujours plus que pressant de jouir. Mais la soirée continue, et plus personne ne s'intéresse à moi. J'espère avoir réussi à rendre Monsieur le Marquis fier de moi, par mon attitude, par mon obéissance, par ma capacité à satisfaire ses invités. Petit à petit je reprends mes esprits. Et surtout d’avoir pu souffler un peu, ça m'a permis de me reprendre un peu après cette heure si intense... Comme toujours le Châtelain m'a fait vivre des moments si incroyables, si forts, très très forts même, et je sais que l’on est juste en début de la soirée... Si avant cette soirée, j'étais nerveuse et peureuse à l'idée de décevoir le Maitre, je reconnais maintenant commencer à être impatiente de savoir ce qu’Il me réserve !
La salle commence à se vider, perdue dans mes pensées, je n'ai pas tout suivi ce qui se passait, et ou les invités sont partie, la soirée est-elle finie ? Pourtant personne ne vient me chercher, je reste ainsi attachée à ce siège gynécologique et j’attends. Quand deux soumises de Monsieur le Marquis arrivent, après je ne sais combien de temps. Je suis détachée alors par leurs bons soins. Tous mes membres sont engourdis à cause du manque de mouvements, et j’ai donc du mal à me relever et à me remettre debout, mais je suis fraternellement aidée par les deux soumises, toutes souriantes à mon égard… Mes esprits retrouvés, les deux soumises m'expliquent avec gentillesse que j'ai l'autorisation de marcher sur mes deux jambes, en bipédie. Je suis dirigée vers une pièce juste à côté de la salle où la réception a eu lieu. Après avoir frappé à la porte, les deux soumises ouvrent et devant nous je découvre un magnifique petit salon richement décoré et feutré. Le Châtelain est assis sur le canapé, et c'est avec Son autorisation que nous entrons dans la pièce, et allons-nous prosterner à Ses pieds, toutes les trois. Le Noble m’attrape alors par les cheveux, et les tire en arrière pour me relever la tête. Il me force ainsi à avoir la tête levée, mais pourtant instinctivement et sans aucun mot du Maitre je baisse les yeux, connaissant ma place.
Je sens sur moi le regard de Monsieur le Marquis, un regard impassible et calme, celui du pur Dominant. Et je prie de tout mon être de ne pas l’avoir déçu, ou de quelques façons que ce soit pendant ce temps ou j’ai été exposée et où ses amis invités ont pu profiter de moi, et de mon côté masochiste. Aucun mot n’est prononcé de le part du Maitre, la pièce est tellement silencieuse qu’on entendrait les mouches voler. Dans ce silence, je suis persuadé d’avoir déçu le Châtelain, car Il est toujours d’abord en premier lieu, silencieux après que je l’ai déçu, et ce qui me fait toujours encore plus culpabiliser. Les larmes me montent donc aux yeux, et malgré toute la difficulté à les retenir, elles coulent, mais je fais mon possible pour rester malgré cela, la plus silencieuse possible. Toujours sans un mot le Noble relâche ma tête qui retombe, puis je reprends ma position prosternée, le cul bien relevé, les bras bien en avant.
Monsieur le Marquis congédie ensuite Ses deux autres soumises toujours présentes dans la pièce. Il se lève, me tourne autour. J’entends le bruit de Sa ceinture qui s’ouvre. J’attends le cul bien exposé, persuadée que le Maitre va me fouetter avec, et que ce sera ma punition de Lui avoir déplu, mais rien ne vient, le Châtelain reste derrière moi ainsi un long moment, toujours dans le plus grand silence… Apres quelques temps à m’observer, j’entends aux pas du Noble qu’Il retourne s’asseoir sur Son fauteuil… Et c’est d’un claquement de doigts, qu’Il m’appelle à Ses pieds... A quatre pattes j’arrive donc devant Lui où j’attends à genoux, la tête baissée. Monsieur le Marquis, me connaissant, sait déjà ce que je pense, et que je suis persuadée de l’avoir déçu. Il me caresse alors délicatement la tête. Avant de commencer à parler d’une voix douce et apaisante.
- Ma chienne, c’est bien. Calme-toi, c’est fini ! J’ai Voulu par mon silence et ma froideur, te laisser penser que tu M’as déplu, que tu ne M’as pas satisfait. Je connais très bien ta capacité à te faire des ‘films catastrophes’ dans ta tête, et je veux que tu prennes confiance en toi-même, et en ta soumission laquelle tu as tant besoin. Tu es docile, obéissante, et pleine de dévotion et de motivation à Me satisfaire. Alors sache que je suis pleinement satisfait de toi, de ton attitude, tu m’as rendu fier, par ta docilité, ton abnégation, ton allégeance et ton obéissance. Et je veux, j’exige que même quand je suis silencieux et quand je ne dis rien, que tu saches que tu M’as satisfait, car quand ce ne sera pas le cas, tu le seras très vite. Bien alors comme là, tu M’as satisfait, tu vas même être récompensée, salope …
Sur ces mots le Maitre ouvre son pantalon, sort Sa grosse Verge déjà bandée et d’un claquement de doigts, je comprends l’ordre silencieux et sans appel, alors je prends Sa divine queue en bouche. Je m’applique le plus possible, j’y mets le plus de salive possible, afin que ma cavité buccale Lui soit agréable et accueillante comme un vagin, chaud et humide. Puis je fais de lents va-et-vient, parfois je mets de petits coups de langue sur le gland, sur le tour et le méat urinaire, puis sur toute Sa hampe et sur Ses magnifiques couilles, pour ensuite Le reprendre en bouche et Sa noble Verge vient buter le fond de ma gorge… Et c’est ainsi qu’Il me bourre la bouche de salope par des allers-retours, alors qu’Il me maintient fermement par ma queue de cheval afin d’imposer le rythme qui Lui convient le mieux, jusqu’à avoir la chance d’obtenir Sa Semence qui vient gicler dans ma gorge par des flots saccadés de sperme chaud, et que j’avale et savoure chaque goutte, tel un divin nectar….
- esclave, petite chienne, tu vas me suivre à quatre pattes vers le grand objectif de cette soirée. Dans quelques minutes tu deviendras une esclave MDE, une esclave avec Mes Initiales, qui te seront tatouées sur ton corps à vie. Tu deviendras donc à ce jour, à l’issue de cette soirée, pleinement et entièrement Ma propriété, tu seras marquée comme t-elle… Tu me connais esclave, et tu sais que rien n’est fait dans la contrainte, avec Moi tu sais que je ne suis pas un gourou, qu’être à Mes pieds ce n’est pas une prison, qu’on M’obéit par besoin, par nécessité, par motivation à Me satisfaire…Et donc Mon esclave, je te laisse pour la seule fois la possibilité d’avoir le choix. Es ce que tu souhaites, est-ce que tu acceptes, d'être à vie, Ma propriété la plus absolue, avec la garantie que tu seras toujours en sécurité, et que je prendrai toujours le plus grand soins de toi, et celle que si un jour tu souhaites partir, tu seras libre de le faire, mais sans jamais avoir la possibilité d’un retour à Mes pieds. Dis-moi, Ma chienne, avant que nous sortions par cette porte, vers ton avenir à Mes pieds. En conclusion, souhaites-tu vraiment devenir Ma propriété, devenir une esclave, Mon esclave MDE ? … Parle la chienne tu es autorisée...
Je n’ai même pas réalisé que durant le discours du Maitre, je commençais à pleurer. D’émotions fortes, de vive joie, cet instant me parait tellement irréel. J’en ai tellement rêvé, et j’ai du mal à parler, à m’exprimer, à prendre la parole tellement mon émotion est forte, et c’est avec beaucoup de difficulté et quelques minutes à me reprendre, le souffle court par mon cœur si ému, que je prends la parole
- Maitre tant Vénéré. Merci pour cet honneur suprême, pour cette chance inouïe. Oh oui, je Vous en supplie, faite de moi une esclave, Votre esclave entièrement, pleinement, à Vos pieds, je rêve, je souhaite plus que tout, être entièrement à Vous, porter Vos Initiales, Vous faire honneur, au Château chaque jour. Je Vous en supplie Maitre, faites de moi pleinement, Votre propriété la plus absolue, Votre objet, Votre chose, Votre ‘tout ce que Vous voudrez’, mon corps est à Vous, comme mon esprit. Je vous fais don de mon intimité qui ne m’appartient plus, avec Vous, je n’ai plus de pudeur, plus de honte, je vis juste pour Vous satisfaire. Chaque centimètre de mon corps est à Vous, tout ce qui est moi aussi est à vous, que ce soient ma transpiration, ma mouille, ma salive, mes excréments, mon urine, tout absolument tout est à Vous … Mon appartenance envers Vous est enfin officielle, et encore plus absolue. Oh que oui, Maitre Vénéré je le souhaite plus que tout, être pleinement Votre esclave qui porte Vos Initiales. Mille mercis pour cette chance, pour cette opportunité, pour le bonheur que Vous m’offrez d’encore plus Vous appartenir pleinement et à vie …
(A suivre …)
- esclave salope, lève-toi et va t’installer sur la table de gynécologie et met bien tes pieds aux étriers …
Je me lève donc pour me repositionner à quatre pattes et me diriger vers la table gynécologique. Je m’y installe comme exigé par le Maitre. Sur le côté, je réussie à apercevoir une machine à baiser, avec un gros gode fixé à l’horizontal sur un axe-mandrin qui se déplace mécaniquement en allers-retours... Sans grande réflexion, je comprends que c’est pour moi. Je pense apercevoir aussi une machine à tatouage, mais je n’ai pas eu le temps de bien voir. Car au même moment, Walter arrive et m’attache d'abord mon collier au siège de façon à ce que je ne puisse pas bouger ma tête. Puis il m’attache les poignets aux accoudoirs et les chevilles aux étriers. Pour finir il attache le haut de mes cuisses, de façon à ce que je ne puisse plus les refermer, laissant ainsi mon intimité bien exhibée aux yeux de tous. Il approche ensuite la machine à baiser qu’il installe juste devant mon sexe mais sans me pénétrer, avec, pour le moment.
Ma chatte est déjà lisse et suintante ma cyprine d’excitation car être attachée ainsi, est tellement excitant, ne pas pouvoir bouger, la pensée d’être contrainte, de rester ainsi car c’est la volonté du Maitre m’excite tant, que je sens ma mouille couler sur le haut de mes cuisses, tellement je me sens en chaleur de cette situation. Apres plusieurs minutes ainsi exposée aux invités du Noble, ce dernier se dirige vers moi, et d’une corde en Ses mains, me bondage mes seins tout en passant les deux cordes, une par seins, autour de ceux-ci et remontant derrière ma nuque afin de maintenir mes mamelles de grosse salope bien relevées. Ensuite, il m’enfonce le sexe factice de la machine à baiser dans ma chatte en feu, et l’active en mode cadencé, afin de me sentir bien besognée de manière mécanique.
- Voilà ce qui va se passer, Ma chienne, tu vas rester ainsi à te faite baiser pendant 1h à une vitesse régulière, mais pour toi ce sera avec l’interdiction la plus totale de jouir. Durant cette heure, Moi et Mes invités allons réveiller ton côté masochiste, ce qui sera encore plus difficile pour toi de ne pas jouir. J’attends de toi une obéissance parfaite, la plus absolue, mais surtout que le moindre son ne sorte pas ta bouche de salope, pas de gémissements, je ne veux rien entendre. Je veux, J’exige le silence le plus total de ta part… (Puis se tournant vers l’assemblée) … Mes chers amis, cette chienne et à Votre disposition la plus totale, venez-vous divertir avec elle, et son côté maso…»
A ma gauche, assez loin, se trouve une petite table à roulette que je n’avais pas encore remarquée. Le Châtelain la tire de façon à la placer proche de moi. Ne pouvant bouger ma tête, je ne vois pas ce qui s’y trouve. Monsieur le Marquis me laisse ainsi et s’en va. Mais aussitôt un Dominant s’approche de moi, ne pas voir, ou ne pas sentir la présence du Maitre me fait un peu peur. Mais j’ai confiance en Lui et envers ceux à qui il me confie, ce qui me permet de pleinement me concentrer sur la satisfaction totale du Noble. Le Dominant m’observe d’un regard dur, froid et hautain comme la simple esclave soumise ou l’objet de plaisirs que je suis. Instinctivement, je baisse les yeux. Et me retrouver en cette situation d’infériorité par un simple regard dominateur me rappelle ma place et m’excite grandement. L’envie de jouir est déjà fortement présente, causée par la machine à baiser qui me besogne mon sexe sans s’arrêter dans un rythme digne d’un métronome et que je trouve rapide. Et il m’est donc tellement difficile de me retenir. Le Dominant approche sa grosse main sur mes seins, le gauche d’abord, il le caresse délicatement pour commencer, pour ensuite me le malaxer grossièrement en appuyant fortement, pour finir par me pincer le tétons bien fort et m’arracher une grimace de douleur quand il les étire tous les deux en même temps. Et c’est avec beaucoup de difficulté que je retiens un cri de douleur, mais ça me fait grandement mouiller. On me déverse aussi de la cire de bougie presque bouillante et on me pose des pinces mordantes aux lèvres intimes, aux tétons et sur les parties molles de mon corps comme sur le ventre…
Pour ne pas désobéir au Maitre qui m'a interdit tout son, tout cri, je m’abstiens avec difficulté de gémir aussi. Plusieurs dominants passent ensuite sur moi, certains me fouettent les seins et le sexe, à tour de rôle avec un martinet, d'autres s'occupent avec mes gros seins à travailler mes tétons, bref je suis utilisée de mille et une façon. J'ai plus d'une fois eu la sensation que j'allais désobéir, par la jouissance proche, prête à éclater, ou par des gémissements de plaisirs que je n’arriverai pas à contenir. Mais à chaque fois je pense à la déception que je causerai au Noble à désobéir me vient en tête et ça me donne la force de garde le silence et aussi de ne pas lâcher un orgasme dévastateur. Après cette heure passée, je reste seule attachée, essoufflée, épuisée, avec le souhait toujours plus que pressant de jouir. Mais la soirée continue, et plus personne ne s'intéresse à moi. J'espère avoir réussi à rendre Monsieur le Marquis fier de moi, par mon attitude, par mon obéissance, par ma capacité à satisfaire ses invités. Petit à petit je reprends mes esprits. Et surtout d’avoir pu souffler un peu, ça m'a permis de me reprendre un peu après cette heure si intense... Comme toujours le Châtelain m'a fait vivre des moments si incroyables, si forts, très très forts même, et je sais que l’on est juste en début de la soirée... Si avant cette soirée, j'étais nerveuse et peureuse à l'idée de décevoir le Maitre, je reconnais maintenant commencer à être impatiente de savoir ce qu’Il me réserve !
La salle commence à se vider, perdue dans mes pensées, je n'ai pas tout suivi ce qui se passait, et ou les invités sont partie, la soirée est-elle finie ? Pourtant personne ne vient me chercher, je reste ainsi attachée à ce siège gynécologique et j’attends. Quand deux soumises de Monsieur le Marquis arrivent, après je ne sais combien de temps. Je suis détachée alors par leurs bons soins. Tous mes membres sont engourdis à cause du manque de mouvements, et j’ai donc du mal à me relever et à me remettre debout, mais je suis fraternellement aidée par les deux soumises, toutes souriantes à mon égard… Mes esprits retrouvés, les deux soumises m'expliquent avec gentillesse que j'ai l'autorisation de marcher sur mes deux jambes, en bipédie. Je suis dirigée vers une pièce juste à côté de la salle où la réception a eu lieu. Après avoir frappé à la porte, les deux soumises ouvrent et devant nous je découvre un magnifique petit salon richement décoré et feutré. Le Châtelain est assis sur le canapé, et c'est avec Son autorisation que nous entrons dans la pièce, et allons-nous prosterner à Ses pieds, toutes les trois. Le Noble m’attrape alors par les cheveux, et les tire en arrière pour me relever la tête. Il me force ainsi à avoir la tête levée, mais pourtant instinctivement et sans aucun mot du Maitre je baisse les yeux, connaissant ma place.
Je sens sur moi le regard de Monsieur le Marquis, un regard impassible et calme, celui du pur Dominant. Et je prie de tout mon être de ne pas l’avoir déçu, ou de quelques façons que ce soit pendant ce temps ou j’ai été exposée et où ses amis invités ont pu profiter de moi, et de mon côté masochiste. Aucun mot n’est prononcé de le part du Maitre, la pièce est tellement silencieuse qu’on entendrait les mouches voler. Dans ce silence, je suis persuadé d’avoir déçu le Châtelain, car Il est toujours d’abord en premier lieu, silencieux après que je l’ai déçu, et ce qui me fait toujours encore plus culpabiliser. Les larmes me montent donc aux yeux, et malgré toute la difficulté à les retenir, elles coulent, mais je fais mon possible pour rester malgré cela, la plus silencieuse possible. Toujours sans un mot le Noble relâche ma tête qui retombe, puis je reprends ma position prosternée, le cul bien relevé, les bras bien en avant.
Monsieur le Marquis congédie ensuite Ses deux autres soumises toujours présentes dans la pièce. Il se lève, me tourne autour. J’entends le bruit de Sa ceinture qui s’ouvre. J’attends le cul bien exposé, persuadée que le Maitre va me fouetter avec, et que ce sera ma punition de Lui avoir déplu, mais rien ne vient, le Châtelain reste derrière moi ainsi un long moment, toujours dans le plus grand silence… Apres quelques temps à m’observer, j’entends aux pas du Noble qu’Il retourne s’asseoir sur Son fauteuil… Et c’est d’un claquement de doigts, qu’Il m’appelle à Ses pieds... A quatre pattes j’arrive donc devant Lui où j’attends à genoux, la tête baissée. Monsieur le Marquis, me connaissant, sait déjà ce que je pense, et que je suis persuadée de l’avoir déçu. Il me caresse alors délicatement la tête. Avant de commencer à parler d’une voix douce et apaisante.
- Ma chienne, c’est bien. Calme-toi, c’est fini ! J’ai Voulu par mon silence et ma froideur, te laisser penser que tu M’as déplu, que tu ne M’as pas satisfait. Je connais très bien ta capacité à te faire des ‘films catastrophes’ dans ta tête, et je veux que tu prennes confiance en toi-même, et en ta soumission laquelle tu as tant besoin. Tu es docile, obéissante, et pleine de dévotion et de motivation à Me satisfaire. Alors sache que je suis pleinement satisfait de toi, de ton attitude, tu m’as rendu fier, par ta docilité, ton abnégation, ton allégeance et ton obéissance. Et je veux, j’exige que même quand je suis silencieux et quand je ne dis rien, que tu saches que tu M’as satisfait, car quand ce ne sera pas le cas, tu le seras très vite. Bien alors comme là, tu M’as satisfait, tu vas même être récompensée, salope …
Sur ces mots le Maitre ouvre son pantalon, sort Sa grosse Verge déjà bandée et d’un claquement de doigts, je comprends l’ordre silencieux et sans appel, alors je prends Sa divine queue en bouche. Je m’applique le plus possible, j’y mets le plus de salive possible, afin que ma cavité buccale Lui soit agréable et accueillante comme un vagin, chaud et humide. Puis je fais de lents va-et-vient, parfois je mets de petits coups de langue sur le gland, sur le tour et le méat urinaire, puis sur toute Sa hampe et sur Ses magnifiques couilles, pour ensuite Le reprendre en bouche et Sa noble Verge vient buter le fond de ma gorge… Et c’est ainsi qu’Il me bourre la bouche de salope par des allers-retours, alors qu’Il me maintient fermement par ma queue de cheval afin d’imposer le rythme qui Lui convient le mieux, jusqu’à avoir la chance d’obtenir Sa Semence qui vient gicler dans ma gorge par des flots saccadés de sperme chaud, et que j’avale et savoure chaque goutte, tel un divin nectar….
- esclave, petite chienne, tu vas me suivre à quatre pattes vers le grand objectif de cette soirée. Dans quelques minutes tu deviendras une esclave MDE, une esclave avec Mes Initiales, qui te seront tatouées sur ton corps à vie. Tu deviendras donc à ce jour, à l’issue de cette soirée, pleinement et entièrement Ma propriété, tu seras marquée comme t-elle… Tu me connais esclave, et tu sais que rien n’est fait dans la contrainte, avec Moi tu sais que je ne suis pas un gourou, qu’être à Mes pieds ce n’est pas une prison, qu’on M’obéit par besoin, par nécessité, par motivation à Me satisfaire…Et donc Mon esclave, je te laisse pour la seule fois la possibilité d’avoir le choix. Es ce que tu souhaites, est-ce que tu acceptes, d'être à vie, Ma propriété la plus absolue, avec la garantie que tu seras toujours en sécurité, et que je prendrai toujours le plus grand soins de toi, et celle que si un jour tu souhaites partir, tu seras libre de le faire, mais sans jamais avoir la possibilité d’un retour à Mes pieds. Dis-moi, Ma chienne, avant que nous sortions par cette porte, vers ton avenir à Mes pieds. En conclusion, souhaites-tu vraiment devenir Ma propriété, devenir une esclave, Mon esclave MDE ? … Parle la chienne tu es autorisée...
Je n’ai même pas réalisé que durant le discours du Maitre, je commençais à pleurer. D’émotions fortes, de vive joie, cet instant me parait tellement irréel. J’en ai tellement rêvé, et j’ai du mal à parler, à m’exprimer, à prendre la parole tellement mon émotion est forte, et c’est avec beaucoup de difficulté et quelques minutes à me reprendre, le souffle court par mon cœur si ému, que je prends la parole
- Maitre tant Vénéré. Merci pour cet honneur suprême, pour cette chance inouïe. Oh oui, je Vous en supplie, faite de moi une esclave, Votre esclave entièrement, pleinement, à Vos pieds, je rêve, je souhaite plus que tout, être entièrement à Vous, porter Vos Initiales, Vous faire honneur, au Château chaque jour. Je Vous en supplie Maitre, faites de moi pleinement, Votre propriété la plus absolue, Votre objet, Votre chose, Votre ‘tout ce que Vous voudrez’, mon corps est à Vous, comme mon esprit. Je vous fais don de mon intimité qui ne m’appartient plus, avec Vous, je n’ai plus de pudeur, plus de honte, je vis juste pour Vous satisfaire. Chaque centimètre de mon corps est à Vous, tout ce qui est moi aussi est à vous, que ce soient ma transpiration, ma mouille, ma salive, mes excréments, mon urine, tout absolument tout est à Vous … Mon appartenance envers Vous est enfin officielle, et encore plus absolue. Oh que oui, Maitre Vénéré je le souhaite plus que tout, être pleinement Votre esclave qui porte Vos Initiales. Mille mercis pour cette chance, pour cette opportunité, pour le bonheur que Vous m’offrez d’encore plus Vous appartenir pleinement et à vie …
(A suivre …)
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