La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1519) - histoire érotique

Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) – (suite de l'épisode N°1502) -
- Bien Monseigneur…
Ronan trouvant le temps long depuis le départ de Clémence et il décida d’aller voir où elle était et comment elle allait. Quand, par une porte dérobée, il pénétra dans la chapelle, il vit sa bien-aimée perchée sur une petite échelle de bois en train de frotter à l’aide d’un chiffon pour nettoyer quelques statues. Ronan s’avança vers elle et lui mit la main sur les fesses.

- Clémence !

Surprise elle se retourna.

- Ronan…heu pardon... Oui Maître, dit- elle descendant de l’échelle, s’agenouillant sur le sol dallé, baissant la tête.

Ronan s’accroupit pour être à sa hauteur.

- Nous sommes seuls. Clémence qu’est ce qui s’est passé ? Je t’ai fait venir car pour beaucoup de novice, tu es un modèle de docilité et d’obéissance et là tu m’as désobéi et à une exigence très simple ?
- Je ne sais pas ce qui s’est passé, Maître, certes j’ai désobéi mais pas délibérément je pense plus à un réflexe malheureux.
- Réflexe ou pas, tu as conscience que je ne peux pas laisser passer une telle faute ?
- Je sais, Maître, et j’ai prié pour arriver à me pardonner moi-même car une fois la sanction passée, vous, vous m’aurez pardonnée. Je vous ai juré fidélité et en tant que soumise j’ai aussi juré obéissance … Maître, je vous supplie de me sanctionner pour ma faute indigne de votre éducation, faute commise devant une novice qui doit apprendre.
- Bien, alors on va redescendre dans la crypte, Marie nous attend depuis un bon moment.

Ils entrèrent dans la crypte.

- Marie exceptionnellement aujourd’hui, je vais punir Clémence devant toi pour que tu apprennes que chaque action a des conséquences. Mais attention ce qui se passe ici entre nous, reste ici, personne hormis mon père ne doit savoir. Est- ce bien clair ?
- Oui Monseigneur.
- Alors démarrons ma chienne, dit-il en s’adressant à Clémence, tu recevras 10 coups du chat à 9 queues.
- Le chat à 9 queues ? … Bien Maître...
- Déshabille-toi et met-toi en position salope et toi la gamine, tu observes.

Une fois fait, Ronan attacha Clémence dénudée, sur ce que de nos jours on appelle une croix de Saint-André, le corps regardant le mur. Il s’agissait en réalité de deux troncs de bouleau croisés debout et solidement reliés entre eux sur le croisement. Des cordages prêts à servir étaient flanqués à l’endroit des chevilles et des poignets. Une fois Clémence attachée, Ronan passa ses doigts sur le clitoris de sa belle soumise, clito si réceptif et il l’a senti frissonner. Le jeune homme ressortit ses doigts trempés de cyprine et les lui fit lécher afin de les nettoyer… C’est à ce moment-là qu’il sortit de son sac en bandoulière, le fouet-martinet et se positionna pour commencer. Le premier coup du chat à neuf queues retentit doucement, pas trop fort, histoire de lui échauffer les sens et il la sentit frémir. Ronan aimait bien faire monter progressivement la douleur. Deux coups sur fesses puis augmentant à chaque fois la puissance, jusqu’à arriver à 10 coups dont les deux derniers étaient lancés très forts, cinglant le fessier déjà bien rougi.

Et ainsi le niveau de la sensation de brulure de douleur était beaucoup plus intense et excitante pour le côté un peu secret d’un masochisme enfoui et ancré dans le fond intérieur de Clémence. Les jolies fesses de la soumise étaient donc bien plus rougies que d’habitude et surtout bien plus chaudes au toucher. Et aussi bien plus sensibles, lorsqu’il glissa ses doigts délicatement sur cette peau rougie, Clémence sursauta et frémi… Elle avait le sexe en feu, une véritable humidité y dégoulinait de cyprine… Ensuite Ronan eut l’idée de passer un plumeau sur les jolies fesses meurtries et de nouveau les sensations étaient beaucoup plus intenses... En la détachant, elle tomba dans ses bras et il la fit d’abord assoir sur sol froid des dalles de pierres et les fesses encore chaudes avaient déclenché une mini-jouissance en son corps chaud d’excitation. Le cul de Clémence était donc bien marqué. Clémence toujours assise par terre, leva la tête et embrassa la main que Ronan lui présenta :
- Merci Maître Ronan d’avoir corrigé ma faute de votre main.
- Demande pardon, maintenant que tu as subi la sanction, chienne- Veuillez pardonner ma faute, Maître, j’implore votre pardon… dit-elle en s’agenouillant- Bien, je te pardonne, mais ne te ravise pas à recommencer… L’incident est clos, passons à la suite.

Marie suite aux exigences de Ronan leur avaient préparer un petit coin fort confortable et même aménagé, spécialement pour Ronan, un endroit où il pourrait selon la situation s’assoir, s’allonger et même se tenir debout sans que ses pieds n’entrent en contact avec le sol glacial de la crypte. Ronan sourit voyant que ses exigences avaient été respectées à la lettre et son initiative le satisfaisait. Clémence et Marie patientaient à genoux tête baissée et mains dans le dos. Et il remarqua que Marie observait discrètement Clémence et l’imitait pour adopter les mêmes gestes et ne pas fauter. A ce moment-là, une idée commençait à naitre dans son esprit et Ronan se dit qu’il faudra qu’il en parle à son père. Ronan les trouvait belles, attirantes et désirables. Ensuite il s’installa confortablement assis, le dos appuyé sur les coussins, il claqua des doigts :
- Clémence, ma chienne, rejoint-moi.

Quant à Marie, il lui ordonna de le sucer et de tâcher de faire mieux que tout à l’heure. La belle jeune femme s’approcha jusqu’à trouver la position la plus adéquate et commença sa tâche une fois que Ronan avait quitté ses chausses. Elle prit la verge semis molle de Ronan dans ses mains afin de le faire durcir et de bien l’humidifier de sa langue et salive et aussi de ses baisers humides et chauds. Ensuite elle put le prendre en bouche et essaya de se souvenir de tout ce qu’on lui avait appris sur l’art de la fellation. Marie salivait abondement passait sa langue sur toute la hauteur titillant le gland et le méat urinaire au passage. Enroulant sa langue tout autour, descendant centimètre par centimètre. Ronan se dit dans sa tête ce n’est certes pas parfait mais elle y met de la bonne volonté avec le temps, elle deviendra une bonne suceuse. Il en était là de ses réflexions lorsqu’il sentit les mains de Clémence lui caresser doucement le torse et le couvrir de baisers. Il décida alors de s’allonger pour qu’elle ait plus facilement de possibilité à continuer, savourant ce moment soit une bouche qu’il pouvait embrasser et qui le couvrait de baisers et une autre bouche sur sa verge dressée à présent. Quand il trouva cela suffisant pour le moment, il ordonna à Clémence de terminer le travail de Marie, mais sans le faire jouir et exigea à Marie.

- Toi petite chienne, tu vas me présenter ta chatte coulante à lécher et interdiction de jouir sans mon autorisation et cela vaut pour toutes les deux.
- Bien Maître/Monseigneur répondirent-t’elles en cœur.

Clémence se mit donc entre ses jambes et Marie accroupie au-dessus du visage du Dominant afin qu’il puisse la lécher et se régaler de son plaisir féminin lequel il adore. Ronan explora tous les moindres recoins de la chatte de Marie. Plus il léchait, et plus elle mouillait et luttait pour retenir son orgasme montant quand soudain n’y tenant plus elle entendit enfin l’exigence libératrice.

- Marie, jouit maintenant je le veux.

Marie alors laissa exploser sa jouissance, lâchant sa cyprine abondante couler et inonder le visage de Ronan. Quand elle se retira, il lui ordonna de lui nettoyer le visage plein de son éjaculat féminin. Elle s’appliqua alors de sa langue habile, comme une petite chienne en chaleur, à lécher sa propre mouille sur le visage de l’homme. Quand elle eut terminé, il s’adressa à Clémence.

- Ça suffit. En levrette, ma chienne, je vais me vider dans ta chatte de salope.

Alors que Marie reprenait doucement ses esprits après un orgasme hors norme, Clémence se faisait baiser bestialement, en levrette, par Ronan qui la besognait sans modération. Il ordonna alors à Marie de venir lui lécher les couilles tandis qu’il besognait Clémence, ce qui fut assez difficile car Ronan était tout en mouvements dans la chatte de Clémence. Ils étaient déjà fortement excités et il ne fallut que quelques coups de reins virils et profonds pour qu’ils jouissent ensemble dès que Ronan l’autorisa.

- Vas- y ma chienne, jouit avec moi.

Et c’est ensemble dans de cris, des râles et des soupirs qu’ils se libérèrent. Pour Clémence, elle put enfin se lâcher d’un orgasme trop longtemps contenu, orgasme qui fut séismique. Ronan resta planté dans la chatte de Clémence en coït vaginal un long moment, tout e lui mordillant un lobe de son oreille, avant de se retirer, lui aussi vidé. Tous les trois se reposèrent ensuite un bon moment. Ronan entre les deux soumises qu’il enlaçait… Un peu plus tard, il fut temps de rentrer au Château pour se préparer pour le souper. Ronan attendit installer dans un fauteuil que Marie et Clémence rangent la crypte et remettent tout en ordre. Quand elles eurent terminé, elles vinrent se mettre à genoux à ses pieds. Il leur remit leur laisse er reprirent le chemin vers le Château. Arrivé à l’intérieur, il dit à Marie.

- Ce soir, tu es de service et je compte sur toi pour que tout soit parfait pour le repas du soir.

Marie remercia Ronan et alla aux cuisines pour aider pour le dîner. Quant à Ronan, il exigea à Clémence.

- Vas dans notre chambre, je vais demander à Chloris de passer pour apaiser ton dos et ton cul. Moi je dois parler à mon père...

(A suivre)