La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1522)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1522) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1522)
Alexsoumis au Château (Nouvelle histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1521) -
Chapitre 2 : Seconde rencontre avec Monsieur le Marquis d’Evans.

Mais ce que je savais c’est que ma rencontre avec le Noble ne m’avait pas laissé indifférent !…
J’invitais Louise et Charles à la maison le soir même, pour un barbecue. Une belle occasion pour y déguster le vin AOC du Château d’Evans. Charles, en fin connaisseur devant l’Eternel, trouvait ce breuvage tout à fait exceptionnel, il ne le buvait pas, il le dégustait lentement, d’abords des yeux en l’observant attentivement levant son verre à pied au-dessus de ses yeux, penchant le verre, puis en savourant une première gorgé tout en faisant travailler longuement ses papilles gustatives, ce beaujolais rouge était tout en rondeur et fruité, avec des arômes tenant en bouche, une cuisse parfaite, une robe de haute qualité, des saveurs remarquables, bref, un très grand cru, un véritable nectar. J’étais bien évidemment de son avis. Il était extrêmement rare de boire un beaujolais aussi bon, aussi délicat. Charles embrayait la conversation sur le vinificateur attitré du Châtelain, sur ce dénommé Marcel, qui selon lui, était un homme taciturne, peu disert, sobre et austère, mais ayant des doigts d’or pour vinifier et assembler les cépages. Un vrai talent, qui désespérait un peu Charles !

- J’avoue que je n’ai jamais su faire aussi bien que Marcel ! Ce vin est un pur chef-d’œuvre …
J’apprenais que Charles et Marcel se connaissaient depuis longtemps, mais depuis que Marcel était entré au service de Monsieur le Marquis, ils ne se voyaient plus. Ledit Marcel demeurait au Château et n’en sortait plus. Je questionnais Louise et Charles, avaient-ils d’autres éléments à me communiquer sur qui était le Marquis d’Evans ? Bien que quelque peu embarrassée, Louise me répondait :
- C’est quelqu’un de connu et de très respecté dans la région. Un homme paraissant froid au départ, mais qui est pourtant d’une grande générosité, un grand mécène récurrent pour les finances de la commune de son village. Il a, par exemple, financé entièrement la grande salle polyvalente qui porte son nom ‘La salle Edouard d’Evans’. Il a aussi aidé bon nombre de personnes à trouver un travail, un logement. Il a également financé le cabinet médical de la communauté de communes et grâce à lui, il a fait venir médecins, dentistes, kinés, etc, ce qui est une prouesse dans notre monde rural. Il a voulu que les gens d’ici puissent se soigner dans la proximité… Il est très attaché à la terre, à sa commune, à sa région qui l’a vu naître… Nous le voyons très souvent dans les fêtes de village. Il est impliqué sur le plan politique dans sa commune, faisant partie du conseil municipal comme premier adjoint, ayant toujours refusé la place de maire.

Charles ajoutait :
- Une très grosse fortune, d’une Famille noble depuis des siècles ! Les Evans sont de généreux mécènes depuis des siècles ! De l’argent qui coule à flot, il y en a chez le Marquis, ses aïeux ont su faire prospérer le Domaine. Mon père me disait que dans les années 1920, le grand-père de Monsieur le Marquis donnait du travail à tout le village et aux alentours, ayant investi à l’époque, dans plusieurs usines de plusieurs secteurs d’activités, en plus de celle viticole… Et Edouard, le Marquis actuel, bien que né avec une cuillère d’argent dans la bouche, a lui aussi su développer son patrimoine par son intelligence, son discernement et à la force de son investissement personnel. On dit qu’il a des participations financières dans de grosses entreprises internationales étant lui-même à la tête d’une multinationale, qu’il possède plusieurs propriétés en France (et à l’étranger), dont un hôtel dans le sud de la France, qu’il possède plusieurs immeubles haussmanniens sur les Champs-Elysées à Paris, et un haras en Normandie ! Et puis, il y a tout ce que l’on ne sait pas…
J’informais Louise et Charles de mon intention de rencontrer Monsieur le Marquis, dans le cadre de mon installation ici. Tous deux m’encourageaient à le faire, me rappelant que le Noble était très attaché à la vie économique de sa région où il est né. Donc aller le rencontrer était une chose que j’envisageais dès le lendemain matin…
La nuit fraiche m’avait permis de bien dormir, pourtant en me couchant ce n’était pas gagné, j’avais été encore une fois très excité à l’idée de rencontrer cet Homme. Pour pallier à cet excès de testostérone, j’avais dû me branler une nouvelle fois. J’en ai même éjaculé en m’imaginant simplement déambuler dans son Château, étant juste à ses côtés, alors qu’il ne faisait que m’observer attentivement ! Mais pourquoi diable étais-je tant enfiévré ? Qu’est-ce qu’il y avait d’excitant à imaginer juste cela ?… J’attendais dix heures pour appeler. Heure qui me paraissait idéale pour ne pas déranger Monsieur le Marquis trop tôt. Alors que je commençais à pianoter sur mon IPhone le numéro de téléphone lu sur sa carte de visite, je constatais que ma main tremblait. J’étais nerveux, très nerveux, à la fois impatient et inquiet. Au bout de la troisième sonnerie, une voix grave mais fluide répondait :
- Ici le Château de Monsieur le Marquis d’Evans, Walter à l’appareil, que puis-je pour vous ?

J’étais déconfis, je m’attendais tellement à parler directement à Monsieur le Marquis, j’hésitais un instant, me demandant même si je ne devais pas raccrocher. Je prenais une longue respiration, mais je balbutiais tout de même mes mots, la gorge serrée
- Allo, bonjour Monsieur, je suis Alexandre Lapeyrière.
- Oui bonjour monsieur, se connait-on ?
- Non Monsieur, - Pourquoi appelez-vous alors ?, me répondait ledit Walter assez sèchement, du genre à ne pas le déranger pour rien.

J’étais tétanisé, comme assommé par cette réponse glaciale. A cet instant mon petit bout de chair, ma nouille, entre mes jambes ne faisait plus l’intéressant. Je suais alors à grosses gouttes, tremblais, jamais je n’avais vécu une telle peur… bien pire qu’à mes oraux d’examens ! Je reprenais mon souffle.

- Monsieur le Marquis, que j’ai rencontré hier par hasard, m’a demandé de le rappeler, si j’avais besoin de ses précieux conseils…- Sachez que Monsieur le Marquis ne demande jamais, il peut éventuellement proposer mais jamais demander- Oui, pardonnez-moi, il m’a proposé de le rappeler, répondis-je impressionné et balbutiant encore plus mes mots- De le rappeler ? pourquoi ? répondait Walter toujours aussi sèchement.
- Je vais m’installer comme vigneron dans la commune voisine, et je vais avoir besoin de ses conseils. Il m’a dit de ne pas hésiter à prendre un rendez-vous avec lui.
- Monsieur le Marquis est très occupé, je vais voir si je peux le déranger, ne coupez pas… rappelez-moi votre nom ?
- Alexandre Lapeyrière, Monsieur.

J’entendais le combiné du téléphone se poser, des pas s’éloigner en faisant grincer un parquet de bois. J’attendais sagement. Au bout de quelques minutes, les mêmes sons, les mêmes grincements puis :
- Monsieur le Marquis vous recevra cette après-midi à 14H30 précises, soyez ponctuel, Monsieur le Marquis n’aime pas attendre. D’ailleurs, sachez qu’on ne le fait pas attendre- Bien Monsieur- Je suppose que vous viendrez en voiture ?
- Oui Monsieur- Donnez-moi la marque, la couleur et l’immatriculation de votre véhicule, pour que je puisse informer la sécurité, ce sont les gardes de la propriété de vous laisser passer.

Les informations données, je raccrochais en me disant que mon interlocuteur n’était pas des plus sympathiques. Il me semblait sévère, froid, autoritaire, austère, pas vraiment engageant, allant uniquement à l’essentiel. Malgré cela, mon objectif était atteint. J’avais obtenu mon rendez-vous. Maintenant il fallait que je prépare cette entrevue. Etrangement, je me mettais la pression, comme pour un examen de fin d’étude, ou un entretien d’embauche. Je couchais quelques mots clés sur une feuille blanche, en rayais certains, en rajoutais d’autres, pour tout compte fait, froisser cette feuille et la mettre à la poubelle. J’étais pour le moins nerveux, je décidais alors de me jeter dans la piscine pour me détendre. A midi, je déjeunais seul, pas une faim terrible, et toujours cette anxiété qui subsistait. Je m’interrogeais encore. Pourquoi ma famille, mes parents ne m’avaient jamais parlé de ce Marquis d’Evans ?, de ce Château bien caché aux abords de la route départementale… Ils avaient dû le connaitre pourtant, au moins de nom, de réputation, surtout avec tous les bienfaits qu’il a réalisés dans la région… C’est vrai que je savais, par exemple, qu’une vaste salle polyvalente flambant neuve et moderne avait été construit dans le village d’à-côté, mais j’avoue que je ne savais pas qu’elle avait été baptisée ‘salle Edouard d’Evans’
L’heure sonnait au clocher du village, j’étais prêt. J’avais revêtu un bermuda jaune et un petit polo bleu marine manche courte, une paire de basket aux pieds. Je voulais paraitre détendu, je ne l’étais pas du tout. Je partais en trombe comme si j’étais en retard, alors que j’avais une demi-heure d’avance. Il me fallait tout au plus un gros quart d’heure pour arriver au Château. Bien évidemment j’arrivais en avance, j’attendais dans ma voiture, garé au bord de la départementale, à deux cents mètres du chemin donnant accès à la propriété de Monsieur le Marquis. A 14 h 25, je me présentais enfin devant les grilles de la propriété. Le portail s’ouvrait automatiquement devant moi avant même que je descende de mon véhicule et que je sonne à l’interphone. Je garais ma voiture sous un immense chêne plus que centenaire occasionnant un appréciable espace ombragé. Je restais bouche bée et en admiration devant ce parc immense et entretenu à la perfection et devant cette somptueuse bâtisse, un imposant et majestueux Château avec une majeure partie certainement très ancienne et une autre petite partie plus récente. La façade était d’une grande sobriété, avec au premier étage des hautes fenêtres à meneau, au rez-de-chaussée de larges et hautes porte-fenêtres donnant sur une pelouse parfaitement taillée, on eut dit un green de golf, parsemé de massifs fleuris, de statues de nus grecs et des jets d’eau digne de Versailles.

- Venez par ici jeune homme !

Je n’avais pas vu cet homme sur le perron, costume gris, chemise blanche, col ouvert, chaussures cirées à la perfection. Bizarrement, il tenait dans l’une de ces mains, une cravache. Venait-il de monter à cheval ? Je me présentais à lui, en lui tendant ma main droite, qu’il saisissait fermement.

- Bonjour Monsieur, je suis…- Alexandre Lapeyrière. C’est bien, vous êtes ponctuel jeune homme, je suis Walter, le Majordome de Monsieur le Marquis d’Evans, suivez-moi je vous prie.

Nous entrions dans un immense hall d’entrée, j’hallucinais ! Des dalles en forme de damier et en marbre au sol, des amples tentures anciennes sur les murs. En face, une large ouverture flanquée d’une volée d’escaliers montant au premier étage, capitonnés d’une épaisse moquette rouge et avec une rampe fine et extrêmement travaillé en fer forgé, des tableaux anciens sur les murs des côtés… je ne savais plus où porter mon regard tant il y avait de richesse ici, juste dans ce hall ! Et ce que l’on ne pouvait pas manquer d’observer, c’était cet immense et très impressionnant lustre aux très nombreuses ampoules de cristal, digne de la galerie des glaces avec ses 2 à 3 mètres de diamètre environ et qui trônait silencieusement pendu par un solide câble au centre du hall d’entrée…
- Déchaussez-vous ici, jeune homme !

J’obtempérais sans comprendre
- Déposez vos chaussettes également et rangez-les dans vos baskets !

Mes chaussettes étaient pourtant propres ! Je faisais ce que ce Monsieur Walter exigeait tout en me demandant, au rythme où allait les choses, si je n’allais pas me retrouver à poil d’ici peu !

- Suivez-moi maintenant, ordonnait-il avec aisance et assurance.

Walter m’entrainait dans un long et large couloir lumineux et surtout luxueux avec des boiseries vernis sur les murs, des tableaux accrochés de part et d’autre et une autre moquette épaisse au sol. Ci-et-là des guéridons en décoration avec des vases anciens chinois, me semblait-il… Je comprenais un peu mieux pourquoi le Majordome m’avait demandé de me déchausser !

- Vous allez attendre ici, dans ce boudoir, que Monsieur le Marquis daigne vous recevoir.

Je m’asseyais sur ce fauteuil crapaud en maugréant à mi-voix :
- ‘’Que Monsieur le Marquis daigne vous recevoir’’, non mais, j’ai tout de même pris rendez-vous, pour qui il se prend celui-là ! !
- Plait-il !, me lançait Walter sévèrement- Non rien, mille excuses- Il est certainement préférable que je ne vous ai pas entendu, dit-il sévèrement et en quittant cette fois le boudoir.

Je n’appréciais guère ce Walter avec ses grands airs ; pour qui se prenait-il ? Je n’étais pas mécontent de le voir repartir. Cette petite pièce était très belle, meublée, d’un large vaisselier d’époque sur le côté. Il y avait aussi une petite table ronde style Louis XV et le siège sur lequel j’étais assis, des murs richement habillés à la décoration rustique, et un splendide et haut plafond à la française avec de belles poutres en chêne, deux portes pleines elles aussi en chêne massif et travaillé, une par laquelle j’étais entré, l’autre juste en face. Juste une petite fenêtre éclairant pourtant largement l’espace, une belle pièce à l’image de cette débauche de richesse exposée dans le hall et le couloir emprunté pour venir jusqu’ici. Mais ce que je remarquai, c’était ce large tableau, au magnifique cadre, datant de plusieurs siècles et exposé sur le mur au-dessus du vaisselier. Il représentait deux hommes richement habillés comme à l’époque de la grande noblesse. Le premier de ces hommes ressemblait au Marquis d’Evans, je pensais donc qu’il s’agissait d’un de ses aïeuls, il était debout la tête haute, l’air sévère et avait un épais livre entre les mains. Le deuxième homme était assis à côté, sur une petite table d’époque, une plume à la main à côté d’un encrier, un manuscrit posé sur ladite table. Je me levais donc pour voir de plus près et je reconnus de suite cet homme assis, je l’avais déjà vu, presque par hasard, il y a peu de temps d’ailleurs et son visage ne m’était donc pas inconnu ! Ca y est je m’en souvins, je l’avais vu dans une encyclopédie, je reconnus donc le fameux Marquis de Sade …
Je me rassis en me disant que l’aïeul du Noble et le Marquis de Sade se connaissaient … Perdu dans mes pensées interrogatives à la vie de ce magnifique tableau de maître, je commençais à avoir froid aux pieds sur ces dalles de pierre, et pour cause, cela faisait plus de trois quart d’heure que je patientais ou plutôt m’impatientais. La porte à l’opposé de celle par laquelle j’étais entré s’ouvrait enfin. Monsieur le Marquis entrait, avec l’esquisse d’un sourire. Sa silhouette en imposait déjà, il se tenait droit, laissant deviner qu’il était du genre à contrôler parfaitement toute situation.

- J’ai été retenu plus longtemps que prévu, par une affaire urgente à régler, veuillez me suivre mon cher Alex… vous permettez que je vous appelle Alex ?

Il ne s’excusait pas de m’avoir fait attendre, mais il ne devait pas être homme à se rabaisser à cela quand il devait juger cela inutile… J’entrais dans ce qui devait être le bureau du Maître des lieux. Une grande pièce éclairée par deux immenses portes-fenêtres, aux hautes tentures d’un épais velours bordeaux, donnant sur le parc du Château. Une large table de bois et marbre stylé, sur laquelle étaient posés de nombreux ouvrages anciens, des documents et livres, un écran et un clavier d’ordinateur, trônaient dans un angle dans cette pièce. De l’autre côté, un petit salon feutré, avec un large fauteuil en bois sculpté et recouvert d’un épais velours vert tendre et d’autres fauteuils plus modestes ceux-ci du style de la Renaissance. Aux murs, une toile de la Sainte Victoire, était-elle l’œuvre de Paul Cézanne ?, un Picasso, était-ce un véritable Picasso ?, idem, il y avait aussi un Monet, un Van-Gogh… Et derrière son bureau, sur le mur du fond, trônait sur toute la surface murale une immense reproduction d’une photo du Château avec le parc devant, sur une large perspective et dans une lumière mise en valeur. J’étais impressionné par ce décor mais aussi par l’Homme près de moi. Très élégant, vêtu sobrement d’un costume gris clair, d’une chemise blanche avec cravate bleu roi, il me regardait fixement avec ses yeux bleus clairs. Je lui donnais la cinquantaine, notais quelques détails, comme ses ongles coupés courts, des doigts longs extrêmement propre, une chevalière avec blason à son auriculaire droit, des boutons de manchettes avec trois lettres gravées sur celles-ci : MDE, des mocassins vernis et lustrés à la perfection.

- Je vous en prie, Alex, asseyez-vous !

Monsieur le Marquis joignait la parole au geste, en me montrant un confortable fauteuil, sur lequel je devais m’assoir, lui prenait le plus noble. Je me trouvais ridicule, pieds nus, avec un short et un simple tee-shirt devant le chic et l’élégance de Monsieur le Marquis. Je notais aussi que le fauteuil sur lequel j’étais, avait une assise beaucoup plus basse que le sien, ainsi, plus bas, je me sentais petit, chancelant, presque vulnérable.

- Vous n’avez pas tardé à me contacter jeune homme, vous avez bien fait. En quoi puis-je vous être utile ?

J’étais très intimidé, avais du mal à avaler ma salive à respirer normalement. Ma gorge se nouait, mon esprit se perdait, je bafouillais dès mes premiers mots.

- Je… mer… - Allons Alex, calmez-vous, reprenez-vous. Je ne vais pas vous manger…
Je respirais alors un grand coup en regardant les pieds de Monsieur le Marquis. Il m’était difficile, voire impossible, de le regarder dans les yeux.

- Tout d’abord, je tenais à vous remercier de m’accorder un peu de votre précieux temps….
- Allons jeune homme, allons droit au but, je n’ai guère de temps à vous consacrer !

Je lui expliquais avec moult détails mon désir de m’installer à la bastide, d’y produire du vin, d’investir dans du matériel neuf et plus moderne, de vendre mon vin à l’exportation, etc... Lui m’écoutait attentivement, ses yeux hypnotiques en permanence fixé sur moi... Un regard que je qualifierais de puissant, un regard qu’on n’oublie pas, un regard qui vous saisit de la tête aux pieds. Un regard … comme dire ?… un regard de Dominant …
(A suivre …)

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