La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1526)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1526)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1525) -
Chapitre 5 : La traite -
- Dorénavant, tu m’appartiens et tu t’appelleras alexsoumis ... Je ne t’ai pas reproché de M’appeler, tantôt, Maître car Je savais que tu l’as dit avec une extrême motivation et que j’étais certain que cela soit ta véritable destinée d’être à Mes pieds. Mais maintenant, c’est avec Mon consentement et Mon exigence que tu dois M’appeler ainsi, Maître…
alexsoumis ! Je portais dorénavant ce nom ! Alex avait disparu pour laisser place à alexsoumis ! Et je me surprenais moi-même à trouver ce fait, finalement évident, normal. J’en étais nullement choqué, bien au contraire… alexsoumis ! Oui, c’est ce que j’étais devenu un soumis, et aussi naturellement à ne plus m’en étonner, à bien y réfléchir… Il n’y avait plus aucun bruit dans cet immense parc, hormis la stridulation des grillons s’en donnant à cœur joie dans le gazon, la nuit allait tomber sous peu et sous la probable douceur nocturne d’un clair de lune estival. J’étais là, toujours nu, face au sol, fesses relevées, anus exhibé et humide, sur ce perron à attendre. A attendre quoi précisément ? Je n’en savais strictement rien. Monsieur le Marquis m’avait dit de rester ainsi, sans bouger, autant de temps qu’il le faudrait, autant de temps qu’Il l’exigerait. Juste avant qu’Il ne reparte, Il avait ordonné de ses deux belles soumises qu’elles viennent, chacune leur tour, m’honorer. Je n’avais pas compris ce terme, elles si. Un seul coup de cravache sur les fesses de celle se tenant sur ma droite avait suffi. Elle s’était déplacée en quadrupédie jusqu’à derrière moi, s’était placé entre mes jambes largement écartées, et était venu poser, sans une once d’hésitation, sa bouche sur mon anus. Elle m’avait léché méthodiquement, cherchant même à introduire sa langue dans mon intimité. La seconde soumise avait agi de la même manière, pénétrant son appendice buccal le plus loin possible en moi.
Troublé, je l’étais encore… moi qui n’avais jamais eu de relations intimes avec une femme ! Me faire lécher ainsi, dehors, au coucher du soleil, dans une posture de dépravation… par deux femmes... Je n’en revenais pas… Les femmes aussi belles soient-elles ne m’attiraient pas. Ce n’était pas mon truc. Seuls les hommes, les garçons avaient mes faveurs. J’étais homosexuel depuis ma puberté et m’assumait ainsi. Mes parents, eux aussi, avait accepté mon orientation sexuelle sans aucun problème. Aujourd’hui, j'en comprenais les raisons et je savais pourquoi… eux qui avaient séjourné plusieurs années ici, ils avaient dû en voir en et en entendre de toutes les couleurs ! Les deux soumises rentraient en quadrupédie à l’intérieur du Château me laissant seul… La nuit était claire, la fraîcheur tombait, les crampes, elles, s’étaient installées dans mon corps depuis longtemps, d’abord dans mes bras et jambes puis avaient investi l’ensemble de mes muscles, jusqu’à ceux que j’ignorais encore. J’en tremblais, étais au bord de craquer, quand j’entendis :
- C’est bien le chien, tu es courageux et résistant, nous allons faire de toi, une belle salope, hélait Walter de loin.
Je l’entendais venir de derrière moi, ses pas crissant sur les graviers rouges de la cour. Il avançait lentement, comme s’il voulait encore me tester quelques secondes de plus… A cet instant, je le maudissais, hargneux je l’étais, il allait voir ce Majordome de mes deux, ce que j’étais capable de faire ! Je serrais les dents et les poings et restais impeccablement immobile. Lui, montait tranquillement les marches du perron, passait près de moi, sans un regard, sans une attention particulière et entrait au Château. « Quel salaud ! » pensais-je… Je m’avouais vaincu, le corps trop douloureux, je m’écroulais au sol…
- Une heure, douze minutes et trente-sept secondes précisément, ce n’est pas mal, mais peut mieux faire. Et devra faire beaucoup mieux, s’il souhaite être un bon chien dévoué au Maître !
Le Majordome était revenu… juste quelques secondes après que je fus tombé à même le sol, avachi de fatigue musculaire. Walter, comme s’il avait tout enregistré, tout vu, jusqu’à minuter le temps de mon immobilité me scrutait de bien haut, d’un air sévère. Avec une cravache, il me claquait les fesses à six ou sept reprises et m’ordonnait de me redresser, de me mettre à quatre pattes et de le suivre. Après quelques marches descendues avec difficulté sur la pierre dure des marches sur mes genoux meurtris, il me faisait entrer par une porte basse et dérobée donnant sur l’arrière du Château après un long couloir étroit. Il la déverrouillait, me poussait à l’intérieur, m’entrainait dans ce long couloir voûté seulement éclairé par des néons blafards jusque dans une pièce sans fenêtre dans laquelle il y avait une rangée de cellules, toutes les unes à côté des autres, séparées par de lourds barreaux d’acier. Il me poussait dans l’une d’elle, qui était entrouverte, repoussait la grille derrière moi. Celle-ci se verrouillait automatiquement.
- Te voilà chez toi petite salope, voilà cet endroit qui t’est dédié, la cellule numéro 9. A chaque fois que tu seras convoqué par le Maître, tu viendras ici directement, sans passer par la case perron. La porte dérobée de la cour n’est jamais verrouillée et ainsi tu auras toujours accès à cette cellule directement. Tu te foutras à poil dans ta voiture, tu y laisseras tes effets personnels et rejoindra ce lieu directement sans attendre. Tu t’enfermeras toi-même dans cette cellule, tu as vu, tu n’as qu’à tirer la lourde grille et celle-ci se verrouille automatiquement. Une fois à l’intérieur, tu mettras ton collier, il sera toujours pendu là, à cet endroit et tu attendras que l’on daigne venir te chercher. Ah, oui, autre chose… Ce seau, là, en métal, est fait pour recueillir tes déjections. Sur ce… bonne nuit, salope !
Incroyable, j’étais dans un monde de pure perversion et de déviance ! Avais-je bien entendu Walter ? Il voulait qu’en arrivant au Château, à chaque fois que je devrais m’y rendre, moi seul devait venir m’enfermer dans cette cellule… J’en comprenais le sens : Un acte fort qui me permettrait à chaque venue ici de renouveler résolument mon engagement, mes vœux volontaires et catégoriques de soumission. Jamais je n’avais imaginé une telle perfidie, même dans mes fantasmes les plus diaboliques, les plus brulants, les plus excitants. La cellule devait faire deux mètres de large sur trois de long. Tout au fond, contre le mur en pierre, posé à même le sol, une paillasse sur laquelle il y avait une couverture pliée en quatre. A ce mur, il y avait même plusieurs anneaux métalliques scellés auquel étaient attachées des chaînes… En levant la tête, j’aperçus aussi d’autres chaînes destinées à être pendues, celles-ci étaient enroulées sur des enrouleurs et prêtes, je l’imagine, à être déroulées dans le vide… Dans quel état d’esprit étais-je, là, à cet instant ?… Bien difficile de le dire, bien difficile de décrire avec précision ce que je ressentais. J’étais, nul doute, effrayé, les choses s’étaient passées si vite. En l’espace de quatre jours, ma vie avait basculé. Du jeune homme libre, ambitieux, peut-être même présomptueux, avec une certaine aisance financière, je me retrouvais là dans le plus grand dénuement, enfermé entre des barreaux tel un banni, détenu et, de plus est, de mon plein gré. Malgré ça, j’éprouvais aussi certainement un bien-être avec des sensations agréables procurées par la satisfaction de besoins physiques et psychiques qui s’imposaient à moi désormais. Ma Nature primitive et servile s’exprimait par mes plus bas instincts que j’aspirai à vivre, désormais.
Faisait-il jour ? Nuit ? J’avais dormi, malgré ces lampes restées éclairées, malgré cette paillasse défoncée. J’entendais gémir, soupirer, souffler, geindre, murmurer. Je soulevais quelque peu la tête pour comprendre ce qu’il se passait près de moi. Là, deux cellules plus loin, une jeune et belle femme, à l’évidence une soumise, puisque nue et avec un collier épais autour du cou, identique au mien, se faisait prendre par un homme que je ne connaissais pas. Lascive, ses cheveux longs et blonds couvraient presque pudiquement ses seins, elle était allongée sur le dos, les jambes relevées, les chevilles posées sur les épaules de celui qui la besognait à grands coups de reins visiblement virils, puissants, profonds. Elle était calme, impudique, obscène même, elle se laissait donc besogner en geignant doucement malgré les grands coups de butoirs que l’homme lui donnait. Lui, sauvage, rustre, pantalon baissé à mi-cuisses, parce que sans doute pressé de se vider, s’enfonçait en elle, en faisant claquer ces attributs masculins contre ses fesses relevées et offertes. Peu de temps après, il jouissait à grand bruit puis remballait son matériel et s’en allait sans un regard ou une attention particulière vers cette jeune femme qu’il venait de baiser. Il était venu de tirer son coup… point ! Et cette soumise avait été juste utilisée, elle avait juste servi de vide-couilles, elle était juste devenu un trou, un simple trou à remplir, baiser, et s’y vider à l’intérieur… Et elle semblait en être épanouie de cette réalité, quand j’observais son visage serein et qui exprimait à l’évidence, un véritable bien-être…
A peine rendormi, immédiatement réveillé, j’étais sorti de ma paillasse avec perte et fracas. Walter tenait fermement mon collier et m’entrainait hors de la cellule en m’obligeant à marcher courbé, plié en deux, alors que j’avais le dos en compote. A plusieurs reprises, je trébuchais, mais avec sa poigne, le Majordome me retenait, tout en me conduisant d’un bon pas à l’étage supérieur par un dédale de couloirs et portes. Enfin arrivés, j’étais installé et me retrouvais vite fait, bien fait, en levrette, ventre en appui sur le sol relevé d’une petite marche, bras et mains entravées, jambes attachées et maintenues largement écartées, anus exposé, sexe enfin libéré avec ma cage que le Majordome m’ôtait !
- Monsieur le Marquis, la salope est prête, pensez-vous qu’il faille réellement lui purger les couilles ? Celles-ci ne me semblent pas vraiment pleines, faisait remarquer Walter en tâtant et malaxant douloureusement mon scrotum.
Le Noble était là, simplement vêtu d’un peignoir en soie, pieds nus, sans un mot, Il me caressait le postérieur, Ses doigts inquisiteurs frôlant mon entrée anale. J’en frissonnais déjà.
- Je veux que nous prenions notre temps Walter, je veux que ce chien soumis apprenne plusieurs choses : D’abord se contenir, ensuite qu’il sache ce que jouir du cul veut dire, enfin qu’il se libère de tout préjugé en se donnant comme une lope doit le faire. Si tout ça est concluant, si toutes Mes exigences sont parfaitement respectées alors nous lui purgerons les couilles et le viderons pour soulager sa prostate. Les chiens soumis, comme les chiennes soumises d’ailleurs, savent que tout orgasme se mérite ici. Lui aussi doit comprendre ça, puisque désormais, il est entré, par sa seule volonté, à Mon service, sous Mon Joug !
Je sursautais déjà, quelque chose de froid, un liquide visqueux tombait sur mes fesses. Walter étalait ce gel lubrifiant sur mes lobes. Il recommençait à plusieurs reprises, un massage un peu rude, avec un doigt épais, qui venait régulièrement caresser mon anneau sans jamais le pénétrer. Avec méthode et du gel en abondance, son pouce, appuyait sur ma corolle flétrie, sa main glissait dans ma raie anale pour descendre sur mes testicules et mon sexe bandé qu’il caressait et branlait doucement. Déjà je soupirais d’extase, de plaisir, oui un plaisir intense qui était maintenant au rendez-vous, avec une envie de jouir pressante. De sa main gauche, il maintenait ma verge en arrière juste par mon gland décalotté et continuait à me caresser les fesses de son autre main, celle-ci glissait sur mon périnée et mes testicules, son pouce passant régulièrement sur mon trou. Je me sentais, non pas chien, mais chienne, avec un besoin pressant de sentir ce doigt me pénétrer. Mais non, lui continuait ce massage pendant de longues minutes encore, sans se préoccuper de mes souhaits les plus lubriques d’être sailli bestialement, là, sauvagement même ! Mes souhaits étaient enfin exhaussés, enfin, disons en ce qui concerne ressentir au moins juste quelques chose dans mon cul, quand son pouce entrait en moi. Je me cabrais, tremblais de tout mon être et geignais, un râle sorti de nulle part, je ne m’étais jamais entendu ‘agoniser de désir’ ainsi. Son doigt tournoyait en moi, contraignait mon anus à s’ouvrir, à se dilater, alors que ma verge était délicatement branlée.
- Cette grosse salope semble apprécier !, lançait le Maître resté jusqu’ici silencieux mais ne perdant pas une miette du spectacle que je Lui offrais.
Le Châtelain m’entendait soupirer, me voyait me dandiner, me déhancher. Était-ce doigt qui tournoyait en mon trou, ou moi qui ondulait autour de ce doigt ? Je perdais tout repère, happé par des sensations extraordinaires jamais vécues. Walter venait de pousser en moi, un petit objet conique et dès que celui-ci me pénétrait de toute sa longueur, il posait sur la base de ce plug, un stimulateur à tête flexible et rotative qu’il actionnait. Les vibrations engendrées étaient tout simplement démoniaques et diaboliques, j’en perdais la raison. Je râlais tant et plus, tentais de me cabrer, tremblais de tout mon corps, telle cette chienne en chaleur sommeillant en moi, alors qu’une main astiquait toujours lentement ma nouille gluante et bandée à l’extrême.
- Ne jouis pas salope, tu ne pourras le faire que lorsque le Maître l’aura décidé !, m’ordonnait Walter sur un ton sévère.
Comment faisais-je pour tenir ?… quand les vibrations étaient tellement infernales sur ce second plug qu’on venait de me poser jusqu’à la garde, plus gros que le précédent, envoyant des ondes de choc dans mes entrailles et plus précisément sur ma prostate.
- Voyez Monsieur le Marquis, il s’ouvre parfaitement bien, son cul se dilate sans une once de difficulté, il vient d’avaler ce second plug, pourtant d’une bonne dimension, sans aucun problème. Visiblement, son trou de pute à l’habitude de se faire prendre … La saillie anale ne sera qu’une formalité, si vous décidez de prendre Votre chien soumis !
- Parfait, mon bon Walter, nous allons vérifier cela !, lui répondait le Noble.
On m’arrachait alors ce second plug, Monsieur le Marquis se positionnait derrière moi, me maintenait fermement par les hanches et me plantait d’un coup sec Son Membre terriblement déjà tendu, long et épais, ce qui me faisait dire que le traitement qu’avait appliqué le Majordome sous Ses yeux avait terriblement excité le Châtelain.
- Oh putain !, osais-je articuler, sans contrôler mes dires.
- Oui, tu n’es qu’une putain, qu’une chienne à démonter, à enculer, à baiser, reprenait le Noble en me claquant le cul d’une volée de fessées cinglantes.
Alors que le Maître me sodomisait bestialement tel un mâle en rut, Walter me passait autour de la verge un objet à tête flexible qui venait enserrer mon pénis à l’aide de ses deux rabats et le mettait immédiatement en action…. Terrible, c’était simplement apocalyptique…
- Je… je vais…- Non pas encore, ne jouit pas tout de suite, la pute, laisse-moi t’ensemencer et seulement après tu jouiras !, m’ordonnait le Maître.
Je n’allais pas pouvoir tenir longtemps, ces virils coups de butoir irradiaient mon être tout entier, je jouissais du cul, j’en comprenais maintenant le sens. Cette machine infernale et vibrante sur mon sexe me rendait comme fou. Le Maître me saisissant toujours par les hanches, poussait violemment, me labourait les entrailles, ces testicules claquaient contre les miennes, tout en me traitant de mille appellations des plus humiliantes, jusqu’à cet instant où il se figeait et giclait plusieurs fois, une quantité importante de flots saccadés de sperme en mes entrailles, en gémissant et envoyant des râles orgasmiques sans retenues, bruyamment. Puis il resta planté en moi, quelques secondes en un coït anal, parfaitement immobile
- Voilà, tu es définitivement à Moi maintenant, vas-y jouis et braille comme une lope doit le faire lorsqu’elle éjacule, la pute.
Walter accélérait les vibrations sur mon sexe, quelques secondes après, par spasmes successifs, je giclais en envoyant mon foutre sur le sol, sans contenir mes cris libérateurs de chienne en chaleur !
- Détache-le Walter, je veux le voir laper ses souillures !
Alors toujours en levrette, tel un chien, je me mis à lécher mon propre sperme avec dévotion, n’occultant aucune goutte tombé au sol, puis le Maître reposait Lui-Même la cage de chasteté sur mon sexe maintenant flasque et s’en allait rejoindre Ses appartements, sans un autre regard pour moi. Il me laissait là avec Walter, qui me raccompagnait jusque ma cellule. Il m’ôtait le collier, le rangeait à l’endroit où il devait être et me laissait repartir en me disant :
- Tu retrouveras tes effets personnels dans ta voiture, Tâche de garder en toi la divine et sacrée Semence de Monsieur le Marquis, laisse-là se diffuser dans ton corps mais aussi dans ta tête de chien soumis, ainsi tu vibreras, chien soumis.
Je traversais l’immense cour gravillonnée, nu, le cul bien ouvert et poisseux par ce gel lubrifiant, et qui dégoulinait un peu du trop-plein de sperme, puis j’enfilais short et tongs, et je repartais fébrile mais les couilles vidées, en direction de la Bastide…
(A suivre…)
Chapitre 5 : La traite -
- Dorénavant, tu m’appartiens et tu t’appelleras alexsoumis ... Je ne t’ai pas reproché de M’appeler, tantôt, Maître car Je savais que tu l’as dit avec une extrême motivation et que j’étais certain que cela soit ta véritable destinée d’être à Mes pieds. Mais maintenant, c’est avec Mon consentement et Mon exigence que tu dois M’appeler ainsi, Maître…
alexsoumis ! Je portais dorénavant ce nom ! Alex avait disparu pour laisser place à alexsoumis ! Et je me surprenais moi-même à trouver ce fait, finalement évident, normal. J’en étais nullement choqué, bien au contraire… alexsoumis ! Oui, c’est ce que j’étais devenu un soumis, et aussi naturellement à ne plus m’en étonner, à bien y réfléchir… Il n’y avait plus aucun bruit dans cet immense parc, hormis la stridulation des grillons s’en donnant à cœur joie dans le gazon, la nuit allait tomber sous peu et sous la probable douceur nocturne d’un clair de lune estival. J’étais là, toujours nu, face au sol, fesses relevées, anus exhibé et humide, sur ce perron à attendre. A attendre quoi précisément ? Je n’en savais strictement rien. Monsieur le Marquis m’avait dit de rester ainsi, sans bouger, autant de temps qu’il le faudrait, autant de temps qu’Il l’exigerait. Juste avant qu’Il ne reparte, Il avait ordonné de ses deux belles soumises qu’elles viennent, chacune leur tour, m’honorer. Je n’avais pas compris ce terme, elles si. Un seul coup de cravache sur les fesses de celle se tenant sur ma droite avait suffi. Elle s’était déplacée en quadrupédie jusqu’à derrière moi, s’était placé entre mes jambes largement écartées, et était venu poser, sans une once d’hésitation, sa bouche sur mon anus. Elle m’avait léché méthodiquement, cherchant même à introduire sa langue dans mon intimité. La seconde soumise avait agi de la même manière, pénétrant son appendice buccal le plus loin possible en moi.
Troublé, je l’étais encore… moi qui n’avais jamais eu de relations intimes avec une femme ! Me faire lécher ainsi, dehors, au coucher du soleil, dans une posture de dépravation… par deux femmes... Je n’en revenais pas… Les femmes aussi belles soient-elles ne m’attiraient pas. Ce n’était pas mon truc. Seuls les hommes, les garçons avaient mes faveurs. J’étais homosexuel depuis ma puberté et m’assumait ainsi. Mes parents, eux aussi, avait accepté mon orientation sexuelle sans aucun problème. Aujourd’hui, j'en comprenais les raisons et je savais pourquoi… eux qui avaient séjourné plusieurs années ici, ils avaient dû en voir en et en entendre de toutes les couleurs ! Les deux soumises rentraient en quadrupédie à l’intérieur du Château me laissant seul… La nuit était claire, la fraîcheur tombait, les crampes, elles, s’étaient installées dans mon corps depuis longtemps, d’abord dans mes bras et jambes puis avaient investi l’ensemble de mes muscles, jusqu’à ceux que j’ignorais encore. J’en tremblais, étais au bord de craquer, quand j’entendis :
- C’est bien le chien, tu es courageux et résistant, nous allons faire de toi, une belle salope, hélait Walter de loin.
Je l’entendais venir de derrière moi, ses pas crissant sur les graviers rouges de la cour. Il avançait lentement, comme s’il voulait encore me tester quelques secondes de plus… A cet instant, je le maudissais, hargneux je l’étais, il allait voir ce Majordome de mes deux, ce que j’étais capable de faire ! Je serrais les dents et les poings et restais impeccablement immobile. Lui, montait tranquillement les marches du perron, passait près de moi, sans un regard, sans une attention particulière et entrait au Château. « Quel salaud ! » pensais-je… Je m’avouais vaincu, le corps trop douloureux, je m’écroulais au sol…
- Une heure, douze minutes et trente-sept secondes précisément, ce n’est pas mal, mais peut mieux faire. Et devra faire beaucoup mieux, s’il souhaite être un bon chien dévoué au Maître !
Le Majordome était revenu… juste quelques secondes après que je fus tombé à même le sol, avachi de fatigue musculaire. Walter, comme s’il avait tout enregistré, tout vu, jusqu’à minuter le temps de mon immobilité me scrutait de bien haut, d’un air sévère. Avec une cravache, il me claquait les fesses à six ou sept reprises et m’ordonnait de me redresser, de me mettre à quatre pattes et de le suivre. Après quelques marches descendues avec difficulté sur la pierre dure des marches sur mes genoux meurtris, il me faisait entrer par une porte basse et dérobée donnant sur l’arrière du Château après un long couloir étroit. Il la déverrouillait, me poussait à l’intérieur, m’entrainait dans ce long couloir voûté seulement éclairé par des néons blafards jusque dans une pièce sans fenêtre dans laquelle il y avait une rangée de cellules, toutes les unes à côté des autres, séparées par de lourds barreaux d’acier. Il me poussait dans l’une d’elle, qui était entrouverte, repoussait la grille derrière moi. Celle-ci se verrouillait automatiquement.
- Te voilà chez toi petite salope, voilà cet endroit qui t’est dédié, la cellule numéro 9. A chaque fois que tu seras convoqué par le Maître, tu viendras ici directement, sans passer par la case perron. La porte dérobée de la cour n’est jamais verrouillée et ainsi tu auras toujours accès à cette cellule directement. Tu te foutras à poil dans ta voiture, tu y laisseras tes effets personnels et rejoindra ce lieu directement sans attendre. Tu t’enfermeras toi-même dans cette cellule, tu as vu, tu n’as qu’à tirer la lourde grille et celle-ci se verrouille automatiquement. Une fois à l’intérieur, tu mettras ton collier, il sera toujours pendu là, à cet endroit et tu attendras que l’on daigne venir te chercher. Ah, oui, autre chose… Ce seau, là, en métal, est fait pour recueillir tes déjections. Sur ce… bonne nuit, salope !
Incroyable, j’étais dans un monde de pure perversion et de déviance ! Avais-je bien entendu Walter ? Il voulait qu’en arrivant au Château, à chaque fois que je devrais m’y rendre, moi seul devait venir m’enfermer dans cette cellule… J’en comprenais le sens : Un acte fort qui me permettrait à chaque venue ici de renouveler résolument mon engagement, mes vœux volontaires et catégoriques de soumission. Jamais je n’avais imaginé une telle perfidie, même dans mes fantasmes les plus diaboliques, les plus brulants, les plus excitants. La cellule devait faire deux mètres de large sur trois de long. Tout au fond, contre le mur en pierre, posé à même le sol, une paillasse sur laquelle il y avait une couverture pliée en quatre. A ce mur, il y avait même plusieurs anneaux métalliques scellés auquel étaient attachées des chaînes… En levant la tête, j’aperçus aussi d’autres chaînes destinées à être pendues, celles-ci étaient enroulées sur des enrouleurs et prêtes, je l’imagine, à être déroulées dans le vide… Dans quel état d’esprit étais-je, là, à cet instant ?… Bien difficile de le dire, bien difficile de décrire avec précision ce que je ressentais. J’étais, nul doute, effrayé, les choses s’étaient passées si vite. En l’espace de quatre jours, ma vie avait basculé. Du jeune homme libre, ambitieux, peut-être même présomptueux, avec une certaine aisance financière, je me retrouvais là dans le plus grand dénuement, enfermé entre des barreaux tel un banni, détenu et, de plus est, de mon plein gré. Malgré ça, j’éprouvais aussi certainement un bien-être avec des sensations agréables procurées par la satisfaction de besoins physiques et psychiques qui s’imposaient à moi désormais. Ma Nature primitive et servile s’exprimait par mes plus bas instincts que j’aspirai à vivre, désormais.
Faisait-il jour ? Nuit ? J’avais dormi, malgré ces lampes restées éclairées, malgré cette paillasse défoncée. J’entendais gémir, soupirer, souffler, geindre, murmurer. Je soulevais quelque peu la tête pour comprendre ce qu’il se passait près de moi. Là, deux cellules plus loin, une jeune et belle femme, à l’évidence une soumise, puisque nue et avec un collier épais autour du cou, identique au mien, se faisait prendre par un homme que je ne connaissais pas. Lascive, ses cheveux longs et blonds couvraient presque pudiquement ses seins, elle était allongée sur le dos, les jambes relevées, les chevilles posées sur les épaules de celui qui la besognait à grands coups de reins visiblement virils, puissants, profonds. Elle était calme, impudique, obscène même, elle se laissait donc besogner en geignant doucement malgré les grands coups de butoirs que l’homme lui donnait. Lui, sauvage, rustre, pantalon baissé à mi-cuisses, parce que sans doute pressé de se vider, s’enfonçait en elle, en faisant claquer ces attributs masculins contre ses fesses relevées et offertes. Peu de temps après, il jouissait à grand bruit puis remballait son matériel et s’en allait sans un regard ou une attention particulière vers cette jeune femme qu’il venait de baiser. Il était venu de tirer son coup… point ! Et cette soumise avait été juste utilisée, elle avait juste servi de vide-couilles, elle était juste devenu un trou, un simple trou à remplir, baiser, et s’y vider à l’intérieur… Et elle semblait en être épanouie de cette réalité, quand j’observais son visage serein et qui exprimait à l’évidence, un véritable bien-être…
A peine rendormi, immédiatement réveillé, j’étais sorti de ma paillasse avec perte et fracas. Walter tenait fermement mon collier et m’entrainait hors de la cellule en m’obligeant à marcher courbé, plié en deux, alors que j’avais le dos en compote. A plusieurs reprises, je trébuchais, mais avec sa poigne, le Majordome me retenait, tout en me conduisant d’un bon pas à l’étage supérieur par un dédale de couloirs et portes. Enfin arrivés, j’étais installé et me retrouvais vite fait, bien fait, en levrette, ventre en appui sur le sol relevé d’une petite marche, bras et mains entravées, jambes attachées et maintenues largement écartées, anus exposé, sexe enfin libéré avec ma cage que le Majordome m’ôtait !
- Monsieur le Marquis, la salope est prête, pensez-vous qu’il faille réellement lui purger les couilles ? Celles-ci ne me semblent pas vraiment pleines, faisait remarquer Walter en tâtant et malaxant douloureusement mon scrotum.
Le Noble était là, simplement vêtu d’un peignoir en soie, pieds nus, sans un mot, Il me caressait le postérieur, Ses doigts inquisiteurs frôlant mon entrée anale. J’en frissonnais déjà.
- Je veux que nous prenions notre temps Walter, je veux que ce chien soumis apprenne plusieurs choses : D’abord se contenir, ensuite qu’il sache ce que jouir du cul veut dire, enfin qu’il se libère de tout préjugé en se donnant comme une lope doit le faire. Si tout ça est concluant, si toutes Mes exigences sont parfaitement respectées alors nous lui purgerons les couilles et le viderons pour soulager sa prostate. Les chiens soumis, comme les chiennes soumises d’ailleurs, savent que tout orgasme se mérite ici. Lui aussi doit comprendre ça, puisque désormais, il est entré, par sa seule volonté, à Mon service, sous Mon Joug !
Je sursautais déjà, quelque chose de froid, un liquide visqueux tombait sur mes fesses. Walter étalait ce gel lubrifiant sur mes lobes. Il recommençait à plusieurs reprises, un massage un peu rude, avec un doigt épais, qui venait régulièrement caresser mon anneau sans jamais le pénétrer. Avec méthode et du gel en abondance, son pouce, appuyait sur ma corolle flétrie, sa main glissait dans ma raie anale pour descendre sur mes testicules et mon sexe bandé qu’il caressait et branlait doucement. Déjà je soupirais d’extase, de plaisir, oui un plaisir intense qui était maintenant au rendez-vous, avec une envie de jouir pressante. De sa main gauche, il maintenait ma verge en arrière juste par mon gland décalotté et continuait à me caresser les fesses de son autre main, celle-ci glissait sur mon périnée et mes testicules, son pouce passant régulièrement sur mon trou. Je me sentais, non pas chien, mais chienne, avec un besoin pressant de sentir ce doigt me pénétrer. Mais non, lui continuait ce massage pendant de longues minutes encore, sans se préoccuper de mes souhaits les plus lubriques d’être sailli bestialement, là, sauvagement même ! Mes souhaits étaient enfin exhaussés, enfin, disons en ce qui concerne ressentir au moins juste quelques chose dans mon cul, quand son pouce entrait en moi. Je me cabrais, tremblais de tout mon être et geignais, un râle sorti de nulle part, je ne m’étais jamais entendu ‘agoniser de désir’ ainsi. Son doigt tournoyait en moi, contraignait mon anus à s’ouvrir, à se dilater, alors que ma verge était délicatement branlée.
- Cette grosse salope semble apprécier !, lançait le Maître resté jusqu’ici silencieux mais ne perdant pas une miette du spectacle que je Lui offrais.
Le Châtelain m’entendait soupirer, me voyait me dandiner, me déhancher. Était-ce doigt qui tournoyait en mon trou, ou moi qui ondulait autour de ce doigt ? Je perdais tout repère, happé par des sensations extraordinaires jamais vécues. Walter venait de pousser en moi, un petit objet conique et dès que celui-ci me pénétrait de toute sa longueur, il posait sur la base de ce plug, un stimulateur à tête flexible et rotative qu’il actionnait. Les vibrations engendrées étaient tout simplement démoniaques et diaboliques, j’en perdais la raison. Je râlais tant et plus, tentais de me cabrer, tremblais de tout mon corps, telle cette chienne en chaleur sommeillant en moi, alors qu’une main astiquait toujours lentement ma nouille gluante et bandée à l’extrême.
- Ne jouis pas salope, tu ne pourras le faire que lorsque le Maître l’aura décidé !, m’ordonnait Walter sur un ton sévère.
Comment faisais-je pour tenir ?… quand les vibrations étaient tellement infernales sur ce second plug qu’on venait de me poser jusqu’à la garde, plus gros que le précédent, envoyant des ondes de choc dans mes entrailles et plus précisément sur ma prostate.
- Voyez Monsieur le Marquis, il s’ouvre parfaitement bien, son cul se dilate sans une once de difficulté, il vient d’avaler ce second plug, pourtant d’une bonne dimension, sans aucun problème. Visiblement, son trou de pute à l’habitude de se faire prendre … La saillie anale ne sera qu’une formalité, si vous décidez de prendre Votre chien soumis !
- Parfait, mon bon Walter, nous allons vérifier cela !, lui répondait le Noble.
On m’arrachait alors ce second plug, Monsieur le Marquis se positionnait derrière moi, me maintenait fermement par les hanches et me plantait d’un coup sec Son Membre terriblement déjà tendu, long et épais, ce qui me faisait dire que le traitement qu’avait appliqué le Majordome sous Ses yeux avait terriblement excité le Châtelain.
- Oh putain !, osais-je articuler, sans contrôler mes dires.
- Oui, tu n’es qu’une putain, qu’une chienne à démonter, à enculer, à baiser, reprenait le Noble en me claquant le cul d’une volée de fessées cinglantes.
Alors que le Maître me sodomisait bestialement tel un mâle en rut, Walter me passait autour de la verge un objet à tête flexible qui venait enserrer mon pénis à l’aide de ses deux rabats et le mettait immédiatement en action…. Terrible, c’était simplement apocalyptique…
- Je… je vais…- Non pas encore, ne jouit pas tout de suite, la pute, laisse-moi t’ensemencer et seulement après tu jouiras !, m’ordonnait le Maître.
Je n’allais pas pouvoir tenir longtemps, ces virils coups de butoir irradiaient mon être tout entier, je jouissais du cul, j’en comprenais maintenant le sens. Cette machine infernale et vibrante sur mon sexe me rendait comme fou. Le Maître me saisissant toujours par les hanches, poussait violemment, me labourait les entrailles, ces testicules claquaient contre les miennes, tout en me traitant de mille appellations des plus humiliantes, jusqu’à cet instant où il se figeait et giclait plusieurs fois, une quantité importante de flots saccadés de sperme en mes entrailles, en gémissant et envoyant des râles orgasmiques sans retenues, bruyamment. Puis il resta planté en moi, quelques secondes en un coït anal, parfaitement immobile
- Voilà, tu es définitivement à Moi maintenant, vas-y jouis et braille comme une lope doit le faire lorsqu’elle éjacule, la pute.
Walter accélérait les vibrations sur mon sexe, quelques secondes après, par spasmes successifs, je giclais en envoyant mon foutre sur le sol, sans contenir mes cris libérateurs de chienne en chaleur !
- Détache-le Walter, je veux le voir laper ses souillures !
Alors toujours en levrette, tel un chien, je me mis à lécher mon propre sperme avec dévotion, n’occultant aucune goutte tombé au sol, puis le Maître reposait Lui-Même la cage de chasteté sur mon sexe maintenant flasque et s’en allait rejoindre Ses appartements, sans un autre regard pour moi. Il me laissait là avec Walter, qui me raccompagnait jusque ma cellule. Il m’ôtait le collier, le rangeait à l’endroit où il devait être et me laissait repartir en me disant :
- Tu retrouveras tes effets personnels dans ta voiture, Tâche de garder en toi la divine et sacrée Semence de Monsieur le Marquis, laisse-là se diffuser dans ton corps mais aussi dans ta tête de chien soumis, ainsi tu vibreras, chien soumis.
Je traversais l’immense cour gravillonnée, nu, le cul bien ouvert et poisseux par ce gel lubrifiant, et qui dégoulinait un peu du trop-plein de sperme, puis j’enfilais short et tongs, et je repartais fébrile mais les couilles vidées, en direction de la Bastide…
(A suivre…)
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