La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1531)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-08-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1531)
L’esclave salope au Château (suite de l'épisode N°1518) –
- Mille mercis pour cette chance, pour cette opportunité, pour le bonheur que Vous m’offrez d’encore plus Vous appartenir pleinement et à vie …
Le Noble me caresse délicatement la tête, je me sens à cet instant si proche de lui, comme si notre lien était à ce moment précis plus fort que jamais. Dans un geste visiblement d’amour, le Maitre attrape mes joues et relève ma tête avant de m’embrasser doucement avec tendresse. Ainsi je ressens tout Son amour qu’Il me porte, dans ce baiser aimant. Mes larmes continuent de couler, des larmes de bonheur, j’ai enfin trouvé ma place, j’ai trouvé cet endroit où je m’épanouie, où j’ai la chance d’être pleinement, naturellement moi-même. Et par-dessus tout, je vais devenir officiellement une esclave MDE. Et même si je sais que jamais rien n’est acquis, je sais aussi que je ferai toujours tout pour rester à vie la propriété absolue de Monsieur le Marquis d’Evans. J’ai l’impression de rêver, que tout ça n’est pas réel, et pourtant cette sublime réalité est bien concrète et elle me transporte dans un océan de bonheur infini. Quand je passerai cette porte, aux pieds du Maitre, c’est vers mon nouveau destin, d’esclave MDE à Ses pieds que je serai entièrement. J’ai conscience de la confiance que le Châtelain a placée en moi, pour m’offrir Ses Initiales ‘MDE’ à mon simple titre d’esclave. Mais j’ai surtout conscience de mes responsabilités afin que mon attitude doit toujours rester la plus irréprochable possible, maintenant plus qu’avant :
- esclave, Mon esclave, je te fais confiance, et je crois en toi beaucoup plus que tu ne le penses. Tu as un potentiel incroyable à vivre ce que tu es, à être ce que ta Nature servile a fait de toi, à être une esclave, et je sais que je ne regretterai jamais de faire de toi une esclave MDE.
Sur Ses mots Monsieur le Marquis d’Evans attache une laisse à mon collier, se lève et tire sur ma laisse me faisant comprendre de Le suivre ainsi à quatre pattes. Je Le suis donc en quadrupédie un peu en retrait, par rapport à ma condition, mais pas assez pour que le Noble est à tirer sur ma laisse. Nous sortons du salon privé du Châtelain dans lequel nous étions. Apres une courte traversée d’un couloir feutré, on arrive dans une grande salle de réception, où tous les invités du Maitre sont présents. De confortables chaises sont disposées dans la salle en manger, et au milieu il y’a un grand espace créant une large allée pour passer sans être gênés. Ils sont tous assis, certains des Dominants se servent de leur soumis comme repose-pieds, d’autres sont juste à quatre pattes aux pieds de leur Dominant (e). Il doit y avoir, en tout, une trentaine de chaises dans la salle, et elles sont toutes occupées. Je réalise alors combien le Cercle d’amis Dominants du Maitre est assez important, le Cercle des Supérieurs.
Après un court arrêt à l’entrée de la salle, le Châtelain commence à marcher, dans cette allée et tous les regards sont en notre direction, dans un silence solennel. J’évolue à quatre pattes, aux pieds du Maitre le plus parfaitement possible. Je suis Son rythme qui n’est pas trop rapide, il est même assez lent. Je comprends bien vite que le but soit que tout le monde observe Son esclave, et de fait, je me dois donc d’être parfaite, alors je rends ma démarche la plus sensuelle possible, dodelinant ma croupe bien arrondie de femelle, de manière féline. Je souhaite fortement dans ma tête que le Cercle des Supérieurs apprécie et savoure la grande fierté de Monsieur le Marquis de lui présenter ma petite personne, moi simple esclave, que ce soit tant par ma beauté et ma nudité, que par ma docilité et mon obéissance. Au fil du temps, aux pieds du Noble, j’ai été faite Son image, j‘ai été formatée selon Ses objectifs... Nous arrivons à la fin de l’allée, et devant moi une chaise de tatoueur est disposée, chaise que je reconnais sans souci ayant déjà eu à me faire poser quelques tatouages. Je comprends sans beaucoup de réflexion que je vais donc être tatouée aux Initiales du Maitre. A nouveau je recommence à pleurer, ayant énormément de mal à me faire discrète alors mes pleurs se font entendre, et avec le silence dans la salle, c’est sans grand mal que tous les invités m’entendent ainsi que le Châtelain. Ce dernier s’accroupit alors à ma hauteur pour me relever la tête, avec Ses mains qu’il pose sur mes joues et me force ainsi à le regarder :
- esclave, dis-moi, pourquoi pleures-tu ? Aurait tu changer d’avis, ne souhaites-tu plus Mes Initiales ? Ou est-ce autre chose qui te tracasse ? Qu’est qui se passe ? J’exige de savoir tout de suite, je veux que tu Me dises franchement et sans détour tes états d’âmes…
Le Maitre me relâche le visage et instinctivement dans une profonde dévotion la plus absolue, je me prosterne à Ses pieds, je suis à ma place, je sens le bout de Ses chaussures toucher ma joue parterre. Le Noble ne dit rien, Il me connait et me laisse quelques secondes pour calmer mes larmes ainsi. Il me laisse aussi ressentir seulement le bout de Ses pieds qui me touche légèrement, me calme assez rapidement. Une fois que je me suis calmée, c’est d’un claquement de doigts, que le Maitre m’exige de me mettre à genoux. Discrètement en me chuchotant dans mon oreille, Il me propose de m’absenter, pour Lui dire, mais je refuse souhaitant dire ce que j’ai à dire, mais ici devant tout le monde. Monsieur le Marquis d’Evans le sait, j’ai horreur d’exprimer ce que je ressens en public, il m’est très difficile de me mettre à nue sur mes sentiments devant beaucoup de monde, mais là c’est différent. C’est donc à genoux, tète baissée que je prends tout d’abords une grande bouffée d’oxygène, puis je souffle, afin de prendre la parole. Je ne m’adresse qu’au Maitre, car c’est à Lui de savoir ce qui m’arrive, et même si ma voix n’est pas très portante, je sais que tout le monde m’entend via la parfaite acoustique générée dans cette salle :
- Maitre, depuis que je suis arrivée à Vos pieds, au fils du temps, au fils des mois, des années, petit à petit on a tissé une relation spéciale, incroyable, magique. Vous m’avez changé, Vous m’avez fait grandir, évoluer. Petit à petit, j’ai été formatée à Votre convenance, que ce soit ma façon de parler, d’écrire, de m’habiller, ma coiffure, mon comportement par une nouvelle façon de penser beaucoup plus positive, ou même comment je range et j’organise cher moi. Je suis entièrement devenue ce que Vous Vouliez que je devienne, entièrement à Vous. Mon corps, mon âme, mon esprit, mon apparence, tout est devenu dépendant de Vous. Et plus mon appartenance envers Vous grandissait, plus je m’épanouissais, plus je devenais entièrement moi-même, sans avoir à me cacher. Aujourd’hui, j’arrive à ce stade où mon appartenance totale envers Vous est gravée à jamais dans mon corps et mon esprit qui ne m’appartiennent plus…
Je repris mon souffle, alors qu’autour de moi le silence était flagrant, le Maître et les invités restaient très attentifs à mes propos. Je poursuivais donc après avoir de nouveau soufflé l’air de mes poumons :
- … Et je pleure de bonheur, de cette réalité Maitre Vénéré, je pleure parce que je Vous suis tellement reconnaissante d’avoir toujours cru en moi. Je pleure parce que ce moment il est tout aussi fort que la première fois où j’ai eu cet immense honneur d’être à Vos pieds. Et où Vous m’avez posé mon collier au cou de Vos propres mains pour la première fois. Je pleure parce que ce moment, il est tellement fort, tellement magique, que j’ai l’impression de rêver. On a parcouru un long chemin, Maitre, un très long chemin, on a eu des moments difficiles, des moments incroyables, et ensemble on a tout surmonté. A chaque fois Vous arrivez à me faire vivre des nouvelles sensations incroyables, je Vous suis tellement reconnaissante, Maitre. Parce que Vous me rendez pleinement heureuse, et je pleure de bonheur tout simplement d’être ce que je suis, d’être Votre esclave. Et je suis si heureuse d’avoir suivi mon instinct quand je Vous ai rencontré. Sachez, Maitre, que je Vous suis pleinement et entièrement reconnaissante, à vie d’avoir fait de moi, ce que je suis…
Je sens tous les regards sur moi, je réalise tout ce que je viens de dire a été entendu par tout ce monde. Je baisse la tête, les joues empourprées, certainement écarlates, à m’être laissé aller ainsi à exprimer publiquement ce que je ressens. D’habitude, à part uniquement au Noble, je ne m’exprime pas ainsi devant une assemblée, et pourtant cette fois c’est diffèrent… Le silence dans la salle continue, Monsieur le Marquis pose sa main sur ma tête délicatement. Il me caresse les cheveux, la joue et je ressens à travers ce geste si doux et délicat tout Son amour, Sa tendresse, suite à mes mots. Par cette simple caresse qui n’a pas besoin de mots de Sa part et qui semble juste être une caresse pour tout le reste de la salle, le Maitre m’exprime Sa fierté, Son bonheur, Sa confiance de me m’accorder Ses Initiales, mais aussi Son amour. Personne ne dit un mot, le silence est complet, on entend à peine les gens respirer. C’est un moment très fort pour le Noble, et moi, dans notre relation. C’est après ce moment de silence absolu, que le Châtelain me retire mon collier au cou, et sort quelque chose d’une boite posée sur un guéridon à proximité. Ayant la tête baissée, je ne vois pas entièrement ce que c’est, mais j’aperçois un épais collier de métal bleu roy qui arrive juste devant mes yeux.
Je comprends donc que le Maitre m’offre ainsi un nouveau collier, en plus de Ses Initiales ‘MDE’ qui sont gravées en lettres d’or, d’un jaune brillant, étincelant avec mon nom d’esclave, on peut ainsi lire très lisiblement en grosses lettres ‘esclave NALA MDE’, en lettres capitales, et qui brillent de tout leur éclat jaune à la lumière, tel un rubis. C’est avec Sa main sur mon menton que le Noble me relève la tête délicatement à hauteur de mon nouveau collier me permettant ainsi de le voir plus précisément. J’ai donc devant les yeux ce collier tant désiré et une laisse y est accrochée, les deux sont juste magnifiques. Ils sont d’un bleu royal, et en plus de mon nom d’esclave, il y a une autre inscription mais celle-ci est sur la boucle du collier où se trouve une plaque d’identification. Je ne vois pas forcement ce qui marqué dessus, elle est assez grosse et en forme d’os pour chien. La laisse aux maillons métalliques est tout aussi belle que le collier, elle n’est pas très longue, sur le milieu se trouve aussi les Initiales du Maitre gravées sur un maillon et juste au-dessus se trouve aussi les mots ‘esclave NALA’. Mes larmes continuent à couler à la réception de ce nouveau magnifique cadeau. Le Maitre s’approche de moi, il pose d'abord Sa main autour de mon cou, avant que, très délicatement, Il me remettre le nouveau collier avec la laisse accrochée à celui-ci. Puis c’est avec un ton très solennel qu’Il prend la parole :
- Ma chienne, Mon esclave, Ma salope, tu es enfin une esclave MDE avec ce nouveau collier, puis dans quelques instants, tu le seras à part entière avec ton tatouage d’appartenance totale et ainsi tu seras enfin à ta place, pour toujours. On a parcouru un long chemin, mais je suis fier de ce résultat, de l’éduction que je t’ai apporté et de ton dressage. J’ai toujours cru en toi et je ne le regrette pas. Tu es une belle chienne, Ma belle chienne, Ma propriété la plus absolue, et cette réalité est à vie… Aller, maintenant, debout Ma chienne, Mon esclave MDE, va te placer sur la chaise du tatoueur... Il va de soi de dire que tu ne choisis pas l’endroit du tatouage, ni le motif, tu es Mon esclave, et de fait, tu as renoncé à toute liberté, et cela en fait partie bien entendu. Donc tu verras bien le dessin du tatouage et où j’ai choisi de le placer…
Comme exigé par le Châtelain, je me lève et vais donc m’asseoir sur la chaise ressemblant plus à une chaise de gynéco avec des étriers. Monsieur Marquis s’approche et se met debout à côté de moi. Même si je suis déjà tatouée de deux petits dessins, un dans le cou et un à l’intérieur de mon bras vers ma main, ma peur des aiguilles est toujours bien présente à chaque nouveau tatouage que je fais. Le Maitre m’attrape delicatement la main qu’il me serre. J’entends, ensuite, un homme qui s’approche, c’est le tatoueur. Il a l’air sévère, visiblement c’est un Dominant et il vient s’asseoir. J’entends la machine s’allumer, je suis excitée, pressée, j’ai tellement hâte de devenir une esclave MDE lequel tatouage scellera enfin cette réalité autant que le port de mon nouveau collier. Que ce tatouage soit gravé en moi, à jamais. Je suis tellement reconnaissante envers le Maitre de me faire confiance de m’accorder Ses Initiales, de vouloir de faire moi, Son esclave MDE à vie, à Ses pieds. Le tatoueur me prend chaque cheville qu’il me sangle à chaque étrier sur les côtés, puis il appuie sur un bouton, ce qui a pour effet d’écarter les étriers et cela m’oblige à avoir mes cuisses largement écartées, ainsi que mon sexe lisse parfaitement exposé. A ma droite, un écran venu de derrière le dossier de la chaise est déployé par un bras mécanique.
Le tatoueur allume cet écran et apparait le modèle du tatouage pour l’aider à le dessiner sur ma peau. Voyant le modèle, je suis très émue et extrêmement honorée du modèle choisi par le Maître. En effet, il s’agit tout simplement des Armoiries de la Famille des Evans avec les deux lions rugissant et se faisant face, dressés sur leurs pattes arrière et sur leur tête de chacun d’eux, un laurier en couronne, l’ensemble entouré de rosaces et du lys royal. En arc de cercle sur la partie supérieure est inscrit ‘esclave NALA MDE’. Le tout disposé en forme de médaillon, ce tatouage doit faire 10 centimètres environ de hauteur avec un pourtour liseré de couleur or, me précise le Maître… Ensuite le tatoueur appuie sur un autre bouton, ce qui fait basculer la chaise en arrière, ainsi je me retrouve presque à l’horizontal, cuisses bien écartelées. Puis, je sens l’aiguille venir juste au-dessus de ma chatte, sur mon pubis et commencer ce long travail d’orfèvre. Le tatoueur va doucement, silencieux, il s’applique visiblement, change d’aiguille, parfois. Je devine que ce tatouage sera selon le modèle en couleurs. Durant près de deux heures, je reste ainsi sous les mains expertes du tatoueur qui fignole son œuvre, peaufine chaque détail afin que le rendu soit au plus près du modèle de l’écran.
Durant tout ce temps, le Maître est resté silencieux, me tenant toujours la main, s’asseyant à mes côtés et restant très attentif au travail d’un tatoueur consciencieux et appliqué. Les invités regardent aussi mais la plupart d’eux utilisent leur esclave pour se faire sucer ou lécher le sexe pour les Domina, un bon verre à la main. Walter ayant pour mission qu’ils ne manquent de rien. Des encas sont aussi à leur disposition sur un buffet bien garnis à proximité… Quand enfin, la machine s’éteint, je suis officiellement et à vie devenue une esclave MDE, et que c’est même gravé enfin dans ma peau, juste au-dessus de mon sexe entre mon nombril et mon clitoris. Le tatoueur relève la chaise et retire mes pieds des étriers. Le Maitre m’embrasse délicatement sur le front avant de m’exiger de descendre de la chaise et de regarder mon tatouage devant une immense glace placée à ma gauche. Je suis très impressionnée du résultat, le tatoueur a été d’une précision parfaite, n’occultant aucun détail, l’œuvre est extrêmement fidèle au modèle, un véritable copier-coller, un véritable travail d’artiste. Et je me sens si fière, si honorée, si émue que je m’empresse de revenir à ma place, c’est instinctivement que je me prosterne aux pieds du Maitre, et que, sans un mot, je commence à embrasser Ses pieds, dans l’espoir de Lui montrer ma gratitude et ma profonde et éternelle reconnaissance...
(A suivre …)
- Mille mercis pour cette chance, pour cette opportunité, pour le bonheur que Vous m’offrez d’encore plus Vous appartenir pleinement et à vie …
Le Noble me caresse délicatement la tête, je me sens à cet instant si proche de lui, comme si notre lien était à ce moment précis plus fort que jamais. Dans un geste visiblement d’amour, le Maitre attrape mes joues et relève ma tête avant de m’embrasser doucement avec tendresse. Ainsi je ressens tout Son amour qu’Il me porte, dans ce baiser aimant. Mes larmes continuent de couler, des larmes de bonheur, j’ai enfin trouvé ma place, j’ai trouvé cet endroit où je m’épanouie, où j’ai la chance d’être pleinement, naturellement moi-même. Et par-dessus tout, je vais devenir officiellement une esclave MDE. Et même si je sais que jamais rien n’est acquis, je sais aussi que je ferai toujours tout pour rester à vie la propriété absolue de Monsieur le Marquis d’Evans. J’ai l’impression de rêver, que tout ça n’est pas réel, et pourtant cette sublime réalité est bien concrète et elle me transporte dans un océan de bonheur infini. Quand je passerai cette porte, aux pieds du Maitre, c’est vers mon nouveau destin, d’esclave MDE à Ses pieds que je serai entièrement. J’ai conscience de la confiance que le Châtelain a placée en moi, pour m’offrir Ses Initiales ‘MDE’ à mon simple titre d’esclave. Mais j’ai surtout conscience de mes responsabilités afin que mon attitude doit toujours rester la plus irréprochable possible, maintenant plus qu’avant :
- esclave, Mon esclave, je te fais confiance, et je crois en toi beaucoup plus que tu ne le penses. Tu as un potentiel incroyable à vivre ce que tu es, à être ce que ta Nature servile a fait de toi, à être une esclave, et je sais que je ne regretterai jamais de faire de toi une esclave MDE.
Sur Ses mots Monsieur le Marquis d’Evans attache une laisse à mon collier, se lève et tire sur ma laisse me faisant comprendre de Le suivre ainsi à quatre pattes. Je Le suis donc en quadrupédie un peu en retrait, par rapport à ma condition, mais pas assez pour que le Noble est à tirer sur ma laisse. Nous sortons du salon privé du Châtelain dans lequel nous étions. Apres une courte traversée d’un couloir feutré, on arrive dans une grande salle de réception, où tous les invités du Maitre sont présents. De confortables chaises sont disposées dans la salle en manger, et au milieu il y’a un grand espace créant une large allée pour passer sans être gênés. Ils sont tous assis, certains des Dominants se servent de leur soumis comme repose-pieds, d’autres sont juste à quatre pattes aux pieds de leur Dominant (e). Il doit y avoir, en tout, une trentaine de chaises dans la salle, et elles sont toutes occupées. Je réalise alors combien le Cercle d’amis Dominants du Maitre est assez important, le Cercle des Supérieurs.
Après un court arrêt à l’entrée de la salle, le Châtelain commence à marcher, dans cette allée et tous les regards sont en notre direction, dans un silence solennel. J’évolue à quatre pattes, aux pieds du Maitre le plus parfaitement possible. Je suis Son rythme qui n’est pas trop rapide, il est même assez lent. Je comprends bien vite que le but soit que tout le monde observe Son esclave, et de fait, je me dois donc d’être parfaite, alors je rends ma démarche la plus sensuelle possible, dodelinant ma croupe bien arrondie de femelle, de manière féline. Je souhaite fortement dans ma tête que le Cercle des Supérieurs apprécie et savoure la grande fierté de Monsieur le Marquis de lui présenter ma petite personne, moi simple esclave, que ce soit tant par ma beauté et ma nudité, que par ma docilité et mon obéissance. Au fil du temps, aux pieds du Noble, j’ai été faite Son image, j‘ai été formatée selon Ses objectifs... Nous arrivons à la fin de l’allée, et devant moi une chaise de tatoueur est disposée, chaise que je reconnais sans souci ayant déjà eu à me faire poser quelques tatouages. Je comprends sans beaucoup de réflexion que je vais donc être tatouée aux Initiales du Maitre. A nouveau je recommence à pleurer, ayant énormément de mal à me faire discrète alors mes pleurs se font entendre, et avec le silence dans la salle, c’est sans grand mal que tous les invités m’entendent ainsi que le Châtelain. Ce dernier s’accroupit alors à ma hauteur pour me relever la tête, avec Ses mains qu’il pose sur mes joues et me force ainsi à le regarder :
- esclave, dis-moi, pourquoi pleures-tu ? Aurait tu changer d’avis, ne souhaites-tu plus Mes Initiales ? Ou est-ce autre chose qui te tracasse ? Qu’est qui se passe ? J’exige de savoir tout de suite, je veux que tu Me dises franchement et sans détour tes états d’âmes…
Le Maitre me relâche le visage et instinctivement dans une profonde dévotion la plus absolue, je me prosterne à Ses pieds, je suis à ma place, je sens le bout de Ses chaussures toucher ma joue parterre. Le Noble ne dit rien, Il me connait et me laisse quelques secondes pour calmer mes larmes ainsi. Il me laisse aussi ressentir seulement le bout de Ses pieds qui me touche légèrement, me calme assez rapidement. Une fois que je me suis calmée, c’est d’un claquement de doigts, que le Maitre m’exige de me mettre à genoux. Discrètement en me chuchotant dans mon oreille, Il me propose de m’absenter, pour Lui dire, mais je refuse souhaitant dire ce que j’ai à dire, mais ici devant tout le monde. Monsieur le Marquis d’Evans le sait, j’ai horreur d’exprimer ce que je ressens en public, il m’est très difficile de me mettre à nue sur mes sentiments devant beaucoup de monde, mais là c’est différent. C’est donc à genoux, tète baissée que je prends tout d’abords une grande bouffée d’oxygène, puis je souffle, afin de prendre la parole. Je ne m’adresse qu’au Maitre, car c’est à Lui de savoir ce qui m’arrive, et même si ma voix n’est pas très portante, je sais que tout le monde m’entend via la parfaite acoustique générée dans cette salle :
- Maitre, depuis que je suis arrivée à Vos pieds, au fils du temps, au fils des mois, des années, petit à petit on a tissé une relation spéciale, incroyable, magique. Vous m’avez changé, Vous m’avez fait grandir, évoluer. Petit à petit, j’ai été formatée à Votre convenance, que ce soit ma façon de parler, d’écrire, de m’habiller, ma coiffure, mon comportement par une nouvelle façon de penser beaucoup plus positive, ou même comment je range et j’organise cher moi. Je suis entièrement devenue ce que Vous Vouliez que je devienne, entièrement à Vous. Mon corps, mon âme, mon esprit, mon apparence, tout est devenu dépendant de Vous. Et plus mon appartenance envers Vous grandissait, plus je m’épanouissais, plus je devenais entièrement moi-même, sans avoir à me cacher. Aujourd’hui, j’arrive à ce stade où mon appartenance totale envers Vous est gravée à jamais dans mon corps et mon esprit qui ne m’appartiennent plus…
Je repris mon souffle, alors qu’autour de moi le silence était flagrant, le Maître et les invités restaient très attentifs à mes propos. Je poursuivais donc après avoir de nouveau soufflé l’air de mes poumons :
- … Et je pleure de bonheur, de cette réalité Maitre Vénéré, je pleure parce que je Vous suis tellement reconnaissante d’avoir toujours cru en moi. Je pleure parce que ce moment il est tout aussi fort que la première fois où j’ai eu cet immense honneur d’être à Vos pieds. Et où Vous m’avez posé mon collier au cou de Vos propres mains pour la première fois. Je pleure parce que ce moment, il est tellement fort, tellement magique, que j’ai l’impression de rêver. On a parcouru un long chemin, Maitre, un très long chemin, on a eu des moments difficiles, des moments incroyables, et ensemble on a tout surmonté. A chaque fois Vous arrivez à me faire vivre des nouvelles sensations incroyables, je Vous suis tellement reconnaissante, Maitre. Parce que Vous me rendez pleinement heureuse, et je pleure de bonheur tout simplement d’être ce que je suis, d’être Votre esclave. Et je suis si heureuse d’avoir suivi mon instinct quand je Vous ai rencontré. Sachez, Maitre, que je Vous suis pleinement et entièrement reconnaissante, à vie d’avoir fait de moi, ce que je suis…
Je sens tous les regards sur moi, je réalise tout ce que je viens de dire a été entendu par tout ce monde. Je baisse la tête, les joues empourprées, certainement écarlates, à m’être laissé aller ainsi à exprimer publiquement ce que je ressens. D’habitude, à part uniquement au Noble, je ne m’exprime pas ainsi devant une assemblée, et pourtant cette fois c’est diffèrent… Le silence dans la salle continue, Monsieur le Marquis pose sa main sur ma tête délicatement. Il me caresse les cheveux, la joue et je ressens à travers ce geste si doux et délicat tout Son amour, Sa tendresse, suite à mes mots. Par cette simple caresse qui n’a pas besoin de mots de Sa part et qui semble juste être une caresse pour tout le reste de la salle, le Maitre m’exprime Sa fierté, Son bonheur, Sa confiance de me m’accorder Ses Initiales, mais aussi Son amour. Personne ne dit un mot, le silence est complet, on entend à peine les gens respirer. C’est un moment très fort pour le Noble, et moi, dans notre relation. C’est après ce moment de silence absolu, que le Châtelain me retire mon collier au cou, et sort quelque chose d’une boite posée sur un guéridon à proximité. Ayant la tête baissée, je ne vois pas entièrement ce que c’est, mais j’aperçois un épais collier de métal bleu roy qui arrive juste devant mes yeux.
Je comprends donc que le Maitre m’offre ainsi un nouveau collier, en plus de Ses Initiales ‘MDE’ qui sont gravées en lettres d’or, d’un jaune brillant, étincelant avec mon nom d’esclave, on peut ainsi lire très lisiblement en grosses lettres ‘esclave NALA MDE’, en lettres capitales, et qui brillent de tout leur éclat jaune à la lumière, tel un rubis. C’est avec Sa main sur mon menton que le Noble me relève la tête délicatement à hauteur de mon nouveau collier me permettant ainsi de le voir plus précisément. J’ai donc devant les yeux ce collier tant désiré et une laisse y est accrochée, les deux sont juste magnifiques. Ils sont d’un bleu royal, et en plus de mon nom d’esclave, il y a une autre inscription mais celle-ci est sur la boucle du collier où se trouve une plaque d’identification. Je ne vois pas forcement ce qui marqué dessus, elle est assez grosse et en forme d’os pour chien. La laisse aux maillons métalliques est tout aussi belle que le collier, elle n’est pas très longue, sur le milieu se trouve aussi les Initiales du Maitre gravées sur un maillon et juste au-dessus se trouve aussi les mots ‘esclave NALA’. Mes larmes continuent à couler à la réception de ce nouveau magnifique cadeau. Le Maitre s’approche de moi, il pose d'abord Sa main autour de mon cou, avant que, très délicatement, Il me remettre le nouveau collier avec la laisse accrochée à celui-ci. Puis c’est avec un ton très solennel qu’Il prend la parole :
- Ma chienne, Mon esclave, Ma salope, tu es enfin une esclave MDE avec ce nouveau collier, puis dans quelques instants, tu le seras à part entière avec ton tatouage d’appartenance totale et ainsi tu seras enfin à ta place, pour toujours. On a parcouru un long chemin, mais je suis fier de ce résultat, de l’éduction que je t’ai apporté et de ton dressage. J’ai toujours cru en toi et je ne le regrette pas. Tu es une belle chienne, Ma belle chienne, Ma propriété la plus absolue, et cette réalité est à vie… Aller, maintenant, debout Ma chienne, Mon esclave MDE, va te placer sur la chaise du tatoueur... Il va de soi de dire que tu ne choisis pas l’endroit du tatouage, ni le motif, tu es Mon esclave, et de fait, tu as renoncé à toute liberté, et cela en fait partie bien entendu. Donc tu verras bien le dessin du tatouage et où j’ai choisi de le placer…
Comme exigé par le Châtelain, je me lève et vais donc m’asseoir sur la chaise ressemblant plus à une chaise de gynéco avec des étriers. Monsieur Marquis s’approche et se met debout à côté de moi. Même si je suis déjà tatouée de deux petits dessins, un dans le cou et un à l’intérieur de mon bras vers ma main, ma peur des aiguilles est toujours bien présente à chaque nouveau tatouage que je fais. Le Maitre m’attrape delicatement la main qu’il me serre. J’entends, ensuite, un homme qui s’approche, c’est le tatoueur. Il a l’air sévère, visiblement c’est un Dominant et il vient s’asseoir. J’entends la machine s’allumer, je suis excitée, pressée, j’ai tellement hâte de devenir une esclave MDE lequel tatouage scellera enfin cette réalité autant que le port de mon nouveau collier. Que ce tatouage soit gravé en moi, à jamais. Je suis tellement reconnaissante envers le Maitre de me faire confiance de m’accorder Ses Initiales, de vouloir de faire moi, Son esclave MDE à vie, à Ses pieds. Le tatoueur me prend chaque cheville qu’il me sangle à chaque étrier sur les côtés, puis il appuie sur un bouton, ce qui a pour effet d’écarter les étriers et cela m’oblige à avoir mes cuisses largement écartées, ainsi que mon sexe lisse parfaitement exposé. A ma droite, un écran venu de derrière le dossier de la chaise est déployé par un bras mécanique.
Le tatoueur allume cet écran et apparait le modèle du tatouage pour l’aider à le dessiner sur ma peau. Voyant le modèle, je suis très émue et extrêmement honorée du modèle choisi par le Maître. En effet, il s’agit tout simplement des Armoiries de la Famille des Evans avec les deux lions rugissant et se faisant face, dressés sur leurs pattes arrière et sur leur tête de chacun d’eux, un laurier en couronne, l’ensemble entouré de rosaces et du lys royal. En arc de cercle sur la partie supérieure est inscrit ‘esclave NALA MDE’. Le tout disposé en forme de médaillon, ce tatouage doit faire 10 centimètres environ de hauteur avec un pourtour liseré de couleur or, me précise le Maître… Ensuite le tatoueur appuie sur un autre bouton, ce qui fait basculer la chaise en arrière, ainsi je me retrouve presque à l’horizontal, cuisses bien écartelées. Puis, je sens l’aiguille venir juste au-dessus de ma chatte, sur mon pubis et commencer ce long travail d’orfèvre. Le tatoueur va doucement, silencieux, il s’applique visiblement, change d’aiguille, parfois. Je devine que ce tatouage sera selon le modèle en couleurs. Durant près de deux heures, je reste ainsi sous les mains expertes du tatoueur qui fignole son œuvre, peaufine chaque détail afin que le rendu soit au plus près du modèle de l’écran.
Durant tout ce temps, le Maître est resté silencieux, me tenant toujours la main, s’asseyant à mes côtés et restant très attentif au travail d’un tatoueur consciencieux et appliqué. Les invités regardent aussi mais la plupart d’eux utilisent leur esclave pour se faire sucer ou lécher le sexe pour les Domina, un bon verre à la main. Walter ayant pour mission qu’ils ne manquent de rien. Des encas sont aussi à leur disposition sur un buffet bien garnis à proximité… Quand enfin, la machine s’éteint, je suis officiellement et à vie devenue une esclave MDE, et que c’est même gravé enfin dans ma peau, juste au-dessus de mon sexe entre mon nombril et mon clitoris. Le tatoueur relève la chaise et retire mes pieds des étriers. Le Maitre m’embrasse délicatement sur le front avant de m’exiger de descendre de la chaise et de regarder mon tatouage devant une immense glace placée à ma gauche. Je suis très impressionnée du résultat, le tatoueur a été d’une précision parfaite, n’occultant aucun détail, l’œuvre est extrêmement fidèle au modèle, un véritable copier-coller, un véritable travail d’artiste. Et je me sens si fière, si honorée, si émue que je m’empresse de revenir à ma place, c’est instinctivement que je me prosterne aux pieds du Maitre, et que, sans un mot, je commence à embrasser Ses pieds, dans l’espoir de Lui montrer ma gratitude et ma profonde et éternelle reconnaissance...
(A suivre …)
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