La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1539)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-08-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1539)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1538) -
Chapitre 12 bis : Changement de statut devant témoins –
Sur ces pensées je sombrais doucement, perdais l’esprit, m’endormais ! … J’étais tiré de mon sommeil par des caresses sur mon visage ainsi que sur ma chevelure. J’avais la sensation de sortir d’un rêve diffus, encore groggy. Je me demandais où j’étais, sentais mes muscles courbaturés, mes fesses endolories, mon anus douloureux. Sans ouvrir les yeux, je m’étirais et me laissais cajoler par cette main bienveillante en me rappelant ce que j’avais dû subir. Les souvenirs de l’après-midi et de la soirée me revenaient avec plus de netteté au fur et à mesure que je me réveillai, au fur et à mesure que cette main glissait sur mon dos meurtri. Je sursautais lorsque ces doigts effleuraient dans mon dos, les boursoufflures laissées par le fouet. J’écartais mes jambes presque machinalement lorsque Son majeur frôlait le haut de mes fesses, s’immisçant juste au début du creux de ma vallée intime. J’espérais L’inviter à poursuivre Sa route dans ce sillon jusqu’à cette cavité cachée. Drôle de sensations : Je me sentais, d’une autre manière, totalement possédé par cette douceur et ces doux câlins. Je savais que cette main, ces doigts n’étaient autres que ceux du Maitre, comme si j’avais reconnu d’emblée Son sublime touché, Sa façon à me caresser, à la fois douce et inquisitrice. Alors j’ouvrais les yeux, il faisait jour. J’humais une bonne odeur de café. Monsieur le Marquis me regardait d’un air complaisant, un sourire aux lèvres. Il portait simplement un short et un tee-shirt.
- Il semblerait que tu aies bien dormi, esclave !
- Oui Maître
Je commençais à sentir une sorte d’excitation mentale et physique à juste L’entendre m’appeler ‘esclave… Cela était nouveau pour moi, après ce récent vécu de ce changement de statut. Il me fallait encore un peu de temps pour savourer cette évidence, j’étais donc sur mon petit nuage…
- Aller, il est l’heure de te lever, tu vas nous servir le petit déjeuner.
Le Châtelain détachait la chaine de l’anneau mais la laissait pendre de mon collier. Son contact froid contre mon dos abimé, me faisait frémir. J’étais conduit en quadrupédie dans la cuisine, comme un petit toutou suivrait docilement. Le Noble m’ordonnait de dresser la table.
- Tu installes seulement trois bols sur la table, Madame Alice est partie très tôt ce matin. Et toi, tu prends cette écuelle et tu t’installeras là, près de moi, à Mes pieds.
- Bien Maître
Monsieur Jean apparaissait dans l’embrasure de la porte. Il était nu, le sexe semi érigé, ces cheveux grisonnants en bataille, l’œil encore endormi. Il s’installait à table :
- Bonjour Edouard, - Bonjour Jean !
- Tient la salope est là ! Un esclave ne mérite pas un ‘bonjour’, même pas un regard ! Car un esclave est un objet qu’on utilise, comme on utilise une casserole par exemple, et je ne me vois pas dire ‘bonjour’ à ma casserole… Je ne saluerai donc pas cet esclave- Bonjour Monsieur, lui répondais-je en baissant la tête servilement comprenant que pour moi, il valait mieux que je lui dise ‘bonjour’ après cette nouvelle humiliation de manque de considération à me comparer à un ustensile de cuisine, à un objet qu’on utilise. Mais j’avoue qu’en acceptant d’être esclave à Monsieur le Marquis, c’était exactement ce que j’étais devenu, un simple objet à être utilisé quand bon Lui semblera, et ce rappel à cette concrète réalité m’excitait finalement car j’étais fait pour être humilié, je devais l’accepter, je devais m’accepter tel que j’étais, ni plus, ni moins…
Peu après arrivait Sébastien, lui habillé, avec du pain frais sous le bras. Comme à son habitude, il ne faisait pas cas de moi, il m’ignorait même totalement, et je n’avais même pas droit à un regard, comme venait de l’exprimer tantôt, Monsieur Jean. Mais de la part du jeune blond Dominant, c’était plus du mépris qui m’agaçait sincèrement. Et paradoxalement exacerbait objectivement mon excitation. Ce rapport qu’il entretenait à mon égard était humiliant et dégradant pourtant il produisait une forme d’ivresse et de nervosité stimulante. C’était évident, cet abaissement insidieux peut-être même imperceptible aux yeux de ceux m’entourant me maintenait dans l’abandon et la dépendance, ce dont j’avais tant besoin !... Sébastien s’asseyait près de Monsieur Jean et attendait en observant ma queue boursoufflée dans son étui d’acier. Je me soumettais encore, me dévouais toujours, leur versais le café, coupais le pain et tartinais ces tranches grillées de beurre et de confiture. Une fois mon service terminé, j’obtenais l’autorisation de me restaurer, assis par terre, près du Maître. J’avais faim, et il me fallut attendre le claquement des doigts du Châtelain pour me mettre à quatre pattes et dévorer avec ma gueule, tel un animal, ces nombreuses tranches de pain mouillé trempant dans un peu d’eau, formant une bouillie épaisse… A cet instant, Monsieur Jean m’interpellait.
- Viens ici, salope, viens te mettre accroupi devant moi, présente-moi ton écuelle.
A peine étais-je installé devant lui qu’il empoignait son sexe flasque pour le diriger vers mon écuelle. Il se concentrait quelques secondes puis pissait deux bonnes rasades dans le réceptacle que je lui tendais, tout en contrôlant parfaitement sa miction !
- Aller, retourne à ta place et bois ta bouillie aromatisée de ma pisse, elle te fera le plus grand bien !, m’exigeait-il en riant à gorge déployée.
Subrepticement, je jetais un œil dégouté à Monsieur le Marquis, presque impassible car seul un sourire bien pervers se dessinait sur Son visage.
- Qu’attends-tu pour obéir, alexesclave ?
Remis en quadrupédie, je ne disais mot et portais ma bouche à l’écuelle. De multiples lapements, j’avalais tel un chien, en contrôlant mes nausées et mes envies de vomir. Je baissais la tête dans ma gamelle, serrais et desserrais la mâchoire, fermais les poings pour me contenir.
- Il y a quelque chose qui ne va pas, esclave ? Parles, réponds, je t’y autorise quand je te questionne… - Tout va bien Maître, mentais-je en grognant- Alors si tout va bien, j’exige très rapidement à te détendre …
Le Châtelain savait, il avait vu mon œil réclamer indulgence et pitié, mes poings se serrer à même le sol, ma mâchoire se crisper entre deux lapements. Il me poussait dans mes contradictions, voulait faire rapidement tomber les barrières psychologiques pour passer à l’étape supérieure. Impossible pour Lui de me laisser ainsi bloqué avec ces craintes ou peurs intrinsèques. Il était hors de question de me voir utiliser des stratégies d’évitement, de procrastination. Il voulait simplement me sentir dépendant de Sa Volonté, strictement obéissant, d’une docilité extrême à toute épreuve… Ces suppositions venaient de m’exciter ! Ma queue se torturait contre les parois de cette cage de chasteté devenue subitement trop étroite… Mes couilles subissaient une pression intolérable, je ne tenais plus en place, me trémoussais, frétillais et mon bassin ondulait sans même que je le veuille.
- Tu souhaites quelque chose, alexesclave ?, interrogeait vicieusement le Maître, comme s’il n’avait pas compris.
- Jouir, Maître, s’il vous plait !
Ma voie était rauque, je n’en pouvais plus.
- Mets-toi à genoux !
Le Châtelain venait de sortir de Sa poche, la petite clé du cadenas fermant ma cage de chasteté. Mon sexe libéré se redressait aussitôt.
- Aller, j’accepte ta requête, je suis de bonne humeur ce matin, tu as de la chance… Caresse-toi et fais-toi jouir alexesclave. Mais tu gicleras ton foutre de chien dans ta gamelle, ça complétera ta bouillie avec la pisse de Jean… Nous te regardons.
A genoux, je ne bougeais pas, soudain pétrifié. Je ne pouvais pas faire ça ici, devant eux trois. Et en plus à éjaculer dans ma propre gamelle pour ensuite avaler mon propre sperme
- esclave, soit tu te branles maintenant, soit tu vas devoir attendre très longtemps, crois-moi. Et puis, je ne te laisse pas le choix, j’ai dit !
Au diable l’humiliation, l’envie était trop forte avec ma nouille au zénith, droite comme un ‘I, ma hampe gorgée de sang, mon gland violacé’ ! Alors à genoux, cuisses écartées, je commençais par me caresser les couilles puis j’enroulais ma main tremblante autour de ma nouille, faisant de lents va-et-vient, avant d’accélérer le mouvement en gémissant. Enfin le plaisir montait, gonflait mes testicules et passait dans mon membre si dur qu’il me faisait mal. Je visais ma gamelle en me penchant en avant en appui sur une main tandis que l’autre masturbait mon sexe près à exploser. Alors je jouissais mon foutre dans l’écuelle en criant, à la vue de tout le monde, le visage transformé par l’intense plaisir qui me traversait. Ma semence jaillissait abondement par saccades… Je sursautais encore tandis que les dernières gouttes de sperme perlaient de mon gland jusqu’à ma gamelle. Je me laissais tomber à quatre pattes, lâchant ma deuxième main, les yeux mi-clos, la respiration hachée.
- Merci Maître !, ânonnais-je, en me prosternant devant lui, cul relevé, mes lèvres embrassant Ses orteils…- Et maintenant, mange ta bouillie spermée, exigea le Maître !…
(A suivre)
Chapitre 12 bis : Changement de statut devant témoins –
Sur ces pensées je sombrais doucement, perdais l’esprit, m’endormais ! … J’étais tiré de mon sommeil par des caresses sur mon visage ainsi que sur ma chevelure. J’avais la sensation de sortir d’un rêve diffus, encore groggy. Je me demandais où j’étais, sentais mes muscles courbaturés, mes fesses endolories, mon anus douloureux. Sans ouvrir les yeux, je m’étirais et me laissais cajoler par cette main bienveillante en me rappelant ce que j’avais dû subir. Les souvenirs de l’après-midi et de la soirée me revenaient avec plus de netteté au fur et à mesure que je me réveillai, au fur et à mesure que cette main glissait sur mon dos meurtri. Je sursautais lorsque ces doigts effleuraient dans mon dos, les boursoufflures laissées par le fouet. J’écartais mes jambes presque machinalement lorsque Son majeur frôlait le haut de mes fesses, s’immisçant juste au début du creux de ma vallée intime. J’espérais L’inviter à poursuivre Sa route dans ce sillon jusqu’à cette cavité cachée. Drôle de sensations : Je me sentais, d’une autre manière, totalement possédé par cette douceur et ces doux câlins. Je savais que cette main, ces doigts n’étaient autres que ceux du Maitre, comme si j’avais reconnu d’emblée Son sublime touché, Sa façon à me caresser, à la fois douce et inquisitrice. Alors j’ouvrais les yeux, il faisait jour. J’humais une bonne odeur de café. Monsieur le Marquis me regardait d’un air complaisant, un sourire aux lèvres. Il portait simplement un short et un tee-shirt.
- Il semblerait que tu aies bien dormi, esclave !
- Oui Maître
Je commençais à sentir une sorte d’excitation mentale et physique à juste L’entendre m’appeler ‘esclave… Cela était nouveau pour moi, après ce récent vécu de ce changement de statut. Il me fallait encore un peu de temps pour savourer cette évidence, j’étais donc sur mon petit nuage…
- Aller, il est l’heure de te lever, tu vas nous servir le petit déjeuner.
Le Châtelain détachait la chaine de l’anneau mais la laissait pendre de mon collier. Son contact froid contre mon dos abimé, me faisait frémir. J’étais conduit en quadrupédie dans la cuisine, comme un petit toutou suivrait docilement. Le Noble m’ordonnait de dresser la table.
- Tu installes seulement trois bols sur la table, Madame Alice est partie très tôt ce matin. Et toi, tu prends cette écuelle et tu t’installeras là, près de moi, à Mes pieds.
- Bien Maître
Monsieur Jean apparaissait dans l’embrasure de la porte. Il était nu, le sexe semi érigé, ces cheveux grisonnants en bataille, l’œil encore endormi. Il s’installait à table :
- Bonjour Edouard, - Bonjour Jean !
- Tient la salope est là ! Un esclave ne mérite pas un ‘bonjour’, même pas un regard ! Car un esclave est un objet qu’on utilise, comme on utilise une casserole par exemple, et je ne me vois pas dire ‘bonjour’ à ma casserole… Je ne saluerai donc pas cet esclave- Bonjour Monsieur, lui répondais-je en baissant la tête servilement comprenant que pour moi, il valait mieux que je lui dise ‘bonjour’ après cette nouvelle humiliation de manque de considération à me comparer à un ustensile de cuisine, à un objet qu’on utilise. Mais j’avoue qu’en acceptant d’être esclave à Monsieur le Marquis, c’était exactement ce que j’étais devenu, un simple objet à être utilisé quand bon Lui semblera, et ce rappel à cette concrète réalité m’excitait finalement car j’étais fait pour être humilié, je devais l’accepter, je devais m’accepter tel que j’étais, ni plus, ni moins…
Peu après arrivait Sébastien, lui habillé, avec du pain frais sous le bras. Comme à son habitude, il ne faisait pas cas de moi, il m’ignorait même totalement, et je n’avais même pas droit à un regard, comme venait de l’exprimer tantôt, Monsieur Jean. Mais de la part du jeune blond Dominant, c’était plus du mépris qui m’agaçait sincèrement. Et paradoxalement exacerbait objectivement mon excitation. Ce rapport qu’il entretenait à mon égard était humiliant et dégradant pourtant il produisait une forme d’ivresse et de nervosité stimulante. C’était évident, cet abaissement insidieux peut-être même imperceptible aux yeux de ceux m’entourant me maintenait dans l’abandon et la dépendance, ce dont j’avais tant besoin !... Sébastien s’asseyait près de Monsieur Jean et attendait en observant ma queue boursoufflée dans son étui d’acier. Je me soumettais encore, me dévouais toujours, leur versais le café, coupais le pain et tartinais ces tranches grillées de beurre et de confiture. Une fois mon service terminé, j’obtenais l’autorisation de me restaurer, assis par terre, près du Maître. J’avais faim, et il me fallut attendre le claquement des doigts du Châtelain pour me mettre à quatre pattes et dévorer avec ma gueule, tel un animal, ces nombreuses tranches de pain mouillé trempant dans un peu d’eau, formant une bouillie épaisse… A cet instant, Monsieur Jean m’interpellait.
- Viens ici, salope, viens te mettre accroupi devant moi, présente-moi ton écuelle.
A peine étais-je installé devant lui qu’il empoignait son sexe flasque pour le diriger vers mon écuelle. Il se concentrait quelques secondes puis pissait deux bonnes rasades dans le réceptacle que je lui tendais, tout en contrôlant parfaitement sa miction !
- Aller, retourne à ta place et bois ta bouillie aromatisée de ma pisse, elle te fera le plus grand bien !, m’exigeait-il en riant à gorge déployée.
Subrepticement, je jetais un œil dégouté à Monsieur le Marquis, presque impassible car seul un sourire bien pervers se dessinait sur Son visage.
- Qu’attends-tu pour obéir, alexesclave ?
Remis en quadrupédie, je ne disais mot et portais ma bouche à l’écuelle. De multiples lapements, j’avalais tel un chien, en contrôlant mes nausées et mes envies de vomir. Je baissais la tête dans ma gamelle, serrais et desserrais la mâchoire, fermais les poings pour me contenir.
- Il y a quelque chose qui ne va pas, esclave ? Parles, réponds, je t’y autorise quand je te questionne… - Tout va bien Maître, mentais-je en grognant- Alors si tout va bien, j’exige très rapidement à te détendre …
Le Châtelain savait, il avait vu mon œil réclamer indulgence et pitié, mes poings se serrer à même le sol, ma mâchoire se crisper entre deux lapements. Il me poussait dans mes contradictions, voulait faire rapidement tomber les barrières psychologiques pour passer à l’étape supérieure. Impossible pour Lui de me laisser ainsi bloqué avec ces craintes ou peurs intrinsèques. Il était hors de question de me voir utiliser des stratégies d’évitement, de procrastination. Il voulait simplement me sentir dépendant de Sa Volonté, strictement obéissant, d’une docilité extrême à toute épreuve… Ces suppositions venaient de m’exciter ! Ma queue se torturait contre les parois de cette cage de chasteté devenue subitement trop étroite… Mes couilles subissaient une pression intolérable, je ne tenais plus en place, me trémoussais, frétillais et mon bassin ondulait sans même que je le veuille.
- Tu souhaites quelque chose, alexesclave ?, interrogeait vicieusement le Maître, comme s’il n’avait pas compris.
- Jouir, Maître, s’il vous plait !
Ma voie était rauque, je n’en pouvais plus.
- Mets-toi à genoux !
Le Châtelain venait de sortir de Sa poche, la petite clé du cadenas fermant ma cage de chasteté. Mon sexe libéré se redressait aussitôt.
- Aller, j’accepte ta requête, je suis de bonne humeur ce matin, tu as de la chance… Caresse-toi et fais-toi jouir alexesclave. Mais tu gicleras ton foutre de chien dans ta gamelle, ça complétera ta bouillie avec la pisse de Jean… Nous te regardons.
A genoux, je ne bougeais pas, soudain pétrifié. Je ne pouvais pas faire ça ici, devant eux trois. Et en plus à éjaculer dans ma propre gamelle pour ensuite avaler mon propre sperme
- esclave, soit tu te branles maintenant, soit tu vas devoir attendre très longtemps, crois-moi. Et puis, je ne te laisse pas le choix, j’ai dit !
Au diable l’humiliation, l’envie était trop forte avec ma nouille au zénith, droite comme un ‘I, ma hampe gorgée de sang, mon gland violacé’ ! Alors à genoux, cuisses écartées, je commençais par me caresser les couilles puis j’enroulais ma main tremblante autour de ma nouille, faisant de lents va-et-vient, avant d’accélérer le mouvement en gémissant. Enfin le plaisir montait, gonflait mes testicules et passait dans mon membre si dur qu’il me faisait mal. Je visais ma gamelle en me penchant en avant en appui sur une main tandis que l’autre masturbait mon sexe près à exploser. Alors je jouissais mon foutre dans l’écuelle en criant, à la vue de tout le monde, le visage transformé par l’intense plaisir qui me traversait. Ma semence jaillissait abondement par saccades… Je sursautais encore tandis que les dernières gouttes de sperme perlaient de mon gland jusqu’à ma gamelle. Je me laissais tomber à quatre pattes, lâchant ma deuxième main, les yeux mi-clos, la respiration hachée.
- Merci Maître !, ânonnais-je, en me prosternant devant lui, cul relevé, mes lèvres embrassant Ses orteils…- Et maintenant, mange ta bouillie spermée, exigea le Maître !…
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