La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1547)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1547)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode N°1544) -
Chapitre 16 : Etude anthropologique -
- Vas-y fonce, petit enculé des vignes ! …
J’étais allongé sur mon lit, nu, enfin presque… avec toujours cette cage de chasteté me contraignant ! Ça m’était insupportable de ne pas me toucher, et paradoxalement ça m’était agréable d’être ainsi captif… un sentiment ambivalent. Mon intellect se grippait, je ne parvenais plus à analyser mes ressentis ! Seule chose certaine, mon cul restait béant, grand ouvert… ma main glissait sur ma raie anale, je me caressais l’anus. Au contact de mes doigts, celui-ci ne se contractait pas, ne se resserrait pas, comme s’il attendait, gourmand, une nouvelle pénétration. Pourtant jamais je n’avais vécu chose pareille, six grosses bites en une demi-heure à peine ! Un vrai gang-bang comme jamais je ne l’aurais imaginé. J’étais simplement éreinté, totalement accablé et courbatu, je n’avais qu’une seule envie : Me reposer ! Et bien entendu, ce qui devait arriver, arriva, on téléphone sonnait. Je décrochais sans même regarder le numéro qui s’affichait.
- Bonjour, Monsieur Lapeyrière ?, me questionnait une voix féminine.
- Oui, bonjour, lui-même !
- Je ne vous dérange pas trop, Monsieur Lapeyrière ?
- Nullement.
- Je me présente, je suis Sabine Lafarge du cabinet de recrutement RSM, je vous appelle suite à votre C.V. reçu, concernant le poste de chargé d’affaires viticoles à pourvoir sur Macon. Est-ce bien vous, Monsieur Lapeyrière, qui avez postulé à ce poste ?
- Tout à fait.
- Je voulais savoir si vous disposez de Skype pour un entretien à distance.
- Oui, j’ai Skype.
- Parfait, alors pouvons-nous convenir d’un rendez-vous ?
- Bien sûr, je suis à votre disposition !
- Si je vous propose 18 heures aujourd’hui, est-ce que ça peut vous convenir ?
- Entendu, oui pas de souci.
Cette voix était agréable et souriante… Je donnais mon identifiant Skype, elle m’informait de l’appel à l’heure dite, d’un certain Monsieur Davoust, lui m’appellerait. Avant de raccrocher, elle me remerciait sincèrement de ma disponibilité. « Mon dieu, si cette brave femme savait ô combien j’étais disponible » m’étais-je pensé en posant mon téléphone sur mon chevet, tout en me caressant de mon autre main, ma rondelle toujours dilatée… La fin d’après-midi venue, l’entretien s’était, me semblait-il, super bien passé… Monsieur Davoust avait été charmant, très à l’écoute, m’avait dit que ma candidature lui semblait en parfaite adéquation avec le poste à pourvoir, qu’il allait donc transmettre mon CV à son client, que celui-ci me contacterait sous huitaine, s’il retenait ma demande. Je me sentais serein, heureux, presque tranquille, tout au moins rassuré… jusqu’à ce nouvel sms en provenance du Château.
- A vingt heures précises, le Maître te veut en Sa noble Demeure. Tu y resteras autant de temps que nécessaire. Signé Monsieur Walter.
Aucun répit, d’aucune manière je pouvais savourer l’instant présent, me reposer, me ressourcer, lire, écouter de la musique, faire ce que j’avais envie de faire…. Non, l’omniprésence de Monsieur le Marquis m’entravait, me restreignait, contrecarrait mes plans et mes envies, au moment même où je m’y attendais le moins. Pire encore, c’était de ne pas savoir ce que le Châtelain me réservait… En montant dans ma voiture, je me sentais fatigué, las, et devais-je me l’avouer, pour la première fois, sans enthousiasme ni entrain pour regagner le Château. Néanmoins à 20 heures moins quelques minutes, je me présentais devant l’immense grille de cette ancestrale Demeure. Le Majordome visiblement m’attendait sur les marches du perron. Très vite, je me déshabillais dans mon véhicule. Dès que je fus entièrement nu et sorti de ma voiture, Monsieur Walter me hélait :
- Viens par ici, la pute, dépêche-toi !
Je le saluais respectueusement, alors que lui, sans un mot me plantait deux de ses longs doigts dans mon cul, tout juste refermé. Tête basse, jambes écartées et reins cambrés, je me laissais alors fouiller, je le laissais inspecter et perquisitionner mon intimité, bien que ce mot « intimité », à cet instant, ne me semblât plus du tout approprié ! D’ailleurs un esclave n’a plus d’intimité, ou du moins elle ne lui appartient plus, elle est au Maître. Lorsqu’il eut terminé, il me posait un collier autour du cou et m’ordonnait de le suivre à quatre pattes derrière lui, jusque dans une pièce que je ne connaissais pas encore. Dans celle-ci, une lumière blanche et très intense m’aveuglait. Mes yeux s’habituaient peu à peu à cet insupportable et pâle éclairage alors, j’entrapercevais et découvrais ce lieu aux murs blanchis et sans fenêtres, sans la moindre décoration, avec au centre, posé sur un podium, un espace totalement vitré. On eut dit un grand aquarium ou plutôt un vivarium, puisqu’il n’y avait pas d’eau à l’intérieur de ce volume d’environ deux mètres sur deux, d’une hauteur d’un mètre cinquante environ.
- Debout la salope !, m’ordonnait Madame Marie que je n’avais pas encore vu.
Humble, respectueux, silencieux, je me présentais devant elle avec crainte, connaissant son sadisme et sa perversité à outrance, alors qu’elle m’ôtait sans précaution particulière ma cage de chasteté.
- Tends-moi tes mains, plutôt que de me tendre ta nouille comme tu le fais, sale pute !, me commandait-elle en me tirant les cheveux pour me soulever la tête et me gifler sans ménagement d’une violentes paire de baffes fusant à la vitesse grand V.
Effectivement, je bandais, une érection dure et ferme, avec le gland baveux. Sans comprendre, la cuisinière me crachait sur la figure et m’enfilait des gants de cuir, munis sur le dessus, d’une sangle en cuir qu’elle attachait et verrouillait avec des petits cadenas, de telle manière que je ne puisse les ôter.
- Empoigne ta nouille de chien et branle-toi, la lopette !, m’ordonnait-elle une fois encore d’une voix très autoritaire.
Très vite, je ressentais de nouveau la grande perversité de cette rustre femme. Sur ces gants, un nombre incalculable de petites pointes saillantes sur l'extérieur sur chaque doigt et dans la paume m’interdisant ainsi de me toucher et/ou de me masturber.
- Tu as compris de l’utilité de ces gants, tu vas rester la nouille à l’air, mais d’aucune manière tu es autorisé à te caresser ou te branler, petite putain.
J’avais compris et me rassurais du fait que Madame Marie n’exigeât point que je continue à me masturber, elle en aurait été largement capable, connaissant son sadisme. Elle m’attrapait par mon collier et m’entrainait vers cet espace vitré, dans lequel elle me faisait grimper puis entrer, par une lourde porte, elle aussi vitrée, pour m’y enfermer en me poussant prestement par un coup de pied sur le cul, de sa haute botte en cuir noir.
- Tu vas rester quelques jours ici, dans ce bocal, sale chienne…, que dis-je… pas une chienne… Juste un rat de laboratoire, un cobaye…, me disait-elle avant de verrouiller la porte !
Madame Marie éclatait d’un rire moqueur et sadique, moi je frémissais. Dans ce bocal, comme l’avait nommé la perverse cuisinière, fermé sur le dessus par une grille métallique ajourée, il m’était impossible de tenir debout. Le sol était froid, vitré également. Un sceau transparent était à disposition pour mes besoins naturels. J’étais là, allongé, me sentant perdu, mais n’éprouvant ni colère, ni peine, ni tristesse, seule un sentiment d’ennui me gagnait. J’étais seul désormais depuis déjà un bon moment, pourtant je me sentais épié et observé. J’étais quasiment certain qu’il y avait des caméras un peu de partout dans cette pièce toujours intensément éclairée. Evidemment je me questionnais : « Combien de temps vas-tu rester là ?, Pour quelle raison t’impose-t-on cet enfermement ? ». Ceux qui le savaient ne m’avaient évidemment rien dit… J’arrivais tout de même et avec peine à m’endormir mais lorsque je me réveillais, j’étais surpris de voir un homme en blouse blanche, suivi de trois autres personnes, trois jeunes gens, deux hommes et une femme. L’homme en blouse blanche dialoguait avec ces trois individus, mais leurs échanges m’étaient inaudibles. Derrière ces vitres épaisses, je n’entendais rien ou presque.
Les trois jeunes, avec chacun un carnet et un stylo en main, prenaient des notes. Ils ressemblaient en tout point à des étudiants en médecine. Chacun des protagonistes me regardaient intensément, l’homme en blouse blanche, s’était approché de la vitre et me dévisageait, semblait analyser chacun de mes mouvements de paupières, puis regardait et détaillait mon corps avec insistance. Je me sentais animal, une bête sauvage exhibée dans un zoo, me laissant dompter par la force des choses, inconsistant, impalpable mais contraint à leur voyeurisme insistant et à mon exhibition forcée. Qui plus est, il leur était possible de passer sous cette cage de verre, via un petit escalier menant sous ce podium, pour examiner ma bite semi flasque coincée et écrasée entre la paroi du sol entièrement vitrée et le poids de mon corps. Je le voyais discuter et montrer du bout de son index, mes parties génitales, à ceux que je considérais être ses étudiants.
- Assieds-toi salope, colle et ventouse bien ton trou du cul sur le sol verré, en écartant tes fesses ! …
(A suivre…)
Chapitre 16 : Etude anthropologique -
- Vas-y fonce, petit enculé des vignes ! …
J’étais allongé sur mon lit, nu, enfin presque… avec toujours cette cage de chasteté me contraignant ! Ça m’était insupportable de ne pas me toucher, et paradoxalement ça m’était agréable d’être ainsi captif… un sentiment ambivalent. Mon intellect se grippait, je ne parvenais plus à analyser mes ressentis ! Seule chose certaine, mon cul restait béant, grand ouvert… ma main glissait sur ma raie anale, je me caressais l’anus. Au contact de mes doigts, celui-ci ne se contractait pas, ne se resserrait pas, comme s’il attendait, gourmand, une nouvelle pénétration. Pourtant jamais je n’avais vécu chose pareille, six grosses bites en une demi-heure à peine ! Un vrai gang-bang comme jamais je ne l’aurais imaginé. J’étais simplement éreinté, totalement accablé et courbatu, je n’avais qu’une seule envie : Me reposer ! Et bien entendu, ce qui devait arriver, arriva, on téléphone sonnait. Je décrochais sans même regarder le numéro qui s’affichait.
- Bonjour, Monsieur Lapeyrière ?, me questionnait une voix féminine.
- Oui, bonjour, lui-même !
- Je ne vous dérange pas trop, Monsieur Lapeyrière ?
- Nullement.
- Je me présente, je suis Sabine Lafarge du cabinet de recrutement RSM, je vous appelle suite à votre C.V. reçu, concernant le poste de chargé d’affaires viticoles à pourvoir sur Macon. Est-ce bien vous, Monsieur Lapeyrière, qui avez postulé à ce poste ?
- Tout à fait.
- Je voulais savoir si vous disposez de Skype pour un entretien à distance.
- Oui, j’ai Skype.
- Parfait, alors pouvons-nous convenir d’un rendez-vous ?
- Bien sûr, je suis à votre disposition !
- Si je vous propose 18 heures aujourd’hui, est-ce que ça peut vous convenir ?
- Entendu, oui pas de souci.
Cette voix était agréable et souriante… Je donnais mon identifiant Skype, elle m’informait de l’appel à l’heure dite, d’un certain Monsieur Davoust, lui m’appellerait. Avant de raccrocher, elle me remerciait sincèrement de ma disponibilité. « Mon dieu, si cette brave femme savait ô combien j’étais disponible » m’étais-je pensé en posant mon téléphone sur mon chevet, tout en me caressant de mon autre main, ma rondelle toujours dilatée… La fin d’après-midi venue, l’entretien s’était, me semblait-il, super bien passé… Monsieur Davoust avait été charmant, très à l’écoute, m’avait dit que ma candidature lui semblait en parfaite adéquation avec le poste à pourvoir, qu’il allait donc transmettre mon CV à son client, que celui-ci me contacterait sous huitaine, s’il retenait ma demande. Je me sentais serein, heureux, presque tranquille, tout au moins rassuré… jusqu’à ce nouvel sms en provenance du Château.
- A vingt heures précises, le Maître te veut en Sa noble Demeure. Tu y resteras autant de temps que nécessaire. Signé Monsieur Walter.
Aucun répit, d’aucune manière je pouvais savourer l’instant présent, me reposer, me ressourcer, lire, écouter de la musique, faire ce que j’avais envie de faire…. Non, l’omniprésence de Monsieur le Marquis m’entravait, me restreignait, contrecarrait mes plans et mes envies, au moment même où je m’y attendais le moins. Pire encore, c’était de ne pas savoir ce que le Châtelain me réservait… En montant dans ma voiture, je me sentais fatigué, las, et devais-je me l’avouer, pour la première fois, sans enthousiasme ni entrain pour regagner le Château. Néanmoins à 20 heures moins quelques minutes, je me présentais devant l’immense grille de cette ancestrale Demeure. Le Majordome visiblement m’attendait sur les marches du perron. Très vite, je me déshabillais dans mon véhicule. Dès que je fus entièrement nu et sorti de ma voiture, Monsieur Walter me hélait :
- Viens par ici, la pute, dépêche-toi !
Je le saluais respectueusement, alors que lui, sans un mot me plantait deux de ses longs doigts dans mon cul, tout juste refermé. Tête basse, jambes écartées et reins cambrés, je me laissais alors fouiller, je le laissais inspecter et perquisitionner mon intimité, bien que ce mot « intimité », à cet instant, ne me semblât plus du tout approprié ! D’ailleurs un esclave n’a plus d’intimité, ou du moins elle ne lui appartient plus, elle est au Maître. Lorsqu’il eut terminé, il me posait un collier autour du cou et m’ordonnait de le suivre à quatre pattes derrière lui, jusque dans une pièce que je ne connaissais pas encore. Dans celle-ci, une lumière blanche et très intense m’aveuglait. Mes yeux s’habituaient peu à peu à cet insupportable et pâle éclairage alors, j’entrapercevais et découvrais ce lieu aux murs blanchis et sans fenêtres, sans la moindre décoration, avec au centre, posé sur un podium, un espace totalement vitré. On eut dit un grand aquarium ou plutôt un vivarium, puisqu’il n’y avait pas d’eau à l’intérieur de ce volume d’environ deux mètres sur deux, d’une hauteur d’un mètre cinquante environ.
- Debout la salope !, m’ordonnait Madame Marie que je n’avais pas encore vu.
Humble, respectueux, silencieux, je me présentais devant elle avec crainte, connaissant son sadisme et sa perversité à outrance, alors qu’elle m’ôtait sans précaution particulière ma cage de chasteté.
- Tends-moi tes mains, plutôt que de me tendre ta nouille comme tu le fais, sale pute !, me commandait-elle en me tirant les cheveux pour me soulever la tête et me gifler sans ménagement d’une violentes paire de baffes fusant à la vitesse grand V.
Effectivement, je bandais, une érection dure et ferme, avec le gland baveux. Sans comprendre, la cuisinière me crachait sur la figure et m’enfilait des gants de cuir, munis sur le dessus, d’une sangle en cuir qu’elle attachait et verrouillait avec des petits cadenas, de telle manière que je ne puisse les ôter.
- Empoigne ta nouille de chien et branle-toi, la lopette !, m’ordonnait-elle une fois encore d’une voix très autoritaire.
Très vite, je ressentais de nouveau la grande perversité de cette rustre femme. Sur ces gants, un nombre incalculable de petites pointes saillantes sur l'extérieur sur chaque doigt et dans la paume m’interdisant ainsi de me toucher et/ou de me masturber.
- Tu as compris de l’utilité de ces gants, tu vas rester la nouille à l’air, mais d’aucune manière tu es autorisé à te caresser ou te branler, petite putain.
J’avais compris et me rassurais du fait que Madame Marie n’exigeât point que je continue à me masturber, elle en aurait été largement capable, connaissant son sadisme. Elle m’attrapait par mon collier et m’entrainait vers cet espace vitré, dans lequel elle me faisait grimper puis entrer, par une lourde porte, elle aussi vitrée, pour m’y enfermer en me poussant prestement par un coup de pied sur le cul, de sa haute botte en cuir noir.
- Tu vas rester quelques jours ici, dans ce bocal, sale chienne…, que dis-je… pas une chienne… Juste un rat de laboratoire, un cobaye…, me disait-elle avant de verrouiller la porte !
Madame Marie éclatait d’un rire moqueur et sadique, moi je frémissais. Dans ce bocal, comme l’avait nommé la perverse cuisinière, fermé sur le dessus par une grille métallique ajourée, il m’était impossible de tenir debout. Le sol était froid, vitré également. Un sceau transparent était à disposition pour mes besoins naturels. J’étais là, allongé, me sentant perdu, mais n’éprouvant ni colère, ni peine, ni tristesse, seule un sentiment d’ennui me gagnait. J’étais seul désormais depuis déjà un bon moment, pourtant je me sentais épié et observé. J’étais quasiment certain qu’il y avait des caméras un peu de partout dans cette pièce toujours intensément éclairée. Evidemment je me questionnais : « Combien de temps vas-tu rester là ?, Pour quelle raison t’impose-t-on cet enfermement ? ». Ceux qui le savaient ne m’avaient évidemment rien dit… J’arrivais tout de même et avec peine à m’endormir mais lorsque je me réveillais, j’étais surpris de voir un homme en blouse blanche, suivi de trois autres personnes, trois jeunes gens, deux hommes et une femme. L’homme en blouse blanche dialoguait avec ces trois individus, mais leurs échanges m’étaient inaudibles. Derrière ces vitres épaisses, je n’entendais rien ou presque.
Les trois jeunes, avec chacun un carnet et un stylo en main, prenaient des notes. Ils ressemblaient en tout point à des étudiants en médecine. Chacun des protagonistes me regardaient intensément, l’homme en blouse blanche, s’était approché de la vitre et me dévisageait, semblait analyser chacun de mes mouvements de paupières, puis regardait et détaillait mon corps avec insistance. Je me sentais animal, une bête sauvage exhibée dans un zoo, me laissant dompter par la force des choses, inconsistant, impalpable mais contraint à leur voyeurisme insistant et à mon exhibition forcée. Qui plus est, il leur était possible de passer sous cette cage de verre, via un petit escalier menant sous ce podium, pour examiner ma bite semi flasque coincée et écrasée entre la paroi du sol entièrement vitrée et le poids de mon corps. Je le voyais discuter et montrer du bout de son index, mes parties génitales, à ceux que je considérais être ses étudiants.
- Assieds-toi salope, colle et ventouse bien ton trou du cul sur le sol verré, en écartant tes fesses ! …
(A suivre…)
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