La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1549)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1549)
chienne Kajira (devenue esclave Clytoris MDE) au Château – (suite de l'épisode N°1467) –
… - Tu auras des pinces aux seins et à tes lèvres intimes, tu seras bâillonnée et auras les yeux bandés… et le soir venu, tu t’appelleras enfin ‘’esclave Clytoris MDE ‘’
J’étais emplie d’émotions et de dévotion, que de suite je me mis devant tout le monde malgré mon odeur de foutre et de pisse, prosternée et à commencer par abnégation à lécher les chaussures du Maitre pour le remercier de ce magnifique cadeau qu’Il allait me faire… Le lendemain, je vaquais à mes occupations professionnelles et je n’étais utilisée que par le Maitre uniquement.
- Viens, Ma pute, viens Me vider les couilles en levrette et je ne veux pas t’entendre. Et une fois ma semence en toi, tu mettras ce plug dans ta chatte de chienne et l’autre dans ton cul pour le restant de la journée. Puis demain tu auras ta dernière épreuve avant de porter Mes initiales donc tache de finir au plus vite ton travail. Exécution !
Je m’approchais à quatre pattes dans une démarche femelle, féline et la plus sensuelle possible. Je sentais ma cyprine couler déjà d’excitation à l’idée d’être baisée par le Châtelain. Je me positionnais donc en levrette prosternée. Il bandait déjà et ouvrit sa braguette pour en sortir Son Vit bien dressé. Puis, Il s’enfonça en moi comme dans du beurre, pour me besogner la chatte avec de grands coups de reins puissants et bestiaux. Je faisais tout pour retenir mes gémissements et plaisirs. Je n’étais qu’un simple trou pour le Noble qui me prenait sauvagement tout en me fessant mon cul. Puis Il se déversa dans ma cavité vaginale à flots saccadés de semence et se retira pour que de ma langue, je le nettoie des souillures de sperme mélangé à ma cyprine. Ensuite, il mit Lui-même le plug de taille XL dans ma chatte et le L profondément dans mon cul. Je retournai donc ainsi équipée à mon travail et durant tout le reste de la journée, je me sentais humiliée mais en même temps très excitée. Car j’adorais cela, me sentir être Sa chienne, pute, femelle en chaleur, esclave. Une fois mon travail terminé, on me ramenait en quadrupédie dans mon Cachot pour y dormir…
Le lendemain, ce fut le Maitre Lui-même qui vint me réveiller pour me mettre en place sur une immense et haute croix de Saint-André au beau milieu de la cour du Château, sur une espèce de haute estrade. Puis il m’installa des pinces aux tétons et aux lèvres intimes. Ensuite, il m’attacha comme il l’avait prévu, positionna le bâillon et me banda les yeux et je sentis les traces sur ma peau d’un feutre-marqueur qu’il utilisa pour y écrire des inscriptions. Puis sans un mot, il partit. Je repensais alors à Ses mots qu’il m’avait dit ‘‘tu seras attachée en croix, chevilles et bras écartés au milieu de la cour du Château sur une haute estrade, exhibée nue toute la journée, à la vue de tous… Sur ton corps, dans le dos et sous tes seins, il sera inscrit en gros très lisiblement au marqueur feutre ‘JE SUIS LA PUTAIN DU MAITRE’. Tu auras des pinces aux seins et à tes lèvres intimes, tu seras bâillonnée et auras les yeux bandés’’… Alors durant toute la journée, j’eus du mal à tenir car la douleur aux tétons était dure à supporter, mais je tenais pour Maitre afin de mériter Ses Initiales et aussi Lui faire honneur… De temps à autre, on venait me tripoter les seins ou fouiller ma chatte, sans jamais savoir qui venait…
A d’autres moments, on m’enlevait mon bâillon, pour me faire boire et manger, mais les yeux bandés, je ne savais pas, là encore, qui venait. Mais plus le temps passait, plus j’avais du mal à tenir. Et en même temps, je sentais ma cyprine couler le long de mes cuisses. On venait aussi souvent pour m’utiliser. Ainsi on enlevait le plug vaginal pour me baiser puis on me le remettait en place… Une demi-douzaine de fois, on venait ainsi me prendre pour se vider dans ma chatte… Une fois la nuit tombée, au vu de la fraicheur, je sentis que l’on me détacherait. Toujours les yeux bandés, on m’emmena à l’intérieur du Château et on m’installa sur une table et j’entendais chuchoter de nombreuses personnes. Et ce fut Monsieur le Marquis qui enleva mon bandeau. Je pus enfin voir que j’étais dans la salle de réception du Château entourée de Maitre et d’un homme que je me doutais être le tatoueur… Il y avait aussi une assemblée d’une trentaine de Dominants assis juste à quelques mètres
- Mon esclave, voici enfin le moment que tu attendais depuis ta venue à Mes pieds : Ton tatouage avec Mon blason de la Famille des Evans ainsi que Mes Initiales au-dessus de ton pubis. Bien évidement Je ne veux pas que tu bouges d’un millimètre, ni t’entendre durant ton marquage, que cela soit très clair, Ma chienne esclave.
Le tatoueur posa le calque et une fois bien installé, il commença le tatouage qui au début était supportable mais plus le temps passait, moins cela était facile. Je me concentrais donc sur ma respiration pour ne pas bouger ou gémir de douleur mais je sentais aussi les mains du Maitre caresser ma poitrine, ce qui m’aidait à tenir le coup. Il fallut deux heures pour que le tatoueur finisse son œuvre et que le marquage du Maitre soit tatoué sur ma peau pour toujours.
- A genoux, Ma belle petite pute en manque et prosterne-toi devant le Maître que je suis…. Bien voila tu sais où est ta place, elle est à Mes pieds et pour tout le reste de ta vie. Tu as choisi de devenir Mon esclave et je te dressais pour que tu le deviennes la parfaite esclave. Et tache toujours de faire honneur à Ma confiance que je place en toi, Mon esclave MDE… Donc tache de te montrer à la hauteur de cette marque, de Ma marque que tu portes désormais sur le haut de ton pubis de chienne sur ce tatouage, avec ton nouveau pseudo d’esclave Clytoris MDE.
Sur Ses mots, l’assemblée toute entière applaudit. Puis le Châtelain passa Sa main sur ma chatte et dit :
- Regarde, Ma salope, comme tu mouilles et je dirais même tu dégoulines de plaisir à être ce que tu es devenue, un simple trou pour le Maitre, une vide-couilles, une citerne à foutre prête à être remplie, baisée, besognée, défoncée et enculée. C’est ce que tu vas vivre tout au long de ta vie, ici, dans Mon Château à Mes pieds… Et pour une grosse partie de la nuit, tu la passeras avec Moi dans le Donjon pour que Je puisse abuser et user de ton corps totalement asservi à Mes Exigences... Suit-moi à quatre pattes et dépêche-toi un peu. Mais d’abord, je vais te conduire dehors, que tu puisses pisser comme une chienne… Aller maintenant Mon esclave MDE, pisse comme une véritable petite chienne…
Je me mis alors en position et pissa. Puis Monsieur le Marquis accrocha une laisse à mon collier et me tira jusqu'au Donjon où Il me baisa durant une bonne partie de la nuit dans diverse positions et en utilisant du nombreux matériels BDSM stocké au Donjon (fouet, plugs, cordes à bondages, cravache, pinces, muselière, cheval d’arçon, table gynécologique, etc…) sans que j’ai le droit de jouir une seule fois. Quant au Maître, il se déversa dans mon cul, dans ma chatte et dans ma bouche et me plugua le cul et la chatte sans modération...
- Maintenant Mon esclave Clytoris MDE au dodo, et estime toi heureuse que je daigne te ramener Moi-même jusqu’à ton Cachot où tu finiras la nuit…
Le lendemain matin, il était 7h30 quand Walter le Majordome vint ouvrir la lourde porte du Cachot. Il apporta et posa ma gamelle en guise de petit-déjeuner et me fit signe de venir à quatre pattes et de m’agenouiller devant lui :
- esclave Clytoris MDE, puisque c’est ainsi désormais qu’il faudra te nommer… J’espère que tu as conscience de l’honneur suprême que t’a fait Monsieur le Marquis de ce titre. Sache qu’avec Son accord, il est de tradition que je sois le premier, après Lui, à pouvoir utiliser une esclave MDE ! Alors, je ne vais pas me priver, tu vas venir soulager mon érection matinale et une fois finie, tu pourras manger ta bouillie. Aller, prend ma verge en bouche et suce comme une bonne catin en chaleur, ordonna-t-il en déboutonnant sa braguette et en sortant sa queue déjà bien excitée.
J’ouvris alors grand la bouche et je pris la queue du Majordome dans ma cavité buccale, le plus profond qu’il m’était possible. Il m’imposa lui-même le rythme, m’enfonçant et venant Sa queue jusqu’à dans ma gorge
- Ta bouche est un plaisir de la prendre et de la baiser comme un simple trou humide et chaud, salope MDE ! Mais je ne jouirai pas dans ta bouche de pute, mais plutôt dans ta gamelle, esclave MDE en chaleur. Et une fois que J’aurais joui dans ta gamelle, tu la mangeras à quatre pattes. Ensuite je te mènerais en laisse et en quadrupédie, dans les cuisines pour voir si Marie a besoin de toi, la chienne...
Sur ses mots, Walter se branla vigoureusement de sa grosse verge pour enfin éjaculer dans ma gamelle. Puis, je lui nettoyais la queue consciencieusement. Ensuite, le cul bien relevé, je lapais dans ma gamelle ce mélange de bouille protéinée, saucée au sperme du Majordome, tandis qu’il me cravachait le fessier, juste par plaisir. Une fois finie, Walter me dirigeais, tenue en laisse, donc dans les cuisines où je pus voir Madame Marie en train de sanctionner l’esclave salope MDE avec sa grosse cuillère en bois en lui enfilant le manche dans le cul, tout en l’insultant abondamment. Je me mis de suite à genoux afin de ne pas plus la courroucer, attendant les directives de la stricte cuisinière
- Tient voilà la ‘‘nouvelle chienne MDE’’ ! … esclave MDE ou pas, avec moi ça ne changera rien du tout ! Au contraire d’ailleurs, j’ai tendance à être encore plus sévère avec les esclaves MDE, tient-toi le pour dit… Aller, la pute, va nettoyer les bêtises de ta sœur de soumission qui a renversé un pot de crème fraiche.
- Bien Madame Marie, à vos Exigences, répondis-je- Je ne t’ai pas autorisé à me parler, sale chienne
Je nettoyais donc à quatre pattes et avec ma langue la crème fraiche faisant attention de ne pas avaler des morceaux du pot de grès… Alors que je m’attelais à la tâche, je sentis un objet se présenter dans mon cul. C’était le gros manche de la cuillère de bois que Marie m’enfilait sans mangement et la faisait manœuvrer telle une verge qui m’aurait sodomisée
- Tiens ça c’est pour avoir osé me parler sans y être autorisée, sale esclave MDE !
J’avais mal, mais je ne disais rien sachant sa sévérité, son sadisme. Alors je me contentais de lécher la crème sur le carrelage en silence, le cul encombré et sous les fessées claquantes de la cuisinière… Une fois fini, j’étais un peu écœurée d’avoir avalé trop de crème, quand Marie me laissa à Walter qui m’emmena ensuite dans son bureau…
- esclave Clytoris MDE, en position quatre pattes que je te fouille un peu la chatte et te dilate un peu ton cul de salope que Marie a commencer à bien ouvrir avec le manche de sa cuillère à bois.
Je m’approchais donc à quatre pattes et Monsieur Walter commença par insérer un plug L dans mon cul de pute en manque de queue et je commençais déjà à mouiller. Puis il le sortit au bout de quinze longues minutes, durant lesquelles je le suçais avec avidité, pour me fouiller le cul et puis comme il bandait fort suite à ma fellation, il m’encula à grands coups de reins puissants dans ma cavité anale. Le Majordome gémissait et j’avais du mal à contenir mes propres gémissements mais l’éducation du Maitre et la sanction m’aidait à me contenir du mieux possible. Il me démontait le cul et j’adorais cela, me sentir remplie du cul, en bonne putain soumise. Une fois qu’il eut envie de changer de trou, il présenta sa verge dan ma bouche et me la baisait complémentent, enfonçant son sexe jusqu’au fond de ma gorge pour si vider tout au fond dedans, comme un simple trou dévidoir…
Puis durant de longues semaines, j’avais mon travail vanille géré par le Maitre que je voyais uniquement lors des RDV au siège de mon entreprise, sinon je ne le voyais que rarement. Et en plus, j’avais mes tâches au Château… Un dimanche matin alors que je dormais par terre dans mon Cachot, je fus réveillée car des délicieuses caresses que je reconnus de suite, celles du Maitre qui était venu me voir. Je me mis immédiatement à genoux. Il me toucha comme pour reprendre possession de mon corps servile que ne demandait que Lui. Rien que de Ses caresses je brûlais de désirs qu’il me prenne, qu’il me possède tout entière, pour Lui, pour Son plaisir… Son « bonjour Ma belle esclave MDE » me rendit folle de penser de le sentir en moi et je mouillais abondamment de le savoir avec moi à Sa totale disposition, mais cela allait vite déchanter…
(A suivre …)
… - Tu auras des pinces aux seins et à tes lèvres intimes, tu seras bâillonnée et auras les yeux bandés… et le soir venu, tu t’appelleras enfin ‘’esclave Clytoris MDE ‘’
J’étais emplie d’émotions et de dévotion, que de suite je me mis devant tout le monde malgré mon odeur de foutre et de pisse, prosternée et à commencer par abnégation à lécher les chaussures du Maitre pour le remercier de ce magnifique cadeau qu’Il allait me faire… Le lendemain, je vaquais à mes occupations professionnelles et je n’étais utilisée que par le Maitre uniquement.
- Viens, Ma pute, viens Me vider les couilles en levrette et je ne veux pas t’entendre. Et une fois ma semence en toi, tu mettras ce plug dans ta chatte de chienne et l’autre dans ton cul pour le restant de la journée. Puis demain tu auras ta dernière épreuve avant de porter Mes initiales donc tache de finir au plus vite ton travail. Exécution !
Je m’approchais à quatre pattes dans une démarche femelle, féline et la plus sensuelle possible. Je sentais ma cyprine couler déjà d’excitation à l’idée d’être baisée par le Châtelain. Je me positionnais donc en levrette prosternée. Il bandait déjà et ouvrit sa braguette pour en sortir Son Vit bien dressé. Puis, Il s’enfonça en moi comme dans du beurre, pour me besogner la chatte avec de grands coups de reins puissants et bestiaux. Je faisais tout pour retenir mes gémissements et plaisirs. Je n’étais qu’un simple trou pour le Noble qui me prenait sauvagement tout en me fessant mon cul. Puis Il se déversa dans ma cavité vaginale à flots saccadés de semence et se retira pour que de ma langue, je le nettoie des souillures de sperme mélangé à ma cyprine. Ensuite, il mit Lui-même le plug de taille XL dans ma chatte et le L profondément dans mon cul. Je retournai donc ainsi équipée à mon travail et durant tout le reste de la journée, je me sentais humiliée mais en même temps très excitée. Car j’adorais cela, me sentir être Sa chienne, pute, femelle en chaleur, esclave. Une fois mon travail terminé, on me ramenait en quadrupédie dans mon Cachot pour y dormir…
Le lendemain, ce fut le Maitre Lui-même qui vint me réveiller pour me mettre en place sur une immense et haute croix de Saint-André au beau milieu de la cour du Château, sur une espèce de haute estrade. Puis il m’installa des pinces aux tétons et aux lèvres intimes. Ensuite, il m’attacha comme il l’avait prévu, positionna le bâillon et me banda les yeux et je sentis les traces sur ma peau d’un feutre-marqueur qu’il utilisa pour y écrire des inscriptions. Puis sans un mot, il partit. Je repensais alors à Ses mots qu’il m’avait dit ‘‘tu seras attachée en croix, chevilles et bras écartés au milieu de la cour du Château sur une haute estrade, exhibée nue toute la journée, à la vue de tous… Sur ton corps, dans le dos et sous tes seins, il sera inscrit en gros très lisiblement au marqueur feutre ‘JE SUIS LA PUTAIN DU MAITRE’. Tu auras des pinces aux seins et à tes lèvres intimes, tu seras bâillonnée et auras les yeux bandés’’… Alors durant toute la journée, j’eus du mal à tenir car la douleur aux tétons était dure à supporter, mais je tenais pour Maitre afin de mériter Ses Initiales et aussi Lui faire honneur… De temps à autre, on venait me tripoter les seins ou fouiller ma chatte, sans jamais savoir qui venait…
A d’autres moments, on m’enlevait mon bâillon, pour me faire boire et manger, mais les yeux bandés, je ne savais pas, là encore, qui venait. Mais plus le temps passait, plus j’avais du mal à tenir. Et en même temps, je sentais ma cyprine couler le long de mes cuisses. On venait aussi souvent pour m’utiliser. Ainsi on enlevait le plug vaginal pour me baiser puis on me le remettait en place… Une demi-douzaine de fois, on venait ainsi me prendre pour se vider dans ma chatte… Une fois la nuit tombée, au vu de la fraicheur, je sentis que l’on me détacherait. Toujours les yeux bandés, on m’emmena à l’intérieur du Château et on m’installa sur une table et j’entendais chuchoter de nombreuses personnes. Et ce fut Monsieur le Marquis qui enleva mon bandeau. Je pus enfin voir que j’étais dans la salle de réception du Château entourée de Maitre et d’un homme que je me doutais être le tatoueur… Il y avait aussi une assemblée d’une trentaine de Dominants assis juste à quelques mètres
- Mon esclave, voici enfin le moment que tu attendais depuis ta venue à Mes pieds : Ton tatouage avec Mon blason de la Famille des Evans ainsi que Mes Initiales au-dessus de ton pubis. Bien évidement Je ne veux pas que tu bouges d’un millimètre, ni t’entendre durant ton marquage, que cela soit très clair, Ma chienne esclave.
Le tatoueur posa le calque et une fois bien installé, il commença le tatouage qui au début était supportable mais plus le temps passait, moins cela était facile. Je me concentrais donc sur ma respiration pour ne pas bouger ou gémir de douleur mais je sentais aussi les mains du Maitre caresser ma poitrine, ce qui m’aidait à tenir le coup. Il fallut deux heures pour que le tatoueur finisse son œuvre et que le marquage du Maitre soit tatoué sur ma peau pour toujours.
- A genoux, Ma belle petite pute en manque et prosterne-toi devant le Maître que je suis…. Bien voila tu sais où est ta place, elle est à Mes pieds et pour tout le reste de ta vie. Tu as choisi de devenir Mon esclave et je te dressais pour que tu le deviennes la parfaite esclave. Et tache toujours de faire honneur à Ma confiance que je place en toi, Mon esclave MDE… Donc tache de te montrer à la hauteur de cette marque, de Ma marque que tu portes désormais sur le haut de ton pubis de chienne sur ce tatouage, avec ton nouveau pseudo d’esclave Clytoris MDE.
Sur Ses mots, l’assemblée toute entière applaudit. Puis le Châtelain passa Sa main sur ma chatte et dit :
- Regarde, Ma salope, comme tu mouilles et je dirais même tu dégoulines de plaisir à être ce que tu es devenue, un simple trou pour le Maitre, une vide-couilles, une citerne à foutre prête à être remplie, baisée, besognée, défoncée et enculée. C’est ce que tu vas vivre tout au long de ta vie, ici, dans Mon Château à Mes pieds… Et pour une grosse partie de la nuit, tu la passeras avec Moi dans le Donjon pour que Je puisse abuser et user de ton corps totalement asservi à Mes Exigences... Suit-moi à quatre pattes et dépêche-toi un peu. Mais d’abord, je vais te conduire dehors, que tu puisses pisser comme une chienne… Aller maintenant Mon esclave MDE, pisse comme une véritable petite chienne…
Je me mis alors en position et pissa. Puis Monsieur le Marquis accrocha une laisse à mon collier et me tira jusqu'au Donjon où Il me baisa durant une bonne partie de la nuit dans diverse positions et en utilisant du nombreux matériels BDSM stocké au Donjon (fouet, plugs, cordes à bondages, cravache, pinces, muselière, cheval d’arçon, table gynécologique, etc…) sans que j’ai le droit de jouir une seule fois. Quant au Maître, il se déversa dans mon cul, dans ma chatte et dans ma bouche et me plugua le cul et la chatte sans modération...
- Maintenant Mon esclave Clytoris MDE au dodo, et estime toi heureuse que je daigne te ramener Moi-même jusqu’à ton Cachot où tu finiras la nuit…
Le lendemain matin, il était 7h30 quand Walter le Majordome vint ouvrir la lourde porte du Cachot. Il apporta et posa ma gamelle en guise de petit-déjeuner et me fit signe de venir à quatre pattes et de m’agenouiller devant lui :
- esclave Clytoris MDE, puisque c’est ainsi désormais qu’il faudra te nommer… J’espère que tu as conscience de l’honneur suprême que t’a fait Monsieur le Marquis de ce titre. Sache qu’avec Son accord, il est de tradition que je sois le premier, après Lui, à pouvoir utiliser une esclave MDE ! Alors, je ne vais pas me priver, tu vas venir soulager mon érection matinale et une fois finie, tu pourras manger ta bouillie. Aller, prend ma verge en bouche et suce comme une bonne catin en chaleur, ordonna-t-il en déboutonnant sa braguette et en sortant sa queue déjà bien excitée.
J’ouvris alors grand la bouche et je pris la queue du Majordome dans ma cavité buccale, le plus profond qu’il m’était possible. Il m’imposa lui-même le rythme, m’enfonçant et venant Sa queue jusqu’à dans ma gorge
- Ta bouche est un plaisir de la prendre et de la baiser comme un simple trou humide et chaud, salope MDE ! Mais je ne jouirai pas dans ta bouche de pute, mais plutôt dans ta gamelle, esclave MDE en chaleur. Et une fois que J’aurais joui dans ta gamelle, tu la mangeras à quatre pattes. Ensuite je te mènerais en laisse et en quadrupédie, dans les cuisines pour voir si Marie a besoin de toi, la chienne...
Sur ses mots, Walter se branla vigoureusement de sa grosse verge pour enfin éjaculer dans ma gamelle. Puis, je lui nettoyais la queue consciencieusement. Ensuite, le cul bien relevé, je lapais dans ma gamelle ce mélange de bouille protéinée, saucée au sperme du Majordome, tandis qu’il me cravachait le fessier, juste par plaisir. Une fois finie, Walter me dirigeais, tenue en laisse, donc dans les cuisines où je pus voir Madame Marie en train de sanctionner l’esclave salope MDE avec sa grosse cuillère en bois en lui enfilant le manche dans le cul, tout en l’insultant abondamment. Je me mis de suite à genoux afin de ne pas plus la courroucer, attendant les directives de la stricte cuisinière
- Tient voilà la ‘‘nouvelle chienne MDE’’ ! … esclave MDE ou pas, avec moi ça ne changera rien du tout ! Au contraire d’ailleurs, j’ai tendance à être encore plus sévère avec les esclaves MDE, tient-toi le pour dit… Aller, la pute, va nettoyer les bêtises de ta sœur de soumission qui a renversé un pot de crème fraiche.
- Bien Madame Marie, à vos Exigences, répondis-je- Je ne t’ai pas autorisé à me parler, sale chienne
Je nettoyais donc à quatre pattes et avec ma langue la crème fraiche faisant attention de ne pas avaler des morceaux du pot de grès… Alors que je m’attelais à la tâche, je sentis un objet se présenter dans mon cul. C’était le gros manche de la cuillère de bois que Marie m’enfilait sans mangement et la faisait manœuvrer telle une verge qui m’aurait sodomisée
- Tiens ça c’est pour avoir osé me parler sans y être autorisée, sale esclave MDE !
J’avais mal, mais je ne disais rien sachant sa sévérité, son sadisme. Alors je me contentais de lécher la crème sur le carrelage en silence, le cul encombré et sous les fessées claquantes de la cuisinière… Une fois fini, j’étais un peu écœurée d’avoir avalé trop de crème, quand Marie me laissa à Walter qui m’emmena ensuite dans son bureau…
- esclave Clytoris MDE, en position quatre pattes que je te fouille un peu la chatte et te dilate un peu ton cul de salope que Marie a commencer à bien ouvrir avec le manche de sa cuillère à bois.
Je m’approchais donc à quatre pattes et Monsieur Walter commença par insérer un plug L dans mon cul de pute en manque de queue et je commençais déjà à mouiller. Puis il le sortit au bout de quinze longues minutes, durant lesquelles je le suçais avec avidité, pour me fouiller le cul et puis comme il bandait fort suite à ma fellation, il m’encula à grands coups de reins puissants dans ma cavité anale. Le Majordome gémissait et j’avais du mal à contenir mes propres gémissements mais l’éducation du Maitre et la sanction m’aidait à me contenir du mieux possible. Il me démontait le cul et j’adorais cela, me sentir remplie du cul, en bonne putain soumise. Une fois qu’il eut envie de changer de trou, il présenta sa verge dan ma bouche et me la baisait complémentent, enfonçant son sexe jusqu’au fond de ma gorge pour si vider tout au fond dedans, comme un simple trou dévidoir…
Puis durant de longues semaines, j’avais mon travail vanille géré par le Maitre que je voyais uniquement lors des RDV au siège de mon entreprise, sinon je ne le voyais que rarement. Et en plus, j’avais mes tâches au Château… Un dimanche matin alors que je dormais par terre dans mon Cachot, je fus réveillée car des délicieuses caresses que je reconnus de suite, celles du Maitre qui était venu me voir. Je me mis immédiatement à genoux. Il me toucha comme pour reprendre possession de mon corps servile que ne demandait que Lui. Rien que de Ses caresses je brûlais de désirs qu’il me prenne, qu’il me possède tout entière, pour Lui, pour Son plaisir… Son « bonjour Ma belle esclave MDE » me rendit folle de penser de le sentir en moi et je mouillais abondamment de le savoir avec moi à Sa totale disposition, mais cela allait vite déchanter…
(A suivre …)
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