La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1552)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 1756 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de MAITREDOMINO ont reçu un total de 5 344 528 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-09-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 1 813 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1552)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1551) -
Chapitre 17 bis : L’entretien d’embauche –
Avant de démarrer, j’adressais un sms à Monsieur le Marquis pour l’informer de ce rendez-vous… Sur la route, j’essayais de me réveiller, de remettre mes idées dans l’ordre, de me concentrer sur cet entretien. Pas vraiment évident ! Des « flash-back » de ces journées de détention me revenaient sans cesse à l’esprit. Je n’étais pas ressorti indemne de ce premier long séjour au Château… Cependant ce matin, j’allais beaucoup mieux qu’hier au soir. Je réalisais que ces temps de résilience m’avaient apporté une autre vision de ce que devait être un esclave, pas seulement un esclave sexuel, mais un esclave tout court, un être inconsistant, malléable, modelable, façonnable, obéissant à toutes choses et docile dans l’absolu. Un être contraint avec l’esprit libéré de toutes charges du quotidien pour mieux concentrer son mental sur cette discipline rigoureuse exigée, pour mieux accepter cette Domination nécessaire à mon bien-être. Je ne mettais pas laisser abattre, j’avais été courageux, et puis… il y avait eu cette « enculade », mon vidage de couilles dans le cul d’esclav’antoine, il m’avait fait grand bien. Rien que d’y penser, ma nouille cherchait encore à s’épanouir, en vain, bien évidemment ! C’est dans cet état d’esprit, quelque peu excité, et après 1h30 de route que j’arrivais devant l’entreprise mâconnaise avec un peu d’avance. Je détestais arriver en retard à un rendez-vous. Je suivais une pancarte indiquant les bureaux.
Une jeune femme m’accueillait. Il me semblait la connaitre… d’où ? Je n’en savais trop rien… Je n’étais pas un grand physionomiste mais ce visage, ces cheveux noirs me rappelaient quelqu’un de déjà-vu. Elle était habillée strictement, un corsage blanc, col fermé, avec une jupe noire, droite, assez courte, pas de maquillage, les cheveux mi-longs lui tombant sur les épaules. A côté d’elle, un tableau à cristaux liquides indiquait : « La société Kinet Export souhaite la bienvenue à… » mon nom y figurait parmi d’autres. Je trouvais cette façon d’accueillir originale et sympathique, ainsi, on se sentait attendu et considéré.
- Vous êtes Monsieur Lapeyrière ?, m’interrogeait cette femme que je supposais être une secrétaire.
- Oui, c’est bien moi.
- Je vais prévenir Monsieur Montambert, en attendant souhaitez-vous un café ?
- Bien volontiers.
A peine venais-je de finir cet expresso que je vis un homme, grand, mince, à fier allure, une quarantaine d’années, type jeune cadre dynamique, manches de chemises retroussées, venir à ma rencontre. Il me tendait la main, une main ferme et énergique en me disant :
- Bonjour Alex, je suis Martial Montambert, suivez-moi !
A peine avais-je eu le temps de le saluer ! Nous montions à l’étage supérieur, par des escaliers métalliques en colimaçon, faisant grand bruit.
- Par ici, entrez et installez-vous, j’arrive de suite.
Le bureau était vaste, avec un mobilier contemporain. J’attendais le retour de Monsieur Montambert, debout devant une chaise face au bureau.
- Je vous en prie asseyez-vous ? me disait-il en rentrant dans son bureau.
L’homme s’installait dans son large fauteuil, sortait un dossier, cherchait ma lettre de motivation et mon CV parmi une dizaine d’autres.
- Si je vous ai fait venir, c’est parce que votre CV me plait, même si vous n’avez encore aucune expérience professionnelle. Vos études supérieures, votre formation répondent à mes attentes, de plus vous parlez couramment anglais, c’est un plus recherché.
Après m’avoir présenté son entreprise, il entrait dans les détails du poste à pourvoir.
- Si je retiens votre candidature, votre rôle sera de promouvoir nos terroirs, nos vins, en France, comme à l’étranger. Vous serez appelé à voyager principalement au Japon, le japonais aime le beaujolais nouveau, mais aussi au Royaume Uni, et aux Etats Unis. Là-bas, nous souhaitons développer notre marché, exporté encore plus notre bon vin français. Vous aurez à charge de développer et d’entretenir nos partenariats existants avec des cavistes réputés. Nous ne travaillons qu’avec eux, jamais avec des grandes surfaces. Vous aurez aussi à vous occuper de tout le suivi de l’exportation, à gérer les droits de douane et cetera, et cetera… Pour que je retienne votre candidature, j’ai besoin de quelqu’un de motivé et disponible, quelqu’un qui soit entreprenant, ayant de l’autonomie dans son travail. J’ai besoin d’une personne attentive, sachant écouter, sachant répondre à la demande, à l’exigence de nos clients.
Pendant qu’il me parlait, il me dévisageait, sans doute analysait-il mes réactions… Je restais sobre, attentif, à l’écoute, sérieux.
- Ce poste à pourvoir, est un emploi à temps partiel, un temps partiel un peu particulier, quinze jours par mois environ… quinze jours qui pourront être réparti sur le mois, ou quinze jours d’affilés, comme dans le cas d’un voyage à l’étranger. Voilà ce qu’il en est Alex, voilà ce qu’est ma recherche. Etes-vous certain de répondre à mes attentes ? Etes-vous suffisamment disponible pour cet emploi ?
L’emploi était intéressant, la rémunération aussi, quarante mille euros bruts par an avec en sus primes sur le chiffre d’affaires allant jusqu’à doubler ce revenu. Seul hic, ma disponibilité je n’étais pas certain que cela convienne à Monsieur le Marquis. Me voyant hésiter, Monsieur Montambert reprenait…
- Je vais vous laisser réfléchir Alex, je n’ai pas besoin d’une réponse immédiate, si vous me faites part de vos choix d’ici cette fin de semaine, ça m’ira parfaitement. En attendant, parlez-moi un peu de vous, de vos hobbies, de votre vie familiale ?
Bien difficile de parler de soi, bien difficile de lui dire qui j’étais réellement… Sans entrer dans les détails, je lui donnais quelques informations du type : orphelin, célibataire, espérant reprendre le travail de la vigne lorsque Charles prendrait sa retraite, la musique, la course à pied…
- Très bien Alex, cet entretien est terminé, j’attends votre retour, sachez que je priorise votre candidature.
Monsieur Montambert se levait, je le suivais confiant… trop peut-être ! Il avait sa main droite juste posée sur la poignée de la porte d’entrée de son bureau, son regard brillant dans le mien ! Soudainement sa main gauche se saisissait de mon sexe encagé.
- Crois-tu m’avoir tout dit, petite salope ? Penses-tu que je ne sais pas qui tu es précisément ? Dis-moi qui tu es, je le sais très bien, mais je veux l’entendre de ta propre bouche de petite putain !
Je ne pouvais répondre, tant il pressait mes couilles. Je restais bouche grande ouverte, le souffle coupé…
- Crois-tu que Monsieur le Marquis d’Evans va laisser errer Ses esclaves, sans le moindre contrôle, sans qu’ils soient parfaitement maitrisés et domestiqués, tu ne Le connais pas encore suffisamment, sale chienne que tu es. Parmi les tas de choses que tu ignores sur Monsieur le Marquis d’Evans, saches aussi que la société Kinet Export Lui appartient, qu’Il en est le PDG, parmi toutes Ses autres et nombreuses entreprises qu’Il possède… A genoux, donne-moi ta bouche, esclav’alex ! …
(A suivre…)
Chapitre 17 bis : L’entretien d’embauche –
Avant de démarrer, j’adressais un sms à Monsieur le Marquis pour l’informer de ce rendez-vous… Sur la route, j’essayais de me réveiller, de remettre mes idées dans l’ordre, de me concentrer sur cet entretien. Pas vraiment évident ! Des « flash-back » de ces journées de détention me revenaient sans cesse à l’esprit. Je n’étais pas ressorti indemne de ce premier long séjour au Château… Cependant ce matin, j’allais beaucoup mieux qu’hier au soir. Je réalisais que ces temps de résilience m’avaient apporté une autre vision de ce que devait être un esclave, pas seulement un esclave sexuel, mais un esclave tout court, un être inconsistant, malléable, modelable, façonnable, obéissant à toutes choses et docile dans l’absolu. Un être contraint avec l’esprit libéré de toutes charges du quotidien pour mieux concentrer son mental sur cette discipline rigoureuse exigée, pour mieux accepter cette Domination nécessaire à mon bien-être. Je ne mettais pas laisser abattre, j’avais été courageux, et puis… il y avait eu cette « enculade », mon vidage de couilles dans le cul d’esclav’antoine, il m’avait fait grand bien. Rien que d’y penser, ma nouille cherchait encore à s’épanouir, en vain, bien évidemment ! C’est dans cet état d’esprit, quelque peu excité, et après 1h30 de route que j’arrivais devant l’entreprise mâconnaise avec un peu d’avance. Je détestais arriver en retard à un rendez-vous. Je suivais une pancarte indiquant les bureaux.
Une jeune femme m’accueillait. Il me semblait la connaitre… d’où ? Je n’en savais trop rien… Je n’étais pas un grand physionomiste mais ce visage, ces cheveux noirs me rappelaient quelqu’un de déjà-vu. Elle était habillée strictement, un corsage blanc, col fermé, avec une jupe noire, droite, assez courte, pas de maquillage, les cheveux mi-longs lui tombant sur les épaules. A côté d’elle, un tableau à cristaux liquides indiquait : « La société Kinet Export souhaite la bienvenue à… » mon nom y figurait parmi d’autres. Je trouvais cette façon d’accueillir originale et sympathique, ainsi, on se sentait attendu et considéré.
- Vous êtes Monsieur Lapeyrière ?, m’interrogeait cette femme que je supposais être une secrétaire.
- Oui, c’est bien moi.
- Je vais prévenir Monsieur Montambert, en attendant souhaitez-vous un café ?
- Bien volontiers.
A peine venais-je de finir cet expresso que je vis un homme, grand, mince, à fier allure, une quarantaine d’années, type jeune cadre dynamique, manches de chemises retroussées, venir à ma rencontre. Il me tendait la main, une main ferme et énergique en me disant :
- Bonjour Alex, je suis Martial Montambert, suivez-moi !
A peine avais-je eu le temps de le saluer ! Nous montions à l’étage supérieur, par des escaliers métalliques en colimaçon, faisant grand bruit.
- Par ici, entrez et installez-vous, j’arrive de suite.
Le bureau était vaste, avec un mobilier contemporain. J’attendais le retour de Monsieur Montambert, debout devant une chaise face au bureau.
- Je vous en prie asseyez-vous ? me disait-il en rentrant dans son bureau.
L’homme s’installait dans son large fauteuil, sortait un dossier, cherchait ma lettre de motivation et mon CV parmi une dizaine d’autres.
- Si je vous ai fait venir, c’est parce que votre CV me plait, même si vous n’avez encore aucune expérience professionnelle. Vos études supérieures, votre formation répondent à mes attentes, de plus vous parlez couramment anglais, c’est un plus recherché.
Après m’avoir présenté son entreprise, il entrait dans les détails du poste à pourvoir.
- Si je retiens votre candidature, votre rôle sera de promouvoir nos terroirs, nos vins, en France, comme à l’étranger. Vous serez appelé à voyager principalement au Japon, le japonais aime le beaujolais nouveau, mais aussi au Royaume Uni, et aux Etats Unis. Là-bas, nous souhaitons développer notre marché, exporté encore plus notre bon vin français. Vous aurez à charge de développer et d’entretenir nos partenariats existants avec des cavistes réputés. Nous ne travaillons qu’avec eux, jamais avec des grandes surfaces. Vous aurez aussi à vous occuper de tout le suivi de l’exportation, à gérer les droits de douane et cetera, et cetera… Pour que je retienne votre candidature, j’ai besoin de quelqu’un de motivé et disponible, quelqu’un qui soit entreprenant, ayant de l’autonomie dans son travail. J’ai besoin d’une personne attentive, sachant écouter, sachant répondre à la demande, à l’exigence de nos clients.
Pendant qu’il me parlait, il me dévisageait, sans doute analysait-il mes réactions… Je restais sobre, attentif, à l’écoute, sérieux.
- Ce poste à pourvoir, est un emploi à temps partiel, un temps partiel un peu particulier, quinze jours par mois environ… quinze jours qui pourront être réparti sur le mois, ou quinze jours d’affilés, comme dans le cas d’un voyage à l’étranger. Voilà ce qu’il en est Alex, voilà ce qu’est ma recherche. Etes-vous certain de répondre à mes attentes ? Etes-vous suffisamment disponible pour cet emploi ?
L’emploi était intéressant, la rémunération aussi, quarante mille euros bruts par an avec en sus primes sur le chiffre d’affaires allant jusqu’à doubler ce revenu. Seul hic, ma disponibilité je n’étais pas certain que cela convienne à Monsieur le Marquis. Me voyant hésiter, Monsieur Montambert reprenait…
- Je vais vous laisser réfléchir Alex, je n’ai pas besoin d’une réponse immédiate, si vous me faites part de vos choix d’ici cette fin de semaine, ça m’ira parfaitement. En attendant, parlez-moi un peu de vous, de vos hobbies, de votre vie familiale ?
Bien difficile de parler de soi, bien difficile de lui dire qui j’étais réellement… Sans entrer dans les détails, je lui donnais quelques informations du type : orphelin, célibataire, espérant reprendre le travail de la vigne lorsque Charles prendrait sa retraite, la musique, la course à pied…
- Très bien Alex, cet entretien est terminé, j’attends votre retour, sachez que je priorise votre candidature.
Monsieur Montambert se levait, je le suivais confiant… trop peut-être ! Il avait sa main droite juste posée sur la poignée de la porte d’entrée de son bureau, son regard brillant dans le mien ! Soudainement sa main gauche se saisissait de mon sexe encagé.
- Crois-tu m’avoir tout dit, petite salope ? Penses-tu que je ne sais pas qui tu es précisément ? Dis-moi qui tu es, je le sais très bien, mais je veux l’entendre de ta propre bouche de petite putain !
Je ne pouvais répondre, tant il pressait mes couilles. Je restais bouche grande ouverte, le souffle coupé…
- Crois-tu que Monsieur le Marquis d’Evans va laisser errer Ses esclaves, sans le moindre contrôle, sans qu’ils soient parfaitement maitrisés et domestiqués, tu ne Le connais pas encore suffisamment, sale chienne que tu es. Parmi les tas de choses que tu ignores sur Monsieur le Marquis d’Evans, saches aussi que la société Kinet Export Lui appartient, qu’Il en est le PDG, parmi toutes Ses autres et nombreuses entreprises qu’Il possède… A genoux, donne-moi ta bouche, esclav’alex ! …
(A suivre…)
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par MAITREDOMINO
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...