La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1564)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1564)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1563) -
Je ne voulais pas me souiller, je ne voulais pas aller jusqu’à me déshonorer ainsi à me pisser dessus… Alors que j’essayais de trouver le sommeil, la porte de la chambre s’ouvrait. Je crus halluciner ! La grosse nurse entrait dans la pièce, totalement nue. Son corps difforme me donnait l’envie de gerber. Ses gros seins, ses multiples bourrelets, cette ceinture abdominale sans tenue, ses cuisses boudinées, ses fesses monstrueuses, son sexe poilu dissimulé par ce ventre repoussant, ces images n’étaient qu’une vision cauchemardesque ! Lorsqu’elle se couchait dans le lit, près du mien, celui-ci grinçait sauvagement, comme si le sommier hurlait son désarroi sous le poids de cette femme obèse et trapue. Il en fut de même lorsque son compagnon ou mari pervers vint la rejoindre… Ils chuchotèrent quelques minutes puis éteignirent la lumière tout en continuant à bavarder encore. Mais visiblement, cette fois, de manière plus audible de façon à ce que j’entende bien leur propos :
- Ta chatte est trempée, ma chérie…- Chut, tu vas réveiller notre bébé esclave, il faut dormir… aller, bonne nuit, Marc- Bonne nuit, ma chérie.
Malgré toutes mes contraintes, je trouvais enfin le sommeil au bout d’un long moment, mais très vite je fus réveillé par des douleurs et tiraillement au niveau de ma nouille. Cette satanée cage de chasteté comprimait et contenait une érection involontaire pendant une phase de sommeil paradoxal ! Le tout stimulé par les deux électrodes qui cette fois-ci provoquaient une douleur causé par l’érection, tout en ayant toujours cette envie de pisser. C’était simplement insupportable, le cockring à la base de mes couilles était projeté en avant, tirant sur mes burnes, ma nouille s’écrasait contre la grille métallique, je tentais d’étouffer mes geignements, sous mon bâillon-tétine, mais en vain. Une lampe de chevet s’éclairait alors, la grosse et vicieuse nurse, toujours à poil se levait…
- Qu’y a-t-il, mon bébé esclave ?
La grosse mégère le voyait bien que je souffrais, cette garce ! Elle osait me demander ce que j’avais… mais elle le savait très bien !
- Peut-être, as-tu mal à ton petit ventre, mon bébé esclave !
Cette vicieuse femme appuyait alors sur mon abdomen, pressant sévèrement ses doigts sur ma vessie gonflée… Et là, Impossible de contenir mes urines, je me pissais dessus, inondant ma couche, sans pouvoir bloquer mes sphincters urinaires. Cette garce me regardait avec un sourire malfaisant, moqueur et sarcastique…
- J’espère que ce n’est pas ton petit bazar qui tu poses problème, car là, mon petit chéri, je ne pourrai rien faire pour toi.
Cette femme était simplement folle, vicelarde, perverses et sadique. Elle retournait au lit, se couchait. Moi, impossible de redormir, je me sentais sale, répugnant, souillé. Je restais les yeux grand-ouverts toute la nuit. Avec la couche humide, lourde et froide, je grelotais. Au petit matin, j’étais pris en charge par Marc, cet homme tout aussi vicieux. Il me détachait et me retirait enfin tous mes attirails. Mon cul était enfin vidé de ce volumineux rosebud, ma couche retirée ainsi que le boitier aux électrodes, seule ma cage de chasteté restait en place. Ma bouche libérée de ce maudit bâillon à tétine, mais a vite été remplacé par la verge de ce vicieux personnage. Sa bite était demi-durcie par son début d’érection matinale et il venait juste se soulager une nouvelle fois au fond de ma gorge après avoir pris possession de ma cavité buccale sans ménagement en me la baisant avec vigueur et cela juste pour se vider les couilles. J’étais contraint de tout avaler de nouveau… Puis il me transportait jusque dans le séjour en m’ordonnant de me tenir à genoux, mains sur la tête.
- Tu pues la pisse, gamin, tu t’es encore soulagé dans ta couche, tu n’as pas honte sale fils de pute !
J’aimais bien le « encore »… comme si c’était un acte habituel. Bien sûr que si, j’avais honte… Je me sentais misérable et répugnant. Une première gifle m’assommait, une seconde me faisait tituber.
- Ne bouge pas, salope, reste droit…
Marc me sermonnait encore :
- Tu vas m’obliger à te punir encore, fils de catin et d’enculé, crois-moi, tu vas apprendre à pisser dans un pot !
Le contexte, les baffes reçues, ma posture, cette régression imposée, ces mots utilisés, les conditions dans lesquelles j’avais passé la nuit faisaient un ensemble de choses qui m’anéantissait. Pourtant et parallèlement à ça, je sentais monter en moi un plaisir sexuel purement primaire qui s’imposait et se figeait, en réponse à toutes ces humiliations répétées. A cet instant, j’éprouvais une sorte de jubilation honteuse à être exposé ainsi et aussi et surtout par le plaisir manifeste que je donnais à cet homme machiavélique qui éprouvait une véritable satisfaction à m’humilier de la sorte.
- Oui punis-le, Marc !, rajoutait la mégère maintenant debout et toujours nue sous son peignoir, au corps répugnant.
La grosse femme se tenait appuyée contre le chambranle de la porte, avec juste ce peignoir semi-ouvert et posé sur ses larges épaules, elle se frottait la chatte énergiquement, sans aucune pudeur. J’osais regarder l’un après l’autre ce couple pervers, Ils étaient tout simplement démoniaques, fous… Je ne parvenais plus à les comprendre. Tout avait été fait pour que je me pisse dessus et maintenant ils décidaient de me punir… Cette ambivalence dans leur façon d’agir, de penser me laissait dans une perplexité, dans un état de doute, dans un embarras sans nom. Sans doute, était-ce un moyen pour eux deux d’afficher leur domination et d’assoir leur autorité en me laissant en permanence sur le qui-vive et sur mes gardes. Ils avaient à l’évidence ce pervers plaisir à m’humilier, à me faire me retrancher dans mon état de servilité le plus décadent…
- Viens dire bonjour à nounou !, m’ordonnait cette garce obèse.
J’avançais en quadrupédie vers elle, alors qu’elle ouvrait plus encore les pans de son peignoir. Une fois entre ces jambes, sans qu’un ordre ne me soit donné, j’avançais mon visage vers sa vulve gluante et répugnante et attendais ainsi, mon nez à seulement deux centimètres de son sexe. Elle me laissait ainsi un long moment à humer ces fragrances intimes nauséabondes. Elle puait la pisse, le foutre, sa vulve rouge et gonflée laissait apparaitre des sécrétions vaginales blanches et épaisses.
- Tu as envie de mon petit minou, n’est-ce pas mon bébé esclave ?
Non, non et non… Je ne voulais pas brouter cette chatte abjecte, pourtant, comme par instinct, je me surprenais à tirer la langue comme une chienne en chaleur. Elle empoignait alors ma chevelure et plaquait ma bouche contre sa moule ruisselante et baveuse. J’étouffais et mugissais entre ses cuisses monstrueuses, lapais cette vulve dilatée, glissant ma langue sur et entre ses lèvres intimes distendues. Déjà, elle m’inondait de ces premiers fluides intimes. Constatant qu’elle n’était plus contrainte de me maintenir, parce qu’elle me voyait agir et me comporter telle une vraie salope débauchée remuant du cul, elle relâchait ma chevelure, écartait les jambes pour que moi seul décide où mettre ma bouche. Je la plaquais contre son entrée telle une ventouse. J’y mettais toute mon ardeur, gobait ce sexe défraîchi, ramolli et humide, enfonçant ma langue au plus profond d’elle, puis allait titiller et mordiller régulièrement son clitoris, pour revenir dans cette chatte en agitant très rapidement mon appendice buccal. Ainsi, je faisais des allers-retours réguliers de sa vulve à son petit bouton, jusqu’à ce qu’un flot de cyprine ininterrompu vienne abreuver ma soif de sexe. La grosse femme trapue jouissait et explosait à grand bruit alors que ce vieux pervers de Marc lui pinçait les tétons tout en lui malaxant ses gros seins tombant…
- Tu es vraiment né pour être un esclave sexuel, une bonne putain en devenir, spécialiste du cunnilingus !, me félicitait-elle
J’étais heureux mais pas totalement rassasié… La queue de ce vieux pervers pendouillait près de mon visage, j’avais envie de la prendre en bouche, ou dans le cul, qu'elle remplisse mes orifices. Mais comment convaincre ou motiver sans rien oser demander ? Contre toute attente, comme s’il avait lu dans mes pensées, il exigeait d’ouvrir ma bouche. Il glissait sa queue molle que je commençais à caresser avec mes lèvres et ma langue.
- Ne te sers pas de ta langue sale fils de pute, je vais me débrouiller seul, gamin !
Son sexe flasque dans ma cavité buccale, j’attendais qu’il me baise la bouche et ma gorge, comme il l’avait fait la veille au soir et tantôt, mais là rien… Je restais immobile, jusqu’à cet instant où je sentais un petit jet de liquide chaud dans ma bouche.
- Je t’ordonne de tout avaler bâtard, je ne veux pas voir une goutte de ma pisse sur le plancher.
Ce salaud me pissait dans le gosier. Son urine était concentrée avec une odeur désagréable qui me donnait des hauts le cœur. Le second jet était plus consistant, avec un gout amer et salé. Je craignais vomir à chaque gorgée avalée. Ce mec était ignoble, il se délectait de me voir à ses pieds, le visage livide, les yeux brillants, l’estomac retourné. Lui avait un sourire crispé et humiliant, il me regardait d’un air dédaigneux, il semblait comblé de m’humilier ainsi…
(A suivre…)
Je ne voulais pas me souiller, je ne voulais pas aller jusqu’à me déshonorer ainsi à me pisser dessus… Alors que j’essayais de trouver le sommeil, la porte de la chambre s’ouvrait. Je crus halluciner ! La grosse nurse entrait dans la pièce, totalement nue. Son corps difforme me donnait l’envie de gerber. Ses gros seins, ses multiples bourrelets, cette ceinture abdominale sans tenue, ses cuisses boudinées, ses fesses monstrueuses, son sexe poilu dissimulé par ce ventre repoussant, ces images n’étaient qu’une vision cauchemardesque ! Lorsqu’elle se couchait dans le lit, près du mien, celui-ci grinçait sauvagement, comme si le sommier hurlait son désarroi sous le poids de cette femme obèse et trapue. Il en fut de même lorsque son compagnon ou mari pervers vint la rejoindre… Ils chuchotèrent quelques minutes puis éteignirent la lumière tout en continuant à bavarder encore. Mais visiblement, cette fois, de manière plus audible de façon à ce que j’entende bien leur propos :
- Ta chatte est trempée, ma chérie…- Chut, tu vas réveiller notre bébé esclave, il faut dormir… aller, bonne nuit, Marc- Bonne nuit, ma chérie.
Malgré toutes mes contraintes, je trouvais enfin le sommeil au bout d’un long moment, mais très vite je fus réveillé par des douleurs et tiraillement au niveau de ma nouille. Cette satanée cage de chasteté comprimait et contenait une érection involontaire pendant une phase de sommeil paradoxal ! Le tout stimulé par les deux électrodes qui cette fois-ci provoquaient une douleur causé par l’érection, tout en ayant toujours cette envie de pisser. C’était simplement insupportable, le cockring à la base de mes couilles était projeté en avant, tirant sur mes burnes, ma nouille s’écrasait contre la grille métallique, je tentais d’étouffer mes geignements, sous mon bâillon-tétine, mais en vain. Une lampe de chevet s’éclairait alors, la grosse et vicieuse nurse, toujours à poil se levait…
- Qu’y a-t-il, mon bébé esclave ?
La grosse mégère le voyait bien que je souffrais, cette garce ! Elle osait me demander ce que j’avais… mais elle le savait très bien !
- Peut-être, as-tu mal à ton petit ventre, mon bébé esclave !
Cette vicieuse femme appuyait alors sur mon abdomen, pressant sévèrement ses doigts sur ma vessie gonflée… Et là, Impossible de contenir mes urines, je me pissais dessus, inondant ma couche, sans pouvoir bloquer mes sphincters urinaires. Cette garce me regardait avec un sourire malfaisant, moqueur et sarcastique…
- J’espère que ce n’est pas ton petit bazar qui tu poses problème, car là, mon petit chéri, je ne pourrai rien faire pour toi.
Cette femme était simplement folle, vicelarde, perverses et sadique. Elle retournait au lit, se couchait. Moi, impossible de redormir, je me sentais sale, répugnant, souillé. Je restais les yeux grand-ouverts toute la nuit. Avec la couche humide, lourde et froide, je grelotais. Au petit matin, j’étais pris en charge par Marc, cet homme tout aussi vicieux. Il me détachait et me retirait enfin tous mes attirails. Mon cul était enfin vidé de ce volumineux rosebud, ma couche retirée ainsi que le boitier aux électrodes, seule ma cage de chasteté restait en place. Ma bouche libérée de ce maudit bâillon à tétine, mais a vite été remplacé par la verge de ce vicieux personnage. Sa bite était demi-durcie par son début d’érection matinale et il venait juste se soulager une nouvelle fois au fond de ma gorge après avoir pris possession de ma cavité buccale sans ménagement en me la baisant avec vigueur et cela juste pour se vider les couilles. J’étais contraint de tout avaler de nouveau… Puis il me transportait jusque dans le séjour en m’ordonnant de me tenir à genoux, mains sur la tête.
- Tu pues la pisse, gamin, tu t’es encore soulagé dans ta couche, tu n’as pas honte sale fils de pute !
J’aimais bien le « encore »… comme si c’était un acte habituel. Bien sûr que si, j’avais honte… Je me sentais misérable et répugnant. Une première gifle m’assommait, une seconde me faisait tituber.
- Ne bouge pas, salope, reste droit…
Marc me sermonnait encore :
- Tu vas m’obliger à te punir encore, fils de catin et d’enculé, crois-moi, tu vas apprendre à pisser dans un pot !
Le contexte, les baffes reçues, ma posture, cette régression imposée, ces mots utilisés, les conditions dans lesquelles j’avais passé la nuit faisaient un ensemble de choses qui m’anéantissait. Pourtant et parallèlement à ça, je sentais monter en moi un plaisir sexuel purement primaire qui s’imposait et se figeait, en réponse à toutes ces humiliations répétées. A cet instant, j’éprouvais une sorte de jubilation honteuse à être exposé ainsi et aussi et surtout par le plaisir manifeste que je donnais à cet homme machiavélique qui éprouvait une véritable satisfaction à m’humilier de la sorte.
- Oui punis-le, Marc !, rajoutait la mégère maintenant debout et toujours nue sous son peignoir, au corps répugnant.
La grosse femme se tenait appuyée contre le chambranle de la porte, avec juste ce peignoir semi-ouvert et posé sur ses larges épaules, elle se frottait la chatte énergiquement, sans aucune pudeur. J’osais regarder l’un après l’autre ce couple pervers, Ils étaient tout simplement démoniaques, fous… Je ne parvenais plus à les comprendre. Tout avait été fait pour que je me pisse dessus et maintenant ils décidaient de me punir… Cette ambivalence dans leur façon d’agir, de penser me laissait dans une perplexité, dans un état de doute, dans un embarras sans nom. Sans doute, était-ce un moyen pour eux deux d’afficher leur domination et d’assoir leur autorité en me laissant en permanence sur le qui-vive et sur mes gardes. Ils avaient à l’évidence ce pervers plaisir à m’humilier, à me faire me retrancher dans mon état de servilité le plus décadent…
- Viens dire bonjour à nounou !, m’ordonnait cette garce obèse.
J’avançais en quadrupédie vers elle, alors qu’elle ouvrait plus encore les pans de son peignoir. Une fois entre ces jambes, sans qu’un ordre ne me soit donné, j’avançais mon visage vers sa vulve gluante et répugnante et attendais ainsi, mon nez à seulement deux centimètres de son sexe. Elle me laissait ainsi un long moment à humer ces fragrances intimes nauséabondes. Elle puait la pisse, le foutre, sa vulve rouge et gonflée laissait apparaitre des sécrétions vaginales blanches et épaisses.
- Tu as envie de mon petit minou, n’est-ce pas mon bébé esclave ?
Non, non et non… Je ne voulais pas brouter cette chatte abjecte, pourtant, comme par instinct, je me surprenais à tirer la langue comme une chienne en chaleur. Elle empoignait alors ma chevelure et plaquait ma bouche contre sa moule ruisselante et baveuse. J’étouffais et mugissais entre ses cuisses monstrueuses, lapais cette vulve dilatée, glissant ma langue sur et entre ses lèvres intimes distendues. Déjà, elle m’inondait de ces premiers fluides intimes. Constatant qu’elle n’était plus contrainte de me maintenir, parce qu’elle me voyait agir et me comporter telle une vraie salope débauchée remuant du cul, elle relâchait ma chevelure, écartait les jambes pour que moi seul décide où mettre ma bouche. Je la plaquais contre son entrée telle une ventouse. J’y mettais toute mon ardeur, gobait ce sexe défraîchi, ramolli et humide, enfonçant ma langue au plus profond d’elle, puis allait titiller et mordiller régulièrement son clitoris, pour revenir dans cette chatte en agitant très rapidement mon appendice buccal. Ainsi, je faisais des allers-retours réguliers de sa vulve à son petit bouton, jusqu’à ce qu’un flot de cyprine ininterrompu vienne abreuver ma soif de sexe. La grosse femme trapue jouissait et explosait à grand bruit alors que ce vieux pervers de Marc lui pinçait les tétons tout en lui malaxant ses gros seins tombant…
- Tu es vraiment né pour être un esclave sexuel, une bonne putain en devenir, spécialiste du cunnilingus !, me félicitait-elle
J’étais heureux mais pas totalement rassasié… La queue de ce vieux pervers pendouillait près de mon visage, j’avais envie de la prendre en bouche, ou dans le cul, qu'elle remplisse mes orifices. Mais comment convaincre ou motiver sans rien oser demander ? Contre toute attente, comme s’il avait lu dans mes pensées, il exigeait d’ouvrir ma bouche. Il glissait sa queue molle que je commençais à caresser avec mes lèvres et ma langue.
- Ne te sers pas de ta langue sale fils de pute, je vais me débrouiller seul, gamin !
Son sexe flasque dans ma cavité buccale, j’attendais qu’il me baise la bouche et ma gorge, comme il l’avait fait la veille au soir et tantôt, mais là rien… Je restais immobile, jusqu’à cet instant où je sentais un petit jet de liquide chaud dans ma bouche.
- Je t’ordonne de tout avaler bâtard, je ne veux pas voir une goutte de ma pisse sur le plancher.
Ce salaud me pissait dans le gosier. Son urine était concentrée avec une odeur désagréable qui me donnait des hauts le cœur. Le second jet était plus consistant, avec un gout amer et salé. Je craignais vomir à chaque gorgée avalée. Ce mec était ignoble, il se délectait de me voir à ses pieds, le visage livide, les yeux brillants, l’estomac retourné. Lui avait un sourire crispé et humiliant, il me regardait d’un air dédaigneux, il semblait comblé de m’humilier ainsi…
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