La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1565)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1565) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1565)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1564) -
Chapitre 26 : Ce couple diaboliquement pervers ! -
Il me regardait d’un air dédaigneux, il semblait comblé de m’humilier ainsi… Lorsque ce pervers eut fini de vidanger sa vessie, il m’attrapait brutalement par un bras, alors qu’il s’asseyait sur une chaise. Sans rien dire, il m’obligeait à me coucher à plat ventre, le cul bien relevé, en travers sur ses genoux.

- Tu vas regretter de pisser dans tes couches, sale gamin, tu sens comme tu pues la pisse, petite putain !, me disait-il.

Non seulement je sentais la pisse, mais j’avais encore en bouche le goût amer de celle que je venais d’ingurgiter.

- Pendant que tu lui administres une bonne raclée, je vais lui préparer un bon petit déjeuner !, lançait cette perverse nurse.

Marc caressait mes fesses encore moites, puis sa main passait sous celles-ci pour attraper mes couilles et ma bite encagée, afin de les maintenir bien à sa vue, coincées entre mes deux cuisses resserrées et l’une des siennes. Je ne bougeais pas, ne bronchais pas, je le laissais disposer de mon corps servile, ce corps qui ne me semblait plus être le mien. Se penchant un peu plus sur moi, m’écrasant avec son abdomen proéminent, il m’écartait les fesses de ses deux épaisses mains et semblait examiner avec une attention particulière mon orifice lové dans ce sillon anal maintenu écartelé.

- Viens voir, chérie, viens me dire ce que tu en penses ?

La grosse et vicieuse nurse déboulait en trombe, une large spatule en bois au manche cylindrique, en main.

- Qui a-t-il Marc ?
- Que penses-tu de ce trou de balle ?

Je sentais le pouce de cette trapue mégère glisser sur mon anus, appuyant sur les contours puis forçant sur mon entrée intime.

- On dirait que ça commence tout juste à s’assouplir, tu as bien fait chéri de lui mettre le rosebud, cette nuit…
- Oui je crois, mais je ne suis pas sûr que ce soit suffisant.
- Tu as raison, chéri, il faut qu’il puisse s’ouvrir et s’offrir davantage…
Je n’écoutais plus, les laissais deviser comme s’il était tout à fait logique qu'il en soit ainsi et légitime qu'ils me tripotent et farfouillent le cul, comme ça, de bon matin, dans cette posture ignoble et totalement indécente… Le pouce de l’un et l’index de l’autre me pénétraient, écartaient mon trou, chacun tirant dans un sens opposé pour distendre ma rondelle. Je laissais parfois échapper un gémissement de douleur ou de plaisir sans pouvoir dissocier vraiment si je souffrais réellement ou si ces attentions perverses m’apportaient une forme d’excitation. Je capitulais, j’abdiquais, mon cerveau semblait fonctionner au ralenti comme s’il démissionnait à son tour, me laissant là, avec des ressentis inexplicables, insaisissables voire nébuleux. Doucement mais sûrement, je me sentais glisser et m’enfoncer dans une soumission totale et irréversible, puisque je me contentais de sursauter à chaque fois que cette énorme paluche fessait mon cul cambré et offert. Je ne disais rien, ne me débattait pas, ne cherchais pas à fuir cette main qui me faisait pourtant bien rougir les fesses, au contraire j’exhibais plus encore mon cul, le tendait davantage pour faciliter le travail de cet homme pervers. Je renonçais, ne m’interrogeais plus quant à savoir si cette raclée était juste et méritée, je me faisais rosser le cul, point à la ligne !

Et puis, tout d’un coup je sentais une tige rigide pénétrer ma rondelle, et je comprenais vite que l’obèse nurse m’enfilait le manche cylindrique de sa spatule en bois… Elle faisait manœuvrer l’ustensile de cuisine par de nombreux et énergiques allers et venues, tout en la faisant tournoyer sur ladite spatule sur elle-même, puis stoppait net pour le laisser planter profond comme un drapeau planté tout en haut d’une montagne, alors que Marc continuait à me fesser sans vergogne…
- Regarde chéri, on dirait qu’on a planté un haut mat dans un profond volcan !, ironisait la grosse femme
Mes fesses étaient brûlantes, mon anus me faisait mal et pourtant je sentais ma nouille frétiller, j’oscillais entre la douleur et le plaisir, tel un masochiste… Puis la nurse retirait la spatule et l’homme exigea de me mettre à quatre pattes. Ensuite Marc exigea de le suivre jusqu’à la cuisine, où j’aperçus une chaise haute … Sous son ordre, je devais m’y installer… Mon fessier crépitait encore lorsque je m’asseyais sur cette chaise haute, presque comme celle d’un enfant, mais adaptée à une taille adulte. L’assise était tout à fait particulière, laissant mon cul dans le vide. Mais pas pour très longtemps car Marc faisait pivoter la partie arrière et verticale sous mon cul afin de la fixer à l’horizontale sous mon fessier. Un sexe factice, pas très long mais solidement fixé à cette partie se retrouvait donc désormais sous mon cul. On exigea que je m’y empale. Cela était difficile et douloureux, mais je parvenais à faire entrer ce gode entre mes entrailles et jusqu’à la garde car heureusement il n’était pas très volumineux. Etant maintenant bien assis et empalé, mes mains comme mes avants bras étaient attachés aux accoudoirs par des sangles en cuir. Mes cuisses et mes chevilles elles aussi étaient maintenues fermement liées. Une sangle en cuir barrait ma poitrine, une autre maintenant mon abdomen en appui contre le dossier de cette chaise. Alors que cette grosse mégère, toujours avec son peignoir rose difforme m’attachait un bavoir autour du cou, son conjoint me campait en bouche un autre gode d’une taille relativement imposante, tant en longueur, qu’en épaisseur…
- Il en dans ton intérêt que tu l’humectes bien de ta salive, parce que tu te doutes certainement où il va finir et à quoi il va servir.

Je hochais la tête de haut en bas pour répondre par l’affirmative, tout en serrant entre mes dents ce gode mou qui ballotait allègrement… Oui je savais que ces deux pervers allaient s’en donner à cœur joie, qu’ils allaient encore m’humilier sans aucune limite, qu’ils allaient faire de moi une putain de dépravé.

- Si tu es bien sage mon bébé esclave, nounou t’enlèvera cette cage posée sur ton petit bazar, mais pour ça il faut que tu manges bien la bonne bouillie que je viens de te préparer !, me disait cette garce de nurse.

Je ne comprenais pas ce que son mari faisait sous cette chaise haute. Je l’entendais marmonner et jurer comme un charretier. Rien n’allait semble-t-il à en croire son mécontentement. La bouillie posée sur cette petite table fixée à la chaise sur laquelle je me trouvais attaché me semblait appétissante, sans doute du lait avec peut-être de la Blédine sur laquelle flottait des céréales détrempées… J’avais faim et me réjouissais d’avaler quelque chose. La grosse nurse me débarrassait de ce gode de ma bouche que je tétais toujours et approchait une cuillère à soupe près de ma bouche que j’ouvrais en grand.

- Allez, une cuillère pour ton enculé de papa !, me disait-elle avec un sourire plus que pervers.

C’était infecte, ignoble, un gout horrible et infâme, cette bouillie d’une épaisse consistance me donnait immédiatement des nausées. Je tirais la langue comme si j’allais tout recracher. Une gifle me cinglait le visage…
- Avale salope ! C’est une bouillie où j’ai rajouté un peu de ma pisse, du sperme de Marc et un peu de ma cyprine !, C’est nutritif !

Une nouvelle gifle m’assommait littéralement. Puis avant de me donner une deuxième cuillérée, elle se mit à cracher dedans puis mélangea un peu … J’essayais de déglutir, d’avaler, mais cette chose infâme se collait sur l’intérieur de mes joues, sur mon palais et mes dents… Alors que je réfléchissais encore pour savoir comment j’allais faire pour manger cette infecte daube, cette garce m’attrapait fermement un téton, le serrait entre ses doigts, tout en le tirant vers elle.

- Si tu continues à te rebeller comme tu le fais, je vais te poser des pinces sur tes mamelons de pute. Crois-moi que tu te souviendras très longtemps de leur morsure. Si j’étais toi, j’avalerais sans discuter…
J’avalais ! Jamais je n’avais autant grimacé pour avaler quelque chose …
- Eh bien tu vois quand tu veux…. Il suffit de te menacer pour que tu comprennes ? Elles ne sont pas bonnes ces céréales, rien que pour toi, que j’ai fait gonflées dans ma pisse du matin ? Aller, maintenant une cuillère pour ta putain de maman.

Dégouté, j’ouvrais la bouche, alors que Marc criait de dessous la chaise :
- Enfin, pas trop tôt, j’y suis arrivé…
Arrivé à quoi ? Moi je n’y arrivais pas… impossible d’avaler, je mâchais, mastiquais cette chose inconsistante, remâchais encore. Puis je sentis mon assise se dérober sous mon cul et le gode s’extraire de mon fondement visiblement tirer et retirer vers le bas… J’avais de nouveau les fesses dans le vide … C’est alors que je sentais un objet froid et plein de gel lubrifiant s’introduire dans mon cul…
- Je suis prêt ma chérie, après avoir bien galéré, j’ai fini par installer correctement cette machine à baiser. Ne t’inquiète pas si ce fils de pute sursaute un peu lorsque je vais la mettre en route… Ce gode risque de bien lui défoncer son sale petit cul de lope, déjà bien dilaté par le petit gode de l’assise que je viens de lui retirer !

Je ne sursautais pas, je bondissais, enfin si je puis dire ! En étant attaché comme je l’étais, il était bien difficile pour moi de faire un quelconque mouvement. Ce gode bien plus épais et long que le précédent s’était enfoncé au plus profond de mon antre, me faisant ouvrir grand la bouche. Cette garce de nurse en profitait pour me donner une troisième cuillérée pleine à ras bord après y avoir de nouveau craché dedans.

- Avale bébé putain, ne te préoccupe pas de ce que l’on fait à ton petit trou, contente-toi de manger.

Le volumineux gode allait et venait en moi…
(A suivre…)

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Texte coquin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1565)
Histoire sexe : Une rose rouge
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