La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1567)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1567)
chienne Kajira (devenue esclave Clytoris MDE) au Château – (suite de l'épisode N°1549) –
Son « bonjour Ma belle esclave MDE » me rendit folle de penser de Le sentir en moi et je mouillais abondamment de Le savoir avec moi à Sa totale disposition, mais cela allait vite déchanter… Soudain, je n’arrivais plus à contrôler ma jouissance et je ne pouvais rien faire. Et je me mis à être parcouru de spasmes orgasmiques en silence, ce que le Maitre remarqua de suite. Alors, Il sorti Sa verge de mon vagin et sans un mot, j’eu le droit à une paire de gifles, puis Il me mit dans le coffre de Sa voiture et je ne savais pas où Il allait m’emmener. Durant le trajet, je pleurais à chaude larmes de ne pas mettre retenue de jouir et je me doutais que la sanction allait être dure et sévère, connaissant le Maitre. Au bout d’un certain temps la voiture s’arrêta, un homme ouvrit le coffre, c’était une personne que je ne connaissais pas, je ne l’avais jamais vu dans le Château du Maitre ou ailleurs. Je cherchais des yeux, le Maitre, et j’aperçus Max, un des Dominants et ami du Maitre était là. On m’ordonna de descendre de la voiture et je restais comme hébétée à ne pas bouger, il fallut une autre paire de gifles pour me sortir de ma stupeur. Max sortit me retira mon collier d’esclave MDE pour me passer un simple collier sans aucun ornement. Ensuite, il me tira vivement pour que je sorte de la berline de Monsieur le Marquis.
- Tiens, voici une des chiennes de Monsieur le Marquis que tu garderas en pension durant une durée indéterminée, jusqu’à que Monsieur le Marquis décide de son retour au Château. Cette pute n’a pas su se retenir de jouir alors que le Châtelain la baiser comme il se doit. Tu as carte blanche pour la dresser comme tu sais le faire et lui faire passer l’envie de jouir si elle n’a pas le droit. Bien évidemment, je compte sur toi pour ne pas lui donner l’autorisation de jouir durant cette sanction, cher ami.
- Bien entendu, je ferai selon les exigences de Monsieur le Marquis qui m’a prévenu de votre arrivé, cher Max.
- Jean, je te remercie.
Sur ses mots, Max tendit ma laisse à Monsieur Jean et repartit. J’avais les larmes aux yeux de me laisser seule avec cet homme que je ne connaissais pas et dans un endroit qui ne me disait rien…
- Sèche tes larmes, sale chienne, c’est ton comportement qui t’a amené chez moi dans ma pension canine. Tu vas passer un sale quart d’heure. Monsieur le Marquis m’a donné Ses directives et je compte bien les respecter à la lettre. Pour commencer, tu pues la chienne, je vais donc t’amener où je douche les chiens que j’ai en pension car je ne veux pas que tu souilles leur odorat par ta puanteur de chienne spermée.
Monsieur Jean me conduisit dans une pièce où il me lava à grand coup d’eau glacée durant bien 15 à 20 minutes, j’en frissonnais de froid tout en essayant de protéger, de mes mains, mes parties intimes. Puis Il m’emmena jusqu'à un box où il m’enferma avec une panière et un simple drap à même le sol. Je pouvais entendre les aboiements des chiens. L’odeur d’urine et de déjections canines arrivaient jusqu’à mon nez, mais je n’y prêtais pas attention. Je pris la loque par terre et m’installa dans ce qui faisait guise de ma couche, ma panière. J’attendais et méditais sur mon comportement indigne de ma condition d’esclave MDE et de ce qui allait se passer. La journée passée, j’étais toujours dans ma panière, j’avais froid et honte de mon comportement quand l’homme fit enfin son apparition. Il attacha ma laisse au collier et me sortit dehors…
- Aller, la chienne, fait tes besoins, pisse vite car je n’ai pas que ça à faire de m’occuper d’une chienne mal éduquée. Et crois-moi, demain, je vais te faire passer l’envie de jouir sans y être autorisée. Une fois finie, je vais te ramener dans le chenil pour nettoyer les box des chiennes et chiens que j’ai en pension... Tu remarqueras aussi qu’il y a un chien un peu spécial, c’est un des esclaves mâle de Monsieur le Marquis qui est là depuis déjà un bon moment. Une fois son box nettoyé, tu te mets à quatre pattes et s’il souhaite te prendre, et tu te laisses faire en bon vide couille que tu es. Il sait ce qu’il a droit de faire ou pas et bien sûr pas le droit de ton coté à la jouissance. Et comme il est en manque de jouissance, en manque de sexe, je pense qu’il aura trop envie de te monter dessus comme un chien de rue, en rut…
Sur ces mots, je me mis à pisser comme une chienne animale puis il me ramena dans le chenil et me détacha, puis je me mis au travail, pelle et seau d’eau mis à ma disposition. Une fois arrivée dans le dernier box, c’était celui de l’esclave mâle, je constatai qu’il était bien monté et qu’il était black. Je me mis au travail pour bien nettoyer son box, puis une fois finie, je me mis en position exigée. Le black se redressa pour venir me sentir le cul et ma chatte puis me retourna pour venir me lécher le clito et ma chatte et après 10 minutes, il me remit en levrette pour me prendre en saillie animale et bestiale. Il m’avait pénétré d’un seul coup puissant, viril et profond, puis il accentuait ses va-et-vient pour me baiser sauvagement ma chatte de pute. Alors que moi, je me retenais de jouir car il stimulait mon clito en même temps par sa grosse main où ses doigts étaient d’une grande agilité. Une fois ma chatte bien baisée, il se retira et positionna sa grosse et longue queue, bien dure, devant ma rondelle et s’enfonça tout aussi violement dans ma cavité anale… Je ne pus retenir un cri de douleur tellement sa queue était épaisse et toute en longueur… L’homme, propriétaire de la pension, arriva et me mit un bâillon boule :
- Avec ça, tu fermeras bien ta gueule de chienne, je ne veux rien entendre, j’ai dit ! Pas un gémissement, pas un son de ta gueule de putain. Quant à toi, le chien en manque, je veux que tu la défonces bien profond dans son cul de salope, je veux que tu lui démontes bien son gros cul et sauvagement, comme tu sais si bien le faire. Ouvre-moi ce cul avec ta grosse queue… Et aujourd’hui, je t’autorise à jouir, mais seulement bien profondément dans son cul de putain de chienne.
- Oui Monsieur Jean, répondit le black
L’esclave mâle ne se souciait pas de savoir si j’avais mal ou pas, il me démontait vigoureusement le cul à grands coups de reins virils et réguliers sous les yeux de Monsieur Jean qui filmait toute la scène. Alors qu’il me maintenant fermement par les hanches, il enfonçait ses ongles dans ma chair tant son étreinte était puissante, tandis que je retenais mes cris de douleurs alors que mon sexe dégoulinait de cyprine le long de mes cuisses. Douleur dans mon cul besogné, excitation dans ma chatte trempée, cela faisait un mélange fort enivrant. Il me défonçait encore et encore le cul mais dans diverses positions et cela durant un gros quart d’heure, pour finir enfin par jouir tout au fond de mon cul bien dilaté. Je sentais alors sa semence abondante couler dans mes entrailles… Une fois qu’il reprit ses esprits après être resté bien planté en moi sans bouger, totalement immobile, le black se retira et m’ôta le bâillon pour enfoncer sa grosse queue ramollie dans ma bouche dans mélange de ma mouille, de son foutre et de mes sécrétions anales et de ma salive…
- Maintenant je te ramène dans ton box, tu y mangeras ta pâtée qui t’attend, à même le sol dans ta gamelle et tu dormiras, car une grosse journée t’attend demain.
Le propriétaire, Monsieur Jean, me ramena donc jusqu'à mon box et verrouilla la porte. Je ne mis pas longtemps avant de m’endormir tellement j’étais fatiguée, sans même manger. Je fus réveillée par un cinglant coup de cravache sur mon cul
- Tu n’as même pas mangé, sale chienne mal éduquée. Dépêche-toi de manger ta gamelle pendant que, pour te punir, je cravache ton cul de chienne et bouge-toi vite… Plus vite que ça, la chienne mal dressée, je vais t’apprendre à manger quand on t’en donne l’ordre et donc à ne pas s’endormir sans s’être sustentée avant… Dorénavant, je serai là à chaque repas et si tu ne te dépêches pas tu auras droit à ma cravache et pire encore...
Sur ses mots, je me dépêchais à manger ce qui était resté dans ma gamelle, cette bouillie froide et infâme, malgré les cinglants coups qu’il m’assenait sans modération sur mon fessier arrondi et meurtri… Une fois finie, je fus mené en laisse et en quadrupédie dehors pour que je puisse uriner. Ensuite je fus conduis par Monsieur Jean dans sa maison pour y faire le ménage avec un gros plug XXL pour bien me dilater mon cul. Puis une fois terminée, il me mena dans son donjon. Il m’installa en m’attachant solidement sur une table de gynécologie et posa un wand sur mon clito. Durant une heure, il changea les diverses positions sans jamais me faire jouir, ce qui fut terriblement difficile à contenir, car si je jouissais j’avais droit à de violents coups de cravache sur mon sexe…
Monsieur Jean m’installa aussi sur une croix de St André pour me fouetter durement le cul, le dos sans jamais se soucier de mon plaisir ou de ma douleur. J’avais beau pleurer ou crier, il continuait de plus belle et plus durement. Mais en faisant attention à ne pas en venir au sang car quand selon lui, je fus assez marquée, il me détachait et je n’arrivais plus à tenir sur mes jambes. Monsieur Jean dû me rattraper pour ne pas que je me fasse mal au sol. Ensuite, il me mit à genoux pour me baiser sauvagement la bouche sans ménagement, s’enfonçant dans ma gorge pour m’étouffer avec sa grosse queue de pervers durant de longues secondes. Il recommença encore et encore en gorges profondes pour finir de se décharger dans ma bouche en jets saccadés de sperme chaud que je dus tout avaler. Puis il entreprit de me fister cul et chatte. Je me mis à hurler quand il me fista le cul car il eut du mal à entrer sa main entière mais il y arriva au bout d’un certain temps, après l’avoir abondamment lubrifié de gel, alors que j’avais ma chatte en feu d’excitation.
- Je vais travailler ton cul tous les jours, je le fisterai autant que je le voudrais et si je veux le fister toutes les heures, je le ferai et toi tu n’as que ta gueule de chienne à fermer… Tu subiras tous les matins ce que tu viens de subir, l’après-midi je verrai selon mon emploi du temps, ce que je ferai de toi… Pour te moment, je vais t’emmener dans mon bureau où tu pourras te reposer dans une panière. Ainsi si j’ai envie de t’utiliser, que je puisse le faire à ma guise, sale chienne…
Monsieur Jean me mena jusqu'à ladite panière et je m’y couchais et je me reposais un long moment. Ce fut une conversation qui me réveilla et quand je l’entendis dire « Oui, Monsieur le Marquis ! », Je savais que c’était avec Maitre qu’il parlait alors j’en étais toute excitée et je ne pus pas me rendormir.
- Toi la chienne, regarde, là sur la petite table, il y a de quoi faire le café, alors tu vas m’en faire un bien corsé, tu me l’apporteras et ensuite tu me suceras sous le bureau tandis que je le dégusterai …- A vos exigences, Monsieur…
(A suivre …)
Son « bonjour Ma belle esclave MDE » me rendit folle de penser de Le sentir en moi et je mouillais abondamment de Le savoir avec moi à Sa totale disposition, mais cela allait vite déchanter… Soudain, je n’arrivais plus à contrôler ma jouissance et je ne pouvais rien faire. Et je me mis à être parcouru de spasmes orgasmiques en silence, ce que le Maitre remarqua de suite. Alors, Il sorti Sa verge de mon vagin et sans un mot, j’eu le droit à une paire de gifles, puis Il me mit dans le coffre de Sa voiture et je ne savais pas où Il allait m’emmener. Durant le trajet, je pleurais à chaude larmes de ne pas mettre retenue de jouir et je me doutais que la sanction allait être dure et sévère, connaissant le Maitre. Au bout d’un certain temps la voiture s’arrêta, un homme ouvrit le coffre, c’était une personne que je ne connaissais pas, je ne l’avais jamais vu dans le Château du Maitre ou ailleurs. Je cherchais des yeux, le Maitre, et j’aperçus Max, un des Dominants et ami du Maitre était là. On m’ordonna de descendre de la voiture et je restais comme hébétée à ne pas bouger, il fallut une autre paire de gifles pour me sortir de ma stupeur. Max sortit me retira mon collier d’esclave MDE pour me passer un simple collier sans aucun ornement. Ensuite, il me tira vivement pour que je sorte de la berline de Monsieur le Marquis.
- Tiens, voici une des chiennes de Monsieur le Marquis que tu garderas en pension durant une durée indéterminée, jusqu’à que Monsieur le Marquis décide de son retour au Château. Cette pute n’a pas su se retenir de jouir alors que le Châtelain la baiser comme il se doit. Tu as carte blanche pour la dresser comme tu sais le faire et lui faire passer l’envie de jouir si elle n’a pas le droit. Bien évidemment, je compte sur toi pour ne pas lui donner l’autorisation de jouir durant cette sanction, cher ami.
- Bien entendu, je ferai selon les exigences de Monsieur le Marquis qui m’a prévenu de votre arrivé, cher Max.
- Jean, je te remercie.
Sur ses mots, Max tendit ma laisse à Monsieur Jean et repartit. J’avais les larmes aux yeux de me laisser seule avec cet homme que je ne connaissais pas et dans un endroit qui ne me disait rien…
- Sèche tes larmes, sale chienne, c’est ton comportement qui t’a amené chez moi dans ma pension canine. Tu vas passer un sale quart d’heure. Monsieur le Marquis m’a donné Ses directives et je compte bien les respecter à la lettre. Pour commencer, tu pues la chienne, je vais donc t’amener où je douche les chiens que j’ai en pension car je ne veux pas que tu souilles leur odorat par ta puanteur de chienne spermée.
Monsieur Jean me conduisit dans une pièce où il me lava à grand coup d’eau glacée durant bien 15 à 20 minutes, j’en frissonnais de froid tout en essayant de protéger, de mes mains, mes parties intimes. Puis Il m’emmena jusqu'à un box où il m’enferma avec une panière et un simple drap à même le sol. Je pouvais entendre les aboiements des chiens. L’odeur d’urine et de déjections canines arrivaient jusqu’à mon nez, mais je n’y prêtais pas attention. Je pris la loque par terre et m’installa dans ce qui faisait guise de ma couche, ma panière. J’attendais et méditais sur mon comportement indigne de ma condition d’esclave MDE et de ce qui allait se passer. La journée passée, j’étais toujours dans ma panière, j’avais froid et honte de mon comportement quand l’homme fit enfin son apparition. Il attacha ma laisse au collier et me sortit dehors…
- Aller, la chienne, fait tes besoins, pisse vite car je n’ai pas que ça à faire de m’occuper d’une chienne mal éduquée. Et crois-moi, demain, je vais te faire passer l’envie de jouir sans y être autorisée. Une fois finie, je vais te ramener dans le chenil pour nettoyer les box des chiennes et chiens que j’ai en pension... Tu remarqueras aussi qu’il y a un chien un peu spécial, c’est un des esclaves mâle de Monsieur le Marquis qui est là depuis déjà un bon moment. Une fois son box nettoyé, tu te mets à quatre pattes et s’il souhaite te prendre, et tu te laisses faire en bon vide couille que tu es. Il sait ce qu’il a droit de faire ou pas et bien sûr pas le droit de ton coté à la jouissance. Et comme il est en manque de jouissance, en manque de sexe, je pense qu’il aura trop envie de te monter dessus comme un chien de rue, en rut…
Sur ces mots, je me mis à pisser comme une chienne animale puis il me ramena dans le chenil et me détacha, puis je me mis au travail, pelle et seau d’eau mis à ma disposition. Une fois arrivée dans le dernier box, c’était celui de l’esclave mâle, je constatai qu’il était bien monté et qu’il était black. Je me mis au travail pour bien nettoyer son box, puis une fois finie, je me mis en position exigée. Le black se redressa pour venir me sentir le cul et ma chatte puis me retourna pour venir me lécher le clito et ma chatte et après 10 minutes, il me remit en levrette pour me prendre en saillie animale et bestiale. Il m’avait pénétré d’un seul coup puissant, viril et profond, puis il accentuait ses va-et-vient pour me baiser sauvagement ma chatte de pute. Alors que moi, je me retenais de jouir car il stimulait mon clito en même temps par sa grosse main où ses doigts étaient d’une grande agilité. Une fois ma chatte bien baisée, il se retira et positionna sa grosse et longue queue, bien dure, devant ma rondelle et s’enfonça tout aussi violement dans ma cavité anale… Je ne pus retenir un cri de douleur tellement sa queue était épaisse et toute en longueur… L’homme, propriétaire de la pension, arriva et me mit un bâillon boule :
- Avec ça, tu fermeras bien ta gueule de chienne, je ne veux rien entendre, j’ai dit ! Pas un gémissement, pas un son de ta gueule de putain. Quant à toi, le chien en manque, je veux que tu la défonces bien profond dans son cul de salope, je veux que tu lui démontes bien son gros cul et sauvagement, comme tu sais si bien le faire. Ouvre-moi ce cul avec ta grosse queue… Et aujourd’hui, je t’autorise à jouir, mais seulement bien profondément dans son cul de putain de chienne.
- Oui Monsieur Jean, répondit le black
L’esclave mâle ne se souciait pas de savoir si j’avais mal ou pas, il me démontait vigoureusement le cul à grands coups de reins virils et réguliers sous les yeux de Monsieur Jean qui filmait toute la scène. Alors qu’il me maintenant fermement par les hanches, il enfonçait ses ongles dans ma chair tant son étreinte était puissante, tandis que je retenais mes cris de douleurs alors que mon sexe dégoulinait de cyprine le long de mes cuisses. Douleur dans mon cul besogné, excitation dans ma chatte trempée, cela faisait un mélange fort enivrant. Il me défonçait encore et encore le cul mais dans diverses positions et cela durant un gros quart d’heure, pour finir enfin par jouir tout au fond de mon cul bien dilaté. Je sentais alors sa semence abondante couler dans mes entrailles… Une fois qu’il reprit ses esprits après être resté bien planté en moi sans bouger, totalement immobile, le black se retira et m’ôta le bâillon pour enfoncer sa grosse queue ramollie dans ma bouche dans mélange de ma mouille, de son foutre et de mes sécrétions anales et de ma salive…
- Maintenant je te ramène dans ton box, tu y mangeras ta pâtée qui t’attend, à même le sol dans ta gamelle et tu dormiras, car une grosse journée t’attend demain.
Le propriétaire, Monsieur Jean, me ramena donc jusqu'à mon box et verrouilla la porte. Je ne mis pas longtemps avant de m’endormir tellement j’étais fatiguée, sans même manger. Je fus réveillée par un cinglant coup de cravache sur mon cul
- Tu n’as même pas mangé, sale chienne mal éduquée. Dépêche-toi de manger ta gamelle pendant que, pour te punir, je cravache ton cul de chienne et bouge-toi vite… Plus vite que ça, la chienne mal dressée, je vais t’apprendre à manger quand on t’en donne l’ordre et donc à ne pas s’endormir sans s’être sustentée avant… Dorénavant, je serai là à chaque repas et si tu ne te dépêches pas tu auras droit à ma cravache et pire encore...
Sur ses mots, je me dépêchais à manger ce qui était resté dans ma gamelle, cette bouillie froide et infâme, malgré les cinglants coups qu’il m’assenait sans modération sur mon fessier arrondi et meurtri… Une fois finie, je fus mené en laisse et en quadrupédie dehors pour que je puisse uriner. Ensuite je fus conduis par Monsieur Jean dans sa maison pour y faire le ménage avec un gros plug XXL pour bien me dilater mon cul. Puis une fois terminée, il me mena dans son donjon. Il m’installa en m’attachant solidement sur une table de gynécologie et posa un wand sur mon clito. Durant une heure, il changea les diverses positions sans jamais me faire jouir, ce qui fut terriblement difficile à contenir, car si je jouissais j’avais droit à de violents coups de cravache sur mon sexe…
Monsieur Jean m’installa aussi sur une croix de St André pour me fouetter durement le cul, le dos sans jamais se soucier de mon plaisir ou de ma douleur. J’avais beau pleurer ou crier, il continuait de plus belle et plus durement. Mais en faisant attention à ne pas en venir au sang car quand selon lui, je fus assez marquée, il me détachait et je n’arrivais plus à tenir sur mes jambes. Monsieur Jean dû me rattraper pour ne pas que je me fasse mal au sol. Ensuite, il me mit à genoux pour me baiser sauvagement la bouche sans ménagement, s’enfonçant dans ma gorge pour m’étouffer avec sa grosse queue de pervers durant de longues secondes. Il recommença encore et encore en gorges profondes pour finir de se décharger dans ma bouche en jets saccadés de sperme chaud que je dus tout avaler. Puis il entreprit de me fister cul et chatte. Je me mis à hurler quand il me fista le cul car il eut du mal à entrer sa main entière mais il y arriva au bout d’un certain temps, après l’avoir abondamment lubrifié de gel, alors que j’avais ma chatte en feu d’excitation.
- Je vais travailler ton cul tous les jours, je le fisterai autant que je le voudrais et si je veux le fister toutes les heures, je le ferai et toi tu n’as que ta gueule de chienne à fermer… Tu subiras tous les matins ce que tu viens de subir, l’après-midi je verrai selon mon emploi du temps, ce que je ferai de toi… Pour te moment, je vais t’emmener dans mon bureau où tu pourras te reposer dans une panière. Ainsi si j’ai envie de t’utiliser, que je puisse le faire à ma guise, sale chienne…
Monsieur Jean me mena jusqu'à ladite panière et je m’y couchais et je me reposais un long moment. Ce fut une conversation qui me réveilla et quand je l’entendis dire « Oui, Monsieur le Marquis ! », Je savais que c’était avec Maitre qu’il parlait alors j’en étais toute excitée et je ne pus pas me rendormir.
- Toi la chienne, regarde, là sur la petite table, il y a de quoi faire le café, alors tu vas m’en faire un bien corsé, tu me l’apporteras et ensuite tu me suceras sous le bureau tandis que je le dégusterai …- A vos exigences, Monsieur…
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