La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1568)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1568)
chienne Kajira (devenue esclave Clytoris MDE) au Château – (suite de l'épisode précédent N°1567) –
- A vos exigences, Monsieur…
Je fis donc le café puis je me dirigeais vers son bureau avec le café et me mis en position à genoux pour lui servir comme Maitre me l’avais appris. Il prit son café sans un mot alors que je passais sous la table pour le sucer après avoir déboutonner sa braguette et sortit sa verge semi dur de son pantalon et caleçon… Je dus une nouvelle fois, tout avaler … Une fois finie, il me ramena jusqu’à mon box tout en tirant sur ma laisse, moi toujours en quadrupédie derrière ses pas…
- Tu vas rester là bien sagement sinon ta punition sera bien plus sévère, crois-moi. Mais avant, tient, mange la chienne.
Je m’approchais de ma gamelle et commençais à manger rapidement pour éviter les coups de cravache mais le pervers propriétaire m’en donna quand même, juste pour son vicieux plaisir. Puis il quitta le box, sans un mot et m’enferma à clé. Je me couchais à même le sol avec la loque comme couverture mais j’avais du mal à trouver le sommeil avec le froid de la dalle de béton, mais je finis tout de même par m’endormir… Je me réveillai en me demandant si je serai capable de supporter longtemps cette sanction si dure, d’être loin du Maitre. Mais aussi d’être traitée de la sorte car la douleur de ne pas être au Château était plus difficile à supporter que la douleur physique qui m’excitait, je dois bien l’avouer. Je ne savais pas si je serai capable d’endurer tout ça en l’absence Monsieur le Marquis même si j’avais été dressé pour supporter des douleurs intenses, nécessaire à mon puissant masochisme. Je fondus en larmes car j’avais froid, la fatigue physique et psychologique aidant et je commençais à avoir une crise de panique pourtant en tant qu’esclave MDE du Maitre, je me devais d’être parfaite.
Déjà que d’avoir joui sans y être autorisée m’avait ébranlé et totalement perdu dans ma soumission. Je ne savais même pas si j’avais envie de continuer dans cette voie si difficile. Surtout durant cette sanction indéterminée à laquelle je ne savais donc pas quand je retournerai enfin aux pieds du Maître, afin d’implorer son pardon … Et ce serait le bonheur total de m’y retrouver, mais je n’avais aucune idée pour quand ce sera le cas… Et cette sensation empirait de plus en plus à chaque jour passé. Je mangeais de moins en moins, dormais moins, bref je dépérissais comme une fleur en train de faner faute d’être arrosée, abandonnée. Oui je ressentais ce sentiment d’abandon du Maître et cela me déprimais grandement. Je m’affamais par auto sanction comme si je faisais une grève de la faim et je perdais le sommeil, j’avais de plus de terreurs nocturnes qui me faisaient hurler d’angoisse, de peur. J’avais l’impression de devenir folle entre corvées dégradantes et contraignantes, les séances de dressage intense et de sanction, les fists anaux durant des heures, de servir d’objet sexuel à n’importe quel moment du jour, comme de la nuit. Même si paradoxalement, j’éprouvais de grandes excitations, avec ma libido exacerbée, mon intellect ne suivait pas, le corps était toujours réceptif et excité, mais pas le mental qui déprimait de me trouver loin du Maître…
Monsieur Jean avait remarqué mon état, mais il ne changeait pas pour autant sa façon de faire, au contraire j’avais l’impression que c’était plus dur encore, entre baises forcenées et me faire enculer très souvent par le black qui me prenait toujours sans ménagement, parfois durant des heures entières… Jamais, je n’avais vécu pareille sanction si difficile, l’absence du Maître était la pire des tragédies qui me taraudait chaque jour un peu plus. Et honnêtement, je n’avais plus du tout envie de jouir sans autorisation, cette punition avait véritablement porté, je savais que pour moi, elle avait assez duré… Tout bascula lors d’une séance de fouet trop intense, certainement trop poussée où mon esprit et mon corps me lâcha et je m’effondrai au sol avec une impossibilité de me lever. Je perdis même connaissance... Quand je commençais à me réveiller, je n’étais plus chez Monsieur Jean, mais je me sentais bien au chaud et je constatais que j’étais dans un vrai lit en entrouvrant les paupières ! J’alternais entre la phase d’éveil et de sommeil sans trop vraiment savoir où je me trouvais et ce que je faisais là. Mais une voix me dit quelque chose, c’était encore une peu lointain mais je la connaissais tout de suite, ce qui eut pour effet dans mon cerveau d’ouvrir grand les yeux de mon visage !
- Docteur, comment va-t’elle ?, tu en penses quoi ?, interrogea Monsieur le Marquis,- Ecoute Edouard, répondait le médecin, elle se remet petit à petit de cette grande fatigue et surtout du manque de nourriture ! Elle a perdu cinq kgs en trois semaines quand même, ce n’est pas rien. Elle va devoir rester hospitalisée un petit moment. Elle est dans un état de fatigue extrême aussi - Jean, tu n’avais pas remarqué qu’elle ne mangeait pas assez ?, interrogea Monsieur le Marquis- Bien sûr que si Monsieur le Marquis, mais j’ai pris cela pour juste un peu de déprime, plus qu’autre chose.
- Là est la différence entre un bon Maitre et un apprenti comme toi. Tu aurais dû me prévenir et je t’aurais donné d’autre directive- Monsieur le Marquis, elle se réveille, dit le médecin. Mademoiselle De Bourdon, comment vous sentez vous ?
- Fatiguée, je dois l’avouer, docteur - Crystal, repose-toi puis nous rentrerons au Château.
- Mai… Bien Maitre, je suis encore désolée de mon attitude.
Sur mes mots, je fondis en larmes…
- Sèche tes larmes, Ma belle. Tu as entendu mon vieil ami, le médecin-chef de cette clinique privée où tu te trouves… Tu dois et tu as obligation de te reposer et de manger comme il se doit. Nous reparlerons de tout cela une fois que tu seras rétablie.
- Oui Maitre, je ferai selon les directives de votre ami médecin pour revenir au Château au plus vite… - Walter, prépare le ‘cachot de repos’ pour Crystal au Château pour la durée de sa convalescence. Nous rentrons
Mais le médecin n’était pas d’accord sur le fait que je puisse quitter sa clinique. Et la conversation était intense mais Maitre eut le dernier mot. Une fois revenue au Château je fus dirigée dans un cachot à l’étage qui ressemblait plus à une cellule feutrée et moderne, qu’à un véritable cachot. Les murs étaient peints et secs, le sol était recouvert d’un lino propre, le mobilier au minimum, un lit, une table et une chaise. Il y faisait une douce température, tout était très propre et entretenu. Je m’étais couchée dans le confortable lit quand Maitre entra, j’allais me lever pour venir m’agenouillée à Ses pieds, mais Il me fit signe de rester couchée…
- Ma belle, je ne veux plus que ce comportement à ne pas te sustenter recommence, surtout durant une sanction. Regarde dans quel état tu es, incapable de tenir ton statut d’esclave MDE ! Je suis fort déçu, sache-le. Mais passons pour le moment, car la priorité est ton repos, tu vas donc te reposer ici dans cette agréable cellule de confort et surtout manger tout ce que l’on te donnera… A la vu de ton comportement, tu ne mérites surtout pas une chambre et encore moins de manger avec Moi. Mais comme tu es au Château, je sais que désormais, tu iras mieux et que tu ne te laisseras pas déprimer…- Oui compris Maitre, je suis vraiment désolée de mon comportement indigne de Vous - Tu peux car Je suis vraiment déçu de toi. Mais Je veux des actes dorénavant et plus des mots, me suis-Je bien fait comprendre ?
- Oui Maitre - Bien maintenant, repose-toi un peu puis à 19h, on t’apportera à manger
Cela dura durant une semaine, je n’avais aucun contact avec mes sœurs et frères de soumission, les deux seules personnes que je voyais c’était le Maitre et Walter uniquement. Mais au bout de cette semaine, je me sentais mieux physiquement et repris un poids de forme correcte au dire du médecin personnel de Monsieur le Marquis… Je pus retrouver mon véritable cachot donc et retrouver ma vie d’esclave… Dans les jours qui suivirent, je fus convoquée et emmenée, nue et collier au cou, par Walter dans le bureau du Maitre :
- Crystal Ma belle chienne, maintenant que tu vas mieux et donc que tu as pu reprendre ta place d’esclave MDE désormais, tu te mets en position, exigea-t-il en claquant des doigts.
Je me mis de suite en position agenouillée, tête baissée, mais derrière le dos. Je baissais aussi par reflex les yeux…
- Ton comportement au début de ta punition a été parfait, mais la fin, je suis énormément déçu de toi, Ma chienne esclave MDE. C que tu as fait est intolérable, te priver de repas et de ne rien manger. Je ne peux pas l’accepter et Je vais donc te punir pour cette faute. Tu n’as pas encore reçu Mon pardon … En position contre le mur, tout de suite...
Je voulais Lui parler mais je savais pertinemment que cela n’arrangerai pas mon cas, bien au contraire. Je me mis en position debout, mains contre le mur, et le Maitre commença à me fouetter durement le dos avec son fouet court qui appliqué en sanction, sans préparatif est horrible mais j’avais besoin de cette douleur pour me faire pardonner du Maitre. J’encaissais coups après coups, instruments après instruments, les larmes coulaient, les sanglots aussi mais pas de cris ou de hurlements. Mais plutôt une vive excitation, une excitation forte de retrouver les sensations d’être corrigée par le Maître ! Un pur bonheur ! Même si c’était dans un contexte punitif, c’était tellement bon que ce soit Lui qui me punisse et pas une tierce personne, j’avais l’impression de me retrouver moi-même !… Je sentais mon cul surchauffer et devenir brulant. Monsieur le Marquis stoppa et me retourna pour attacher des pinces à tétons su ma poitrine puis Il m’installa sur la chaise-godes, un anal et un vaginal et qui vibraient à différents niveaux.
- Tient, maintenant tu vas travailler assise ainsi bien empalée, et t’a pas intérêt de jouir, Ma salope ! J’ai fort à faire et on verra plus tard pour te faire pardonner …
Alors, durant toute la matinée, je me concentrais su mon travail professionnel et par moment un des deux godes vibrait soit en même temps, soit indépendamment, ce qui m’excitait terriblement, mais je faisais mon maximum pour contenir mes envies de jouir afin de ne pas fauter… En fin de matinée, le Châtelain m’appela via l’interphone.
- Mon esclave MDE, vient me voir au bureau. Je constate que tu as su faire honneur à Mon éducation, c’est ce que j’aurais voulu voir durant ton séjour à la pension canine de Mon ami qui je sais en a fait craqué plus d’un ou une car même si Jean est un jeune Maitre assez novice sur certaines choses pour d’autres, il est expert, comme tu as pu le constater. Ta sanction est terminée que ce soit celle pour ta jouissance ou l’autre, tu peux venir désormais m’implorer Mon pardon …
Sur Ses mots le Maitre, alors que je suis à genoux les yeux rivés au sol, les larmes aux yeux d’émtions, chose que le Maitre remarque, me fait lever le visage pour prendre possession de ma bouche par un baiser tendre mais Dominant.
- Mon esclave Clytoris MDE que je suis heureux de te retrouver à Mes pieds. Je vois à ton regard ta dévotion que tu Me portes, que tu portes au Maitre, mais je sais aussi au combien ton séjour a dû être éprouvant autant physiquement que mentalement… Parle, Ma belle esclave MDE- Maitre quel plaisir, je dois l’avouer, de Vous retrouver enfin, j’aurai préféré dans de meilleures circonstances et je Vous promets que la sanction de Monsieur Jean et la Votre m’ont fait passer l’envie de fauter de nouveau, je puis Vous l’assurer Maitre. Alors je sais que le moment est venu pour implorer Votre pardon… Je vous en supplie, Maitre, pardonnez-moi, que je sois en paix avec moi-même … Seul Votre pardon qui me fera un bien fou, me permettra de me sentir heureuse à Vos pieds, si Vous daignez, bien entendu, me pardonner… - Oui Ma belle petite salope, je te pardonne, mais ne recommence jamais... Que la sanction et ce pardon te servent de leçon… Maintenant à quatre pattes, que Je puisse te prendre comme la chienne que tu es… J’ai besoin de Mon vide-couilles pour Mon plaisir…
Je me mis en position et le Maître retira Son pantalon et caleçon pour exhiber déjà une forte érection… Je puis sentir alors la Verge bien dressée et dure du Maitre prendre possession de mon cul par des vifs coups de reins puissants dans ma cavité anale et tout en m’enculant le Maitre fessait mon cul. Ce qui m’excitait encore plus, mais je canalisais ma jouissance pour ne pas fauter de nouveau. Mais étant plus vaginale et clitoridienne, je n’avais pas trop de mal à me contrôler. Je pouvais sentir la puissance du Maitre qui prenait totalement possession de Sa chose, Sa pute, Son objet, Son vide-couilles. Ses coups de queue étaient puissants et bestiaux, voire même animaux mais j’aimais ça, Lui servir totalement et Lui offrir mes orifices, tous mes trous d’esclave qui ne m’appartiennent plus. Il sortit de mon cul pour me prendre en missionnaire sur le bureau, dans ma chatte totalement trempée. Je n’étais à ce moment précis qu’un simple jouet de plaisirs du Maitre. Et je ne pensais pas au mien, même si plus les coups de reins puissants du Maitre me baisaient, plus ma jouissance montait, mais je ne retenais comme on me l’avait appris.
- C’est bien, Ma pute MDE, je vois que le dressage de Jean et le Mien portent leurs fruits, tu sais te retenir quand tu le souhaites, me complimenta le Maitre et se vidant les couilles dans ma chatte béante, à grands jets saccadés de Sa semence
Une fois Ses couilles bien vidées, je Le pris en bouche pour le nettoyer comme il se doit, sans pour autant le faire bander de nouveau
- J’ai encore envie de toi petite catin de chienne, tu vas t’installer ici et te branler ton clito de salope avec le wand. Offre-moi un beau spectacle, tu as le droit de gémir seulement. Je te laisse jouer avec les vitesses, aller petite catin dépravée… exécution !
Je positionnais le wand sur mon clito et commençais à jouer avec les vitesses, ondulant de plaisirs sous les stimulations et vibrations du sex-toy, gémissant aussi de plaisirs de m’offrir sans pudeur au Maitre. Je mis le wand au maximum et gémis de plus belle, tournant stimulant mon vagin ou mon clito et je coulais littéralement de plaisirs et d’excitation telle une véritable chienne en chaleur… Un vrai appel à la bite, je voyais le Maitre se branler pendant que je me donnais du plaisir…
- Continue Ma catin…plus vite… plus fort… voila… c’est bien espèce de chienne en chaleur, regarde comme tu Me fais bander et vais te prendre encore comme la putain que tu es…
Le Maitre s’enfonça en moi comme dans du beurre et Il prit le wand pour continuer toujours à la puissance maximale, je devenais folle tellement c’était bon et délicieux…
(A suivre …)
- A vos exigences, Monsieur…
Je fis donc le café puis je me dirigeais vers son bureau avec le café et me mis en position à genoux pour lui servir comme Maitre me l’avais appris. Il prit son café sans un mot alors que je passais sous la table pour le sucer après avoir déboutonner sa braguette et sortit sa verge semi dur de son pantalon et caleçon… Je dus une nouvelle fois, tout avaler … Une fois finie, il me ramena jusqu’à mon box tout en tirant sur ma laisse, moi toujours en quadrupédie derrière ses pas…
- Tu vas rester là bien sagement sinon ta punition sera bien plus sévère, crois-moi. Mais avant, tient, mange la chienne.
Je m’approchais de ma gamelle et commençais à manger rapidement pour éviter les coups de cravache mais le pervers propriétaire m’en donna quand même, juste pour son vicieux plaisir. Puis il quitta le box, sans un mot et m’enferma à clé. Je me couchais à même le sol avec la loque comme couverture mais j’avais du mal à trouver le sommeil avec le froid de la dalle de béton, mais je finis tout de même par m’endormir… Je me réveillai en me demandant si je serai capable de supporter longtemps cette sanction si dure, d’être loin du Maitre. Mais aussi d’être traitée de la sorte car la douleur de ne pas être au Château était plus difficile à supporter que la douleur physique qui m’excitait, je dois bien l’avouer. Je ne savais pas si je serai capable d’endurer tout ça en l’absence Monsieur le Marquis même si j’avais été dressé pour supporter des douleurs intenses, nécessaire à mon puissant masochisme. Je fondus en larmes car j’avais froid, la fatigue physique et psychologique aidant et je commençais à avoir une crise de panique pourtant en tant qu’esclave MDE du Maitre, je me devais d’être parfaite.
Déjà que d’avoir joui sans y être autorisée m’avait ébranlé et totalement perdu dans ma soumission. Je ne savais même pas si j’avais envie de continuer dans cette voie si difficile. Surtout durant cette sanction indéterminée à laquelle je ne savais donc pas quand je retournerai enfin aux pieds du Maître, afin d’implorer son pardon … Et ce serait le bonheur total de m’y retrouver, mais je n’avais aucune idée pour quand ce sera le cas… Et cette sensation empirait de plus en plus à chaque jour passé. Je mangeais de moins en moins, dormais moins, bref je dépérissais comme une fleur en train de faner faute d’être arrosée, abandonnée. Oui je ressentais ce sentiment d’abandon du Maître et cela me déprimais grandement. Je m’affamais par auto sanction comme si je faisais une grève de la faim et je perdais le sommeil, j’avais de plus de terreurs nocturnes qui me faisaient hurler d’angoisse, de peur. J’avais l’impression de devenir folle entre corvées dégradantes et contraignantes, les séances de dressage intense et de sanction, les fists anaux durant des heures, de servir d’objet sexuel à n’importe quel moment du jour, comme de la nuit. Même si paradoxalement, j’éprouvais de grandes excitations, avec ma libido exacerbée, mon intellect ne suivait pas, le corps était toujours réceptif et excité, mais pas le mental qui déprimait de me trouver loin du Maître…
Monsieur Jean avait remarqué mon état, mais il ne changeait pas pour autant sa façon de faire, au contraire j’avais l’impression que c’était plus dur encore, entre baises forcenées et me faire enculer très souvent par le black qui me prenait toujours sans ménagement, parfois durant des heures entières… Jamais, je n’avais vécu pareille sanction si difficile, l’absence du Maître était la pire des tragédies qui me taraudait chaque jour un peu plus. Et honnêtement, je n’avais plus du tout envie de jouir sans autorisation, cette punition avait véritablement porté, je savais que pour moi, elle avait assez duré… Tout bascula lors d’une séance de fouet trop intense, certainement trop poussée où mon esprit et mon corps me lâcha et je m’effondrai au sol avec une impossibilité de me lever. Je perdis même connaissance... Quand je commençais à me réveiller, je n’étais plus chez Monsieur Jean, mais je me sentais bien au chaud et je constatais que j’étais dans un vrai lit en entrouvrant les paupières ! J’alternais entre la phase d’éveil et de sommeil sans trop vraiment savoir où je me trouvais et ce que je faisais là. Mais une voix me dit quelque chose, c’était encore une peu lointain mais je la connaissais tout de suite, ce qui eut pour effet dans mon cerveau d’ouvrir grand les yeux de mon visage !
- Docteur, comment va-t’elle ?, tu en penses quoi ?, interrogea Monsieur le Marquis,- Ecoute Edouard, répondait le médecin, elle se remet petit à petit de cette grande fatigue et surtout du manque de nourriture ! Elle a perdu cinq kgs en trois semaines quand même, ce n’est pas rien. Elle va devoir rester hospitalisée un petit moment. Elle est dans un état de fatigue extrême aussi - Jean, tu n’avais pas remarqué qu’elle ne mangeait pas assez ?, interrogea Monsieur le Marquis- Bien sûr que si Monsieur le Marquis, mais j’ai pris cela pour juste un peu de déprime, plus qu’autre chose.
- Là est la différence entre un bon Maitre et un apprenti comme toi. Tu aurais dû me prévenir et je t’aurais donné d’autre directive- Monsieur le Marquis, elle se réveille, dit le médecin. Mademoiselle De Bourdon, comment vous sentez vous ?
- Fatiguée, je dois l’avouer, docteur - Crystal, repose-toi puis nous rentrerons au Château.
- Mai… Bien Maitre, je suis encore désolée de mon attitude.
Sur mes mots, je fondis en larmes…
- Sèche tes larmes, Ma belle. Tu as entendu mon vieil ami, le médecin-chef de cette clinique privée où tu te trouves… Tu dois et tu as obligation de te reposer et de manger comme il se doit. Nous reparlerons de tout cela une fois que tu seras rétablie.
- Oui Maitre, je ferai selon les directives de votre ami médecin pour revenir au Château au plus vite… - Walter, prépare le ‘cachot de repos’ pour Crystal au Château pour la durée de sa convalescence. Nous rentrons
Mais le médecin n’était pas d’accord sur le fait que je puisse quitter sa clinique. Et la conversation était intense mais Maitre eut le dernier mot. Une fois revenue au Château je fus dirigée dans un cachot à l’étage qui ressemblait plus à une cellule feutrée et moderne, qu’à un véritable cachot. Les murs étaient peints et secs, le sol était recouvert d’un lino propre, le mobilier au minimum, un lit, une table et une chaise. Il y faisait une douce température, tout était très propre et entretenu. Je m’étais couchée dans le confortable lit quand Maitre entra, j’allais me lever pour venir m’agenouillée à Ses pieds, mais Il me fit signe de rester couchée…
- Ma belle, je ne veux plus que ce comportement à ne pas te sustenter recommence, surtout durant une sanction. Regarde dans quel état tu es, incapable de tenir ton statut d’esclave MDE ! Je suis fort déçu, sache-le. Mais passons pour le moment, car la priorité est ton repos, tu vas donc te reposer ici dans cette agréable cellule de confort et surtout manger tout ce que l’on te donnera… A la vu de ton comportement, tu ne mérites surtout pas une chambre et encore moins de manger avec Moi. Mais comme tu es au Château, je sais que désormais, tu iras mieux et que tu ne te laisseras pas déprimer…- Oui compris Maitre, je suis vraiment désolée de mon comportement indigne de Vous - Tu peux car Je suis vraiment déçu de toi. Mais Je veux des actes dorénavant et plus des mots, me suis-Je bien fait comprendre ?
- Oui Maitre - Bien maintenant, repose-toi un peu puis à 19h, on t’apportera à manger
Cela dura durant une semaine, je n’avais aucun contact avec mes sœurs et frères de soumission, les deux seules personnes que je voyais c’était le Maitre et Walter uniquement. Mais au bout de cette semaine, je me sentais mieux physiquement et repris un poids de forme correcte au dire du médecin personnel de Monsieur le Marquis… Je pus retrouver mon véritable cachot donc et retrouver ma vie d’esclave… Dans les jours qui suivirent, je fus convoquée et emmenée, nue et collier au cou, par Walter dans le bureau du Maitre :
- Crystal Ma belle chienne, maintenant que tu vas mieux et donc que tu as pu reprendre ta place d’esclave MDE désormais, tu te mets en position, exigea-t-il en claquant des doigts.
Je me mis de suite en position agenouillée, tête baissée, mais derrière le dos. Je baissais aussi par reflex les yeux…
- Ton comportement au début de ta punition a été parfait, mais la fin, je suis énormément déçu de toi, Ma chienne esclave MDE. C que tu as fait est intolérable, te priver de repas et de ne rien manger. Je ne peux pas l’accepter et Je vais donc te punir pour cette faute. Tu n’as pas encore reçu Mon pardon … En position contre le mur, tout de suite...
Je voulais Lui parler mais je savais pertinemment que cela n’arrangerai pas mon cas, bien au contraire. Je me mis en position debout, mains contre le mur, et le Maitre commença à me fouetter durement le dos avec son fouet court qui appliqué en sanction, sans préparatif est horrible mais j’avais besoin de cette douleur pour me faire pardonner du Maitre. J’encaissais coups après coups, instruments après instruments, les larmes coulaient, les sanglots aussi mais pas de cris ou de hurlements. Mais plutôt une vive excitation, une excitation forte de retrouver les sensations d’être corrigée par le Maître ! Un pur bonheur ! Même si c’était dans un contexte punitif, c’était tellement bon que ce soit Lui qui me punisse et pas une tierce personne, j’avais l’impression de me retrouver moi-même !… Je sentais mon cul surchauffer et devenir brulant. Monsieur le Marquis stoppa et me retourna pour attacher des pinces à tétons su ma poitrine puis Il m’installa sur la chaise-godes, un anal et un vaginal et qui vibraient à différents niveaux.
- Tient, maintenant tu vas travailler assise ainsi bien empalée, et t’a pas intérêt de jouir, Ma salope ! J’ai fort à faire et on verra plus tard pour te faire pardonner …
Alors, durant toute la matinée, je me concentrais su mon travail professionnel et par moment un des deux godes vibrait soit en même temps, soit indépendamment, ce qui m’excitait terriblement, mais je faisais mon maximum pour contenir mes envies de jouir afin de ne pas fauter… En fin de matinée, le Châtelain m’appela via l’interphone.
- Mon esclave MDE, vient me voir au bureau. Je constate que tu as su faire honneur à Mon éducation, c’est ce que j’aurais voulu voir durant ton séjour à la pension canine de Mon ami qui je sais en a fait craqué plus d’un ou une car même si Jean est un jeune Maitre assez novice sur certaines choses pour d’autres, il est expert, comme tu as pu le constater. Ta sanction est terminée que ce soit celle pour ta jouissance ou l’autre, tu peux venir désormais m’implorer Mon pardon …
Sur Ses mots le Maitre, alors que je suis à genoux les yeux rivés au sol, les larmes aux yeux d’émtions, chose que le Maitre remarque, me fait lever le visage pour prendre possession de ma bouche par un baiser tendre mais Dominant.
- Mon esclave Clytoris MDE que je suis heureux de te retrouver à Mes pieds. Je vois à ton regard ta dévotion que tu Me portes, que tu portes au Maitre, mais je sais aussi au combien ton séjour a dû être éprouvant autant physiquement que mentalement… Parle, Ma belle esclave MDE- Maitre quel plaisir, je dois l’avouer, de Vous retrouver enfin, j’aurai préféré dans de meilleures circonstances et je Vous promets que la sanction de Monsieur Jean et la Votre m’ont fait passer l’envie de fauter de nouveau, je puis Vous l’assurer Maitre. Alors je sais que le moment est venu pour implorer Votre pardon… Je vous en supplie, Maitre, pardonnez-moi, que je sois en paix avec moi-même … Seul Votre pardon qui me fera un bien fou, me permettra de me sentir heureuse à Vos pieds, si Vous daignez, bien entendu, me pardonner… - Oui Ma belle petite salope, je te pardonne, mais ne recommence jamais... Que la sanction et ce pardon te servent de leçon… Maintenant à quatre pattes, que Je puisse te prendre comme la chienne que tu es… J’ai besoin de Mon vide-couilles pour Mon plaisir…
Je me mis en position et le Maître retira Son pantalon et caleçon pour exhiber déjà une forte érection… Je puis sentir alors la Verge bien dressée et dure du Maitre prendre possession de mon cul par des vifs coups de reins puissants dans ma cavité anale et tout en m’enculant le Maitre fessait mon cul. Ce qui m’excitait encore plus, mais je canalisais ma jouissance pour ne pas fauter de nouveau. Mais étant plus vaginale et clitoridienne, je n’avais pas trop de mal à me contrôler. Je pouvais sentir la puissance du Maitre qui prenait totalement possession de Sa chose, Sa pute, Son objet, Son vide-couilles. Ses coups de queue étaient puissants et bestiaux, voire même animaux mais j’aimais ça, Lui servir totalement et Lui offrir mes orifices, tous mes trous d’esclave qui ne m’appartiennent plus. Il sortit de mon cul pour me prendre en missionnaire sur le bureau, dans ma chatte totalement trempée. Je n’étais à ce moment précis qu’un simple jouet de plaisirs du Maitre. Et je ne pensais pas au mien, même si plus les coups de reins puissants du Maitre me baisaient, plus ma jouissance montait, mais je ne retenais comme on me l’avait appris.
- C’est bien, Ma pute MDE, je vois que le dressage de Jean et le Mien portent leurs fruits, tu sais te retenir quand tu le souhaites, me complimenta le Maitre et se vidant les couilles dans ma chatte béante, à grands jets saccadés de Sa semence
Une fois Ses couilles bien vidées, je Le pris en bouche pour le nettoyer comme il se doit, sans pour autant le faire bander de nouveau
- J’ai encore envie de toi petite catin de chienne, tu vas t’installer ici et te branler ton clito de salope avec le wand. Offre-moi un beau spectacle, tu as le droit de gémir seulement. Je te laisse jouer avec les vitesses, aller petite catin dépravée… exécution !
Je positionnais le wand sur mon clito et commençais à jouer avec les vitesses, ondulant de plaisirs sous les stimulations et vibrations du sex-toy, gémissant aussi de plaisirs de m’offrir sans pudeur au Maitre. Je mis le wand au maximum et gémis de plus belle, tournant stimulant mon vagin ou mon clito et je coulais littéralement de plaisirs et d’excitation telle une véritable chienne en chaleur… Un vrai appel à la bite, je voyais le Maitre se branler pendant que je me donnais du plaisir…
- Continue Ma catin…plus vite… plus fort… voila… c’est bien espèce de chienne en chaleur, regarde comme tu Me fais bander et vais te prendre encore comme la putain que tu es…
Le Maitre s’enfonça en moi comme dans du beurre et Il prit le wand pour continuer toujours à la puissance maximale, je devenais folle tellement c’était bon et délicieux…
(A suivre …)
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