La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1570)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1570)
Camélia au Château - Devenue chienne Maera MDE - (suite de l'épisode N°1542) -
Alors il m’asséna sans ménagement une vingtaine de coups de cravache sur mon fessier nu, puis me dit d’une voix furieuse :
- C'est inadmissible ce qui s'est passé cette nuit, chienne Maera MDE. Tu as joui dans ton sommeil alors que tout orgasme est formellement interdit sans l'accord de Monsieur le Marquis. Il est vrai que ta jouissance n'était pas du tout volontaire car onirique, mais ça reste une désobéissance et que même si elle reste inconsciente, elle sera sanctionnée. Sache qu'il y a des capteurs thermiques dans ton Cachot et sur ton matelas et qu'en cas de liquide ou moindre fluide genre cyprine, une petite alarme se déclenche sur les écrans de contrôle. Il est inutile de te dire à quel point Monsieur le Marquis est très déçu et que cela ne restera pas longtemps sans conséquence, ça tu peux me croire... J'ai beaucoup à faire, alors met-toi à quatre pattes et suit-moi en silence pour ne pas aggraver plus ton cas, ordonna le Majordome tout en se saisissant de ma laisse de chienne...
Je le suivais en silence à quatre pattes me faisant la plus discrète. C'est ainsi que l'on progressait dans les couloirs et escaliers du Château. Je ne savais pas où Walter me menait et je restais silencieuse. Après quelques minutes qu’il s'arrêta d'un coup et frappa à la porte du bureau du Maître… Puis j'entendis après quelques instants Sa voix :
- Entrer…
Quelques instant après j'entrais à la suite du Majordome et ce dernier me stoppa au milieu de la pièce et je restais la tête baissée en bonne soumise. De plus, je ne souhaitais sûrement pas croiser Son Regard. Je pouvais presque ressentir Sa contrariété marquée par le lourd silence pesant. Le Maître Vénéré restait en effet silencieux. Je sentis mon souffle qui s'accélérait et je pris sur moi en respirant profondément, en attendant ainsi comme suspendue dans le temps. J'étais plongée dans mes pensées ressassant ce qui s'était passé dans la nuit. C’est seulement après une quinzaine de minutes, qui me parurent une grande éternité, que le Maître décida enfin de briser ce silence de plomb de sa voix où transpirait tout Sa Dominance et Son Charisme :
- chienne Maera MDE, Ma femelle, si je sais montrer Ma Satisfaction, je sais encore plus facilement montrer Mon insatisfaction. Quand Ma soumise faute, même si cela est inconsciemment, elle doit toujours assumer ses erreurs et pouvoir par la suite mériter Mon pardon... Alors je vais te punir à subir la sanction dans une pièce complètement insonorisée. Tu pourras donc expier ta faute en criant ou suppliant sans que personne ne puisse t’entendre...
Le Maître s’arrêta quelques instants, puis s’adressa à son Majordome :
- Walter, tu prévoiras chaque jour le traitement que l’on a convenu ensemble et pour chaque soir, en plus du traitement décidé et tant que la sanction durera, une quinzaine de coups à lui administrer sur sa chatte de salope et avec un objet différent à chaque fois pour alterner les genres de coups. Pour rappel voici le traitement convenu : Elle ne pourra bien sûr pas jouir, vu le comprimé qu'elle devra avaler, à chaque fois. Ce cachet sans danger pour sa santé est à base d’un aphrodisiaque ultra puissant agissant sur les endorphines et d’un bloqueur agissant sur les muqueuses éjaculatrices de la cyprine, et lui bloquera ainsi tout orgasme, mais lui provoquera de très fortes excitations, avec des chaleurs excessives au bord des jouissances mais sans pouvoir mécaniquement jouir, comme une vraie chienne en rut et incapable de soulager ses instincts… Il y a bien sûr les électrodes avec la télécommande où tu pourras en régler le son… Cela sera une expérience mémorable pour elle et qui j'en suis certain, lui coupera toute envie de jouir et lui apprendra à mieux se retenir et ne plus me désobéir, dit le Maître…
- Oui Monsieur le Marquis, MDE je pense que chienne Maera n'est pas prête d'oublier cette juste punition de sitôt. J'ai déjà tout préparé selon Vos instructions et Vous pourrez suivre à tout moment la punition de Votre ordinateur via les caméras de surveillance, répondit Walter
Puis le Majordome me tirait par la laisse pour m'emmener dans la cellule préparée à cet effet. Je me posais mille questions. J'essayais de les chasser de mon esprit mais cela était plus fort que moi car je me focalisais sur ma faute et la sanction à subir. Walter et moi arrivions dans cette cellule. Il y avait un matelas à même le sol, une table avec quelques instruments posés, une boîte de comprimés et des chaines métalliques suspendues par le plafond avec un système de palan électrique et une espèce d’harnais... Le Majordome exigea de m'allonger sur le matelas et il me fit avaler le fameux comprimé, puis commença à m'installer les différentes électrodes directement sur mes lèvres intimes et fixées par des petites pinces tout à fait supportables. Puis, pour essayer le bon fonctionnement du matériel, il déclencha quelques petites décharges électriques via la télécommande. Je ressentis tout de suite une douleur parcourant mon corps et remontant sur toute mon échine. Le Majordome me fixa solidement le harnais derrière ma tête ainsi que les chaines munies de cadenas sous mes cuisses et mes aisselles. Ensuite, il actionna le gros bouton du palan de façon à ce que je me retrouve suspendue dans le vide à un mètre du sol, avec la tête soutenue par le harnais mais les jambes pendant dans le vide avec mes cuisses maintenues largement écartées…
Ensuite Walter partit sans un mot, en me laissant ainsi, nue, suspendue et bien exhibée dans cette cellule. Trente minutes après, le comprimé commençait à agir, alors je commençais à ressentir une forte chaleur m’envahir ainsi qu’une fulgurante montée d’excitation parcourant tout mon corps. Je n’avais qu’une envie, celle de me faire prendre, cette puissante envie de copuler, de me faire baiser… Et comme une folle, j’en remuais tout mon bassin, faisant bouger les chaines, provoquant un ballant dans le vide et en tous sens… Je commençais à couiner, à gémir, mon souffle devenait plus rapide, mes mains étaient moites. J’avais d’irrésistibles bouffées de chaleur et avec cette envie folle de me caresser de mon corps nu et tout en sueur, alors que mon sexe s’humidifiait à vitesse grand V, mes lèvres intimes regorgeaient de sang, doublant de volumes gonflant à vue d’œil. Je me sentais être cette femelle en chaleur, comme jamais de ma vie je ne l’avais été auparavant…
Je n’étais plus moi-même mais juste une chienne trempée, une femelle cherchant le mâle juste pour se faire prendre avec ce puissant besoin incompressible de forniquer au plus vite. Mais avec une différence de taille, j’avais l'impossibilité, due au comprimé, de jouir alors que je me sentais de plus en plus excitée mais je savais que toute ma jouissance était bloquée sous l'effet du cachet, j’étais donc condamnée à être dans un état de fièvre enivrante, dans une phénoménale excitation sexuelle mais sans pouvoir lâche un seul orgasme. J'avais, par moment, des décharges électriques qui pouvaient être douces, comme très fortes, cela dépendait de l'intensité de celles-ci… Ce ‘savoureux’ calvaire dura le temps que le comprimé agisse, c’est-à-dire durant près de deux heures. J’avais mal aux articulations, la position suspendue était inconfortable, j’avais soif, je transpirais et rêvais d’une bonne douche, j’étais épuisée de ce traitement si long, à la fois délicieux et douloureux … C’est donc au terme de ce temps que le Majordome vint me détacher, il me fit boire à plus soif dans une gamelle, m’emmena en quadrupédie sous la douche et me donna une autre gamelle d’une bouillie afin de me sustenter. Puis, il m’imposa de me reposer sur le matelas en me recouvrant d’une couverture :
- Repose-toi, je reviens ce soir et on commencera mais cette fois par les quinze coups de badine quotidiens que tu n’as pas encore eu aujourd’hui, avant de te faire recommencer ce traitement punitif… et cela sera ainsi chaque jour durant tout le temps de ta punition
Au milieu de la soirée, le Majordome revenait avec un sourire pervers, pour m'apporter le comprimé que je pris de nouveau.
- chienne Maera MDE, en attendant que le comprimé agisse, met-toi en position sur le dos, les jambes bien écartées mains derrière la tête et celle-ci baissée. Je suis là pour t'administrer tes quinze coups journaliers. Tu as interdiction de bouger, ni de crier et je ne veux aucun son sortant de ta bouche de putain, bien entendu, sinon je recommence à zéro. N'oublies pas que le Maître te regarde, me dit-il, tout en tenant la badine fermement dans sa main.
Water commença à administrer les coups ... Ceux-ci étaient précis, dosés de manière à ce que ce soit supportable mais à la fois douloureux et je dois bien l’avouer excitant… Le plat de la badine frappait sur mon clitoris puis en alternance sur mes lèvres intimes. Il était difficile de me faire silence complet. J’avais envie de crier la douleur mais paradoxalement aussi de gémir de plaisir … Une fois les quinze coups reçus, il me remit dans la même position suspendue et je subis de nouveau et durant deux heures les mêmes choses … A l’issue de ce dément traitement, je puis de nouveau boire, me laver, manger et me reposer… Et c’est justement en me ramenant dans ma cellule pour me reposer que le Majordome m’informa :
- Aller, maintenant repose-toi et dors, tu en as grand besoin. Tu sais qu’on te surveille par la vidéo, on surveille même si tu rêves et surtout si tu rêves de jouissances, salope ! … Ah, je vais tout de même te donner une information : Demain, tu auras droit au même traitement, mais à la place d’être juste suspendue comme un saucisson, tu seras attachée à un siège gynécologique que j’apporterai grâce à ses roulettes. Et tu auras droit à la machine à baiser, celle qui mécaniquement te baisera avec un épais et long sexe factice et dans une régularité de métronome… Bien entendu, je règlerai la machine pour faire de vifs va-et-vient dans ta chatte de pute en chaleur, durant les deux heures, alors repose toi, car demain ne sera pas de tout repos …
Le lendemain après une bonne nuit récupératrice, suite à ma fatigue physique de la veille, je fus réveillée en sursaut par la porte qui s’ouvrit. Je reconnus Walter déplaçant un siège de gynécologie équipé d’une machine … une machine à baiser fixée juste devant le siège par un bras articulé…
(A suivre …)
Alors il m’asséna sans ménagement une vingtaine de coups de cravache sur mon fessier nu, puis me dit d’une voix furieuse :
- C'est inadmissible ce qui s'est passé cette nuit, chienne Maera MDE. Tu as joui dans ton sommeil alors que tout orgasme est formellement interdit sans l'accord de Monsieur le Marquis. Il est vrai que ta jouissance n'était pas du tout volontaire car onirique, mais ça reste une désobéissance et que même si elle reste inconsciente, elle sera sanctionnée. Sache qu'il y a des capteurs thermiques dans ton Cachot et sur ton matelas et qu'en cas de liquide ou moindre fluide genre cyprine, une petite alarme se déclenche sur les écrans de contrôle. Il est inutile de te dire à quel point Monsieur le Marquis est très déçu et que cela ne restera pas longtemps sans conséquence, ça tu peux me croire... J'ai beaucoup à faire, alors met-toi à quatre pattes et suit-moi en silence pour ne pas aggraver plus ton cas, ordonna le Majordome tout en se saisissant de ma laisse de chienne...
Je le suivais en silence à quatre pattes me faisant la plus discrète. C'est ainsi que l'on progressait dans les couloirs et escaliers du Château. Je ne savais pas où Walter me menait et je restais silencieuse. Après quelques minutes qu’il s'arrêta d'un coup et frappa à la porte du bureau du Maître… Puis j'entendis après quelques instants Sa voix :
- Entrer…
Quelques instant après j'entrais à la suite du Majordome et ce dernier me stoppa au milieu de la pièce et je restais la tête baissée en bonne soumise. De plus, je ne souhaitais sûrement pas croiser Son Regard. Je pouvais presque ressentir Sa contrariété marquée par le lourd silence pesant. Le Maître Vénéré restait en effet silencieux. Je sentis mon souffle qui s'accélérait et je pris sur moi en respirant profondément, en attendant ainsi comme suspendue dans le temps. J'étais plongée dans mes pensées ressassant ce qui s'était passé dans la nuit. C’est seulement après une quinzaine de minutes, qui me parurent une grande éternité, que le Maître décida enfin de briser ce silence de plomb de sa voix où transpirait tout Sa Dominance et Son Charisme :
- chienne Maera MDE, Ma femelle, si je sais montrer Ma Satisfaction, je sais encore plus facilement montrer Mon insatisfaction. Quand Ma soumise faute, même si cela est inconsciemment, elle doit toujours assumer ses erreurs et pouvoir par la suite mériter Mon pardon... Alors je vais te punir à subir la sanction dans une pièce complètement insonorisée. Tu pourras donc expier ta faute en criant ou suppliant sans que personne ne puisse t’entendre...
Le Maître s’arrêta quelques instants, puis s’adressa à son Majordome :
- Walter, tu prévoiras chaque jour le traitement que l’on a convenu ensemble et pour chaque soir, en plus du traitement décidé et tant que la sanction durera, une quinzaine de coups à lui administrer sur sa chatte de salope et avec un objet différent à chaque fois pour alterner les genres de coups. Pour rappel voici le traitement convenu : Elle ne pourra bien sûr pas jouir, vu le comprimé qu'elle devra avaler, à chaque fois. Ce cachet sans danger pour sa santé est à base d’un aphrodisiaque ultra puissant agissant sur les endorphines et d’un bloqueur agissant sur les muqueuses éjaculatrices de la cyprine, et lui bloquera ainsi tout orgasme, mais lui provoquera de très fortes excitations, avec des chaleurs excessives au bord des jouissances mais sans pouvoir mécaniquement jouir, comme une vraie chienne en rut et incapable de soulager ses instincts… Il y a bien sûr les électrodes avec la télécommande où tu pourras en régler le son… Cela sera une expérience mémorable pour elle et qui j'en suis certain, lui coupera toute envie de jouir et lui apprendra à mieux se retenir et ne plus me désobéir, dit le Maître…
- Oui Monsieur le Marquis, MDE je pense que chienne Maera n'est pas prête d'oublier cette juste punition de sitôt. J'ai déjà tout préparé selon Vos instructions et Vous pourrez suivre à tout moment la punition de Votre ordinateur via les caméras de surveillance, répondit Walter
Puis le Majordome me tirait par la laisse pour m'emmener dans la cellule préparée à cet effet. Je me posais mille questions. J'essayais de les chasser de mon esprit mais cela était plus fort que moi car je me focalisais sur ma faute et la sanction à subir. Walter et moi arrivions dans cette cellule. Il y avait un matelas à même le sol, une table avec quelques instruments posés, une boîte de comprimés et des chaines métalliques suspendues par le plafond avec un système de palan électrique et une espèce d’harnais... Le Majordome exigea de m'allonger sur le matelas et il me fit avaler le fameux comprimé, puis commença à m'installer les différentes électrodes directement sur mes lèvres intimes et fixées par des petites pinces tout à fait supportables. Puis, pour essayer le bon fonctionnement du matériel, il déclencha quelques petites décharges électriques via la télécommande. Je ressentis tout de suite une douleur parcourant mon corps et remontant sur toute mon échine. Le Majordome me fixa solidement le harnais derrière ma tête ainsi que les chaines munies de cadenas sous mes cuisses et mes aisselles. Ensuite, il actionna le gros bouton du palan de façon à ce que je me retrouve suspendue dans le vide à un mètre du sol, avec la tête soutenue par le harnais mais les jambes pendant dans le vide avec mes cuisses maintenues largement écartées…
Ensuite Walter partit sans un mot, en me laissant ainsi, nue, suspendue et bien exhibée dans cette cellule. Trente minutes après, le comprimé commençait à agir, alors je commençais à ressentir une forte chaleur m’envahir ainsi qu’une fulgurante montée d’excitation parcourant tout mon corps. Je n’avais qu’une envie, celle de me faire prendre, cette puissante envie de copuler, de me faire baiser… Et comme une folle, j’en remuais tout mon bassin, faisant bouger les chaines, provoquant un ballant dans le vide et en tous sens… Je commençais à couiner, à gémir, mon souffle devenait plus rapide, mes mains étaient moites. J’avais d’irrésistibles bouffées de chaleur et avec cette envie folle de me caresser de mon corps nu et tout en sueur, alors que mon sexe s’humidifiait à vitesse grand V, mes lèvres intimes regorgeaient de sang, doublant de volumes gonflant à vue d’œil. Je me sentais être cette femelle en chaleur, comme jamais de ma vie je ne l’avais été auparavant…
Je n’étais plus moi-même mais juste une chienne trempée, une femelle cherchant le mâle juste pour se faire prendre avec ce puissant besoin incompressible de forniquer au plus vite. Mais avec une différence de taille, j’avais l'impossibilité, due au comprimé, de jouir alors que je me sentais de plus en plus excitée mais je savais que toute ma jouissance était bloquée sous l'effet du cachet, j’étais donc condamnée à être dans un état de fièvre enivrante, dans une phénoménale excitation sexuelle mais sans pouvoir lâche un seul orgasme. J'avais, par moment, des décharges électriques qui pouvaient être douces, comme très fortes, cela dépendait de l'intensité de celles-ci… Ce ‘savoureux’ calvaire dura le temps que le comprimé agisse, c’est-à-dire durant près de deux heures. J’avais mal aux articulations, la position suspendue était inconfortable, j’avais soif, je transpirais et rêvais d’une bonne douche, j’étais épuisée de ce traitement si long, à la fois délicieux et douloureux … C’est donc au terme de ce temps que le Majordome vint me détacher, il me fit boire à plus soif dans une gamelle, m’emmena en quadrupédie sous la douche et me donna une autre gamelle d’une bouillie afin de me sustenter. Puis, il m’imposa de me reposer sur le matelas en me recouvrant d’une couverture :
- Repose-toi, je reviens ce soir et on commencera mais cette fois par les quinze coups de badine quotidiens que tu n’as pas encore eu aujourd’hui, avant de te faire recommencer ce traitement punitif… et cela sera ainsi chaque jour durant tout le temps de ta punition
Au milieu de la soirée, le Majordome revenait avec un sourire pervers, pour m'apporter le comprimé que je pris de nouveau.
- chienne Maera MDE, en attendant que le comprimé agisse, met-toi en position sur le dos, les jambes bien écartées mains derrière la tête et celle-ci baissée. Je suis là pour t'administrer tes quinze coups journaliers. Tu as interdiction de bouger, ni de crier et je ne veux aucun son sortant de ta bouche de putain, bien entendu, sinon je recommence à zéro. N'oublies pas que le Maître te regarde, me dit-il, tout en tenant la badine fermement dans sa main.
Water commença à administrer les coups ... Ceux-ci étaient précis, dosés de manière à ce que ce soit supportable mais à la fois douloureux et je dois bien l’avouer excitant… Le plat de la badine frappait sur mon clitoris puis en alternance sur mes lèvres intimes. Il était difficile de me faire silence complet. J’avais envie de crier la douleur mais paradoxalement aussi de gémir de plaisir … Une fois les quinze coups reçus, il me remit dans la même position suspendue et je subis de nouveau et durant deux heures les mêmes choses … A l’issue de ce dément traitement, je puis de nouveau boire, me laver, manger et me reposer… Et c’est justement en me ramenant dans ma cellule pour me reposer que le Majordome m’informa :
- Aller, maintenant repose-toi et dors, tu en as grand besoin. Tu sais qu’on te surveille par la vidéo, on surveille même si tu rêves et surtout si tu rêves de jouissances, salope ! … Ah, je vais tout de même te donner une information : Demain, tu auras droit au même traitement, mais à la place d’être juste suspendue comme un saucisson, tu seras attachée à un siège gynécologique que j’apporterai grâce à ses roulettes. Et tu auras droit à la machine à baiser, celle qui mécaniquement te baisera avec un épais et long sexe factice et dans une régularité de métronome… Bien entendu, je règlerai la machine pour faire de vifs va-et-vient dans ta chatte de pute en chaleur, durant les deux heures, alors repose toi, car demain ne sera pas de tout repos …
Le lendemain après une bonne nuit récupératrice, suite à ma fatigue physique de la veille, je fus réveillée en sursaut par la porte qui s’ouvrit. Je reconnus Walter déplaçant un siège de gynécologie équipé d’une machine … une machine à baiser fixée juste devant le siège par un bras articulé…
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