La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1572)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1572)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1571) -
Chapitre 27 (bis) : Inscription à une formation -
Walter entrait, avec derrière lui, tenu en laisse et à quatre pattes esclav’antoine…
- Viens ici, toi, approche Mon chien !, lançait le Maitre à l’attention d’Antoine.
Sitôt sa laisse ôtée, Antoine approchait aussi vite que possible et se prosternait aux pieds du Châtelain, cul bien relevé.
- Voilà celui dont je vous parlais mon Cher Ludovic, ce second chien a lui aussi un fort potentiel à devenir un bel esclave totalement dévoué.
Je n’avais toujours pas levé les yeux et donc pas vu cet homme qui maintenant me caressait vicieusement les fesses. Sa main entreprenante glissait entre mes cuisses et s’emparait de mes burnes et de ma queue toujours aussi raide pour tirer et remonter l’ensemble de mes organes génitaux vers l’arrière. Je m’écartais plus encore, me cambrais davantage, relevant le plus haut possible mon cul, pour que cette partie de mon corps lui soit parfaitement accessible.
- Bel équipement !, constatait le prénommé Ludovic…
L’homme me relâchait brutalement. Ma bite raide claquait contre mon abdomen, je ne sursautais pas, restais parfaitement stoïque. Ludovic se penchait pour aller fouiller l’entrejambes d’Antoine.
- Celui-ci est bien monté également, un peu moins d’épaisseur, mais plus long… Tous les deux pourraient faire de bons reproducteurs !
Mes oreilles se dressaient instantanément à ce que venait de dire ce Ludovic. Avais-je bien entendu ? Envisageait-il de me faire m’accoupler avec une esclave femelle ? Moi et (ou) esclav’antoine devrons-nous forniquer pour ensemencer des esclaves femelles ?... Non, pas ça ! … Alors je repensais inévitablement à mes parents et dans quelle condition j’avais été conçu… en effet, je ne pouvais que constater que c’était dans ce même cas de figure que j’avais été engendré… mon père géniteur s’étant accouplé avec ma mère procréatrice dans des relations sexuelles imposées par leur condition d’esclave MDE…
- Oui, ils ont de belles nouilles de chien, concluait Ludovic …
Tels étaient ces constats. Monsieur le Marquis, après avoir empoigné la chevelure d’Antoine pour installer son visage près du mien mais sur son autre genou, et reprenait sa conversation.
- Mon cher Ludovic, allez-vous organiser une prochaine session ?
- Oui, comme je vous le disais hier au téléphone Cher Edouard, je pense que d’ici le 10 septembre, j’aurai le nombre d’inscriptions voulues, c’est-à-dire dix stagiaires… avec vos deux boys-esclaves, je suis à huit.
L’homme s’exprimait avec une voix douce et charmante, sa main, presque affectueuse, continuait à flatter ma croupe, à caresser mes couilles, ses doigts venaient régulièrement titiller ma tige tumescente, son pouce excitait mon frein, de temps à autre, un autre de ses doigts se frayait un chemin dans mon rectum brulant. Je le laissais faire sans rien dire, ni faire. Parallèlement à ça, je percevais le souffle chaud d’esclav’antoine contre ma bouche. Il me regardait, en faisant parfois glisser sa langue sur ses lèvres pour les humidifier ou pour peut-être, étouffer un gémissement de plaisir, car lui aussi se faisait peloter mais par le Maitre.
- Qu’il est agréable de voir vos boys-esclaves ne pas réagir à nos caresses, pas un mouvement, pas un gémissement, rien. Ils se laissent tripoter tout à fait naturellement… J’apprécie ! Je vois là, déjà certaines bases bien acquises. Vos deux esclaves peuvent, si Vous le voulez mon cher Edouard, rejoindre l’unité II de la formation de notre Etablissement, sans passer par celle numéro I, où justement nous entrainons les pièces mâles et femelles à accepter les attouchements sexuels sans broncher, ni gémir.
- Je crois sincèrement que Mes deux chiens ont un réel besoin du suivre l’ensemble du cursus que propose votre Etablissement, Ludovic. Je ne suis pas pressé, toutes les étapes de votre formation leur seront utiles, j’en suis convaincu.
- Comme il Vous plaira, Monsieur le Marquis. Je prends bonne note de vos volontés. Nous intégrerons donc ces deux pièces mâles à la prochaine session du 10 septembre prochain. Avez-Vous des Exigences particulières à me communiquer… - Oui, celle dont je vous ai parlé hier au téléphone, Ludovic !
- Celle-ci est bien noté… L’ensemble des enseignants sauront ce que sont Vos Exigences quant à Vos deux esclaves Monsieur le Marquis, soyez en assuré… Une autre peut-être ?
- Oui, je veux savoir, si au cours de cette unité numéro I, vous abordez le thème du masochisme, avec quelques travaux pratiques ?
- Au cours de cette unité I, nous ne faisons qu’effleurer le sujet… si je puis dire, Monsieur le Marquis !, répondait Ludovic toujours agréablement mais cette fois-ci en souriant largement.
- Mes deux esclaves, chacun de leur côté, m’ont fait part de leur souhait d’apprendre à devenir progressivement de bons esclaves masochistes, à connaître beaucoup plus intensément ce qu’est la douleur/plaisir. Tous deux m’ont dit qu’ils ne pourraient être des esclaves accomplis s’ils ne pouvaient pas se donner totalement à Moi, quels que soient les traitements infligés. Une belle preuve de courage et un réel engagement de leur part ! Je suis donc persuadé qu’ils ont tous deux du très gros potentiel et je veux les voir s’engager librement sur cette voie, si celle-ci est progressive et parfaitement attentionnée.
- Nous avons toujours la possibilité de donner quelques cours particuliers aux stagiaires qui le souhaitent. Evidemment ces pratiques sont totalement maitrisées, progressives et les stagiaires ont toujours la possibilité d’interrompre les expériences en cours, même si nous aimons les voir se dépasser en flirtant avec leurs limites, ainsi ils progressent, ainsi ils apprennent à offrir et donner librement leur corps à celui ou celle qui officie ou à ceux qui contemplent. Lors de ces temps, nous ne punissons jamais, nous nous contentons d’encourager, de complimenter, d’exhorter et réconforter. Vous savez mon cher Edouard, je suis totalement d’accord avec vous, ceux qui acceptent ces pratiques BDSM sont de véritables esclaves, totalement accomplis et heureux de l’être. Ils connaissent alors une Domination physique, mentale et bien évidemment sexuelle, leur permettant de s’épanouir et se consacrer aux plaisirs et Exigences des Dominants…
Le sieur Ludovic venait de tenir une conversation parfaitement sereine et sage, sans une once de vulgarité, ni de mépris, au contraire même, je percevais cet homme comme quelqu’un de très respectueux et sans doute prévenant près des stagiaires soumis-esclaves. Tout le contraire de ce que j’avais vécu ces quatre derniers jours avec le pervers couples. Voilà qui me réjouissait, voilà qui me donnait envie de partir en stage sans peur, ni crainte, puisqu’il en était décidé ainsi !
- Il faudra alors les inscrire tous les deux à ces cours particuliers.
- Très bien, je le note, Monsieur le Marquis, autre chose ?
- Non, rien à ajouter !
- Ah, je voulais aussi Vous remercier, mon cher Edouard, car Vous êtes notre principal Mécène, largement le plus généreux, d’ailleurs. Je vous rappelle que notre Institution fonctionne uniquement par des dons privés tels que les Vôtres forts abondants. Et justement Votre aide financière contribue à plus de 75% de nos frais de fonctionnement. Alors merci encore, vraiment…- Pas de souci, j’ai toujours su qui j’aidais financièrement et pourquoi j’aidais. Mon mécénat est très ciblé…- Alors oui je me répète, mille mercis... Par ailleurs, permettez-moi mon cher Edouard, juste avant de vous quitter d’avoir un aperçu des visages de vos deux esclaves, puisque jusqu’à présent je n’ai vu que leur fondement !
Antoine et moi étions saisis par notre tignasse et retournés brutalement, toujours à quatre pattes, pour faire face à cet homme d’une quarantaine d’années, très élégamment vêtu, souriant, agréable à regarder. Chacune de ses mains caressaient nos joues respectives, tout en nous regardant intensément.
- Soyez sans crainte les boys, nous allons faire de vous de bons esclaves !
Ludovic passait sa main sous mon menton pour approcher mon visage tout près de celui d’Antoine, tellement près que nos bouches entraient en contact !
- Donnez-vous un bon baiser, vous le méritez l’un et l’autre !, nous intimait Ludovic
Sous le regard attentionné du Maître et de cet homme doux, nos bouches s’ouvraient, nos langues s’enroulaient, Antoine et moi, nous nous embrassions goulument avec un certain appétit et une réelle convoitise, un baiser envoûtant, irradiant nos corps, embrasant nos queues déjà bien dures. A cet instant, j’étais tiré brutalement par ma chevelure et mis au sol, à plat dos.
- Ecarte les cuisses salope et présente ton cul !, m’ordonnait le Maître
Je dévoilais une nouvelle fois ma virilité ainsi que mon trou, sans l’ombre d’une quelconque gêne, sans une once de pudeur. Ma nouille baveuse faisait de nombreux soubresauts sur mon abdomen. Monsieur le Marquis cette fois-ci empoignait Antoine, l’entrainait vers moi en le maintenant toujours en quadrupédie tout en le faisant assoir sur mon visage, son orifice anal placé sur ma bouche.
- Broutez vos culs, dégustez-vous les chiennes, le temps que je raccompagne ce cher Ludovic jusqu’à sa voiture, mais attention interdiction formelle de vous téter la queue !...
(A suivre…)
Chapitre 27 (bis) : Inscription à une formation -
Walter entrait, avec derrière lui, tenu en laisse et à quatre pattes esclav’antoine…
- Viens ici, toi, approche Mon chien !, lançait le Maitre à l’attention d’Antoine.
Sitôt sa laisse ôtée, Antoine approchait aussi vite que possible et se prosternait aux pieds du Châtelain, cul bien relevé.
- Voilà celui dont je vous parlais mon Cher Ludovic, ce second chien a lui aussi un fort potentiel à devenir un bel esclave totalement dévoué.
Je n’avais toujours pas levé les yeux et donc pas vu cet homme qui maintenant me caressait vicieusement les fesses. Sa main entreprenante glissait entre mes cuisses et s’emparait de mes burnes et de ma queue toujours aussi raide pour tirer et remonter l’ensemble de mes organes génitaux vers l’arrière. Je m’écartais plus encore, me cambrais davantage, relevant le plus haut possible mon cul, pour que cette partie de mon corps lui soit parfaitement accessible.
- Bel équipement !, constatait le prénommé Ludovic…
L’homme me relâchait brutalement. Ma bite raide claquait contre mon abdomen, je ne sursautais pas, restais parfaitement stoïque. Ludovic se penchait pour aller fouiller l’entrejambes d’Antoine.
- Celui-ci est bien monté également, un peu moins d’épaisseur, mais plus long… Tous les deux pourraient faire de bons reproducteurs !
Mes oreilles se dressaient instantanément à ce que venait de dire ce Ludovic. Avais-je bien entendu ? Envisageait-il de me faire m’accoupler avec une esclave femelle ? Moi et (ou) esclav’antoine devrons-nous forniquer pour ensemencer des esclaves femelles ?... Non, pas ça ! … Alors je repensais inévitablement à mes parents et dans quelle condition j’avais été conçu… en effet, je ne pouvais que constater que c’était dans ce même cas de figure que j’avais été engendré… mon père géniteur s’étant accouplé avec ma mère procréatrice dans des relations sexuelles imposées par leur condition d’esclave MDE…
- Oui, ils ont de belles nouilles de chien, concluait Ludovic …
Tels étaient ces constats. Monsieur le Marquis, après avoir empoigné la chevelure d’Antoine pour installer son visage près du mien mais sur son autre genou, et reprenait sa conversation.
- Mon cher Ludovic, allez-vous organiser une prochaine session ?
- Oui, comme je vous le disais hier au téléphone Cher Edouard, je pense que d’ici le 10 septembre, j’aurai le nombre d’inscriptions voulues, c’est-à-dire dix stagiaires… avec vos deux boys-esclaves, je suis à huit.
L’homme s’exprimait avec une voix douce et charmante, sa main, presque affectueuse, continuait à flatter ma croupe, à caresser mes couilles, ses doigts venaient régulièrement titiller ma tige tumescente, son pouce excitait mon frein, de temps à autre, un autre de ses doigts se frayait un chemin dans mon rectum brulant. Je le laissais faire sans rien dire, ni faire. Parallèlement à ça, je percevais le souffle chaud d’esclav’antoine contre ma bouche. Il me regardait, en faisant parfois glisser sa langue sur ses lèvres pour les humidifier ou pour peut-être, étouffer un gémissement de plaisir, car lui aussi se faisait peloter mais par le Maitre.
- Qu’il est agréable de voir vos boys-esclaves ne pas réagir à nos caresses, pas un mouvement, pas un gémissement, rien. Ils se laissent tripoter tout à fait naturellement… J’apprécie ! Je vois là, déjà certaines bases bien acquises. Vos deux esclaves peuvent, si Vous le voulez mon cher Edouard, rejoindre l’unité II de la formation de notre Etablissement, sans passer par celle numéro I, où justement nous entrainons les pièces mâles et femelles à accepter les attouchements sexuels sans broncher, ni gémir.
- Je crois sincèrement que Mes deux chiens ont un réel besoin du suivre l’ensemble du cursus que propose votre Etablissement, Ludovic. Je ne suis pas pressé, toutes les étapes de votre formation leur seront utiles, j’en suis convaincu.
- Comme il Vous plaira, Monsieur le Marquis. Je prends bonne note de vos volontés. Nous intégrerons donc ces deux pièces mâles à la prochaine session du 10 septembre prochain. Avez-Vous des Exigences particulières à me communiquer… - Oui, celle dont je vous ai parlé hier au téléphone, Ludovic !
- Celle-ci est bien noté… L’ensemble des enseignants sauront ce que sont Vos Exigences quant à Vos deux esclaves Monsieur le Marquis, soyez en assuré… Une autre peut-être ?
- Oui, je veux savoir, si au cours de cette unité numéro I, vous abordez le thème du masochisme, avec quelques travaux pratiques ?
- Au cours de cette unité I, nous ne faisons qu’effleurer le sujet… si je puis dire, Monsieur le Marquis !, répondait Ludovic toujours agréablement mais cette fois-ci en souriant largement.
- Mes deux esclaves, chacun de leur côté, m’ont fait part de leur souhait d’apprendre à devenir progressivement de bons esclaves masochistes, à connaître beaucoup plus intensément ce qu’est la douleur/plaisir. Tous deux m’ont dit qu’ils ne pourraient être des esclaves accomplis s’ils ne pouvaient pas se donner totalement à Moi, quels que soient les traitements infligés. Une belle preuve de courage et un réel engagement de leur part ! Je suis donc persuadé qu’ils ont tous deux du très gros potentiel et je veux les voir s’engager librement sur cette voie, si celle-ci est progressive et parfaitement attentionnée.
- Nous avons toujours la possibilité de donner quelques cours particuliers aux stagiaires qui le souhaitent. Evidemment ces pratiques sont totalement maitrisées, progressives et les stagiaires ont toujours la possibilité d’interrompre les expériences en cours, même si nous aimons les voir se dépasser en flirtant avec leurs limites, ainsi ils progressent, ainsi ils apprennent à offrir et donner librement leur corps à celui ou celle qui officie ou à ceux qui contemplent. Lors de ces temps, nous ne punissons jamais, nous nous contentons d’encourager, de complimenter, d’exhorter et réconforter. Vous savez mon cher Edouard, je suis totalement d’accord avec vous, ceux qui acceptent ces pratiques BDSM sont de véritables esclaves, totalement accomplis et heureux de l’être. Ils connaissent alors une Domination physique, mentale et bien évidemment sexuelle, leur permettant de s’épanouir et se consacrer aux plaisirs et Exigences des Dominants…
Le sieur Ludovic venait de tenir une conversation parfaitement sereine et sage, sans une once de vulgarité, ni de mépris, au contraire même, je percevais cet homme comme quelqu’un de très respectueux et sans doute prévenant près des stagiaires soumis-esclaves. Tout le contraire de ce que j’avais vécu ces quatre derniers jours avec le pervers couples. Voilà qui me réjouissait, voilà qui me donnait envie de partir en stage sans peur, ni crainte, puisqu’il en était décidé ainsi !
- Il faudra alors les inscrire tous les deux à ces cours particuliers.
- Très bien, je le note, Monsieur le Marquis, autre chose ?
- Non, rien à ajouter !
- Ah, je voulais aussi Vous remercier, mon cher Edouard, car Vous êtes notre principal Mécène, largement le plus généreux, d’ailleurs. Je vous rappelle que notre Institution fonctionne uniquement par des dons privés tels que les Vôtres forts abondants. Et justement Votre aide financière contribue à plus de 75% de nos frais de fonctionnement. Alors merci encore, vraiment…- Pas de souci, j’ai toujours su qui j’aidais financièrement et pourquoi j’aidais. Mon mécénat est très ciblé…- Alors oui je me répète, mille mercis... Par ailleurs, permettez-moi mon cher Edouard, juste avant de vous quitter d’avoir un aperçu des visages de vos deux esclaves, puisque jusqu’à présent je n’ai vu que leur fondement !
Antoine et moi étions saisis par notre tignasse et retournés brutalement, toujours à quatre pattes, pour faire face à cet homme d’une quarantaine d’années, très élégamment vêtu, souriant, agréable à regarder. Chacune de ses mains caressaient nos joues respectives, tout en nous regardant intensément.
- Soyez sans crainte les boys, nous allons faire de vous de bons esclaves !
Ludovic passait sa main sous mon menton pour approcher mon visage tout près de celui d’Antoine, tellement près que nos bouches entraient en contact !
- Donnez-vous un bon baiser, vous le méritez l’un et l’autre !, nous intimait Ludovic
Sous le regard attentionné du Maître et de cet homme doux, nos bouches s’ouvraient, nos langues s’enroulaient, Antoine et moi, nous nous embrassions goulument avec un certain appétit et une réelle convoitise, un baiser envoûtant, irradiant nos corps, embrasant nos queues déjà bien dures. A cet instant, j’étais tiré brutalement par ma chevelure et mis au sol, à plat dos.
- Ecarte les cuisses salope et présente ton cul !, m’ordonnait le Maître
Je dévoilais une nouvelle fois ma virilité ainsi que mon trou, sans l’ombre d’une quelconque gêne, sans une once de pudeur. Ma nouille baveuse faisait de nombreux soubresauts sur mon abdomen. Monsieur le Marquis cette fois-ci empoignait Antoine, l’entrainait vers moi en le maintenant toujours en quadrupédie tout en le faisant assoir sur mon visage, son orifice anal placé sur ma bouche.
- Broutez vos culs, dégustez-vous les chiennes, le temps que je raccompagne ce cher Ludovic jusqu’à sa voiture, mais attention interdiction formelle de vous téter la queue !...
(A suivre…)
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