La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1573)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1573) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1573)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1572) -
- Broutez vos culs, dégustez-vous les chiennes, le temps que je raccompagne ce cher Ludovic jusqu’à sa voiture, mais attention interdiction formelle de vous téter la queue !...

Ma langue fouillait donc cet orifice intime posé sur ma bouche, elle papillonnait tout autour de cette rondelle à la fois souple et tonique, un œillet visiblement habitué à se faire prendre et qui s’ouvrait à ma cavité buccale. Je humais alors avec délectation ces effluves corporels de cul, de sexe en rut, sources d’excitation. Ces inhalations soyeuses et somptueuses, ces odeurs intimes respirées me faisaient frissonner de la tête aux pieds comme un retour aux sources de mon animalité instinctif et de mon homosexualité naturelle. J’étais convaincu que mon comportement était influencé par ces phéromones volatiles aux vertus aphrodisiaques. Elles me conditionnaient, m’excitaient, me tourmentaient. Ma nouille coincée entre mon ventre et la poitrine d’Antoine, palpitait et ruisselait tant par ces odeurs de mâles excités que par ces caresses buccales divinement délicieuses, sur mon trou baveux d’envies. Les couilles glabres de mon congénère se frottaient contre mon nez, sa nouille poisseuse pulsait à quelques centimètres de ma bouche. Comme il était dur de contenir mes pulsions, j’avais une furieuse envie de gober cette nouille raide et tumescente, à seulement quelques centimètres de ma bouche... Le Maitre était revenu, maintenant assis sur son fauteuil, il regardait Ses deux esclaves mâles se gouiner, il entendait nos gémissements, il constatait le plaisir que nous nous donnions l’un et l’autre. Il nous laissait faire, encore, toujours, pendant de longues minutes… jusqu’à cet instant :
- Ça suffit les chiennes, placez-vous face à Moi, côte à côte, en position d’attente à genoux, j’ai à vous parler.

Evidemment Antoine, comme moi, avions le regard bas, le buste droit imposant à nos fesses de ne pas toucher nos talons...

- Non regardez-moi, j’ai des choses à vous dire… J’ai pris une grande décision importante et vous concernant.

Monsieur le Marquis prenait son temps, il nous regardait attentivement, intensément, l’un et l’autre, chacun notre tour, fixait Son regard bleu puissant et si profond dans nos yeux respectifs puis le portait sur nos nouilles ruisselantes, toujours fières et dressées. Ses doigts tapotaient machinalement les accoudoirs du fauteuil. Le Châtelain croisait les jambes en nous laissant gamberger. Je le trouvais noble, au sens propre comme au figuré, puisque descendant d’une haute lignée aristocratique connue et reconnue mais aussi parce qu’il y avait de la distinction, de l’élégance, du Charisme dans Son allure, Son comportement, Sa personnalité. Oui, Il était élégant, et même imposant, avec un magnétisme et une autorité naturelle. Une présence si forte que même sans un seul mot, on sent Son Regard nous pénétrer.

Le Noble savait m’envouter, j’éprouvais une certaine fascination en Le regardant pour une fois, yeux dans les yeux, en le voyant maitriser parfaitement la situation de chaque instant. J’apercevais, peut-être pour la première fois, d’une façon certaine, une belle Personne, stricte et sévère, mais aussi un homme attentionné et respectueux, ne voulant que l’épanouissement de celles et ceux se soumettant à Ses pieds. Il savait exacerber mes sens, il savait attiser mes besoins de soumission, il savait enflammer mes désirs d’humiliation. Je me sentais bien près de Lui, très bien même, j’étais confiant, heureux parce qu’enfin j’étais moi, ce moi soumis/esclave totalement aveuglé par la puissance de cet homme ! Le Châtelain me reconstruisait, me bâtissait, m’hypnotisait ! J’étais sûr désormais que Son Charisme hors norme avait une réelle Emprise sur mon être tout entier. Bref, je n’étais plus qu’un être dénué de volonté, toujours prêt à satisfaire Ses moindres Exigences, sollicitations, Ses moindres requêtes. De ça, j’en étais certain et épanoui.

- La décision que j’ai prise vous concernant va modifier sensiblement votre vie d’esclave, mais aussi votre vie vanille
Monsieur le Marquis s’arrêtait de nouveau… nous laissant en alerte une fois encore. Puis, Il reprit :
- Vous le savez, j’ai de l’affection pour vous deux, mais aussi une sorte d’admiration, car vous êtes tous deux de bons esclaves au grand potentiel sans faille… Ce n’est pas pour rien que vous portez ce tatouage sur votre bas-ventre. De bons esclaves, disais-je, encore à former certes, mais de bons esclaves puisque vous savez obéir, vous apprenez vite et mettez en application, avec courage et détermination, ce qu’ici nous vous enseignons.

J’appréciais Ses compliments… j’avais donné beaucoup de ma personne depuis mon arrivée au Château et le Maitre savait le reconnaitre. En fait, Il était juste, car Il savait autant punir que de complimenter…
- Je le fais pour votre bien, parce que vous êtes ainsi faits, parce que vous avez un indispensable besoin de vous soumettre, d’obéir, de servir, ce ne sont pas vos nouilles qui vont me démentir. Regardez-les comme elles sont raides et dégoulinantes alors que vous êtes dans une bien piètre posture, ainsi nus, humblement installés à Mes pieds !

En effet, mon sexe poisseux et terriblement tendu, au gland violacé, gorgé de sang, rebondissait contre mon abdomen. Je ne parvenais plus à maitriser mes pulsations et soubresauts de ma nouille fougueuse et frénétique, elle me faisait perdre pied, je ne contrôlais plus rien...

- Je le fais toujours pour votre bien vous disais-je… Ma décision prise, va donc dans ce sens, décision bien évidemment non négociable comme toutes celles que Je décide pour vous puisqu’il est de Mon devoir de gérer et réglementer votre vie et votre destin. Ainsi, J’ai décidé de vous voir mariés, oui unis ensemble, tous les deux… Je sais que vous formerez un couple heureux et épanoui. Ainsi votre homosexualité forte sera pleinement en cohérence avec votre état servile... La loi permettant le mariage entre couple homosexuel, tout sera fait conforme à la loi française…
Avais-je bien entendu ? Jamais je n’avais pensé à me marier, encore moins avec Antoine. Ce garçon était très sympathique, même doux et attirant, je ne peux pas le nier, certes, mais je ne le connaissais que très peu, nous n’avions eu qu’un seul échange en tête à tête, de deux heures seulement…
- J’annoncerai votre mariage seulement au retour de votre formation, soit le vingt-cinq septembre, car je veux m’assurer que vous soyez parfaitement compatible, fait l’un pour l’autre. Ludovic, le Directeur de ce centre de formation pour esclaves s’est engagé à vous tester pendant que vous serez formés, il vous mettra à l’épreuve, analysera vos comportements dans diverses situations, testera votre connexité à travers des travaux pratiques portant essentiellement sur la sexualité et bien évidemment me rendra compte. Un avis extérieur est toujours intéressant… Je ne veux pas vous faire prendre de risque, je veux que votre union soit heureuse en harmonie avec votre attirance réciproque.

Antoine et moi restions là, parfaitement immobiles, imperturbables, inébranlables, silencieux sans bouger, alors que le Maitre nous regardait toujours intensément, cherchant sans doute à analyser nos pensées ou à décrypter nos comportements. Pour ma part, dire que j’étais heureux de ce futur mariage aurait été mentir, pour autant, je ne me sentais ni malheureux, ni dépité. J’oscillais entre perplexité et ambivalence, sans savoir vraiment… Juste une chose que je notais et qui confirmait ce que je pensais du Maître, un homme respectueux de Ses soumis/esclaves, puisqu’il avait tenu compte de mon orientation sexuelle, de ma profonde homosexualité assumée car il m’obligeait à épouser un mâle. Je lui en étais particulièrement reconnaissant. Evidemment, à cet instant, je repensais aussi à mes parents, ils avaient dû vivre ici cette même expérience, comment avaient-ils réagi ? Avaient-ils réagi d’ailleurs, ou avaient-ils été, comme je l’étais, sans réaction particulière ?... Le Maître s’était levé pour se placer entre nous. Il nous caressait du bout des doigts nos cranes respectifs puis tirait sur mon oreille gauche pour me faire me redresser. Il me chuchotait
- Es-tu content de ma décision, salope, parle bâtard ?
- Puisque Vous m’autoriser à Vous parler Maitre, humblement et très respectueusement, je souhaite Vous dire que je n’ai pas à Vous exprimer ma satisfaction ou mon déplaisir. Ma seule volonté est d’être là à Vos pieds pour Vous servir et Vous obéir, qu’elles que soient Vos décisions. Je me dois donc de les accepter pour Vous contenter pleinement. Je sais que Vos choix me concernant, même si je ne les comprends pas toujours immédiatement, sont infiniment bons pour mon éducation d’esclave-salope-soumise près de Vous, Maître.
- C’est bien, Mon chien ! … Et toi, je te pose la même question, interrogeait-il à Antoine…
Ce dernier répondu la chose que moi, avec ses mots à lui et, à mon instar, avec une dévotion sans faille ressentie dans sa diction… Depuis seulement quelques jours, peut-être au cours du stage chez cette nurse perverse, il y avait eu un déclic dans ma façon d’être, dans ma façon de penser. Ce couple pervers m’avait fait mordre la poussière, m’avait conduit dans les bas-fonds de la débauche et du vice absolu, je n’avais vu que ça près d’eux, mais aujourd’hui je réalisais qu’ils m’avaient aussi appris à renoncer de façon définitive à mon « moi », à mon égo. Je sentais que je n’avais plus de volonté propre, que j’agissais seulement selon les ordres fixés, un véritable lâcher-prise, je m’en réjouissais… J’étais maintenant debout, torse incliné à 45 degrés vers l’avant, cuisses ouvertes, mes mains placées sur mes fesses, tirant sur mes lobes fessiers, pour les écarter et les laisser bien en exhibition, mon anus grand ouvert. Antoine entre mes jambes gobant ma nouille toujours ruisselante alors que Monsieur le Marquis se débraguettait et se positionnait derrière moi, une main sur le creux de mes reins, m’obligeant à bomber un peu plus mes fesses en cambrant mes reins pour mieux m’offrir. Sitôt positionné comme le Noble l’exigeait, Il m’embrochait d’un seul trait, à sec, comme un vulgaire objet. Je ne pouvais retenir un hurlement, alors que Lui restait profondément planté en moi, un long moment, pour ensuite se retirer lentement. Son sexe bandé au maximum palpitant contre mon orifice distendu, Il me tenait fermement par les hanches, alors qu’Antoine me suçait énergiquement. D’un deuxième coup de reins, Monsieur le Marquis s’enfonçait une nouvelle fois violemment. Cette seconde ruade plus violente que la première me faisait brailler… une douleur vive dans mon cul et un plaisir extraordinaire au bout de ma nouille. J’étais sailli sans concession et j’en éprouvais une excitation phénoménale, mentalement et physiquement
- Tu la sens Ma grosse Verge, Mon chien, tu sens comme je t’encule bien à fond ! Ouvre ton cul, remue les fesses, laisse-toi te faire troncher, n’oublie pas que ton trou du cul n’est fait que pour vider Mes Nobles Couilles, tu n’es qu’un sac à foutre, ne l’oublie jamais. Je vais bien te remplir, te féconder, je vais décharger une bonne dose, tu vas aimer Ma salope !

Monsieur le Marquis me limait furieusement alors qu’Antoine me suçait divinement bien. Ces sensations entremêlées, ces contradictions déconcertantes, ces oscillations ambivalentes me désarçonnaient. Il y avait là quelque chose d’inexplicable, d’inavouable, tout cela me désorientait. Je me sentais être chienne, salope, chose, objet, rien du tout, je me sentais aussi totalement possédé, ma perversité devenait sans limite. Elle me faisait chuter brutalement dans un univers diabolique et infernal, sans que je puisse freiner cette déchéance qui était à la fois douloureuse et si jouissive.

- Maître, Maître, je vais…- Oui tu vas jouir, Ma salope de pute, mais seulement une fois que j’aurais giclé dans ton cul de bâtard…
Monsieur le Marquis me cramponnait et continuait à me polir la rondelle, me bourrait furieusement encore, comme s’il cherchait à tester ma résistance à prendre des grosses bites, alors que les lèvres d’Antoine façonnait et encaustiquait mon gland turgescent de sa salive. Tant bien que mal, plutôt mal que bien d’ailleurs, je contenais mon orgasme en me laissant posséder de part et d’autre et en hurlant mon désir de jouir. Dieu merci, Monsieur le Marquis jouissait à grand fracas, m’envoyant par spasmes successifs Sa Semence divine au plus profond de mes entrailles après m’avoir besogné dans une intromission animale, bestiale, virile et profonde.

- Vas-y salope, tu peux balancer ta purée, en foutre plein la gueule de ton putain de futur mari…
(A suivre…)

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