La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1585)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1585) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1585)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode N°1579) -
Chapitre 31 : Au service de Mâles actifs. -
« Mes deux chiens soumis, Mes belles salopes, voilà de quoi élargir et assouplir vos culs de putain, voilà le nécessaire pour allonger et endurcir vos mamelons, faites-en bon usage, matériel à utiliser sans modération – Le Maître, Monsieur le Marquis »…
Aucune modération, aucune abstinence, non ! Car nous étions, Antoine et moi, plutôt dans l’excès, la gourmandise, la luxure de nos corps, l’abus de nos sensations réciproques. Nos désirs sexuels culminaient près des sommets himalayens, nous n’avions de cesse de nous caresser, de nous embrasser à pleine bouche, de se blottir l’un contre l’autre à se faire des tendres câlins, comme des gestes beaucoup plus osés. Très régulièrement et quels que soient les lieux et nos positions, souvent obscènes, debout, couchés, assis, à quatre pattes, nous nous léchions les tétons, les couilles et le cul, comme si cela était tout à fait normal, naturel, ordinaire. Un simple effleurement véhiculait une incroyable charge de sensualité et décharge électrique embrassant nos corps. Nous nous parlions peu, nous nous exprimions principalement avec nos corps chauds et emplis d’envies pour l’autre. Je n’avais encore jamais vécu, à un tel degré, ce phénomène qui donnait une puissance très particulière à la sexualité, et à notre propre homosexualité transformée en un véritable mode de communication intime entre deux êtres, deux salopes soumises, devrai-je dire !

Je ne parvenais pas à me rassasier du beau corps de mon amant, de ses belles fesses musclées, de ses couilles pendantes, de son odeur corporelle envoûtante, de son visage d’ange. Une fois encore, juste après avoir déjeuner, j’avais envie d’Antoine, alors je le conduisais dans le salon et l’installais sur le canapé. Docile, il se laissait relever les jambes, il me laissait admirer son fondement, cet œillet que je voyais palpiter sous mes yeux. Une nouvelle fois ma bouche baveuse humidifiait cette entrée offerte, arrachant quelques plaintes jouissives à celui que je caressais délicatement, puis je me saisissais d’un des plugs reçus ce matin même sur lequel je passais ma langue pour bien le lubrifier de ma salive. Il était de bonne taille. Je le poussais délicatement contre cette ouverture offerte à mon regard, et tel un appel à la bite, je voyais cet anus s’ouvrir sans réelle difficulté. Pour autant, j’y allais doucement afin qu’Antoine maitrise la douleur qui allait venir lorsque la partie de plus large du plug allait frayer son chemin, je le retenais un peu lorsque son sphincter se refermait brusquement sur le col étroit de ce sexe factice. Il avait poussé un gémissement, serré ses poings, bougé la tête de part et d’autre, puis écarté ses fesses de ses deux mains au moment le plus difficile.

- Haaaaaa… Ooooohhh Dieu, que c’est bon d’avoir le cul bien rempli, disait-il les yeux révulsés, dans un soupir d’extase…
Antoine restait là immobile, comme s’il avait besoin d’un temps pour que son corps avale et accepte l’objet enfoui dans ses entrailles. Mais très vite, il se redressait subitement pour me coucher à sa place.

- A ton tour de me donner ton petit cul !, me disait-il avec un petit sourire malicieux et une sublime douceur dans sa voix.

Lui aussi me prodiguait de douces caresses, lui aussi allait très lentement pour m’introduire un autre plug, lui aussi le poussait puis le retenait lorsque mon anus se refermait. J’aimais cette présence permanente au fond de mes entrailles, j’aimais cette pression sourde qui pesait sur ma prostate, et qui sortait au bout de ma nouille… Je mouillais terriblement, abondamment ! Un filet de précum sortait de ma nouille encagée et pendait entre mes cuisses. Aussitôt Antoine, à quatre pattes, le cul cambré, allait cueillir mon nectar intime du bout de sa langue, sans la moindre gêne, même avec une désinvolture et une aisance naturelle, il faisait la chienne, il agissait chienne, en fait il était naturellement chienne !

- Tout est délicieux chez toi, mon chéri, y compris ce qui sort de ta nouille !, me disait-il.

Mon amant me souriait tendrement, sa langue passait sur ses lèvres fines, un appel à un nouveau baiser fougueux… Ma bouche se plaquait à la sienne, ma langue allait au contact de la sienne… Dieu que c’était bon !... Pendant un long moment encore nous restions ainsi, bouches scellées, mains palpant nos corps nus respectifs, collés l’un contre l’autre, jusqu’à ce que nos corps basculent sur le divan, épuisés par tant de stimulations érotiques… Lorsque nous eûmes repris nos esprits, je proposais à Antoine de sortir un peu pour lui faire visiter la propriété...

- Oui Alex, nous avons besoin de bouger un peu, mais gardons cet engin au fond de nos culs, c’est vraiment trop bon de se sentir rempli !

Après avoir resauter dans nos joggings identiques, j’emmenais main dans la main Antoine dans les vignes et lui faisait faire le tour de la propriété viticole. Il faisait bon, j’étais particulièrement bien, ici, avec mon futur mari près de moi. Le soleil était revenu après la petite ondée du matin, la nature dégageait des fragrances que j’appréciais, celle de l’odeur de la terre humide, de l’herbe mouillée, de ces odeurs de miel. Bref, j’étais sur mon petit nuage, tout comme semblait l’être Antoine. Parfois, il lâchait ma main pour passer son bras à ma taille, pour m’attirer plus près de lui encore, avant de me poser un doux et furtif baiser sur la bouche, ou de me susurrer des mots tous aussi doux à l’oreille :
- Je crois que nous sommes faits l’un pour l’autre Alex, je sens mon cœur battre pour toi, je dois t’aimer...
- Tu doutes, tu n’en es pas sûr Antoine ? Pourtant tu n’as pas d’autre choix que de m’aimer ?, lui répondais-je d’un air taquin, sourire aux lèvres.

Alors il s’empressait de me répondre par un baiser profond, avec sa langue virevoltante dans ma bouche, avec sa main passée sur mes fesses, sous mon jogging, ses doigts allant à la rencontre de ce plug ancré au plus profond de mes reins, le poussant un peu pour m’exciter davantage.

- Tu es une bonne petite chienne toi !, me disait-il en éclatant de rire.
- Oui Antoine, j’en suis une, mais pas n’importe quelle chienne… une chienne soumise appartenant à Monsieur le Marquis d’Evans, tout comme toi d’ailleurs, voilà qui fait la différence et voilà ce qui nous unis, notre appartenance au Maître.
- Quelle chance avons-nous d’être sous le Joug de ce bon Maître, sévère mais juste, pervers à souhait, sachant nous pervertir et nous débaucher comme nous le souhaitons ardemment pour vivre notre plus intime Nature servile…
Tout en continuant à marcher, Antoine faisait l’éloge du Noble. Il lui avait tout apporté, d’abord il l’avait sorti de la galère en lui trouvant un logement et un travail, il lui avait fait reprendre des cours pour qu’il obtienne une qualification reconnue. Ensuite, il lui avait appris l’obéissance, la stricte et vraie obéissance, le respect, l’humilité, la servilité, lui avait enseigné les principes mêmes de la soumission en lui révélant sa vraie et propre Nature, il lui avait fait lâcher prise et accepter une sexualité hors norme en lui imposant la luxure, la débauche, l’immoralité, le vice pour que ces actes lui paraissent naturels et purs… Et qu’il puisse enfin vivre ce qu’il est et s’assumer ainsi… Le Châtelain lui avait interdit la pudeur, la honte, l’intimité qui ne lui appartenaient plus pour les remplacer par la plénitude, le bien-être, l’acceptation de son état servile… Et il en résultait qu’il s’assumait et pouvait désormais exprimer son état, ses pulsions et ses besoins de soumission, sans complexe :
- J’aime baiser, me faire baiser Alex, quel que soit le sexe, que ce soit une bonne et grosse bien juteuse ou une belle chatte dégoulinante, je prends mon plaisir lorsque j’en donne, lorsqu’on m’humilie, lorsqu’on me violente, lorsqu’on m’accable et me pousse vers l’ignominie la plus infâme … Aujourd’hui je vis le sexe, je suis sexe, c’est un élan vital pour moi, comme de me nourrir ou de dormir, j’ai besoin de ça pour être celui que je suis, me disait-il très sérieusement avant de finir sur une note plus joyeuse… Je suis un vilain petit canaillou !

Evidemment, je me reconnaissais dans ces mots, évidemment rien ne me choquait, au contraire, ces paroles me réconfortaient, moi qui pensais être l’unique, le seul à enfreindre et me soustraire à la loi de l’église et celle de cette société puritaine judéo-chrétienne moralisatrice, moi qui me dévoyait dans l’accomplissement de l’acte sexuel aussi déviant qu’illicite. Oui Antoine et moi avions de la chance de vivre près de Monsieur le Marquis d’Evans, banalisant la sexualité en faisant en sorte qu’elle soit une nourriture pour nos corps soumis et nos âmes serviles, pour qu’elle nous fasse grandir et nous épanouir... Je serrais un peu plus fort la main d’Antoine pour qu’il comprenne que j’acquiesçais ses dires… Maintenant, nous étions arrivés dans ce bâtiment qui n’était autre que le cuvage… Je montrais à mon amant le pressoir et les nouvelles cuves en inox, achetées l’an passé, là où se produisait la fermentation et la vinification du raisin, mais aussi je lui montrais le chai et les barriques où Charles stockait le vin. A cet instant, j’entendais des jurons venir de l’étage supérieur. Je reconnaissais la voix de mon vigneron.

- Houlala… Charles ne semble pas content, allons le voir !

J’entrainais Antoine vers l’escalier extérieur montant au-dessus de la cave. Charles était là accompagné d’un homme que je ne connaissais pas. Tous deux travaillaient d’arrache-pied pour remettre en état, cette chambrée autrefois utilisée pour loger les vendangeurs. Je n’en croyais pas mes yeux : Cette grande pièce était métamorphosée. Claire, lumineuse et propre, je constatais qu’un énorme travail avait été fait en quelques jours.

- Bonjour Charles, joli travail …- Ah bonjour Monsieur Alexandre… Vous avez vu… bonjour Monsieur !, lançait-il à Antoine.
- Oh oui, c’est un travail monstrueux que vous avez réalisé…- Oui, grâce à Pierrot… vous connaissez Pierrot ?

Charles me désignait de sa main, l'homme à côté de lui.

- Bonjour Monsieur ! Non je ne vous connais pas…- Oh si vous me connaissez, mais vous ne devez plus vous rappeler… Je venais faire des travaux chez vous, lorsque feu vos parents avaient quelques bricoles à faire. Il faut dire que vous étiez tout petit…- Venez voir Monsieur Alexandre, juste à côté, la belle chambrée que nous avons refait… et tout avec de la récup’… Regardez comme c’est sympa… Et là, la salle de bain avec une douche et des lavabos…, me disait Charles tout excité.

En effet la salle de bain était tout à fait confortable, tout était recarreler du sol au plafond, dans la chambre, il y avait 3 lits métalliques à étage avec des placards muraux leur faisant face.

- On a remis un sol linoléum au sol, ici dans la chambre, mais aussi dans la cuisine et là avec Pierrot on était à près de réinstaller un WC… Il faut que nous nous dépêchions Monsieur Alexandre, les vendanges débutent dans quelques jours et… vous vous rappelez ?

Vous vous rappelez de quoi ? Non je ne me rappelais de rien… mais je faisais comme si
- Oui, oui Charles, je me souviens !
- J’ai cru que vous aviez oublié Monsieur Alexandre… Je vous taquine… j’suis comme ça, vous le savez... Marcel nous donne non pas trois de ces gars, mais cinq ! C’est formidable, non ?
- Oui, c’est parfait…, lui répondais-je laconiquement sans réellement comprendre.
- Avec cinq gars, on va faire pouvoir vendanger en bien peu de temps vous savez, un sacré coup de mains que nous donne Marcel, et par là-même Monsieur le Marquis d’Evans… D’ailleurs Marcel et ses gars doivent venir visiter le chantier d’ici un moment… Oh ben… tient les voilà ! Ils arrivent, lorsqu’on parle du loup…
Mon sang ne faisait qu’un tour… soudainement je me rappelais de ce qui s’était passé dans les vignes avec ces ouvriers agricoles travaillant pour le compte du Châtelain, ils m’avaient allègrement démonté le cul et la bouche chacun leur tour…
(A suivre…)

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