La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1586)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1586)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1585) -
Chapitre 31 (bis) : Au service de Mâles actifs. -
Mon sang ne faisait qu’un tour… soudainement je me rappelais de ce qui s’était passé dans les vignes avec ces ouvriers agricoles travaillant pour le compte du Châtelain, ils m’avaient allègrement démonté le cul et la bouche chacun leur tour… Je me rappelais que Charles n’avait rien trouvé mieux que d’embaucher ces pervers, suite aux désistements de ces vendangeurs polonais. Impossible de prévenir Antoine pourtant près de moi ! Marcel entrait suivi de ces cinq sbires
- Alors les travaux, c’est fini ici ?, lançait Marcel.
- Oui presque… juste les toilettes à finir d’installer, viens voir Marcel, viens !, répondait Charles
Charles, Marcel et Pierrot partaient dans la pièce voisine, alors que les cinq ouvriers restaient près de nous. L’un deux, le plus grand, les yeux brillants, la trentaine, un corps de travailleur, musclé et vigoureux m’attrapait subitement, avec sa main puissante passée sous mon cou, me poussait pour me plaquer le dos contre le mur, un genou sur ma nouille et mes couilles. Son visage près du mien tenu bien plaqué contre le mur, il me chuchotait à l’oreille :
- Alors la pute, tu es déjà là, prêt à te faire tringler, petite salope !
Paralysé, angoissé par la présence de Charles dans la pièce voisine, je jetais un œil vers Antoine. Il était déjà à genoux, tenu fermement par les cheveux, avec une bite allant et venant, lui défonçant déjà la bouche, il bavait sur cette queue autoritaire et inquisitrice. Les trois autres ouvriers barraient le passage, se tenant vers la porte allant dans la chambre, pièce où étaient partis Charles, Marcel et Pierrot. Celui qui me maintenait, m’ordonnait d’ouvrir la bouche. J’obéissais, il se raclait la gorge et m’envoyait un crachat au fond de la mienne.
- Avale salope !
L’homme me regardait avec ses yeux noirs, tous ronds et terrifiants, son débardeur genre marcel blanc, mouillé par la transpiration lui collait à la peau, mettant en évidence ses tétons tendus ainsi que ces pectoraux. Des poils noirs sortaient de son encolure. Il était trapu et dégageait une force avec son visage recouvert d’une barbe naissante aussi noire que les poils de son torse. Il n’était pas beau, le visage taillé à coups de hache, son menton presque crochu, ses joues épaisses, son regard n’était que perversité, on aurait pu même dire d’animalité. Il relâchait son étreinte, pour s’emparer de ma chevelure. D’un brusque mouvement, il me faisait pivoter et me plaquait cette fois-ci, visage contre la cloison, mains posées aussi sur celle-ci près de mon visage. D’un geste rapide, il baissait mon pantalon de jogging à mi-cuisses et se plaquait tout contre moi. Cette communion corporelle me procurait une sensation violente qui me poussait au dernier stade du désir. Un contact furtif, rapide de son genou contre ma raie anale me faisait sursauter et mugir de plaisir, je me sentais salope... Le plug venait de s’enfoncer plus encore en moi.
- Tu as raison de te préparer le cul, sale pute que tu es, nous allons toi, et la suceuse vous besogner tous les soirs après notre boulot, puisque Monsieur le Marquis nous l’autorise et même nous le recommande vivement !, me chuchotait-il à l’oreille.
Le rustre personnage plaquait sa main gauche sur ma bouche, de son autre main, il se saisissait de la base du plug, le dégageait brutalement de mon cul pour le remettre immédiatement et férocement en place. Je ne pouvais retenir un geignement à la fois douloureux et jouissif, râle heureusement étouffé par cette main sur ma bouche. Ma gorge se nouait encore davantage et mon cœur se mettait à taper plus fort encore contre ma poitrine. J’entendais Charles et Marcel maintenant parler tout près de nous, juste derrière la cloison. Rapidement, ce pervers personnage reculait, me laissant juste le temps de remonter mon jogging. Antoine lui aussi était débout, les yeux humides, de la bave aux commissures de ses lèvres. Ni Charles, ni Pierrot n’avaient rien vu, rien entendu, tous deux affairés à montrer la fin du chantier à Marcel. Pourtant, Charles s’arrêtait devant moi :
- Ça ne va pas Monsieur Alexandre, vous semblez tout bizarre !
- Heu … je… tout va bien, Charles, aucun souci, c’est … c’est l’émotion de voir cette chambrée bien réaménagée, moi qui l’ai connu toute délabrée ! Alors bravo à vous deux, vous avez fait du très bon travail !
- Merci, Monsieur Alexandre !… Vous venez avec nous, Marcel va me donner des conseils quant aux évacuations d’eaux usées, nous devons refaire l’installation.
- Oui Charles, nous descendons.
- Non, il reste avec nous, nous n’avons encore rien visité !, reprenait l’homme qui m’avait maintenu contre le mur.
Un non sans appel, un non ferme et définitif, un non n’appelant aucun commentaire. Charles et ses deux compères nous laissaient entre les mains de ces pervers. Dès qu’ils furent hors de vue, Antoine et moi étions saisis par les cheveux et emmenés ainsi tenus, courbés, jusque dans la chambre. L’un et l’autre étions jetés sur un lit, à plat ventre, avec notre pantalon à nos mollets. Celui qui s’intéressait désormais à mon cul n’était manifestement pas en faveur des préliminaires, pas de longue et lente période d’approche, mais en un instant, une action débridée et guidée par le seul besoin libéré d’une sexualité instinctive et possessive. Une nouvelle fois, il m’arrachait ce plug, sans se préoccuper de mes geignements. La rudesse de ses mouvements et de son comportement, n’étaient pas l’expression d’un fantasme de domination. C’était la simple et bouleversante manifestation de sa propre nature aux instincts primitifs, une nature bestiale. Il m’enculait d’un trait, les poils de sa toison contre mes fesses, ses couilles au contact des miennes. L’autre assis près de mon visage, engouffrait sa bite dans ma bouche grande ouverte alors que je cherchais vainement à trouver l’oxygène qui me manquait…
J’avais maintenant un sexe planté dans mon cul par une saillie nette, franche et puissante et un autre membre enfoncé dans ma gorge, me faisant limer de part et d’autre. Mon nez était chatouillé par des poils pubiens blonds. Se dégageait de cette toison une odeur de sexe, de transpiration et d’urine, peut-être même de sperme, les restes d’un plaisir solitaire, instant de bonheur volé dans la contrainte d’une journée harassante. En effet, les quelques marques que je voyais à la base de ce prépuce et sur le gland, de même que l’odeur caractéristique qui s’en dégageait me laissait le supposer. Je m’emplissais de ces odeurs, tel un élixir aphrodisiaque alors que je me faisais copieusement ramoner le cul et défoncer la bouche. Mes « visiteurs inquisiteurs » rythmaient leurs mouvements, l’un me tenant fermement la nuque, l’autre les hanches en poussant leur bite au plus profond de mes orifices. Tous deux râlaient et ahanaient à chacune de leurs avancées. Quant à moi, je respirais à peine, laissant couler hors de ma bouche toute la salive que ma gorge ne pouvait contenir et que je ne pouvais avaler.
Quant à mon ventre, il résonnait de cette présence dans mon cul. J’étais à la merci de ces hommes, livrés à l’expression de leur sexualité brute de décoffrage, maintenant déchainée, ils me tringlaient avec une énergie sans limite. Mon corps trempé de transpiration collait et adhérait au bas-ventre de mon enculeur, donnant un caractère de plus en plus animal à ce coït anal sans douceur. Je n’étais plus qu’un vulgaire pantin désarticulé que l’on manipulait sans aucune délicatesse… Pendant plusieurs minutes encore, je les laissais me troncher jusqu’à cet instant où l’un éjaculait dans ma bouche. En effet, il jouissait violemment et sans aucune retenue dans des râles gutturaux, bruyants dignes d’une bête en rut… Alors que l’autre se cabrait dans mon cul et dans des râles également incroyables, il explosait en moi en poussant sa grosse bite au plus loin de mon fondement. Ses vulgaires râles accompagnant ses ultimes et puissants coups de reins d’une force inouïe jusqu’à la garde… La douleur qui me transperçait ne m’empêchait pas de sentir ses couilles écrasées contre mes fesses, sa toison drue râper mes lobes. J’étais bien… moi aussi au bord de la jouissance physique, le cerveau en vrac, mes sens en ébullition…
J’allais devoir reprendre une queue lorsque Marcel depuis l’étage inférieur hélait ses gars. Ouf ou dommage… Je ne savais plus ! Mais pas le temps de réfléchir, Antoine et moi remontions nos joggings en vitesse, prenions nos plugs trainant au sol et quittions précipitamment les lieux avant que Charles et Pierrot ne reviennent. En cours de chemin, je disais à mon amant que j’étais vraiment désolé de ce qui nous était arrivé, désolé de n’avoir pas pu le prévenir de qui était ces gars si pervers.
- Pourquoi t’inquiètes-tu ainsi, Alex ? Ne sommes-nous pas seulement des êtres asservis… Ne n’avons-nous pas fait que remplir notre fonction, notre boulot de vide-couilles… J’aime être utilisé et baisé comme nous l’avons été et le Maître m’a appris à l’assumer sans complexe… Malgré la rudesse du traitement, j’ai pris du plaisir ainsi, et toi aussi tu en as pris. A plusieurs reprises, je t’ai regardé alors que tu avais cette pine en bouche, et cette bite dans le cul… j’ai vu ton corps ondulé, je l’ai vu prendre du plaisir ! Et puis tu sais, ce n’est pas la première fois que mon corps croise ces gars… ils m’ont déjà baisé, violenté et donné du plaisir à plusieurs reprises, souvent dans la cabane près des vignes.
Les doigts d’Antoine s’agrippaient aux miens, sa paume de main dans la mienne me faisait frissonner. Sitôt arrivés chez nous, on se déshabillait. Je proposais à Antoine de prendre une bonne douche. Pour toute réponse, il m’embrassait furieusement. Son halène sentait la bite et le foutre…
- Mets-toi à quatre pattes Alex !, me soufflait-il dans l’oreille
Sitôt installé dans la position voulue, Antoine s’accroupissait derrière moi, écartait mes fesses de ses deux mains et passait sa langue sur mon trou dilaté. Il cueillait ce jus spermé dégoulinant de mon anus, le lapait avec gourmandise.
- C’est trop bon ça… trop, trop bon Alex. J’aime le foutre ! J’aime déguster ces sucs intimes de mâles, une véritable addiction !
Antoine était maintenant à quatre pattes face à moi. Sa bouche se plaquait contre mes lèvres, j’ouvrais la mienne, nos langues s’entremêlaient une nouvelle fois. Le sperme sorti de mon cul et qu’Antoine avait gardé en bouche se mélangeait à nos salives et gagnait tous les recoins de nos cavités. Nous restions comme ça, jusqu’à l’étouffement, nous regardant dans les yeux, tendrement, amoureusement...
(A suivre…)
Chapitre 31 (bis) : Au service de Mâles actifs. -
Mon sang ne faisait qu’un tour… soudainement je me rappelais de ce qui s’était passé dans les vignes avec ces ouvriers agricoles travaillant pour le compte du Châtelain, ils m’avaient allègrement démonté le cul et la bouche chacun leur tour… Je me rappelais que Charles n’avait rien trouvé mieux que d’embaucher ces pervers, suite aux désistements de ces vendangeurs polonais. Impossible de prévenir Antoine pourtant près de moi ! Marcel entrait suivi de ces cinq sbires
- Alors les travaux, c’est fini ici ?, lançait Marcel.
- Oui presque… juste les toilettes à finir d’installer, viens voir Marcel, viens !, répondait Charles
Charles, Marcel et Pierrot partaient dans la pièce voisine, alors que les cinq ouvriers restaient près de nous. L’un deux, le plus grand, les yeux brillants, la trentaine, un corps de travailleur, musclé et vigoureux m’attrapait subitement, avec sa main puissante passée sous mon cou, me poussait pour me plaquer le dos contre le mur, un genou sur ma nouille et mes couilles. Son visage près du mien tenu bien plaqué contre le mur, il me chuchotait à l’oreille :
- Alors la pute, tu es déjà là, prêt à te faire tringler, petite salope !
Paralysé, angoissé par la présence de Charles dans la pièce voisine, je jetais un œil vers Antoine. Il était déjà à genoux, tenu fermement par les cheveux, avec une bite allant et venant, lui défonçant déjà la bouche, il bavait sur cette queue autoritaire et inquisitrice. Les trois autres ouvriers barraient le passage, se tenant vers la porte allant dans la chambre, pièce où étaient partis Charles, Marcel et Pierrot. Celui qui me maintenait, m’ordonnait d’ouvrir la bouche. J’obéissais, il se raclait la gorge et m’envoyait un crachat au fond de la mienne.
- Avale salope !
L’homme me regardait avec ses yeux noirs, tous ronds et terrifiants, son débardeur genre marcel blanc, mouillé par la transpiration lui collait à la peau, mettant en évidence ses tétons tendus ainsi que ces pectoraux. Des poils noirs sortaient de son encolure. Il était trapu et dégageait une force avec son visage recouvert d’une barbe naissante aussi noire que les poils de son torse. Il n’était pas beau, le visage taillé à coups de hache, son menton presque crochu, ses joues épaisses, son regard n’était que perversité, on aurait pu même dire d’animalité. Il relâchait son étreinte, pour s’emparer de ma chevelure. D’un brusque mouvement, il me faisait pivoter et me plaquait cette fois-ci, visage contre la cloison, mains posées aussi sur celle-ci près de mon visage. D’un geste rapide, il baissait mon pantalon de jogging à mi-cuisses et se plaquait tout contre moi. Cette communion corporelle me procurait une sensation violente qui me poussait au dernier stade du désir. Un contact furtif, rapide de son genou contre ma raie anale me faisait sursauter et mugir de plaisir, je me sentais salope... Le plug venait de s’enfoncer plus encore en moi.
- Tu as raison de te préparer le cul, sale pute que tu es, nous allons toi, et la suceuse vous besogner tous les soirs après notre boulot, puisque Monsieur le Marquis nous l’autorise et même nous le recommande vivement !, me chuchotait-il à l’oreille.
Le rustre personnage plaquait sa main gauche sur ma bouche, de son autre main, il se saisissait de la base du plug, le dégageait brutalement de mon cul pour le remettre immédiatement et férocement en place. Je ne pouvais retenir un geignement à la fois douloureux et jouissif, râle heureusement étouffé par cette main sur ma bouche. Ma gorge se nouait encore davantage et mon cœur se mettait à taper plus fort encore contre ma poitrine. J’entendais Charles et Marcel maintenant parler tout près de nous, juste derrière la cloison. Rapidement, ce pervers personnage reculait, me laissant juste le temps de remonter mon jogging. Antoine lui aussi était débout, les yeux humides, de la bave aux commissures de ses lèvres. Ni Charles, ni Pierrot n’avaient rien vu, rien entendu, tous deux affairés à montrer la fin du chantier à Marcel. Pourtant, Charles s’arrêtait devant moi :
- Ça ne va pas Monsieur Alexandre, vous semblez tout bizarre !
- Heu … je… tout va bien, Charles, aucun souci, c’est … c’est l’émotion de voir cette chambrée bien réaménagée, moi qui l’ai connu toute délabrée ! Alors bravo à vous deux, vous avez fait du très bon travail !
- Merci, Monsieur Alexandre !… Vous venez avec nous, Marcel va me donner des conseils quant aux évacuations d’eaux usées, nous devons refaire l’installation.
- Oui Charles, nous descendons.
- Non, il reste avec nous, nous n’avons encore rien visité !, reprenait l’homme qui m’avait maintenu contre le mur.
Un non sans appel, un non ferme et définitif, un non n’appelant aucun commentaire. Charles et ses deux compères nous laissaient entre les mains de ces pervers. Dès qu’ils furent hors de vue, Antoine et moi étions saisis par les cheveux et emmenés ainsi tenus, courbés, jusque dans la chambre. L’un et l’autre étions jetés sur un lit, à plat ventre, avec notre pantalon à nos mollets. Celui qui s’intéressait désormais à mon cul n’était manifestement pas en faveur des préliminaires, pas de longue et lente période d’approche, mais en un instant, une action débridée et guidée par le seul besoin libéré d’une sexualité instinctive et possessive. Une nouvelle fois, il m’arrachait ce plug, sans se préoccuper de mes geignements. La rudesse de ses mouvements et de son comportement, n’étaient pas l’expression d’un fantasme de domination. C’était la simple et bouleversante manifestation de sa propre nature aux instincts primitifs, une nature bestiale. Il m’enculait d’un trait, les poils de sa toison contre mes fesses, ses couilles au contact des miennes. L’autre assis près de mon visage, engouffrait sa bite dans ma bouche grande ouverte alors que je cherchais vainement à trouver l’oxygène qui me manquait…
J’avais maintenant un sexe planté dans mon cul par une saillie nette, franche et puissante et un autre membre enfoncé dans ma gorge, me faisant limer de part et d’autre. Mon nez était chatouillé par des poils pubiens blonds. Se dégageait de cette toison une odeur de sexe, de transpiration et d’urine, peut-être même de sperme, les restes d’un plaisir solitaire, instant de bonheur volé dans la contrainte d’une journée harassante. En effet, les quelques marques que je voyais à la base de ce prépuce et sur le gland, de même que l’odeur caractéristique qui s’en dégageait me laissait le supposer. Je m’emplissais de ces odeurs, tel un élixir aphrodisiaque alors que je me faisais copieusement ramoner le cul et défoncer la bouche. Mes « visiteurs inquisiteurs » rythmaient leurs mouvements, l’un me tenant fermement la nuque, l’autre les hanches en poussant leur bite au plus profond de mes orifices. Tous deux râlaient et ahanaient à chacune de leurs avancées. Quant à moi, je respirais à peine, laissant couler hors de ma bouche toute la salive que ma gorge ne pouvait contenir et que je ne pouvais avaler.
Quant à mon ventre, il résonnait de cette présence dans mon cul. J’étais à la merci de ces hommes, livrés à l’expression de leur sexualité brute de décoffrage, maintenant déchainée, ils me tringlaient avec une énergie sans limite. Mon corps trempé de transpiration collait et adhérait au bas-ventre de mon enculeur, donnant un caractère de plus en plus animal à ce coït anal sans douceur. Je n’étais plus qu’un vulgaire pantin désarticulé que l’on manipulait sans aucune délicatesse… Pendant plusieurs minutes encore, je les laissais me troncher jusqu’à cet instant où l’un éjaculait dans ma bouche. En effet, il jouissait violemment et sans aucune retenue dans des râles gutturaux, bruyants dignes d’une bête en rut… Alors que l’autre se cabrait dans mon cul et dans des râles également incroyables, il explosait en moi en poussant sa grosse bite au plus loin de mon fondement. Ses vulgaires râles accompagnant ses ultimes et puissants coups de reins d’une force inouïe jusqu’à la garde… La douleur qui me transperçait ne m’empêchait pas de sentir ses couilles écrasées contre mes fesses, sa toison drue râper mes lobes. J’étais bien… moi aussi au bord de la jouissance physique, le cerveau en vrac, mes sens en ébullition…
J’allais devoir reprendre une queue lorsque Marcel depuis l’étage inférieur hélait ses gars. Ouf ou dommage… Je ne savais plus ! Mais pas le temps de réfléchir, Antoine et moi remontions nos joggings en vitesse, prenions nos plugs trainant au sol et quittions précipitamment les lieux avant que Charles et Pierrot ne reviennent. En cours de chemin, je disais à mon amant que j’étais vraiment désolé de ce qui nous était arrivé, désolé de n’avoir pas pu le prévenir de qui était ces gars si pervers.
- Pourquoi t’inquiètes-tu ainsi, Alex ? Ne sommes-nous pas seulement des êtres asservis… Ne n’avons-nous pas fait que remplir notre fonction, notre boulot de vide-couilles… J’aime être utilisé et baisé comme nous l’avons été et le Maître m’a appris à l’assumer sans complexe… Malgré la rudesse du traitement, j’ai pris du plaisir ainsi, et toi aussi tu en as pris. A plusieurs reprises, je t’ai regardé alors que tu avais cette pine en bouche, et cette bite dans le cul… j’ai vu ton corps ondulé, je l’ai vu prendre du plaisir ! Et puis tu sais, ce n’est pas la première fois que mon corps croise ces gars… ils m’ont déjà baisé, violenté et donné du plaisir à plusieurs reprises, souvent dans la cabane près des vignes.
Les doigts d’Antoine s’agrippaient aux miens, sa paume de main dans la mienne me faisait frissonner. Sitôt arrivés chez nous, on se déshabillait. Je proposais à Antoine de prendre une bonne douche. Pour toute réponse, il m’embrassait furieusement. Son halène sentait la bite et le foutre…
- Mets-toi à quatre pattes Alex !, me soufflait-il dans l’oreille
Sitôt installé dans la position voulue, Antoine s’accroupissait derrière moi, écartait mes fesses de ses deux mains et passait sa langue sur mon trou dilaté. Il cueillait ce jus spermé dégoulinant de mon anus, le lapait avec gourmandise.
- C’est trop bon ça… trop, trop bon Alex. J’aime le foutre ! J’aime déguster ces sucs intimes de mâles, une véritable addiction !
Antoine était maintenant à quatre pattes face à moi. Sa bouche se plaquait contre mes lèvres, j’ouvrais la mienne, nos langues s’entremêlaient une nouvelle fois. Le sperme sorti de mon cul et qu’Antoine avait gardé en bouche se mélangeait à nos salives et gagnait tous les recoins de nos cavités. Nous restions comme ça, jusqu’à l’étouffement, nous regardant dans les yeux, tendrement, amoureusement...
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