La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1587)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1587)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1586) -
Chapitre 32 : Les turpitudes d’une nuit particulière -
Nous restions comme ça, jusqu’à l’étouffement, nous regardant dans les yeux, tendrement, amoureusement... Cela faisait maintenant trois jours qu’Antoine et moi étions ensemble, que tous les deux. Nous apprenions à nous connaître par de longs échanges sans réserve, ni tabou. Antoine était plus en avance que moi sur le plan de la soumission, il avait totalement lâché prise, s’en remettait les yeux fermés au Maitre sans se poser aucune question, sans penser, ni réfléchir, il s’efforçait en tout point à Le satisfaire et le vénérer. Et c’était là, la seule et unique chose qui comptait pour lui, Le satisfaire, c’était son seul but, sa seule raison d’être, d’exister, son seul bonheur. Je pouvais ainsi mesurer toute l’ampleur phénoménale de la puissante et si efficace Emprise Dominante du Châtelain sur Antoine… Ainsi, mon futur mari me motivait, me poussait à me construire davantage dans cet état d’abandon total, dans la servitude la plus extrême. Il me poussait à abdiquer, à évacuer tous les principes moralistes que j’avais encore, à délaisser mes pudeurs (si encore, j’en avais) en exposant mon corps nu et servile dans des postures qui me semblaient encore immorales, pernicieuses et impudiques...
Très souvent, il m’obligeait, d’une manière douce et tendre à exposer ma nouille, mes couilles et mon cul à son regard, jusqu’à ce qu’il voie disparaitre mes angoisses, mes inquiétudes et mes gênes. Antoine s’assumait totalement décomplexé de sa condition et si heureux de l’être… Bref, il m’encourageait, m’aiguillonnait et me poussait dans mes derniers retranchements, pour que les dernières bribes de mon mental cède définitivement. Ainsi, il m’avait suggéré une séance avant notre diner. Il m’avait fait installer sur la grande table de la cuisine, à quatre pattes levrette, tête posée sur le plateau de ladite table, le dos bien cambré, les fesses tendues vers le haut, les cuisses largement écartées et avait inséré le spéculum reçu dans le colis. Le cul largement écarté par cet objet, il m’avait laissé ainsi un bon quart d’heure en me questionnant sans cesse sur mes ressentis :
- Eprouves-tu un quelconque malaise de t’afficher ainsi devant moi ?
- Oui, un peu, juste une petite gêne…- Pourtant tu t’exhibes simplement, sans que je te force à le faire ! Et malgré cette petite gêne, éprouves-tu du plaisir à te sentir ainsi, le cul ouvert, bien exposé et contraint par ce spéculum.
- Oh oui, j’en éprouve, ça m’excite, c’est clair…- Tu m’aurais dit le contraire, j’aurais eu du mal à te croire. Je vois ta nouille qui cherche à s’épanouir dans cette cage et qui mouille abondamment. Ressentirais-tu le même plaisir si, ainsi, le Maitre t’affichait devant d’autres personnes Dominantes, ou simplement devant d’autres soumis ?
- Le Maître m’a déjà exhibé devant d’autres !
- Mais jamais ainsi, jamais avec un tel objet tenant ta rondelle largement écartée.
- Oui, c’est vrai…- Réponds-moi Alex, crois-tu que tu prendrais le même plaisir ?
- Oui Antoine, sincèrement oui mais aussi la simple présence du Maître me fait terriblement bander, plus que tout !
- Alors à quoi bon t’inquiéter, à quoi bon ressentir un quelconque malaise… Lâche pied, assume-toi, assumons-nous comme nous sommes, nos blocages stupides et inutiles nous interdissent ce que nous voulons être, notre mental formaté depuis notre enfance à la morale puritaine de la société judéo-chrétienne nous empêche de vivre ce pour quoi nous sommes faits. Abandonnons-nous, libérons-nous et plus grand sera notre épanouissement naturel.
Au cours de cette séquence, Antoine m’avait caressé longuement les fesses, le dos, la tête, comme s’il me consolait, comme s’il m’encourageait. Il avait même inséré un de ses doigts dans mon conduit pour aller caresser mes parois anales et intimes totalement écartelées, et m’avait fait promettre qu’entre nous, il ne devrait jamais y avoir un quelconque interdit sexuel, qu’elles que soient les pratiques que nous mettrions en place dans le futur, et ce, pour contraindre et reformater notre cerveau à accepter tout ce que Monsieur le Marquis exigerait de nos corps… Un peu plus tard, nous étions au lit, et comme tous les soirs, nous nous embrassions frénétiquement, nous nous paluchions convulsivement, nous nous léchions éperdument jusqu’à ce que le sommeil nous emporte avec une envie terrible d’éjaculer. Dans les bras l’un de l’autre, nous en tombions dans ceux de la douce Morphée… En pleine nuit, je ne savais pas l’heure qu’il était… cette sonnette incessante me tirait de mon sommeil… Avais-je mis mon réveil ? Non… Je me dégageais du corps endormi d’Antoine pour attraper mon téléphone posé sur mon chevet – Trois heures du matin. Qui pouvait bien m’appeler en pleine nuit ? Je décrochais !
- Tu en as mis du temps pour me répondre, sale putain de chienne…
Je reconnaissais immédiatement la voix stricte de Madame Marie, cette perverse cuisinière.
- Toi, et la pute qui dort à tes côtés, je vous veux tous les deux dans une demi-heure au Château ! Et vous n’avez pas intérêt à traînasser, chaque minutes de retard sera sévèrement punie...
Madame Marie venait de raccrocher sans autre explication. J’étais encore dans les vapes, me demandant même si je n’avais pas rêvé… Non… Alors je secouais Antoine de toutes mes forces pour le réveiller.
- Arrête Alex… je dors, pas maintenant… s’il te plait ….
Je le secouais encore pour qu’il bouge… et l’informait de cet appel téléphonique.
- Mais non Alex… tu as dû rêver, je n’ai rien entendu, grognait Antoine en se retournant et en étirant le drap sur ses épaules.
- Si te dis-je, Antoine, Madame Marie nous veut dans maintenant vingt minutes et si on y est pas chaque minute en retard sera sévèrement sanctionnée.
- Tu es sûr de toi ?, me questionnait-il d’une voix endormie- Oui certain- Alors bougeons-nous, car Madame Marie est impitoyable, je la crains comme la peste…
Alors subitement Antoine sautait du lit et descendait quatre à quatre les escaliers, si vite, tellement vite que j’avais grande peine à le suivre. Nous enfilions précipitamment nos joggings et courrions jusqu’à la voiture... Quand nous arrivions, la grande grille du Château était ouverte, le perron éclairé, Madame Marie attendait avec son éternelle cravache en main, elle portait des bottes en cuir, la tête haute, la sévérité se lisait sur son visage. Elle nous accueillait à sa façon, comme à son habitude.
- Je vais vous apprendre à vous bouger le cul, mes salopes. A poil vite ! Vous avez une minute de retard ! En levrette et montrer moi vos culs de putain…
La stricte cuisinière nous cinglait les fesses sans ménagement avec une dizaine de coups chacun, faisant siffler dans l’air sa cravache…
- Une seule minute, c’est juste dix coups chacun… Vous avez de la chance, car deux minutes de retard auraient été beaucoup, mais alors beaucoup plus difficile à vivre pour vous, vous auriez été pendus par les couilles, sales bâtard…
Je pense que cette sadique femme ne nous aurait tout de même pas pendu par les couilles et qu’elle nous a dit cela par sadisme gratuit, juste pour nous faire peur, mais que la sanction, quelle qu’elle soit, aurait en effet été beaucoup plus sévère, il n’y avait pas à en douter… Elle nous ordonnait de la suivre sans bruit et à quatre pattes, alors qu’elle cueillait nos vêtements restés sur le sol. Elle nous obligeait donc à traverser le vaste hall d’entrée en quadrupédie sur ce carrelage froid aux grands carreaux formant un damier noir et blanc... Après une traversée d’un long couloir accédé par une porte latérale dérobée, nous arrivions dans une vaste pièce que je ne connaissais pas encore, ressemblant en tout point à un donjon BDSM. Madame Marie nous ôtait nos cages de chasteté, puis du bout de sa cravache, balançait tour à tour nos couilles pendantes, car nous étions toujours en quadrupédie :
- Bien minables ces couilles ! Elles n’auraient même pas supportées d’être pendues ! Et vos nouilles sont bien rabougries, elles sont toutes aussi minables !, commentait-elle en tapotant nos testicules avec le plat de sa cravache.
Nos sexes pendaient, sans doute, tous deux, pas vraiment réveillés, étions dans l’appréhension de ce qui allait suivre. Madame Marie nous regardait cyniquement, ses yeux sur nos nouilles flasques, puis sans perdre de temps, elle nous emmenait dans une pièce attenante, une salle de douche.
- Restées à quatre pattes les putains, mais coudes au sol, vos culs face à moi, bien offert !, nous ordonnait-elle en nous donnant ici ou là quelques coups de cravache supplémentaires sur nos culs nus et bien exposés.
Madame Marie s’accroupissait de nouveau derrière nos culs offerts, derrière nos couilles pendantes qu’elle venait soupeser et tirer, comme on le ferait d’un animal dont on veut apprécier la qualité sur un marché, puis elle tirait sur nos nouilles pour les examiner de près. Puis sitôt après s’être redressée, elle nous introduisait un tuyau dans le cul et y faisait couler de l’eau. Mon ventre gargouillait, mes intestins se tordaient.
- Debout les salopes, et vous avez intérêt de contracter vos culs de putain pour qu’aucune goutte ne s’échappe.
A cet instant, elle nous passait une cagoule en latex sur la tête. Les étroites fentes pour les yeux réduisaient considérablement ma vision et les petits trous pour le nez ne permettaient qu’une difficile respiration. Seule l’ouverture au niveau de ma bouche était plus ample… Je me sentais amoindri et totalement soumis, alors mon excitation montait au même rythme que mon angoisse. Antoine semblait plus décontracté, il affichait une belle bandaison, sa nouille mouillait, alors que la perverse cuisinière lui passait un bâillon entre ses lèvres. Quant à moi, cette vicieuse cuisinière me mettait un objet en métal, un écarteur plus exactement, dans la bouche en forme de O, objet avec des lanières de cuir qu’elle attachait derrière ma nuque. Il m’était désormais impossible de refermer la bouche. Ainsi, il m’était difficile de respirer et je commençais à baver. Cette situation inconfortable et humiliante générait chez moi, subitement, une terrible excitation. Ma nouille était maintenant dressée, fière et poisseuse. Je bandais de plaisirs de ce traitement d’être ainsi accoutré…
- Accroupies les chiennes !, ordonnait cette fois-ci, cette femme acariâtre…
(A suivre…)
Chapitre 32 : Les turpitudes d’une nuit particulière -
Nous restions comme ça, jusqu’à l’étouffement, nous regardant dans les yeux, tendrement, amoureusement... Cela faisait maintenant trois jours qu’Antoine et moi étions ensemble, que tous les deux. Nous apprenions à nous connaître par de longs échanges sans réserve, ni tabou. Antoine était plus en avance que moi sur le plan de la soumission, il avait totalement lâché prise, s’en remettait les yeux fermés au Maitre sans se poser aucune question, sans penser, ni réfléchir, il s’efforçait en tout point à Le satisfaire et le vénérer. Et c’était là, la seule et unique chose qui comptait pour lui, Le satisfaire, c’était son seul but, sa seule raison d’être, d’exister, son seul bonheur. Je pouvais ainsi mesurer toute l’ampleur phénoménale de la puissante et si efficace Emprise Dominante du Châtelain sur Antoine… Ainsi, mon futur mari me motivait, me poussait à me construire davantage dans cet état d’abandon total, dans la servitude la plus extrême. Il me poussait à abdiquer, à évacuer tous les principes moralistes que j’avais encore, à délaisser mes pudeurs (si encore, j’en avais) en exposant mon corps nu et servile dans des postures qui me semblaient encore immorales, pernicieuses et impudiques...
Très souvent, il m’obligeait, d’une manière douce et tendre à exposer ma nouille, mes couilles et mon cul à son regard, jusqu’à ce qu’il voie disparaitre mes angoisses, mes inquiétudes et mes gênes. Antoine s’assumait totalement décomplexé de sa condition et si heureux de l’être… Bref, il m’encourageait, m’aiguillonnait et me poussait dans mes derniers retranchements, pour que les dernières bribes de mon mental cède définitivement. Ainsi, il m’avait suggéré une séance avant notre diner. Il m’avait fait installer sur la grande table de la cuisine, à quatre pattes levrette, tête posée sur le plateau de ladite table, le dos bien cambré, les fesses tendues vers le haut, les cuisses largement écartées et avait inséré le spéculum reçu dans le colis. Le cul largement écarté par cet objet, il m’avait laissé ainsi un bon quart d’heure en me questionnant sans cesse sur mes ressentis :
- Eprouves-tu un quelconque malaise de t’afficher ainsi devant moi ?
- Oui, un peu, juste une petite gêne…- Pourtant tu t’exhibes simplement, sans que je te force à le faire ! Et malgré cette petite gêne, éprouves-tu du plaisir à te sentir ainsi, le cul ouvert, bien exposé et contraint par ce spéculum.
- Oh oui, j’en éprouve, ça m’excite, c’est clair…- Tu m’aurais dit le contraire, j’aurais eu du mal à te croire. Je vois ta nouille qui cherche à s’épanouir dans cette cage et qui mouille abondamment. Ressentirais-tu le même plaisir si, ainsi, le Maitre t’affichait devant d’autres personnes Dominantes, ou simplement devant d’autres soumis ?
- Le Maître m’a déjà exhibé devant d’autres !
- Mais jamais ainsi, jamais avec un tel objet tenant ta rondelle largement écartée.
- Oui, c’est vrai…- Réponds-moi Alex, crois-tu que tu prendrais le même plaisir ?
- Oui Antoine, sincèrement oui mais aussi la simple présence du Maître me fait terriblement bander, plus que tout !
- Alors à quoi bon t’inquiéter, à quoi bon ressentir un quelconque malaise… Lâche pied, assume-toi, assumons-nous comme nous sommes, nos blocages stupides et inutiles nous interdissent ce que nous voulons être, notre mental formaté depuis notre enfance à la morale puritaine de la société judéo-chrétienne nous empêche de vivre ce pour quoi nous sommes faits. Abandonnons-nous, libérons-nous et plus grand sera notre épanouissement naturel.
Au cours de cette séquence, Antoine m’avait caressé longuement les fesses, le dos, la tête, comme s’il me consolait, comme s’il m’encourageait. Il avait même inséré un de ses doigts dans mon conduit pour aller caresser mes parois anales et intimes totalement écartelées, et m’avait fait promettre qu’entre nous, il ne devrait jamais y avoir un quelconque interdit sexuel, qu’elles que soient les pratiques que nous mettrions en place dans le futur, et ce, pour contraindre et reformater notre cerveau à accepter tout ce que Monsieur le Marquis exigerait de nos corps… Un peu plus tard, nous étions au lit, et comme tous les soirs, nous nous embrassions frénétiquement, nous nous paluchions convulsivement, nous nous léchions éperdument jusqu’à ce que le sommeil nous emporte avec une envie terrible d’éjaculer. Dans les bras l’un de l’autre, nous en tombions dans ceux de la douce Morphée… En pleine nuit, je ne savais pas l’heure qu’il était… cette sonnette incessante me tirait de mon sommeil… Avais-je mis mon réveil ? Non… Je me dégageais du corps endormi d’Antoine pour attraper mon téléphone posé sur mon chevet – Trois heures du matin. Qui pouvait bien m’appeler en pleine nuit ? Je décrochais !
- Tu en as mis du temps pour me répondre, sale putain de chienne…
Je reconnaissais immédiatement la voix stricte de Madame Marie, cette perverse cuisinière.
- Toi, et la pute qui dort à tes côtés, je vous veux tous les deux dans une demi-heure au Château ! Et vous n’avez pas intérêt à traînasser, chaque minutes de retard sera sévèrement punie...
Madame Marie venait de raccrocher sans autre explication. J’étais encore dans les vapes, me demandant même si je n’avais pas rêvé… Non… Alors je secouais Antoine de toutes mes forces pour le réveiller.
- Arrête Alex… je dors, pas maintenant… s’il te plait ….
Je le secouais encore pour qu’il bouge… et l’informait de cet appel téléphonique.
- Mais non Alex… tu as dû rêver, je n’ai rien entendu, grognait Antoine en se retournant et en étirant le drap sur ses épaules.
- Si te dis-je, Antoine, Madame Marie nous veut dans maintenant vingt minutes et si on y est pas chaque minute en retard sera sévèrement sanctionnée.
- Tu es sûr de toi ?, me questionnait-il d’une voix endormie- Oui certain- Alors bougeons-nous, car Madame Marie est impitoyable, je la crains comme la peste…
Alors subitement Antoine sautait du lit et descendait quatre à quatre les escaliers, si vite, tellement vite que j’avais grande peine à le suivre. Nous enfilions précipitamment nos joggings et courrions jusqu’à la voiture... Quand nous arrivions, la grande grille du Château était ouverte, le perron éclairé, Madame Marie attendait avec son éternelle cravache en main, elle portait des bottes en cuir, la tête haute, la sévérité se lisait sur son visage. Elle nous accueillait à sa façon, comme à son habitude.
- Je vais vous apprendre à vous bouger le cul, mes salopes. A poil vite ! Vous avez une minute de retard ! En levrette et montrer moi vos culs de putain…
La stricte cuisinière nous cinglait les fesses sans ménagement avec une dizaine de coups chacun, faisant siffler dans l’air sa cravache…
- Une seule minute, c’est juste dix coups chacun… Vous avez de la chance, car deux minutes de retard auraient été beaucoup, mais alors beaucoup plus difficile à vivre pour vous, vous auriez été pendus par les couilles, sales bâtard…
Je pense que cette sadique femme ne nous aurait tout de même pas pendu par les couilles et qu’elle nous a dit cela par sadisme gratuit, juste pour nous faire peur, mais que la sanction, quelle qu’elle soit, aurait en effet été beaucoup plus sévère, il n’y avait pas à en douter… Elle nous ordonnait de la suivre sans bruit et à quatre pattes, alors qu’elle cueillait nos vêtements restés sur le sol. Elle nous obligeait donc à traverser le vaste hall d’entrée en quadrupédie sur ce carrelage froid aux grands carreaux formant un damier noir et blanc... Après une traversée d’un long couloir accédé par une porte latérale dérobée, nous arrivions dans une vaste pièce que je ne connaissais pas encore, ressemblant en tout point à un donjon BDSM. Madame Marie nous ôtait nos cages de chasteté, puis du bout de sa cravache, balançait tour à tour nos couilles pendantes, car nous étions toujours en quadrupédie :
- Bien minables ces couilles ! Elles n’auraient même pas supportées d’être pendues ! Et vos nouilles sont bien rabougries, elles sont toutes aussi minables !, commentait-elle en tapotant nos testicules avec le plat de sa cravache.
Nos sexes pendaient, sans doute, tous deux, pas vraiment réveillés, étions dans l’appréhension de ce qui allait suivre. Madame Marie nous regardait cyniquement, ses yeux sur nos nouilles flasques, puis sans perdre de temps, elle nous emmenait dans une pièce attenante, une salle de douche.
- Restées à quatre pattes les putains, mais coudes au sol, vos culs face à moi, bien offert !, nous ordonnait-elle en nous donnant ici ou là quelques coups de cravache supplémentaires sur nos culs nus et bien exposés.
Madame Marie s’accroupissait de nouveau derrière nos culs offerts, derrière nos couilles pendantes qu’elle venait soupeser et tirer, comme on le ferait d’un animal dont on veut apprécier la qualité sur un marché, puis elle tirait sur nos nouilles pour les examiner de près. Puis sitôt après s’être redressée, elle nous introduisait un tuyau dans le cul et y faisait couler de l’eau. Mon ventre gargouillait, mes intestins se tordaient.
- Debout les salopes, et vous avez intérêt de contracter vos culs de putain pour qu’aucune goutte ne s’échappe.
A cet instant, elle nous passait une cagoule en latex sur la tête. Les étroites fentes pour les yeux réduisaient considérablement ma vision et les petits trous pour le nez ne permettaient qu’une difficile respiration. Seule l’ouverture au niveau de ma bouche était plus ample… Je me sentais amoindri et totalement soumis, alors mon excitation montait au même rythme que mon angoisse. Antoine semblait plus décontracté, il affichait une belle bandaison, sa nouille mouillait, alors que la perverse cuisinière lui passait un bâillon entre ses lèvres. Quant à moi, cette vicieuse cuisinière me mettait un objet en métal, un écarteur plus exactement, dans la bouche en forme de O, objet avec des lanières de cuir qu’elle attachait derrière ma nuque. Il m’était désormais impossible de refermer la bouche. Ainsi, il m’était difficile de respirer et je commençais à baver. Cette situation inconfortable et humiliante générait chez moi, subitement, une terrible excitation. Ma nouille était maintenant dressée, fière et poisseuse. Je bandais de plaisirs de ce traitement d’être ainsi accoutré…
- Accroupies les chiennes !, ordonnait cette fois-ci, cette femme acariâtre…
(A suivre…)
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