La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1588)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1588) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1588)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1587) -
Chapitre 32 (bis) : Les turpitudes d’une nuit particulière -
- Accroupies les chiennes !, ordonnait cette fois-ci, cette femme acariâtre…
La perverse cuisinière nous abandonnait là, dans cette posture difficile à tenir avec nos rectums pleins d’eau… pour revenir quelques instants plus tard avec un soumis tenu en laisse, marchant derrière elle. Lui aussi avait droit à quelques coups de cravache sur son postérieur nu, lui aussi se faisait haranguer et sermonner.

- Va faire ce que je t’ai ordonné, sale chien de bâtard !, lui imposait-elle en le cravachant plus vigoureusement.

Le soumis malmené passait d’abord derrière moi, ses doigts glissaient sur mon trou, je sentais un liquide froid contre ma rondelle, un de ses doigts entrait en moi. Il me badigeonnait le cul de gel lubrifiant. Sans me laisser plus de temps pour comprendre ce qu’il se passait, ce soumis introduisait un plug dans mon cul, presque d’un seul coup. L’objet devait être assez gros, il m’arrachait un long gémissement, suite à la brûlure de cette pénétration.

- Tais-toi salope !, me lançait la Cuisinière en me cinglant le bas du dos… Je vais te passer l’envie de couiner si tu continues...

C’était au tour d’Antoine de subir cette même épreuve, lui aussi geignait, lui aussi était cravaché. Une fois plugés tous les deux, la perverse cuisinière nous intimait l’ordre de nous relever, de lever nos bras et de les replier derrière la tête, de façon à ce que nos poings viennent toucher nos nuques. Le soumis alors près d’elle, se saisissait d’une corde et nouait solidement mes poignets. IL faisait descendre la corde le long de mon torse et de mon dos. Je ne voyais pas ce qu’il faisait, mais je sentais qu’il la nouait en un complexe réseau de nœuds serrés qui m’empêchaient presque de bouger. Ma respiration devenait de plus en plus courte, ma bave coulait de ma bouche et un inconfort proche de la douleur me gagnait. Une fois que le haut de mon corps fut complètement ligoté, le soumis faisait passer la corde dans ma raie du cul jusqu’à qu’elle ressorte vers mes couilles. Je sentais qu’il entourait fermement mes burnes puis faisait remonter cette corde vers mon torse où il faisait un dernier et savant nœud. Sitôt qu’il eut terminé avec moi, il recommençait ce même bondage sur Antoine, alors que Madame Marie vérifiait si la corde posée sur mon corps nu était véritablement bien attachée. Elle tirait sur celle-ci, ce cordage était rugueux à souhait. En tirant ainsi, Madame Marie me brûlait la raie du cul et les couilles, de sorte que le moindre mouvement me faisait souffrir. Mais la pression de cette corde sur le haut de mes couilles et le bas de ma nouille renforçait mon érection. Mon gland devenait hypersensible, et j’aurai aimé pouvoir le toucher pour lui arracher quelques instants de plaisir. Hélas, j’étais ligoté, comme l’était maintenant Antoine, nous étions véritablement saucissonnés…
Parmi les nœuds, le soumis avait laissé émerger mes tétons. Madame Marie tirait sur ceux-ci, les pinçait fermement, les faisait rouler entre ses doigts. Cette douleur enflammait ma nouille tuméfiée et ligotée. Jamais n’aurais-je pensé que ma poitrine, cette partie de mon corps, eut été autant érogène. Mon bas-ventre me brulait, j’étais secoué par des spasmes incontrôlables. De sa poche, cette infâme et immorale cuisinière sortait des pinces, reliées entre-elles par une petite chaînette. Elle en appliquait une sur mon sein droit et refermait la mâchoire de fer sur le bout de mon téton. La douleur n’était pas instantanée mais profonde, intense et dévorante dès qu’elle s’installait, après quelques secondes. Je soufflais profondément en attendant que la seconde pince aille mordre mon autre bout de chair sensible. Cette attente me rendait presque fou… La sadique cuisinière me laissait mijoter et prenait un véritable plaisir sadique à me laisser ainsi, je devinais aisément que ça l’excitait, qu’elle devait en mouiller de son plaisir à faire souffrir…
- C’est bon salope… tu apprécies !... Tu attends l’autre pince, hein… Humm… tu sais quoi la chienne… tu me fais mouiller de te voir ainsi, humm que ça m’excite, tout ça ….

Madame Marie soulevait alors sa jupe courte, passait sa main sous son bas-ventre. Je ne voyais pas, mais sans doute avait-elle plongé celle-ci dans son sexe… Elle la ressortait…
- Regarde ma mouille, je suis toute trempée de te voir apeuré par l’attaque imminente de ton second téton de sale putain… Je suis sûre que tu voudrais lécher mes doigts, grosse salope que tu es…
Au lieu de ça, elle empoignait mon gland violacé, tumescent et frottait ses doigts en les faisant rouler contre celui-ci pour y déposer ses fluides intimes… Puis elle complétait son mouvement en se frottant vivement les paumes de ses deux mains en appuyant, avec mon gland ainsi maltraité entre ses deux paluches… Je me contractais de toutes mes forces, restais en apnée, le corps ravagé par le désir, brulant de l’intérieur, alors que mon cul inondé était en proie à des gargouillements intenses et que je me sentais moins que rien, juste un pantin malléable à volonté pour faire de mon corps servile ce qu’on voulait en faire...

- Ne jouis pas salope, ne jouis pas !, me menaçait-elle en me brandissant un long couteau de cuisine qu’elle attrapa d’une étagère derrière elle… Sinon tu regretteras toute ta vie d’avoir juté, le chien, si tu jouis, je te coupe les couilles…
Je savais très bien qu’elle n’irait pas jusque-là, que Monsieur le Marquis garantissait de ne pas nous mettre en danger et que cette menace extrême était juste l’expression de son pervers et incurable sadisme, mais je dois avouer que cette parole en l’air produisait inévitablement son effet de terreur… La sadique cuisinière reposait le couteau à sa place et me branlait juste le gland avec sa main poisseuse par des frottements terribles et des mouvements de rotations apocalyptiques, faisant passer son pouce sur le frein de mon prépuce. Mon corps tremblait, je fermais les yeux… N’y tenant plus, j’étais à deux doigts d’éjaculer ! Mais à cet instant précis mon sein gauche s’enflammait, la douleur pénétrait au fond de ma poitrine. Alors que la seconde pince mordait mes chairs, cette main sur mon sexe s’arrêtait… Je soufflais longuement, péniblement, bavait toujours plus et postillonnant à tout va, alors qu’Antoine geignait lui aussi, en sourdine du fait de son bâillon, lorsque les deux pinces lui furent posées en même temps, très rapidement… Sur ordre de cette dissolue cuisinière, le soumis nous faisait avancer et nous accompagnait vers une sorte de portique où je distinguais à peine, au travers de la cagoule, la présence de multitudes cordes et de crochets. Antoine et moi avancions difficilement, nos seins nous brûlaient, la corde nous limait le cul et les couilles. Sous le portique, il nous installait côte à côte, puis attachait nos bras noués à des crochets. Nos bras étaient tirés vers le haut et devenaient immédiatement douloureux en raison de leur position et de la pression de la corde :
- Ecarter les cuisses les salopes, et toi attache-leur solidement les pieds ! Ce n’est pas tous les jours qu’on a la chance d’avoir un soumis comme toi au Château, ancien marin de profession et qui connait ainsi toutes les techniques du nouage de cordes ! Alors fais-moi encore de bons nœuds dont tu as le secret, ordonnait-elle encore avec quelques coups de cravaches sur la croupe du soumis expert en bondage.

Une fois le travail accompli, le soumis nous mettait un bandeau sur les yeux. Nous ne voyons plus rien, j’entendais Madame Marie et le soumis s’éloigner, la porte se refermer… La pièce était plongée dans le silence et dans le noir. Heureusement, je savais Antoine près de moi. Nous restions seuls, attachés, saucissonnés à moitié pendus par les bras (je dis à moitié car nos pieds touchaient terre) et écartelés, les bras douloureux. Mon ventre sous l’effet du lavement était agité de spasmes bloqués par le plug qui maintenait une pression grandissante agissant comme un véritable bouchon. J’avais l’impression que mon ventre allait exploser telle une bouteille de champagne si on en retirait le plug. Ma prostate comprimée lançait des appels qui venaient exciter mon gland que je ne savais calmer. Le gonflement de ma nouille était à son apogée… Depuis combien de temps étions-nous là seuls, cinq minutes, dix, un quart d’heure ? Une main venait brusquement de se poser sur ma nouille. Un sursaut me saisissait et me lançait des douleurs dans tout mon corps ligoté et entravé. Qui était là, entré silencieusement ? La maudite cuisinière ?, Le Maître ?, Walter ?, ce soumis ? Quelqu’un d’autre ? En tout cas, ce quelqu’un était devant moi, il me saisissait les couilles et la nouille dans ses mains. Je prenais du temps à comprendre ce qu’il me faisait, il était en train de nouer mes couilles, sans doute avec une cordelette. Cet (te) inconnu (e) s’activait longuement, touchant, tirant, emprisonnant, nouant savamment mes couilles au gré d’innombrables mouvement. Je sentais la pression augmenter sur mon bas-ventre. La cordelette retenait le sang de ma nouille dont le gonflement atteignait un point presque intolérable.

Une fois la tâche terminée, l’individu passait derrière moi. Je l’entendais manier différents objets, puis soudainement, on m’arrachait le plug. Là, impossible de retenir quoi que ce soit, j’évacuais le lavement du liquide jaillissant dans un pet bruyant et involontaire, ainsi debout. Horrible, l’humiliation était à son comble ! Sitôt terminé, on m’épongeait les cuisses, les fesses, un doigt froid avec du gel lubrifiant s’immisçait de nouveau dans mon rectum. Le plug était aussitôt remis en place, la corde rêche en appui sur la base de celui-ci afin qu'il ne s'échappe. Mon torse était trempé par la sueur et ma salive qui coulait de mon menton, je commençais à entrer dans un état second, mon corps me procurait, en effet des sensations que je n’avais jamais connues. De la douleur certes avec des crampes, les tétons en feu, mais aussi du plaisir d’être ainsi manipulé, maltraité. L’absence de vision me faisait perdre tous repères, mon corps était en état d’alerte maximum, ma nouille était à son paroxysme, turgescente et incandescente. On m’ôtait le bâillon-écarteur, mes mâchoires maintenues écartées longuement avaient du mal à se refermer. Un doigt s’introduisait dans ma bouche, se posait sur ma langue… Je sentais que l’on me posait quelques choses sur ma langue qui avait l’aspect d’un comprimé. J’étais terrorisé, on me droguait, j’essayais de remuer la tête dans tous les sens…
- Avale esclave, c’est pour ton bien !

Je reconnaissais la voix du Maître… C’était Lui, quel soulagement ! Il me faisait boire un peu d’eau, j’avalais sans crainte le comprimé…
(A suivre…)

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