La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1592)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1592)
Camélia au Château - Devenue chienne Maera MDE - (suite de l'épisode précédent N°1591) -
- … tu as besoin de repos pour les épreuves qui t’attendent demain qui ne seront pas de tout repos... Et donc dès le matin, tu auras l’honneur d’être une des pièces intégrantes du Musée du Château, appelé plus communément le ‘‘Musée Charles d’Evans’’ en hommage à l’illustre aïeul de Monsieur le Marquis, celui qui était l’ami personnel du Marquis de Sade (NDLA : Lire les Origines de la saga). D’ailleurs beaucoup d’objets D/s ayant appartenu au célèbre écrivain de ‘‘L’Histoire de Juliette, ou les Prospérités du vice’’ sont exposés dans ce Musée et ont une grande valeur historique… Ce Musée, tu ne l’as encore jamais vu, mais sache qu’il est situé dans l’aile Nord du Château et que son entrée principale se fait par l’arrière du Château. Ce Musée est permanent mais il est ouvert principalement qu’à notre Communauté et les visiteurs peuvent venir uniquement sur invitation. Des Maîtres (esses) et des soumis (ises), esclaves viennent ainsi du monde entier, via le réseau de notre Cercle des Supérieurs qui a ses saines ramifications sur toute la planète… Tu vas donc passer deux heures dans la matinée au Musée… Il y aura plusieurs défis à relever et si tu réussis ceux-ci, tu seras récompensée sinon, en cas d’échec, tu seras alors sanctionnée, bien évidemment. Tu n’auras pas le comprimé cette fois-ci, ainsi il ne te boquera pas tout orgasme, et donc tu devras te retenir de jouir si tu n’y es pas autorisée. Et tu porteras une cagoule, à un moment donné, afin de rendre la situation bien plus humiliante pour toi pour être à la totale disposition des personnes présentes… Voilà, je ne t’en dirais pas plus, je te laisse te reposer, concluait le Majordome de sa voix perverse…
Je m’endormis non sans difficulté essayant d’imaginer ce qui allait m’arriver demain dans ce fameux Musée si particulier qui devait donc être rempli d’objets et de pièces à connotation D/s et historiques. Je fis des rêves assez étranges avec de nombreux objets de tortures, dans de nombreux cachots aménagés, comme par exemple des chats à neuf queues, des crochets anaux, ou bien des tables gynécologiques, des cages suspendues, etc… Tous ses rêves érotico-D/s m’excitaient et ne me provoquaient une mouille abondante entre mes cuisses…
L’aube commençait à pointer ses premiers rayons de lumière par le soupirail de ma cellule. Je commençais à me réveiller en douceur quittant les bras de Morphée, quand je vis le Majordome entrer et m’apporter comme les jours précédents une gamelle. Il l’a posa sur le sol en pierre et d’un geste de l’index m'indiqua celle-ci pour que je puisse venir ainsi me sustenter et prendre le plein d’énergie. Presque comme un automatisme, je me mis en mouvement me mettant à quatre pattes puis avec grâce, je me déplaçais et lapais ma bouillie nutritive comme une vraie chienne animale avec avidité, appétit et bien sûr lubricité. Une fois ma gamelle vidée je me mis en position d’attente, agenouillée, mains sur la tête, jambes écartées et tête baissée. J’ouvris la bouche et attendis ainsi comme la bonne salope que j’étais. Walter se saisit de ma laisse, tira alors d’un coup sec sur celle-ci et exigea de le suivre…
Je me mis alors à quatre pattes et je le suivais comme une bonne chienne docile. Nous traversions d’immenses et longs couloirs, puis descendions d’innombrables escaliers, étroits et en colimaçon. On descendait tout doucement sur les pierres glissantes jusque dans les sous-sols et ténébreux souterrains du Château. Après une bonne vingtaine de minutes que nous arrivâmes enfin devant une large et haute porte en bois massif avec de jolis motifs sculptés aux Armoiries de la Famille des Evans. Il sortit une clé de sa poche puis me fit entrer. Je découvris alors un décor proche d’une maison close du XIXème siècle, on aurait dit que le temps s’était figé ! Un mobilier feutré et d’époque, un escalier de bois ouvragés, au centre et au fond de la vaste pièce, et qui devait desservir des chambres des prostituées, comme dans les bordels de jadis ! Walter sortit 3 jetons de sa poche. Il m’ordonna de me mettre debout et me tendit le jetons en me disant :
- Voici 3 jetons. Il y a en haut de ces escaliers de très nombreuses portes de chambres de part et d’autre du couloir. Chaque vaste chambre a été aménagée pour représenter désormais de vastes espaces visitables du Musée. Mais toi, pour aujourd’hui, tu as juste droit à visiter uniquement les chambres numérotées sur les portes de 1 à 3 qui étant accolées restent communicables entre-elles. Tu seras autorisée à visiter l’ensemble du Musée un autre jour, Monsieur le Marquis me la confirmé. Pour entrer dans chacune des trois chambres, il te suffit de mettre un jeton dans la fente prévue à cet effet. Ensuite, tu suivras les instructions du guide déjà présent dans chaque pièce. Comme tout Musée, il y a un prix d’entrée ! Ici le tarif se paie en nature et pour cela tu dois sucer et faire éjaculer le guide de chaque chambre à visiter et ensuite obéir à ses éventuelles consignes… Est-ce clair ?
- Oui Monsieur Walter- Alors, je te laisse. Aller, tu es autorisée à monter les escaliers debout et tu iras mettre le premier jeton à la chambre numéro 1, puis tu entreras et tu y découvriras la pièce préférée du Maître ! Dans cette première chambre, pas de défi, juste à savourer le somptueux spectacle que tu y trouveras… Ensuite tu iras à la chambre numéro 2 et enfin à la troisième où je t’y retrouverais…- Bien Monsieur Walter
Le Majordome me laissa monter et je le perdis de vue au détour du couloir en haut des escaliers. Devant moi je découvris un large couloir au plafond à la française, entièrement capitonné au sol et aux murs d’une épaisse moquette et décoré de larges tentures bordeaux et de tableaux des plus érotiques… La première porte que je vis sur ma gauche portait l’inscription N°1 sur une plaque de cuivre et une fente était placée sous ce numéro. Je mis donc un jeton et la porte s’ouvrit toute seule par un mécanisme électrique. Devant moi, je découvris un petit espace en petit vestibule d’environ de 2 mètres carré. Un homme s’y trouvait, habillé comme un portier d’hôtel, et je compris tout de suite qu’il s’agissait du guide. Il ne dit aucun mot, le visage impassible. Il sortit juste sa verge à demi-molle de son pantalon. Je compris tout de suite, donc, ce que j’avais à faire pour pouvoir sortir de ce vestibule et avoir accès enfin à cette chambre numéro 1. Je m’accroupis devant lui et je le pris en bouche. Il me fallut peu de temps pour le faire venir car visiblement il banda en un temps très rapide et ne se retint pas pour lâcher sa semence sur mon visage au moment d’éjaculer… Ensuite, il appuya sur un bouton et la cloison derrière lui s’ouvrit telle une porte coulissante, laissant place à la pièce préférée du Maître, comme l’avait précisé le Majordome.
Et je compris tout de suite pourquoi le Maître adorait cette pièce ! Le décor tout d’abord ! C’était le grand Salon du Château qui avait été reconstitué à l’identique, à un détail près, puisqu’il était décoré exactement comme au XVIIIème siècle. Mais le plus fabuleux, était qu’on se serait cru au musée Grévin ! En effet, il y avait devant mes yeux émerveillés une vingtaine de personnages de cire en situation d’orgie de Domination/soumission. Des soumises en cire se faisaient prendre à même le sol sur des luxueux tapis, ou dans des fauteuils style Louis XV, par des Dominants de cire également, leur grosses verges immobiles se présentant devant des culs et des sexes parfaitement bien réalistes. Mais le clou de spectacles était les trois personnages placés au centre de la pièce sur une estrade délimitée par quatre piquets d’or réunis par des cordons torsadés en faisant tout le tour. Il y avait là, la reproduction en cire de Charles d’Evans, en habit d’aristocrate, la tête haute, le regard sévère, portant un épais manuscrit en mains, à ses côtés le fameux Marquis de Sade aux yeux pervers tenant une laisse de cuir comme à l’époque et à ses pieds, agenouillée se tenait une soumise entièrement nue et portant un épais collier métallique, et des anneaux de fer aux chevilles et poignets à l’instar de ceux que portaient les esclaves en 1785. Cette soumise ressemblait en tout point à sa fameuse Juliette…
Je restais subjuguée, sans voix, tellement cette scène était magnifique, sublime, tellement réaliste autant chez les personnages de cire que dans ce parfait décorum reconstitué… Je me croyais véritablement être en 1785 ! … Et puis tout d’un coup, tous ses personnages de cire se mirent en mouvements tout en restant à leur place. Je compris de suite qu’il s’agissait d’automates ! Les Dominants de cire faisaient mécaniquement des va-et-vient dans les orifices des esclaves de cire qui bougeaient avec réalisme leur visage, yeux et bouche. Le Marquis de Sade caressait le cuir chevelu de Juliette dans un mouvement répétitif, et elle, faisait un mouvement mécanique de tête de bas en haut. Charles d’Evans ouvrait et refermait son manuscrit. Tous ces personnages-automates se mirent en mouvement enclenchés sur une musique de chambre de Jean-Sébastien Bach et au même moment les majestueux lustres d’époques s’éclairaient comme par magie… Le spectacle dura environ 15 minutes, puis tous les automates stoppèrent en même temps que la musique et que la lumière se tamisa fortement. C’est dans cette semi-obscurité qu’un spot fort éclairant placé juste au-dessus d’une porte tout au fond de la pièce s’alluma comme pour m’inviter à m’y approcher… C’était la porte numéro 2…
(A suivre …)
- … tu as besoin de repos pour les épreuves qui t’attendent demain qui ne seront pas de tout repos... Et donc dès le matin, tu auras l’honneur d’être une des pièces intégrantes du Musée du Château, appelé plus communément le ‘‘Musée Charles d’Evans’’ en hommage à l’illustre aïeul de Monsieur le Marquis, celui qui était l’ami personnel du Marquis de Sade (NDLA : Lire les Origines de la saga). D’ailleurs beaucoup d’objets D/s ayant appartenu au célèbre écrivain de ‘‘L’Histoire de Juliette, ou les Prospérités du vice’’ sont exposés dans ce Musée et ont une grande valeur historique… Ce Musée, tu ne l’as encore jamais vu, mais sache qu’il est situé dans l’aile Nord du Château et que son entrée principale se fait par l’arrière du Château. Ce Musée est permanent mais il est ouvert principalement qu’à notre Communauté et les visiteurs peuvent venir uniquement sur invitation. Des Maîtres (esses) et des soumis (ises), esclaves viennent ainsi du monde entier, via le réseau de notre Cercle des Supérieurs qui a ses saines ramifications sur toute la planète… Tu vas donc passer deux heures dans la matinée au Musée… Il y aura plusieurs défis à relever et si tu réussis ceux-ci, tu seras récompensée sinon, en cas d’échec, tu seras alors sanctionnée, bien évidemment. Tu n’auras pas le comprimé cette fois-ci, ainsi il ne te boquera pas tout orgasme, et donc tu devras te retenir de jouir si tu n’y es pas autorisée. Et tu porteras une cagoule, à un moment donné, afin de rendre la situation bien plus humiliante pour toi pour être à la totale disposition des personnes présentes… Voilà, je ne t’en dirais pas plus, je te laisse te reposer, concluait le Majordome de sa voix perverse…
Je m’endormis non sans difficulté essayant d’imaginer ce qui allait m’arriver demain dans ce fameux Musée si particulier qui devait donc être rempli d’objets et de pièces à connotation D/s et historiques. Je fis des rêves assez étranges avec de nombreux objets de tortures, dans de nombreux cachots aménagés, comme par exemple des chats à neuf queues, des crochets anaux, ou bien des tables gynécologiques, des cages suspendues, etc… Tous ses rêves érotico-D/s m’excitaient et ne me provoquaient une mouille abondante entre mes cuisses…
L’aube commençait à pointer ses premiers rayons de lumière par le soupirail de ma cellule. Je commençais à me réveiller en douceur quittant les bras de Morphée, quand je vis le Majordome entrer et m’apporter comme les jours précédents une gamelle. Il l’a posa sur le sol en pierre et d’un geste de l’index m'indiqua celle-ci pour que je puisse venir ainsi me sustenter et prendre le plein d’énergie. Presque comme un automatisme, je me mis en mouvement me mettant à quatre pattes puis avec grâce, je me déplaçais et lapais ma bouillie nutritive comme une vraie chienne animale avec avidité, appétit et bien sûr lubricité. Une fois ma gamelle vidée je me mis en position d’attente, agenouillée, mains sur la tête, jambes écartées et tête baissée. J’ouvris la bouche et attendis ainsi comme la bonne salope que j’étais. Walter se saisit de ma laisse, tira alors d’un coup sec sur celle-ci et exigea de le suivre…
Je me mis alors à quatre pattes et je le suivais comme une bonne chienne docile. Nous traversions d’immenses et longs couloirs, puis descendions d’innombrables escaliers, étroits et en colimaçon. On descendait tout doucement sur les pierres glissantes jusque dans les sous-sols et ténébreux souterrains du Château. Après une bonne vingtaine de minutes que nous arrivâmes enfin devant une large et haute porte en bois massif avec de jolis motifs sculptés aux Armoiries de la Famille des Evans. Il sortit une clé de sa poche puis me fit entrer. Je découvris alors un décor proche d’une maison close du XIXème siècle, on aurait dit que le temps s’était figé ! Un mobilier feutré et d’époque, un escalier de bois ouvragés, au centre et au fond de la vaste pièce, et qui devait desservir des chambres des prostituées, comme dans les bordels de jadis ! Walter sortit 3 jetons de sa poche. Il m’ordonna de me mettre debout et me tendit le jetons en me disant :
- Voici 3 jetons. Il y a en haut de ces escaliers de très nombreuses portes de chambres de part et d’autre du couloir. Chaque vaste chambre a été aménagée pour représenter désormais de vastes espaces visitables du Musée. Mais toi, pour aujourd’hui, tu as juste droit à visiter uniquement les chambres numérotées sur les portes de 1 à 3 qui étant accolées restent communicables entre-elles. Tu seras autorisée à visiter l’ensemble du Musée un autre jour, Monsieur le Marquis me la confirmé. Pour entrer dans chacune des trois chambres, il te suffit de mettre un jeton dans la fente prévue à cet effet. Ensuite, tu suivras les instructions du guide déjà présent dans chaque pièce. Comme tout Musée, il y a un prix d’entrée ! Ici le tarif se paie en nature et pour cela tu dois sucer et faire éjaculer le guide de chaque chambre à visiter et ensuite obéir à ses éventuelles consignes… Est-ce clair ?
- Oui Monsieur Walter- Alors, je te laisse. Aller, tu es autorisée à monter les escaliers debout et tu iras mettre le premier jeton à la chambre numéro 1, puis tu entreras et tu y découvriras la pièce préférée du Maître ! Dans cette première chambre, pas de défi, juste à savourer le somptueux spectacle que tu y trouveras… Ensuite tu iras à la chambre numéro 2 et enfin à la troisième où je t’y retrouverais…- Bien Monsieur Walter
Le Majordome me laissa monter et je le perdis de vue au détour du couloir en haut des escaliers. Devant moi je découvris un large couloir au plafond à la française, entièrement capitonné au sol et aux murs d’une épaisse moquette et décoré de larges tentures bordeaux et de tableaux des plus érotiques… La première porte que je vis sur ma gauche portait l’inscription N°1 sur une plaque de cuivre et une fente était placée sous ce numéro. Je mis donc un jeton et la porte s’ouvrit toute seule par un mécanisme électrique. Devant moi, je découvris un petit espace en petit vestibule d’environ de 2 mètres carré. Un homme s’y trouvait, habillé comme un portier d’hôtel, et je compris tout de suite qu’il s’agissait du guide. Il ne dit aucun mot, le visage impassible. Il sortit juste sa verge à demi-molle de son pantalon. Je compris tout de suite, donc, ce que j’avais à faire pour pouvoir sortir de ce vestibule et avoir accès enfin à cette chambre numéro 1. Je m’accroupis devant lui et je le pris en bouche. Il me fallut peu de temps pour le faire venir car visiblement il banda en un temps très rapide et ne se retint pas pour lâcher sa semence sur mon visage au moment d’éjaculer… Ensuite, il appuya sur un bouton et la cloison derrière lui s’ouvrit telle une porte coulissante, laissant place à la pièce préférée du Maître, comme l’avait précisé le Majordome.
Et je compris tout de suite pourquoi le Maître adorait cette pièce ! Le décor tout d’abord ! C’était le grand Salon du Château qui avait été reconstitué à l’identique, à un détail près, puisqu’il était décoré exactement comme au XVIIIème siècle. Mais le plus fabuleux, était qu’on se serait cru au musée Grévin ! En effet, il y avait devant mes yeux émerveillés une vingtaine de personnages de cire en situation d’orgie de Domination/soumission. Des soumises en cire se faisaient prendre à même le sol sur des luxueux tapis, ou dans des fauteuils style Louis XV, par des Dominants de cire également, leur grosses verges immobiles se présentant devant des culs et des sexes parfaitement bien réalistes. Mais le clou de spectacles était les trois personnages placés au centre de la pièce sur une estrade délimitée par quatre piquets d’or réunis par des cordons torsadés en faisant tout le tour. Il y avait là, la reproduction en cire de Charles d’Evans, en habit d’aristocrate, la tête haute, le regard sévère, portant un épais manuscrit en mains, à ses côtés le fameux Marquis de Sade aux yeux pervers tenant une laisse de cuir comme à l’époque et à ses pieds, agenouillée se tenait une soumise entièrement nue et portant un épais collier métallique, et des anneaux de fer aux chevilles et poignets à l’instar de ceux que portaient les esclaves en 1785. Cette soumise ressemblait en tout point à sa fameuse Juliette…
Je restais subjuguée, sans voix, tellement cette scène était magnifique, sublime, tellement réaliste autant chez les personnages de cire que dans ce parfait décorum reconstitué… Je me croyais véritablement être en 1785 ! … Et puis tout d’un coup, tous ses personnages de cire se mirent en mouvements tout en restant à leur place. Je compris de suite qu’il s’agissait d’automates ! Les Dominants de cire faisaient mécaniquement des va-et-vient dans les orifices des esclaves de cire qui bougeaient avec réalisme leur visage, yeux et bouche. Le Marquis de Sade caressait le cuir chevelu de Juliette dans un mouvement répétitif, et elle, faisait un mouvement mécanique de tête de bas en haut. Charles d’Evans ouvrait et refermait son manuscrit. Tous ces personnages-automates se mirent en mouvement enclenchés sur une musique de chambre de Jean-Sébastien Bach et au même moment les majestueux lustres d’époques s’éclairaient comme par magie… Le spectacle dura environ 15 minutes, puis tous les automates stoppèrent en même temps que la musique et que la lumière se tamisa fortement. C’est dans cette semi-obscurité qu’un spot fort éclairant placé juste au-dessus d’une porte tout au fond de la pièce s’alluma comme pour m’inviter à m’y approcher… C’était la porte numéro 2…
(A suivre …)
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