La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1594)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1594)
Camélia au Château - Devenue chienne Maera MDE - (suite de l'épisode précédent N°1593) -
- Tu vas donc être… punie, pour commencer, pour ta jouissance sur le carrousel. Et comme c’est une récidive avérée, le Maître es très clair et sans ambiguïté : Si tu ne retiens pas tes orgasmes pendant cette punition, tu perdras définitivement ton titre de soumise MDE avec l’impossibilité de revenir un jour aux pieds de Monsieur le Marquis. Le Maitre qui te soumet ne va pas perdre de Son précieux temps pour une soumise incapable d’obéir à ne pas pouvoir se retenir de jouir... Voilà ta sanction : Pendant une heure complète, tu seras attachée juste au-dessus d’un mannequin mais sur un autre carrousel, en effet ce dernier est beaucoup plus petit en diamètre puisque qu’il n’a qu’un seul et unique mannequin sur son axe. Tu seras bondagée par les mains et les jambes, tout en étant suspendue sur le dos et horizontalement dans le vide, jambes et bras écartelés et fixés à quatre points d’ancrage. Ton corps sera aussi maintenu par la taille étant solidement harnaché par le haut. Ainsi à chaque montée ou descente, le plug fixé à la verticale du mannequin s’enfoncera encore plus profondément dans ton anus. De plus, tu auras un vibro scotchée à ta chatte. Tu auras aussi les seins aux tétons pincés et des poids ainsi qu’un bandeau sur les yeux… Tu devras donc absolument tenir pendant une heure sans émettre le moindre son, ni la moindre plainte… Je vais donc t’installer ainsi sur le carrousel et te laisserais à tes tourments. A l’issue de cette sanction, je reviendrais pour ta deuxième punition... Aller, suis-moi …
Je le suivis à quatre pattes progressant à tâtons n’ayant plus la vue, ayant toujours le bandeau sur les yeux. Il n’y avait qu’une dizaine de mères jusqu’à cet original et petit carrousel… Walter s’arrêta devant ce manège à ‘monoplace’ et actionna une manette pour faire descendre un soumis-mannequin qui était à deux mètres de hauteur. Puis, il me prit sur son épaule, tel un vulgaire sac à patates et m'installa en position allongée sur le dos, juste au-dessus, à quelques centimètres du soumis-esclave en bois. Le Majordome me fit pénétrer le plug du mannequin d’un diamètre assez imposant dans mon cul en faisant manœuvrer au millimètre près la hauteur du mannequin…
Ensuite, il continua en se saisissant de mes poignets et chevilles, les attachant à des sangles réparties sur quatre côtés et se rejoignant sur un même point en hauteur telles des baleines de parapluie se rejoignant sur le point le plus haut… Ce qui eut pour effet de m’écarter les bras et jambes de manière disproportionnée. Mes mains et mes jambes pendaient de manière molle et exubérante dans le vide. Le Majordome prit une corde et me serra les seins ensemble en enroulant la corde autour d’eux puis mit des pinces sur chaque téton. Il prit un vibro qu’il enfonça dans ma chatte de putain en chaleur, puis le scotcha avec une bande de ruban adhésif faisant le tour de ma taille scotchant par la même occasion mon cul. Puis il harnacha solidement ma taille à une solide sangle montant au plafond afin que mon corps puisse rester droit à l’horizontal. Walter mit en marche le vibro via une télécommande à distance. J’entendis ses bruits de pas qui s’éloignaient pour aller dans la salle des machines pour les derniers réglages… Je sentis alors que le mannequin s’éleva doucement dans les airs et je sentis déjà que cela commençait à tirer dans les bras et les jambes écartés. Je compris alors que tenir durant une heure sur cet esclave-chien de bois à l’allure d’un cheval de bois n’allait de toute évidence pas être chose aisée. Le Majordome mit en marche le manège qui montait et descendait en même temps que le vibro s’accélérait grâce à sa télécommande. Cela fit bouger et encore plus écarter mes jambes et mes mains dans le vide et qui pendaient et bougeaient de manière pitoyable. A chaque montée et descente, le plug s’enfonçait encore plus dans mon anus, le vibro était aussi en mode rapide et je sentais à chaque instant sa présence constante dans ma chatte de trainée… Ainsi je ne pouvais pas oublier les sensations d’excitations se faisant de plus en plus pressantes...
Je n'oublierais pas un seul instant la menace de perdre ma place aux pieds du Maître si je faillis une nouvelle fois… Plus le temps passait, plus ma chatte de chienne avec le vibro, et mon cul de salope avec le plug, devinrent de plus en plus douloureux. J’avais la vue parfaitement occultée par le bandeau, ce qui rendait toutes ses sensations encore plus étranges et beaucoup plus perturbantes. En effet, c’était comme si j’avais complètement perdue la notion du temps. Et plus ce temps passait, plus mes articulations devenaient douloureuses. A chaque montée et descente, je sentais mes trous de catin en feu. J’avais l’impression que cela faisait dix heures que j’étais sanglée sur cet esclave en bois tant de nombreux sensations à la fois complexe et antagonistes se mêlaient les unes aux autres par rapport à l’excitation, à la douleur, à la perte de repères et à la notion du temps que je ne maitrisais plus...
Et c’est donc après une heure de tous ces mélanges de ressentis où je réussis, tant bien que mal, à ne pas lâcher un seul orgasme que le manège s’arrêta tout à coup. J’étais tellement soulagée d’avoir tenu, sans avoir failli, et avoir été le plus digne qu’il m’était possible de l’être durant cette difficile punition. Monsieur Walter revint et actionna la machine qui fit descendre le mannequin en bois du carrousel à même le sol. Il arrêta le vibro avec sa commande puis me détacha progressivement les bras et les jambes des sangles puis retira brusquement le sparadrap et le vibro. Le Majordome m’enleva le plug de mon anus, les pinces aux tétons et les cordes. Walter me souleva du carrousel puis me déposa sur le sol. J’eus du mal au départ à retrouver mon équilibre et il me fallut quelques minutes pour me mettre à quatre pattes. Il m’enleva enfin le bandeau des yeux, je fus aveuglée pendant un bref instant par la lumière…
-Je te félicite, tu as tenu 1h sans jouir… Maintenant passons à la deuxième punition… Pour cela suit-moi, je vais t’emmener dans un lieu qui est considéré comme celui où recèle le véritable trésor viticole du Domaine de la Famille des Evans, je veux parler de l’impressionnant et exceptionnel chai, où sont remisés plus de 2000 tonneaux du Domaine, oui tu as bien entendu 2000 fûts de vin des vignes des Evans…
Alors Walter m’emmena dans ce chai que je n’avais pas encore eu l’occasion de visiter. Quand je fus entrée dans cette si vaste, si profonde et si haute cave, entièrement voutée en pierres de taille, et qui devait faire environ 100 mètres de long, sur 20 de large et 10 au point le plus haut du faîtage de la voûte, je fus extrêmement impressionnée. Car il y avait là, en effet, des milliers de gros fûts de vin, tous impeccablement couchés er empilés sur plusieurs mètres de hauteurs et sur plusieurs rangés, espacées entre elles par de larges allées bétonnées… Il y règnait une certaine humidité pour la bonne conservation du vin... Et, au détour d’une allée, je vis au centre de celle-ci, un vaste et immense tonneau de 100 litres de vin environ au diamètre impressionnant et positionné debout à la verticale et je me demandais à quoi il pouvait bien servir car il avait un énorme mat métallique vertical en guise d’axe et qui le transperçait de part en part, par le milieu, permettant ainsi la rotation du tonneau…
Monsieur Walter, sans le moindre mot, m’attacha chaque poignet et chaque cheville, tous bien écartés, à des anneaux en fer soudés et situés sur les barres en fer du tonneau, de manière à ce que ma poitrine fusse écrasée contre la paroi du fût de bois, que mon cops écartelé soit bien plaqué contre ce tonneau. Et laissant ainsi tout le dos de mon corps et ma croupe bien exposés, mon corps épousant solidement les formes du tonneau. Ainsi mon corps et le baril devenaient solidaires, ne faisant plus qu’un. Le Majordome actionna un levier qui permit une rotation à 380 degrés du tonneau via son axe, le mat métallique qui tournait sur lui-même. Puis Walter attrapa un chat à neuf queues qui attendait, son utilisation, posé sur une tablette à côté. Pendant que je tournais doucement, entraînée par le tonneau devenu circulaire dans sa rotation, et à chaque tour, lorsque je me passai devant le Majordome, je sentais une violente douleur cuisante et je dus me retenir pour ne pas hurler face à la flagellation du chat à neuf queues. Je reçus ainsi un coup de chat à neuf queues à tous les tours et durant 15 minutes environ. J’étais incapable de compter tant la douleur fut intense mais ce que j’étais sûre c’est que mon corps était complétement zébré et que je ne savais pas le nombre de coups que j’allais recevoir. Mais je me surpris de constater que cette punition, aussi dure soit-elle, me faisait mouiller …
(A suivre …)
- Tu vas donc être… punie, pour commencer, pour ta jouissance sur le carrousel. Et comme c’est une récidive avérée, le Maître es très clair et sans ambiguïté : Si tu ne retiens pas tes orgasmes pendant cette punition, tu perdras définitivement ton titre de soumise MDE avec l’impossibilité de revenir un jour aux pieds de Monsieur le Marquis. Le Maitre qui te soumet ne va pas perdre de Son précieux temps pour une soumise incapable d’obéir à ne pas pouvoir se retenir de jouir... Voilà ta sanction : Pendant une heure complète, tu seras attachée juste au-dessus d’un mannequin mais sur un autre carrousel, en effet ce dernier est beaucoup plus petit en diamètre puisque qu’il n’a qu’un seul et unique mannequin sur son axe. Tu seras bondagée par les mains et les jambes, tout en étant suspendue sur le dos et horizontalement dans le vide, jambes et bras écartelés et fixés à quatre points d’ancrage. Ton corps sera aussi maintenu par la taille étant solidement harnaché par le haut. Ainsi à chaque montée ou descente, le plug fixé à la verticale du mannequin s’enfoncera encore plus profondément dans ton anus. De plus, tu auras un vibro scotchée à ta chatte. Tu auras aussi les seins aux tétons pincés et des poids ainsi qu’un bandeau sur les yeux… Tu devras donc absolument tenir pendant une heure sans émettre le moindre son, ni la moindre plainte… Je vais donc t’installer ainsi sur le carrousel et te laisserais à tes tourments. A l’issue de cette sanction, je reviendrais pour ta deuxième punition... Aller, suis-moi …
Je le suivis à quatre pattes progressant à tâtons n’ayant plus la vue, ayant toujours le bandeau sur les yeux. Il n’y avait qu’une dizaine de mères jusqu’à cet original et petit carrousel… Walter s’arrêta devant ce manège à ‘monoplace’ et actionna une manette pour faire descendre un soumis-mannequin qui était à deux mètres de hauteur. Puis, il me prit sur son épaule, tel un vulgaire sac à patates et m'installa en position allongée sur le dos, juste au-dessus, à quelques centimètres du soumis-esclave en bois. Le Majordome me fit pénétrer le plug du mannequin d’un diamètre assez imposant dans mon cul en faisant manœuvrer au millimètre près la hauteur du mannequin…
Ensuite, il continua en se saisissant de mes poignets et chevilles, les attachant à des sangles réparties sur quatre côtés et se rejoignant sur un même point en hauteur telles des baleines de parapluie se rejoignant sur le point le plus haut… Ce qui eut pour effet de m’écarter les bras et jambes de manière disproportionnée. Mes mains et mes jambes pendaient de manière molle et exubérante dans le vide. Le Majordome prit une corde et me serra les seins ensemble en enroulant la corde autour d’eux puis mit des pinces sur chaque téton. Il prit un vibro qu’il enfonça dans ma chatte de putain en chaleur, puis le scotcha avec une bande de ruban adhésif faisant le tour de ma taille scotchant par la même occasion mon cul. Puis il harnacha solidement ma taille à une solide sangle montant au plafond afin que mon corps puisse rester droit à l’horizontal. Walter mit en marche le vibro via une télécommande à distance. J’entendis ses bruits de pas qui s’éloignaient pour aller dans la salle des machines pour les derniers réglages… Je sentis alors que le mannequin s’éleva doucement dans les airs et je sentis déjà que cela commençait à tirer dans les bras et les jambes écartés. Je compris alors que tenir durant une heure sur cet esclave-chien de bois à l’allure d’un cheval de bois n’allait de toute évidence pas être chose aisée. Le Majordome mit en marche le manège qui montait et descendait en même temps que le vibro s’accélérait grâce à sa télécommande. Cela fit bouger et encore plus écarter mes jambes et mes mains dans le vide et qui pendaient et bougeaient de manière pitoyable. A chaque montée et descente, le plug s’enfonçait encore plus dans mon anus, le vibro était aussi en mode rapide et je sentais à chaque instant sa présence constante dans ma chatte de trainée… Ainsi je ne pouvais pas oublier les sensations d’excitations se faisant de plus en plus pressantes...
Je n'oublierais pas un seul instant la menace de perdre ma place aux pieds du Maître si je faillis une nouvelle fois… Plus le temps passait, plus ma chatte de chienne avec le vibro, et mon cul de salope avec le plug, devinrent de plus en plus douloureux. J’avais la vue parfaitement occultée par le bandeau, ce qui rendait toutes ses sensations encore plus étranges et beaucoup plus perturbantes. En effet, c’était comme si j’avais complètement perdue la notion du temps. Et plus ce temps passait, plus mes articulations devenaient douloureuses. A chaque montée et descente, je sentais mes trous de catin en feu. J’avais l’impression que cela faisait dix heures que j’étais sanglée sur cet esclave en bois tant de nombreux sensations à la fois complexe et antagonistes se mêlaient les unes aux autres par rapport à l’excitation, à la douleur, à la perte de repères et à la notion du temps que je ne maitrisais plus...
Et c’est donc après une heure de tous ces mélanges de ressentis où je réussis, tant bien que mal, à ne pas lâcher un seul orgasme que le manège s’arrêta tout à coup. J’étais tellement soulagée d’avoir tenu, sans avoir failli, et avoir été le plus digne qu’il m’était possible de l’être durant cette difficile punition. Monsieur Walter revint et actionna la machine qui fit descendre le mannequin en bois du carrousel à même le sol. Il arrêta le vibro avec sa commande puis me détacha progressivement les bras et les jambes des sangles puis retira brusquement le sparadrap et le vibro. Le Majordome m’enleva le plug de mon anus, les pinces aux tétons et les cordes. Walter me souleva du carrousel puis me déposa sur le sol. J’eus du mal au départ à retrouver mon équilibre et il me fallut quelques minutes pour me mettre à quatre pattes. Il m’enleva enfin le bandeau des yeux, je fus aveuglée pendant un bref instant par la lumière…
-Je te félicite, tu as tenu 1h sans jouir… Maintenant passons à la deuxième punition… Pour cela suit-moi, je vais t’emmener dans un lieu qui est considéré comme celui où recèle le véritable trésor viticole du Domaine de la Famille des Evans, je veux parler de l’impressionnant et exceptionnel chai, où sont remisés plus de 2000 tonneaux du Domaine, oui tu as bien entendu 2000 fûts de vin des vignes des Evans…
Alors Walter m’emmena dans ce chai que je n’avais pas encore eu l’occasion de visiter. Quand je fus entrée dans cette si vaste, si profonde et si haute cave, entièrement voutée en pierres de taille, et qui devait faire environ 100 mètres de long, sur 20 de large et 10 au point le plus haut du faîtage de la voûte, je fus extrêmement impressionnée. Car il y avait là, en effet, des milliers de gros fûts de vin, tous impeccablement couchés er empilés sur plusieurs mètres de hauteurs et sur plusieurs rangés, espacées entre elles par de larges allées bétonnées… Il y règnait une certaine humidité pour la bonne conservation du vin... Et, au détour d’une allée, je vis au centre de celle-ci, un vaste et immense tonneau de 100 litres de vin environ au diamètre impressionnant et positionné debout à la verticale et je me demandais à quoi il pouvait bien servir car il avait un énorme mat métallique vertical en guise d’axe et qui le transperçait de part en part, par le milieu, permettant ainsi la rotation du tonneau…
Monsieur Walter, sans le moindre mot, m’attacha chaque poignet et chaque cheville, tous bien écartés, à des anneaux en fer soudés et situés sur les barres en fer du tonneau, de manière à ce que ma poitrine fusse écrasée contre la paroi du fût de bois, que mon cops écartelé soit bien plaqué contre ce tonneau. Et laissant ainsi tout le dos de mon corps et ma croupe bien exposés, mon corps épousant solidement les formes du tonneau. Ainsi mon corps et le baril devenaient solidaires, ne faisant plus qu’un. Le Majordome actionna un levier qui permit une rotation à 380 degrés du tonneau via son axe, le mat métallique qui tournait sur lui-même. Puis Walter attrapa un chat à neuf queues qui attendait, son utilisation, posé sur une tablette à côté. Pendant que je tournais doucement, entraînée par le tonneau devenu circulaire dans sa rotation, et à chaque tour, lorsque je me passai devant le Majordome, je sentais une violente douleur cuisante et je dus me retenir pour ne pas hurler face à la flagellation du chat à neuf queues. Je reçus ainsi un coup de chat à neuf queues à tous les tours et durant 15 minutes environ. J’étais incapable de compter tant la douleur fut intense mais ce que j’étais sûre c’est que mon corps était complétement zébré et que je ne savais pas le nombre de coups que j’allais recevoir. Mais je me surpris de constater que cette punition, aussi dure soit-elle, me faisait mouiller …
(A suivre …)
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