La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1598)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1598)
Camélia au Château - Devenue chienne Maera MDE - (suite de l'épisode N°1594) -
Mais je me surpris de constater que cette punition, aussi dure soit-elle, me faisait mouiller … Après une vingtaine de minutes, l’homme de main du Maître des Lieux me détacha du baril où j’avais été solidement attachée… Puis il attendit quelques instants et m’ordonna de me mettre à quatre pattes. J’avais une multitude de sensations qui s’emparaient alors de moi, aussi nombreuses que contradictoires. En effet, j’étais à la fois excitée, très mouillée mais j’avais aussi tout le corps en feu, douloureux et je me sentais aussi épuisée. Paradoxalement, j’étais heureuse d’avoir tenu pendant tout ce temps et d’avoir supporté dignement et en faisant honneur à l’éducation du Maître comme une bonne chienne MDE doit savoir le faire… Plongée dans mes pensées, Monsieur Walter tira sur ma laisse pour m’imposer à le suivre en quadrupédie à sa suite. Nous retraversions l’imposant chai et descendîmes les marches d’escaliers du Musée quittant alors ces deux lieux uniques et à la fois si extraordinaires…
Après une vingtaine de minutes, nous arrivâmes dans la cellule que j’avais quitté ce matin, j’étais heureuse de la retrouver car cela allait être synonyme d’une petite pause, enfin c’est ce que je pensais... Car presque immédiatement le Majordome exigea que je m’allonge sur le matelas puis j’attendis ainsi silencieusement et sans bouger profitant calmement de ce moment de répit. Ensuite Walter commença, avec une infinie douceur, à masser avec un baume cicatrisant toutes les parties de mon corps qui avaient été marquées par le chat à neuf queues afin d’atténuer au maximum celle-ci et de leur permettre de cicatriser plus vite. Je savourais à sa juste valeur cet agréable moment salvateur. Les douleurs que je ressentais dans mon corps commencèrent tout doucement à s’atténuer au fur et à mesure que la crème cicatrisante pénétrait les zones marquées de mon corps encore brûlant de la sévère punition. Après une bonne trentaine de minutes de ce doux traitement, il repartit et me laissa un long moment de repos. Je m’endormis alors presque instantanément et je me réveillais environ deux heures plus tard d’un sommeil fort récupérateur…
Le Majordome revint alors et m’ordonna de me mettre en position du missionnaire, les genoux relevés avec mes jambes bien écartées, mon sexe parfaitement lisse bien exhibé. Alors j’obtempérais et j’attendis ainsi sans bouger. Ensuite, il me regarda intensément en silence et déboutonna son pantalon qui laissait apparaitre une belle bosse au niveau de son bas-ventre… Il le retira ainsi que son caleçon pour laisser apparaitre sa verge déjà bien dressée, telle un I vertical…
- Tu m’excites salope ! J’avoue que ces punitions que je viens de t’infliger m’ont terriblement fait bander… Alors je ne vais pas me priver pour me soulager, salope … Mais attention, tu n’es pas autorisée à jouir, mais juste à te faire prendre, comme la bonne chienne que tu es…
Et sans plus attendre, il vint se placer entre mes cuisses et écartant un peu plus mes genoux de ses larges mains, c’est d’un coup de reins puissant, qu’il enfonça sa grosse bite aux veines saillantes dans mon sexe fort humide car à la vue de son sexe en érection, mon corps de chienne salope réagit instantanément par une excitation instantanée quasi fulgurante par une mouille fort abondante… Ainsi je me faisais prendre comme une sale trainée, comme une véritable putain ayant juste à écarter les cuisses pour se faire baiser… Walter me besogna ainsi un long moment, je sentais à chacun de ses va-et-vient, un plaisir sexuel délicieux, j’aimais être prise ainsi comme un simple objet, mais je me retenais de ne pas lâcher ma jouissance… Au bout d’une dizaine de minutes, je sentais le bout de sa queue vibrer au plus profond de ma chatte, son souffle s’accéléra, ses mains empoignant mes tétons dressés, ses râles de mâles en rut fuser quand il se mit à lâcher sa semence par de longues saccades chaudes de sperme que je sentais couler en moi… Ensuite, le Majordome resta en moi ainsi immobile, bien planté tout au fond de mon sexe en un coït vaginal ayant pris possession de mon corps servile… Puis au bout d’un moment, je sentis sa verge diminuer de volume, alors il se retira et me présenta sa verge à demi-molle devant ma bouche de femelle, exigeant que je lui nettoie sa bite enduite de mes sécrétions et de son sperme… Je m’appliquais avec délectation à cette exigence...
Une fois fait, il se recula et enfila une paire de gants en caoutchouc puis se saisit d’une grosse poignée d’orties et commença alors à m’appliquer les quinze coups hebdomadaires sur ma chatte de catin. Je ressentis de suite l’effet urticant sur mes lèvres intimes par une brûlure intense dans ma chatte subitement en feu et devenait très irritée. Il stoppa après les quinze coups réglementaires puis enleva ses gants et me donna l’ordre de venir manger dans la gamelle qu’il venait de poser à même le sol. Je ne me fis pas prier et mangeais à quatre pattes en lapant ma pâte avec avidité et appétit. Je me sustentais ainsi tout en ressentant ma chatte en feu par la vive urtication mais elle était également trempée d’excitation, ce qui était vraiment très paradoxal. Ce mélange de brûlures et d’excitation me procurait des sensations étranges…Une fois que j’eus fini de manger comme une bonne chienne, j’attendais ainsi en position d’attente, les bras derrière la tête, à genoux, les jambes écartées…
Ensuite, Walter se recula prit un gant très froid enduit d’une crème épaisse et glacée puis me l'appliqua sur ma chatte chaude d’irritations. Je ressentis alors la brûlure s'atténuer et s'évaporer comme par magie. Cela me procura un tel soulagement et un bien-être immense s’empara alors de tout mon être. Je profitais de ce bref instant qui dura entre cinq minutes. Puis il enleva le gant froid et me dit :
- chienne Maera MDE, tu as subi de nombreuses épreuves aujourd’hui ainsi que les jours précédents mais il t’en reste encore beaucoup à subir dans les jours à venir. Monsieur le Marquis déborde d’imagination avec Ses chiennes qu’Il veut tester... Tu vas pouvoir te reposer et récupérer car demain de nouvelles épreuves l'attendent….
Le Majordome marqua un bref silence, reprit sa respiration et continua :
- Je vais te dire juste ce que tu as à savoir pour le moment pour demain. Dès le matin, tu seras réveillée pour être la pièce maîtresse d’une des boutiques du Maître où tu serviras tous les clients. Tu les satisferas quand ils seront présents dans cette boutique disons … un peu spéciale. Les clients sont tous des membres de notre Cercle ‘‘Les Supérieurs’’ et ils te considèreront comme un simple objet, juste bon à les satisfaire... Ce sont des personnes très importantes du monde de la finance et de la politique, qui sont là uniquement pour assouvir leurs besoins de Dominants ainsi que leurs nombreux fantasmes, aussi... Il est inutile de te rappeler qu’aucun faux pas ne sera toléré. En effet, toute personne présente demain, saura très bien que tu es une chienne MDE de Monsieur le Marquis d’Evans. Et ils attendent donc un comportement exemplaire venant de toi avec une capacité parfaite à les satisfaire à tout moment. Tu n’auras, bien entendu, pas le droit de jouir... . Aller, maintenant, je te laisse à tes doux rêves…. Je viendrais te chercher demain matin à l’aube, conclut le Majordome tout en quittant la cellule ...
(A suivre …)
Mais je me surpris de constater que cette punition, aussi dure soit-elle, me faisait mouiller … Après une vingtaine de minutes, l’homme de main du Maître des Lieux me détacha du baril où j’avais été solidement attachée… Puis il attendit quelques instants et m’ordonna de me mettre à quatre pattes. J’avais une multitude de sensations qui s’emparaient alors de moi, aussi nombreuses que contradictoires. En effet, j’étais à la fois excitée, très mouillée mais j’avais aussi tout le corps en feu, douloureux et je me sentais aussi épuisée. Paradoxalement, j’étais heureuse d’avoir tenu pendant tout ce temps et d’avoir supporté dignement et en faisant honneur à l’éducation du Maître comme une bonne chienne MDE doit savoir le faire… Plongée dans mes pensées, Monsieur Walter tira sur ma laisse pour m’imposer à le suivre en quadrupédie à sa suite. Nous retraversions l’imposant chai et descendîmes les marches d’escaliers du Musée quittant alors ces deux lieux uniques et à la fois si extraordinaires…
Après une vingtaine de minutes, nous arrivâmes dans la cellule que j’avais quitté ce matin, j’étais heureuse de la retrouver car cela allait être synonyme d’une petite pause, enfin c’est ce que je pensais... Car presque immédiatement le Majordome exigea que je m’allonge sur le matelas puis j’attendis ainsi silencieusement et sans bouger profitant calmement de ce moment de répit. Ensuite Walter commença, avec une infinie douceur, à masser avec un baume cicatrisant toutes les parties de mon corps qui avaient été marquées par le chat à neuf queues afin d’atténuer au maximum celle-ci et de leur permettre de cicatriser plus vite. Je savourais à sa juste valeur cet agréable moment salvateur. Les douleurs que je ressentais dans mon corps commencèrent tout doucement à s’atténuer au fur et à mesure que la crème cicatrisante pénétrait les zones marquées de mon corps encore brûlant de la sévère punition. Après une bonne trentaine de minutes de ce doux traitement, il repartit et me laissa un long moment de repos. Je m’endormis alors presque instantanément et je me réveillais environ deux heures plus tard d’un sommeil fort récupérateur…
Le Majordome revint alors et m’ordonna de me mettre en position du missionnaire, les genoux relevés avec mes jambes bien écartées, mon sexe parfaitement lisse bien exhibé. Alors j’obtempérais et j’attendis ainsi sans bouger. Ensuite, il me regarda intensément en silence et déboutonna son pantalon qui laissait apparaitre une belle bosse au niveau de son bas-ventre… Il le retira ainsi que son caleçon pour laisser apparaitre sa verge déjà bien dressée, telle un I vertical…
- Tu m’excites salope ! J’avoue que ces punitions que je viens de t’infliger m’ont terriblement fait bander… Alors je ne vais pas me priver pour me soulager, salope … Mais attention, tu n’es pas autorisée à jouir, mais juste à te faire prendre, comme la bonne chienne que tu es…
Et sans plus attendre, il vint se placer entre mes cuisses et écartant un peu plus mes genoux de ses larges mains, c’est d’un coup de reins puissant, qu’il enfonça sa grosse bite aux veines saillantes dans mon sexe fort humide car à la vue de son sexe en érection, mon corps de chienne salope réagit instantanément par une excitation instantanée quasi fulgurante par une mouille fort abondante… Ainsi je me faisais prendre comme une sale trainée, comme une véritable putain ayant juste à écarter les cuisses pour se faire baiser… Walter me besogna ainsi un long moment, je sentais à chacun de ses va-et-vient, un plaisir sexuel délicieux, j’aimais être prise ainsi comme un simple objet, mais je me retenais de ne pas lâcher ma jouissance… Au bout d’une dizaine de minutes, je sentais le bout de sa queue vibrer au plus profond de ma chatte, son souffle s’accéléra, ses mains empoignant mes tétons dressés, ses râles de mâles en rut fuser quand il se mit à lâcher sa semence par de longues saccades chaudes de sperme que je sentais couler en moi… Ensuite, le Majordome resta en moi ainsi immobile, bien planté tout au fond de mon sexe en un coït vaginal ayant pris possession de mon corps servile… Puis au bout d’un moment, je sentis sa verge diminuer de volume, alors il se retira et me présenta sa verge à demi-molle devant ma bouche de femelle, exigeant que je lui nettoie sa bite enduite de mes sécrétions et de son sperme… Je m’appliquais avec délectation à cette exigence...
Une fois fait, il se recula et enfila une paire de gants en caoutchouc puis se saisit d’une grosse poignée d’orties et commença alors à m’appliquer les quinze coups hebdomadaires sur ma chatte de catin. Je ressentis de suite l’effet urticant sur mes lèvres intimes par une brûlure intense dans ma chatte subitement en feu et devenait très irritée. Il stoppa après les quinze coups réglementaires puis enleva ses gants et me donna l’ordre de venir manger dans la gamelle qu’il venait de poser à même le sol. Je ne me fis pas prier et mangeais à quatre pattes en lapant ma pâte avec avidité et appétit. Je me sustentais ainsi tout en ressentant ma chatte en feu par la vive urtication mais elle était également trempée d’excitation, ce qui était vraiment très paradoxal. Ce mélange de brûlures et d’excitation me procurait des sensations étranges…Une fois que j’eus fini de manger comme une bonne chienne, j’attendais ainsi en position d’attente, les bras derrière la tête, à genoux, les jambes écartées…
Ensuite, Walter se recula prit un gant très froid enduit d’une crème épaisse et glacée puis me l'appliqua sur ma chatte chaude d’irritations. Je ressentis alors la brûlure s'atténuer et s'évaporer comme par magie. Cela me procura un tel soulagement et un bien-être immense s’empara alors de tout mon être. Je profitais de ce bref instant qui dura entre cinq minutes. Puis il enleva le gant froid et me dit :
- chienne Maera MDE, tu as subi de nombreuses épreuves aujourd’hui ainsi que les jours précédents mais il t’en reste encore beaucoup à subir dans les jours à venir. Monsieur le Marquis déborde d’imagination avec Ses chiennes qu’Il veut tester... Tu vas pouvoir te reposer et récupérer car demain de nouvelles épreuves l'attendent….
Le Majordome marqua un bref silence, reprit sa respiration et continua :
- Je vais te dire juste ce que tu as à savoir pour le moment pour demain. Dès le matin, tu seras réveillée pour être la pièce maîtresse d’une des boutiques du Maître où tu serviras tous les clients. Tu les satisferas quand ils seront présents dans cette boutique disons … un peu spéciale. Les clients sont tous des membres de notre Cercle ‘‘Les Supérieurs’’ et ils te considèreront comme un simple objet, juste bon à les satisfaire... Ce sont des personnes très importantes du monde de la finance et de la politique, qui sont là uniquement pour assouvir leurs besoins de Dominants ainsi que leurs nombreux fantasmes, aussi... Il est inutile de te rappeler qu’aucun faux pas ne sera toléré. En effet, toute personne présente demain, saura très bien que tu es une chienne MDE de Monsieur le Marquis d’Evans. Et ils attendent donc un comportement exemplaire venant de toi avec une capacité parfaite à les satisfaire à tout moment. Tu n’auras, bien entendu, pas le droit de jouir... . Aller, maintenant, je te laisse à tes doux rêves…. Je viendrais te chercher demain matin à l’aube, conclut le Majordome tout en quittant la cellule ...
(A suivre …)
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