La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1601)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1601)
L’esclave salope au Château (suite de l'épisode N°1596) –
- … Bonne nuit la chienne saucissonnée, puante et punie …
Je ne sais depuis quand je suis attachée ainsi comme ça, mes muscles me tirent et me font mal. Et la fatigue est bien présente et dans cette position si inconfortable je n’arrive pas à dormir longtemps. A chaque fois que je m’endors je me réveille bien vite du à mon inconfort. Le temps me parait tellement long que j’ai l’impression d’avoir été laissée ainsi suspendue, depuis une éternité. La difficulté physique de cette punition me fait penser que c’est l’une des punitions les plus dures que j’ai vécu aux pieds du Noble. J’essaye de me concentrer sur la satisfaction du Maitre, et sur Son pardon que je pourrais obtenir qu’une fois la punition accomplie. C’est grâce à la lumière qui arrive du côté gauche de la pièce, d’une fenêtre, que je n’avais même pas remarqué avant que je réalise que le jour est en train de se lever, que ma punition est bientôt finie. J’ai donc l’espoir de bientôt pouvoir reposer mes muscles, mais surtout et avant toute chose d’obtenir le pardon du Maitre, et ainsi pouvoir continuer à Le servir et Lui apporter du plaisir.
Ne pas savoir l’heure, ni depuis combien de temps je suis ainsi, où combien de temps il reste est tellement perturbant, tellement dur. Car quand le Châtelain me punit, il est généralement toujours là, et Sa présence me rassure, et maintenant être ainsi, seule, dans cette position, rend que ma punition encore plus difficile. Je ne sais après combien de temps la porte du Cachot s’ouvre enfin, quand je vois Monsieur le Marquis et je comprends, ou en tout cas j’espère, qu’il soit déjà 7h, et que la punition puisse se terminer. Le Noble me tourne autour et me frôle le corps avec Sa main, mais pourtant Il ne me détache pas tout de suite…
- Ma petite chienne incapable d’obéir et qui me fait attendre, il n’est pas encore 7h. Il ne reste pas longtemps mais ta punition n’est donc pas encore finie, et j’ai décidé de m’occuper de toi avant la fin. Tu seras autorisée à jouir uniquement à 7h, quand ta punition prendra fin et pas avant, juste quand je baisserai la chaine pour que tes pieds touchent le sol.
Le Maitre prend alors un gode et il fait bouger et écarte les ficelles sur mon sexe qu’il trouve sans surprise trempé, comme les cordes aussi. Puis Il m’enfonce le sexe factice dans ma chatte bien excitée, il remet ensuite les cordes sur mon clitoris, et vient se mettre derrière moi. Je vois qu’Il quitte son pantalon et caleçon et qu’Il exhibe ainsi Sa grosse queue déjà de fort beau volume, Son érection est même fort impressionnante… Le Châtelain écarte les ficelles épousant la raie de mon cul, et crache à l’entrée de mon cul, écarte encore mieux mes fesses de Ses larges mains, pour ensuite faire rentrer Sa divine Verge lentement dans mon cul. Alors Il me prend, et fait des va-et-vient puissants et virils dans cette subite et inattendue saillie quasi bestiale… C’est à ce moment quand le gode commence à bouger et me fait comprendre qu’il vibre par une télécommande activée par le Maître... Je suis doublement prise, bien remplie, bien pleine et cela rend mon excitation plus intense et je dois faire de gros efforts à ne pas jouir. Le Noble fait aussi passer Sa main autour de mon ventre où Il attrape la corde qui remonte de mon sexe qu’il commence à tirer vers le haut afin de me branler le clitoris par le frottement rugueux de cette grosse ficelle.
Je commence à gémir, mon souffle s’accélère, la montée d’excitation est très forte car comme toujours, je suis tellement réceptive aux mains du Maitre, à Son toucher quand Il m’utilise. Monsieur le Marquis me prend mon cul avec énergie, vigueur, cadence, qu’Il m’encule très profondément et sans ménagement tel Son objet de plaisir, Son jouet à utiliser. Je supplie alors le Maitre de me laisser jouir, mais Il me refuse l’orgasme, et Il me maintient comme ça, en super-excitation permanente. Quand Il sent que je vais jouir, Il relâche un peu l’intensité, ralentit Ses allers et venues, pour ne pas me pousser à la faute, et ensuite Il reprend de plus belle. Je me fais aussi insulter et humilier, pendant que je me fais prendre, posséder, baiser et Ses mots décuplent ma libido débridée…
- Grosse salope, salle chienne de rue, putain de bas quartier, sale catin en chaleur, quand je l’exigerai tu jouiras, on jouira ensemble, dans une totale osmose, Ma chienne...
Sur ces mots le Maître continue à me prendre fortement, Ses ongles s’enfoncent même dans ma peau… Ses couilles claquent contre mes fesses à chaque coup de boutoir… Il me lime, me laboure, me défonce avec une inouïe force… Et quand j’arrive au bord de l’explosion orgasmique, prête à jouir, j’entends une laconique Exigence :
- Jouit, chienne !
Ses deux mots me libèrent et me font exploser dans un orgasme tellement fort, tellement puissant, violent d’une intensité rarement égalée. Au même moment, je sens le Maitre, jouir dans mon cul par de grandes saccades de Sa semence. Ensuite Il reste planté ainsi dans mon fondement en un immobile et long coït anal… Je sens Son étreinte sur moi, elle est forte, je me sens physiquement possédée, prise par cet immobilisme volontaire du Maître. En effet Il est ainsi en moi et y reste comme pour me marquer Son empreinte par Son Vit planté au fond de mon cul de pute… Et c’est seulement une fois bien vidé que le Noble sort de mon cul. Ensuite Il fait descendre la chaîne qui me maintenait suspendue au-dessus du sol, et je m’effondre par terre, vidée, mes muscles me tenant plus. Je commence à pleurer, soulagée de la fin de la punition. Et je me mets même à supplier le Maitre de m’accorder Son pardon. Mes supplications sont étouffées par mes larmes alors je ne sais pas s’Il comprend grand-chose. Le Châtelain se baisse à ma hauteur et Il soulève mon menton de Ses doigts et m’impose à le regarder, et Il me sourit. Et je vois tellement d’amour dans Son hypnotique regard bleu et si profond que je pleure de joie, prise par l’émotion...
Alors Il me prend dans Ses bras et me berce doucement. Il commence à me détacher petit à petit. Je sais que si le Maitre fait ça, c’est pour mon bien, pour mon éducation de soumise, d’esclave à Ses pieds, pour améliorer mon dressage afin que je puisse entièrement Le satisfaire, qu’il prend aussi comme soins de moi, qu’il s’occupe de moi, de mon bien-être après la punition. Entièrement détachée, le Noble me masse doucement mes articulations engourdies, et fait revenir petit à petit le sang. Je me blottie un peu plus contre le Châtelain, cherchant Sa chaleur, et Son affection après cette nuit difficile avant d’obtenir Son pardon une fois que je me serais calmée… A peu près 10 minutes plus tard et enfin remise de mes émotions si fortes, d’un claquement de doigts du Maitre, je me mets à genoux, cuisses écartées, mes mains derrière le dos, le buste droit afin que mes talons ne touchant pas mes fesses.
- Maitre tant Vénéré, je Vous implore et Vous supplie de me pardonner ma faute, de Vous avoir fait attendre, d’avoir mis du temps à ramper pour arriver à Vos pieds. J’espère sincèrement que Vous pourrez me pardonner, svp Maitre.
- Ma belle chienne, tu as enduré ta punition qui même si elle n’a pas été facile, tu l’as accompli avec humilité et je suis fier de toi. Pour ça. Tu es pardonnée Ma petite chienne fragile, que je vais éduquer à la perfection, à toujours être la plus parfaite possible… Bien maintenant, on va déjà aller prendre le petit déjeuner, et ensuite nous passerons au reste de ce que j’ai prévu pour toi en cette journée.
Monsieur le Marquis me met alors ma laisse à mon collier, et me tire dessus, je le suis à quatre pattes dans le Château dans les luxueux couloirs, jusqu’à la grande salle à manger, où en bout de table aux pieds du Maitre, se trouvent deux gamelles… Plusieurs invités sont là, déjà attablés. Le Maitre va s’asseoir, et me fait m'agenouiller Ses pieds, même si mes muscles me font encore mal, et que je vais avoir énormément de mal à tenir la position agenouillée avec mes fesses qui ne touchent pas mes talons, il est hors de questions pour moi de décevoir le Maitre. Mais bien vite dans cette position, le Maitre exige que je repose mes muscles et donc mes fesses sur mes talons. Les deux gamelles posées devant moi sont pleines, une avec de l’eau, et une autre des céréales et du lait. Une autre esclave-soumise du Maitre est à genoux de l’autre côté de Lui. Et suite à un claquement de doigt sur l’exigence du Maitre, elle passe sous la table pour le prendre en bouche. Pendant que moi j’attends immobile, humble et tête baissée, les mains dans le dos… Parfois le Maitre me tend Sa main où Il me donne à becqueter les restes de tartines de pain de Son petit déjeuner, telle à une petite chienne. Petit à petit, les invités rentrent dans la salle à manger et se rajoutent à la table, certains sont accompagnés de soumises qui les suivent à quatre pattes. Le Maitre exige de la soumise-esclave qui le suce qu’elle vienne chercher ma gamelle de céréales, et l'emmène sous la table, avec pour exigence de branler le Maitre jusqu’à le faire éjaculer dedans. Une fois fait, la gamelle revient devant moi, et j’ai pour exigence de laper, avaler ce qui est mon petit déjeuner à la sauce de sperme. Heureuse de mon petit déjeuner avec la noble Semence du Maitre dedans, je me mets à quatre pattes, et lape comme une petite chienne...
(A suivre …)
- … Bonne nuit la chienne saucissonnée, puante et punie …
Je ne sais depuis quand je suis attachée ainsi comme ça, mes muscles me tirent et me font mal. Et la fatigue est bien présente et dans cette position si inconfortable je n’arrive pas à dormir longtemps. A chaque fois que je m’endors je me réveille bien vite du à mon inconfort. Le temps me parait tellement long que j’ai l’impression d’avoir été laissée ainsi suspendue, depuis une éternité. La difficulté physique de cette punition me fait penser que c’est l’une des punitions les plus dures que j’ai vécu aux pieds du Noble. J’essaye de me concentrer sur la satisfaction du Maitre, et sur Son pardon que je pourrais obtenir qu’une fois la punition accomplie. C’est grâce à la lumière qui arrive du côté gauche de la pièce, d’une fenêtre, que je n’avais même pas remarqué avant que je réalise que le jour est en train de se lever, que ma punition est bientôt finie. J’ai donc l’espoir de bientôt pouvoir reposer mes muscles, mais surtout et avant toute chose d’obtenir le pardon du Maitre, et ainsi pouvoir continuer à Le servir et Lui apporter du plaisir.
Ne pas savoir l’heure, ni depuis combien de temps je suis ainsi, où combien de temps il reste est tellement perturbant, tellement dur. Car quand le Châtelain me punit, il est généralement toujours là, et Sa présence me rassure, et maintenant être ainsi, seule, dans cette position, rend que ma punition encore plus difficile. Je ne sais après combien de temps la porte du Cachot s’ouvre enfin, quand je vois Monsieur le Marquis et je comprends, ou en tout cas j’espère, qu’il soit déjà 7h, et que la punition puisse se terminer. Le Noble me tourne autour et me frôle le corps avec Sa main, mais pourtant Il ne me détache pas tout de suite…
- Ma petite chienne incapable d’obéir et qui me fait attendre, il n’est pas encore 7h. Il ne reste pas longtemps mais ta punition n’est donc pas encore finie, et j’ai décidé de m’occuper de toi avant la fin. Tu seras autorisée à jouir uniquement à 7h, quand ta punition prendra fin et pas avant, juste quand je baisserai la chaine pour que tes pieds touchent le sol.
Le Maitre prend alors un gode et il fait bouger et écarte les ficelles sur mon sexe qu’il trouve sans surprise trempé, comme les cordes aussi. Puis Il m’enfonce le sexe factice dans ma chatte bien excitée, il remet ensuite les cordes sur mon clitoris, et vient se mettre derrière moi. Je vois qu’Il quitte son pantalon et caleçon et qu’Il exhibe ainsi Sa grosse queue déjà de fort beau volume, Son érection est même fort impressionnante… Le Châtelain écarte les ficelles épousant la raie de mon cul, et crache à l’entrée de mon cul, écarte encore mieux mes fesses de Ses larges mains, pour ensuite faire rentrer Sa divine Verge lentement dans mon cul. Alors Il me prend, et fait des va-et-vient puissants et virils dans cette subite et inattendue saillie quasi bestiale… C’est à ce moment quand le gode commence à bouger et me fait comprendre qu’il vibre par une télécommande activée par le Maître... Je suis doublement prise, bien remplie, bien pleine et cela rend mon excitation plus intense et je dois faire de gros efforts à ne pas jouir. Le Noble fait aussi passer Sa main autour de mon ventre où Il attrape la corde qui remonte de mon sexe qu’il commence à tirer vers le haut afin de me branler le clitoris par le frottement rugueux de cette grosse ficelle.
Je commence à gémir, mon souffle s’accélère, la montée d’excitation est très forte car comme toujours, je suis tellement réceptive aux mains du Maitre, à Son toucher quand Il m’utilise. Monsieur le Marquis me prend mon cul avec énergie, vigueur, cadence, qu’Il m’encule très profondément et sans ménagement tel Son objet de plaisir, Son jouet à utiliser. Je supplie alors le Maitre de me laisser jouir, mais Il me refuse l’orgasme, et Il me maintient comme ça, en super-excitation permanente. Quand Il sent que je vais jouir, Il relâche un peu l’intensité, ralentit Ses allers et venues, pour ne pas me pousser à la faute, et ensuite Il reprend de plus belle. Je me fais aussi insulter et humilier, pendant que je me fais prendre, posséder, baiser et Ses mots décuplent ma libido débridée…
- Grosse salope, salle chienne de rue, putain de bas quartier, sale catin en chaleur, quand je l’exigerai tu jouiras, on jouira ensemble, dans une totale osmose, Ma chienne...
Sur ces mots le Maître continue à me prendre fortement, Ses ongles s’enfoncent même dans ma peau… Ses couilles claquent contre mes fesses à chaque coup de boutoir… Il me lime, me laboure, me défonce avec une inouïe force… Et quand j’arrive au bord de l’explosion orgasmique, prête à jouir, j’entends une laconique Exigence :
- Jouit, chienne !
Ses deux mots me libèrent et me font exploser dans un orgasme tellement fort, tellement puissant, violent d’une intensité rarement égalée. Au même moment, je sens le Maitre, jouir dans mon cul par de grandes saccades de Sa semence. Ensuite Il reste planté ainsi dans mon fondement en un immobile et long coït anal… Je sens Son étreinte sur moi, elle est forte, je me sens physiquement possédée, prise par cet immobilisme volontaire du Maître. En effet Il est ainsi en moi et y reste comme pour me marquer Son empreinte par Son Vit planté au fond de mon cul de pute… Et c’est seulement une fois bien vidé que le Noble sort de mon cul. Ensuite Il fait descendre la chaîne qui me maintenait suspendue au-dessus du sol, et je m’effondre par terre, vidée, mes muscles me tenant plus. Je commence à pleurer, soulagée de la fin de la punition. Et je me mets même à supplier le Maitre de m’accorder Son pardon. Mes supplications sont étouffées par mes larmes alors je ne sais pas s’Il comprend grand-chose. Le Châtelain se baisse à ma hauteur et Il soulève mon menton de Ses doigts et m’impose à le regarder, et Il me sourit. Et je vois tellement d’amour dans Son hypnotique regard bleu et si profond que je pleure de joie, prise par l’émotion...
Alors Il me prend dans Ses bras et me berce doucement. Il commence à me détacher petit à petit. Je sais que si le Maitre fait ça, c’est pour mon bien, pour mon éducation de soumise, d’esclave à Ses pieds, pour améliorer mon dressage afin que je puisse entièrement Le satisfaire, qu’il prend aussi comme soins de moi, qu’il s’occupe de moi, de mon bien-être après la punition. Entièrement détachée, le Noble me masse doucement mes articulations engourdies, et fait revenir petit à petit le sang. Je me blottie un peu plus contre le Châtelain, cherchant Sa chaleur, et Son affection après cette nuit difficile avant d’obtenir Son pardon une fois que je me serais calmée… A peu près 10 minutes plus tard et enfin remise de mes émotions si fortes, d’un claquement de doigts du Maitre, je me mets à genoux, cuisses écartées, mes mains derrière le dos, le buste droit afin que mes talons ne touchant pas mes fesses.
- Maitre tant Vénéré, je Vous implore et Vous supplie de me pardonner ma faute, de Vous avoir fait attendre, d’avoir mis du temps à ramper pour arriver à Vos pieds. J’espère sincèrement que Vous pourrez me pardonner, svp Maitre.
- Ma belle chienne, tu as enduré ta punition qui même si elle n’a pas été facile, tu l’as accompli avec humilité et je suis fier de toi. Pour ça. Tu es pardonnée Ma petite chienne fragile, que je vais éduquer à la perfection, à toujours être la plus parfaite possible… Bien maintenant, on va déjà aller prendre le petit déjeuner, et ensuite nous passerons au reste de ce que j’ai prévu pour toi en cette journée.
Monsieur le Marquis me met alors ma laisse à mon collier, et me tire dessus, je le suis à quatre pattes dans le Château dans les luxueux couloirs, jusqu’à la grande salle à manger, où en bout de table aux pieds du Maitre, se trouvent deux gamelles… Plusieurs invités sont là, déjà attablés. Le Maitre va s’asseoir, et me fait m'agenouiller Ses pieds, même si mes muscles me font encore mal, et que je vais avoir énormément de mal à tenir la position agenouillée avec mes fesses qui ne touchent pas mes talons, il est hors de questions pour moi de décevoir le Maitre. Mais bien vite dans cette position, le Maitre exige que je repose mes muscles et donc mes fesses sur mes talons. Les deux gamelles posées devant moi sont pleines, une avec de l’eau, et une autre des céréales et du lait. Une autre esclave-soumise du Maitre est à genoux de l’autre côté de Lui. Et suite à un claquement de doigt sur l’exigence du Maitre, elle passe sous la table pour le prendre en bouche. Pendant que moi j’attends immobile, humble et tête baissée, les mains dans le dos… Parfois le Maitre me tend Sa main où Il me donne à becqueter les restes de tartines de pain de Son petit déjeuner, telle à une petite chienne. Petit à petit, les invités rentrent dans la salle à manger et se rajoutent à la table, certains sont accompagnés de soumises qui les suivent à quatre pattes. Le Maitre exige de la soumise-esclave qui le suce qu’elle vienne chercher ma gamelle de céréales, et l'emmène sous la table, avec pour exigence de branler le Maitre jusqu’à le faire éjaculer dedans. Une fois fait, la gamelle revient devant moi, et j’ai pour exigence de laper, avaler ce qui est mon petit déjeuner à la sauce de sperme. Heureuse de mon petit déjeuner avec la noble Semence du Maitre dedans, je me mets à quatre pattes, et lape comme une petite chienne...
(A suivre …)
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