La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1602)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1602)
L’esclave salope au Château (suite de l'épisode N°1601) –
Le lendemain alors que le Noble me branlait et que j’étais couchée sur le dos à même le sol, le Maître abandonna mon clitoris et deux de Ses doigts pénétrèrent sans précaution dans mon antre en feu déjà fort trempée…
- Détends-toi, me dit-Il, laisse-toi aller aux délices de l’excitation que je t’impose.
Tout en me travaillant mon sexe de façon délicieuse, Monsieur le Marquis me lança :
- Ce que je fais n’est pas pour toi, c’est pour Moi, Je me sers de toi pour Mon plaisir, c’est juste pour te montrer ce que tu es encore et encore Mon esclave, que Je peux t’utiliser à Ma guise comme Je veux, quand Je le veux et de la façon que Je veux.
A Ses mots et alors que j’allais jouir, n’y tenant plus et malgré mes efforts pour me retenir, le Noble se retira complètement et me laissa donc dans un manque absolu de jouissance, dans une sorte de frustration au bord du gouffre orgasmique, le souffle court…
- Maî… Maître… s’Il vous plait, je… - Quoi, ‘s’il vous plait ?’- J’ai trop envie de… - Ah ! C’est bien que tu aies envie parce qu’ainsi tu es encore plus Mienne. Car Je contrôle ton plaisir et donc ta sexualité… Et si tu ressens une frustration à ne pas être autorisée à jouir dans un fort état d’excitation, eh bien c’est une excellente chose, cela te fait ressentir encore plus intensément Mon Emprise … Regarde là-bas !
Tournant les yeux, je vis sur une tablette d’ébène sans pieds, sans hauteur, au niveau du parquet, un collier et une laisse.
- Va chercher et apporte, Ma chienne !
Je ne comprenais pas pourquoi le Maître voulait que j’aille chercher ce collier et cette laisse, ayant déjà ce magnifique ‘attirail’ sur moi, à mon cou. Mais obéissante et comme hypnotisée par Ses mots, obnubilée par Son autorité, j’obtempérais sans discuter et à quatre pattes, comme la chienne esclave que j’étais.
- Tu auras droit à une surprise, mais si tu l’as mérites de la façon que tu iras chercher ce collier …
Ses mots me tournèrent dans la tête tel un bon verre de vin, comme enivrée quand deux sifflements se firent entendre à nouveau, deux coups de cravache vinrent orner mon fessier, un sur chaque fesse. Tandis que je sentais la brûlure cuisante sur ma croupe arrondie de femelle, le Châtelain me prit, par les cheveux, en me stoppant net, les tirant sans ménagement en arrière. J’avais mal au cou tant la tension était forte.
- Salope d’esclave, pas comme ça ! Je ne veux pas que tu y ailles à quatre pattes, je veux que tu rampes, le ventre touchant le parquet, écrasant tes seins de putain, que tu rampes à l’aide de tes bras, je veux que tu te traines comme un sale ver de terre rampant, j’ai dit !
Les cheveux toujours tirés en arrière, fortement, Il me fit cambrer le creux de mes reins le plus possible en appuyant de toutes ses forces dessus, de son pied, pour me coucher à plat ventre sur le sol. Puis Il me relâcha et je me mis à avancer ainsi, à la force de mes bras, tractant tout le reste de mon corps nu et servile. Mes jambes suivaient centimètre par centimètre… Je me sentais encore humiliée mais tellement excitée de cette reptation forcée, j’évoluais doucement telle une limace, un escargot sans coquille … Une fois arrivée au niveau de la tablette d’ébène, le collier se trouvait devant mon nez quand j’entendis le Maître me dire :
- Prend dans ta gueule de chienne, ce collier avec sa laisse accrochée et rapporte, Ma chienne, allez, rapporte-Moi jusque-là, à Mes pieds !, me lançait-Il montrant de Son index pointé le bout de ses chaussures parfaitement cirées…
Le Noble me parlait comme on parle à son chien (l’animal) pour lui faire rapporter le bâton qu’on lui aurait lancé. J’attrapais donc le collier avec mes dents et c’est avec difficulté que je réussi tant bien que mal à faire demi-tour en rampant, tout en gardant ma mâchoire refermée sur le collier. De longues minutes suivirent pour arriver jusqu’à Lui. Il patientait debout silencieusement, sans rien perdre du spectacle de Son regard Dominant et gourmand qui me fixait. Il semblait savourer ma lente reptation et je devinais une bosse à son pantalon, alors je compris que de me voir évoluer telle une limace, ça le faisait bander…
- Lâche le collier de ta gueule et lèche Mes chaussures !
Mon dieu, quel bonheur ! La récompense suprême ! J’étais couchée sur le ventre, là, à Ses pieds, physiquement à Ses pieds et j’avais cette immense chance de pouvoir enfin lui lécher le cuir de Ses chaussures… Alors je ne me fis pas prier ! C’est avec une extrême avidité gourmande que je sortis ma langue de salope et que j’entrepris de Lui lécher une de Ses chaussures. D’abord sur le côté, longuement puis sur le dessus et l’autre côté passant ma langue râpeuse et avec application. J’en mouillais terriblement de cet exercice si divin. Je me sentais tout simplement à ma place, je me sentais chienne, soumise, esclave, moins de rien, asservie, avilie et tellement heureuse et excitée… Au bout d’un long moment, le Maître exigea que je passe à Son second soulier verni…. Et je mis le même enthousiasme, la même énergie, la même envie tellement décuplée à obéir… Parfais je sentais le bout de sa cravache qui venait caresser ma nuque, déplacer une mèche de mes cheveux, frôler mes épaules, ce qui me procurait une excitation supplémentaire et toute sensuelle… Ce n’est qu’au bout d’un très long moment qu’Il me dit, laconiquement, toute en retirant son pied en arrière :
- Suffit !
Je stoppais net mon léchage, la gorge très asséchée par ce délicieux travail de langue. Le Maître attrapa au sol, à mes côtés, le collier-laisse que je lui avais rapporté et me lança :
- Tient, commence par aller boire, ça donne soif de lécher avec autant d’engouement Mes chaussures ! Alors tu vas aller jusqu’à ta gamelle mais toujours en rampant, salope !
Ma gamelle se trouvait tout au fond de la pièce à environ 5 mètres que je fis en rampant longuement comme tantôt, évoluant à avancer doucement, forçant sur mes coudes, l’un après l’autre et ainsi de suite, et mes bras commençaient à me faire mal. C’est extrêmement assoiffée que je me désaltérais enfin mais pas en position de quadrupédie car le Châtelain exigea que je boivent toujours ainsi positionnée, couchée à plat ventre à même le sol… Tandis que je lapais mon eau salvatrice, j’entendis Monsieur le Marquis m’annoncer une belle nouvelle qui me rendit très fière de ma condition :
- Ma chienne, tu dois te demander pourquoi je t’ai exigé d’aller cherche ce collier-laisse alors que tu as déjà celui en ce moment autour du cou. Eh bien tout simplement parce qu’il y a une grande différence entre le collier que tu portes et celui que tu m’as ramené dans ta gueule de chienne. Si d’aspect identique au premier regard, ces deux colliers ne sont pas tout à fait pareils…. A genoux, je vais t’expliquer, dit-Il en claquant des doigts … :
Dans la seconde qui suivit, je me positionnais comme exigé, curieuse de savoir ce qui différenciait ces 2 colliers apparemment semblables... Mon cou étant bien à Sa portée de main, le Noble défit mon collier pour carrément me l’enlever et me le présenter sous mes yeux :
- Vois-tu, Mon esclave, ton collier actuel, si on regarde bien sur sa partie latérale, on peut y voir deux anneaux d’or gravés en liseré, d’or également et profondément dans le cuir. Ces deux anneaux symbolisent ton degré mérité de ton esclavage envers Moi. Sans le savoir, tu as donc obtenu ces deux anneaux, depuis que tu es à Mes pieds, grâce à ta motivation à bien faire, ton investissement à Me service, ton obéissance absolue, ton potentiel à la soumission, ton puissant besoin à Me satisfaire en toi, ta totale et si forte allégeance envers Moi, ton besoin irrépressible à être ce que tu es, c’est-à-dire une esclave, mais grâce aussi à vivre ce que la Nature à fait de toi. Bref, ton comportement exemplaire à exprimer tout ce que je viens d’énumérer, t’a fait mériter ces deux anneaux symboliques et gravés à même ton collier de chienne... Mais désormais, j’ai décidé de t’octroyer le titre suprême qui est symbolisé par le troisième anneau. Celui-ci est amplement mérité et en principe, je le décerne après que ton comportement ayant mérité les deux premiers anneaux soit amplifié, confirmé et vérifié, dans le temps, sur la durée… Et c’est ce qui est le cas, visiblement à l’évidence, même si avec Moi jamais rien n’est pour acquis... Donc je vais te remettre ce nouveau collier aux trois anneaux… Et je tiens à t’en féliciter vivement, car je dois être honnête, tu le mérites sans conteste… Je suis fier de toi…
J’avais les larmes aux yeux, tellement j’étais remplie par l’émotion et la gratitude. Je perçus ce nouveau collier comme une récompense, certes, mais avant tout comme une reconnaissance de mon état, de ma condition, de ce que j’étais, la reconnaissance du Maître, par rapport à ce que je suis, comme déjà dit, mais pour Lui, de Son si précieux point de vue… Et aussi à comment je me comporte envers Lui, la perception de Sa part de mon comportement… Mais cette si forte émotion, à la fois, emplissait mon cœur qui battait très fort mais transcendait en même temps ma libido quasiment instantanément, car déjà fort excitée, je me mis à décupler ma cyprine que je sentais couler quand des mains du Maître, je sentis Ses doigts en train de fermer ce nouveau collier autour de mon cou d’esclave… Comprenant mon état trempé, qui visiblement était trahi par ma forte fébrilité à bouger mon bassin d’excitation comme une chienne remuant son popotin, le Noble se pencha et tout en passant Ses doigts le long de mes lèvres vaginales, Il ramassa alors ma cyprine abondante sur Ses doigts qu’Il présenta devant mes yeux :
- Qu’est-ce que c’est ça ?, parle, je t’y autorise …- De la mouille, Maître.
- Bien, c’est ta mouille générée par Ma reconnaissance de ton état, visiblement !
- Oh oui Maître, je ne sais comment Vous remercier- Sans le savoir tu es en train de Me remercier ! Le meilleur remerciement de ta part est exprimé en ce moment par ta très forte excitation qui Me démontre bien plus que de la gratitude … - Oui Maître, j’avoue en être fortement excitée, de ce troisième anneau ….
- C’est le comportement, la réaction normale de la véritable chienne esclave qui est en toi … Bien maintenant, nettoie mes doigts, salope !
Je les léchais avec avidité, ce n’était pas la première fois que je goûtais ma propre cyprine, mais celle-ci déposée sur les doigts du Maître avait une toute autre saveur, enfin je veux dire mentalement. Puis le Châtelain me fit me relever debout après avoir attrapé cette laisse accrochée au nouveau collier. Il me regardait tendrement et me dit :
- N’oublie jamais ce que tu es, tu es née esclave, tu resteras esclave toute ta vie et à Mes pieds… Mains derrière la nuque, la chienne…
Je restais ainsi, debout, les mains derrière la nuque, la tête baissée, les jambes écartées le plus possible, bien en appui sur les pieds espacés. Monsieur le Marquis passait derrière moi et baladait Ses doigts sur mon dos, descendant dans la courbure de mes reins puis sur le long de ma raie anale entre mes fesses, ce qui m’excitait encore plus fortement. Et en même temps, Ses doigts de Son autre main, me pénétraient à nouveau le sexe, mais pas pour récolter ma mouille, mais pour entrer plus profondément et avec vigueur cette fois en ma chatte trempée. Ces longs doigts visitaient chaque recoin de mon vagin, avec méthode et à nouveau mon envie de jouissance me reprit encore plus fortement. Il faisait des allers et venues en moi et j’avoue que j’étais sur le point de céder à l’orgasme quand Il se retira à nouveau portant encore une fois à mes lèvres Ses doigts maculés. Après avoir de nouveau léché Ses doigts, Il plaça la laisse sur le devant qu’il laissa tomber entre mes seins, se recula et Il me regarda de la tête aux pieds avec gourmandise...
Un long silence s’installa alors que j’avais la tête baissée, mon regard fixant mes pieds quand subitement un voile s’abattit sur mes yeux. Il me bandait la vue, ne voyant plus rien, je sentis da l’excitation supplémentaire. Le silence de la pièce, le noir absolu dans lequel j’étais plongé, tout me mit dans des états connus de mon sexe mais tellement excitant qu’encore une fois ce dernier me trahit laissant couler ma mouille abondante sur mes cuisses de pute...
- J’aime te voir ainsi, le clitoris bien érigé, prêt à Me servir, et ta chatte gonflée d’envies non assouvies. Tu es une belle chienne encore et toujours en cours de dressage, Ma salope…
Toujours debout, yeux bandés, j’entendais comme une sorte de meuble que l’on pousse sur des roulettes. J’entendis que le Châtelain se plaçait alors derrière moi, puis je sentis qu’Il m’enlaça dans Ses bras, déposant de petits baisers dans mon nuque, dans mon cou, léchant et mordillant mes lobes d’oreilles avec une sensualité érotique forte, tandis que Ses volumineuses mains soupesaient mes gros seins qu’Il aime tant, titillaient mes tétons dressés, les malaxaient, les étiraient, les pinçaient quand Ses mêmes mains descendaient vers mon nombril, mon clitoris se raidit encore plus. Je fondais d’envies, de désirs torrides. Puis, avec douceur mais fermeté, Sa main se posa sur ma nuque pour me la pousser doucement, me faisant comprendre de me pencher en avant, ce que je fis. Dans cette pose, Le sachant derrière moi, j’imaginais aisément ce qu’il devait regarder. Je sentis qu’Il écartait mes fesses, Ses doigts commençant à titiller mon anus après avoir caressé ma raie anale, anus qui immédiatement par réflexe de soumission, se détendit et Son long doigt entra sans ménagement et profondément en mon fondement, me fouillant honteusement, longuement... Ce doigt magique du Noble massait mes parois anales en profondeur, passant lentement sur chacune d’elles, dilatant mes parois. Monsieur le Marquis allait et venait par Son doigt inquisiteur, l’enfonçant le plus loin possible. Cela me provoquait des petits spasmes qui me remontaient tout le long de mon échine, faisant dresser encore mieux mes tétons de putain, faisant encore plus couler ma mouille de chienne en chaleur. Je m’ouvris alors plus, mon anus se dilatait doucement, c’était bon, tellement excitant, je me sentais offerte, ouverte, prête à être utilisée, je me sentais tout simplement à ma place...
Un divin doigt dans mon cul, alors qu’un autre, son pouce en l’occurrence, massait l’extérieur de mon anus, juste au-dessus de celui-ci par de petits cercles qui parfois étaient appuyés et d’autres fois juste caressants. Je ne restais pas insensible à cet excitant traitement. En effet, j’écoutais l’appel de mon corps, celui de mon bas-ventre qui s’humidifiait encore plus abondamment au rythme des allers et venues de ce prodigieux doigtage parfaitement réalisé m’enculant avec tant de savoir-faire. Jamais je n’aurai pensé qu’un seul et unique doigt puisse m’apporter autant de plaisirs, de ressentis physiques mais aussi mentaux. Oui mon cerveau était en ébullition et celui-ci me disait de plus m’offrir, de plus m’écarter, me rappelant ce besoin profond d’une incroyable envie de me faire prendre par le cul, une envie folle de me faire sodomiser, là sur l’instant … Cette masturbation anale, ce doigtage savamment travaillé durait encore et encore. Le Noble prenait Son temps, Il ne précipitait pas les choses, ce qui me laissait dans un état second d’excitation quasi en permanence… Alors que le plaisir montait de plus en plus, je souhaitais tellement qu’Il m’encule …
(A suivre …)
Le lendemain alors que le Noble me branlait et que j’étais couchée sur le dos à même le sol, le Maître abandonna mon clitoris et deux de Ses doigts pénétrèrent sans précaution dans mon antre en feu déjà fort trempée…
- Détends-toi, me dit-Il, laisse-toi aller aux délices de l’excitation que je t’impose.
Tout en me travaillant mon sexe de façon délicieuse, Monsieur le Marquis me lança :
- Ce que je fais n’est pas pour toi, c’est pour Moi, Je me sers de toi pour Mon plaisir, c’est juste pour te montrer ce que tu es encore et encore Mon esclave, que Je peux t’utiliser à Ma guise comme Je veux, quand Je le veux et de la façon que Je veux.
A Ses mots et alors que j’allais jouir, n’y tenant plus et malgré mes efforts pour me retenir, le Noble se retira complètement et me laissa donc dans un manque absolu de jouissance, dans une sorte de frustration au bord du gouffre orgasmique, le souffle court…
- Maî… Maître… s’Il vous plait, je… - Quoi, ‘s’il vous plait ?’- J’ai trop envie de… - Ah ! C’est bien que tu aies envie parce qu’ainsi tu es encore plus Mienne. Car Je contrôle ton plaisir et donc ta sexualité… Et si tu ressens une frustration à ne pas être autorisée à jouir dans un fort état d’excitation, eh bien c’est une excellente chose, cela te fait ressentir encore plus intensément Mon Emprise … Regarde là-bas !
Tournant les yeux, je vis sur une tablette d’ébène sans pieds, sans hauteur, au niveau du parquet, un collier et une laisse.
- Va chercher et apporte, Ma chienne !
Je ne comprenais pas pourquoi le Maître voulait que j’aille chercher ce collier et cette laisse, ayant déjà ce magnifique ‘attirail’ sur moi, à mon cou. Mais obéissante et comme hypnotisée par Ses mots, obnubilée par Son autorité, j’obtempérais sans discuter et à quatre pattes, comme la chienne esclave que j’étais.
- Tu auras droit à une surprise, mais si tu l’as mérites de la façon que tu iras chercher ce collier …
Ses mots me tournèrent dans la tête tel un bon verre de vin, comme enivrée quand deux sifflements se firent entendre à nouveau, deux coups de cravache vinrent orner mon fessier, un sur chaque fesse. Tandis que je sentais la brûlure cuisante sur ma croupe arrondie de femelle, le Châtelain me prit, par les cheveux, en me stoppant net, les tirant sans ménagement en arrière. J’avais mal au cou tant la tension était forte.
- Salope d’esclave, pas comme ça ! Je ne veux pas que tu y ailles à quatre pattes, je veux que tu rampes, le ventre touchant le parquet, écrasant tes seins de putain, que tu rampes à l’aide de tes bras, je veux que tu te traines comme un sale ver de terre rampant, j’ai dit !
Les cheveux toujours tirés en arrière, fortement, Il me fit cambrer le creux de mes reins le plus possible en appuyant de toutes ses forces dessus, de son pied, pour me coucher à plat ventre sur le sol. Puis Il me relâcha et je me mis à avancer ainsi, à la force de mes bras, tractant tout le reste de mon corps nu et servile. Mes jambes suivaient centimètre par centimètre… Je me sentais encore humiliée mais tellement excitée de cette reptation forcée, j’évoluais doucement telle une limace, un escargot sans coquille … Une fois arrivée au niveau de la tablette d’ébène, le collier se trouvait devant mon nez quand j’entendis le Maître me dire :
- Prend dans ta gueule de chienne, ce collier avec sa laisse accrochée et rapporte, Ma chienne, allez, rapporte-Moi jusque-là, à Mes pieds !, me lançait-Il montrant de Son index pointé le bout de ses chaussures parfaitement cirées…
Le Noble me parlait comme on parle à son chien (l’animal) pour lui faire rapporter le bâton qu’on lui aurait lancé. J’attrapais donc le collier avec mes dents et c’est avec difficulté que je réussi tant bien que mal à faire demi-tour en rampant, tout en gardant ma mâchoire refermée sur le collier. De longues minutes suivirent pour arriver jusqu’à Lui. Il patientait debout silencieusement, sans rien perdre du spectacle de Son regard Dominant et gourmand qui me fixait. Il semblait savourer ma lente reptation et je devinais une bosse à son pantalon, alors je compris que de me voir évoluer telle une limace, ça le faisait bander…
- Lâche le collier de ta gueule et lèche Mes chaussures !
Mon dieu, quel bonheur ! La récompense suprême ! J’étais couchée sur le ventre, là, à Ses pieds, physiquement à Ses pieds et j’avais cette immense chance de pouvoir enfin lui lécher le cuir de Ses chaussures… Alors je ne me fis pas prier ! C’est avec une extrême avidité gourmande que je sortis ma langue de salope et que j’entrepris de Lui lécher une de Ses chaussures. D’abord sur le côté, longuement puis sur le dessus et l’autre côté passant ma langue râpeuse et avec application. J’en mouillais terriblement de cet exercice si divin. Je me sentais tout simplement à ma place, je me sentais chienne, soumise, esclave, moins de rien, asservie, avilie et tellement heureuse et excitée… Au bout d’un long moment, le Maître exigea que je passe à Son second soulier verni…. Et je mis le même enthousiasme, la même énergie, la même envie tellement décuplée à obéir… Parfais je sentais le bout de sa cravache qui venait caresser ma nuque, déplacer une mèche de mes cheveux, frôler mes épaules, ce qui me procurait une excitation supplémentaire et toute sensuelle… Ce n’est qu’au bout d’un très long moment qu’Il me dit, laconiquement, toute en retirant son pied en arrière :
- Suffit !
Je stoppais net mon léchage, la gorge très asséchée par ce délicieux travail de langue. Le Maître attrapa au sol, à mes côtés, le collier-laisse que je lui avais rapporté et me lança :
- Tient, commence par aller boire, ça donne soif de lécher avec autant d’engouement Mes chaussures ! Alors tu vas aller jusqu’à ta gamelle mais toujours en rampant, salope !
Ma gamelle se trouvait tout au fond de la pièce à environ 5 mètres que je fis en rampant longuement comme tantôt, évoluant à avancer doucement, forçant sur mes coudes, l’un après l’autre et ainsi de suite, et mes bras commençaient à me faire mal. C’est extrêmement assoiffée que je me désaltérais enfin mais pas en position de quadrupédie car le Châtelain exigea que je boivent toujours ainsi positionnée, couchée à plat ventre à même le sol… Tandis que je lapais mon eau salvatrice, j’entendis Monsieur le Marquis m’annoncer une belle nouvelle qui me rendit très fière de ma condition :
- Ma chienne, tu dois te demander pourquoi je t’ai exigé d’aller cherche ce collier-laisse alors que tu as déjà celui en ce moment autour du cou. Eh bien tout simplement parce qu’il y a une grande différence entre le collier que tu portes et celui que tu m’as ramené dans ta gueule de chienne. Si d’aspect identique au premier regard, ces deux colliers ne sont pas tout à fait pareils…. A genoux, je vais t’expliquer, dit-Il en claquant des doigts … :
Dans la seconde qui suivit, je me positionnais comme exigé, curieuse de savoir ce qui différenciait ces 2 colliers apparemment semblables... Mon cou étant bien à Sa portée de main, le Noble défit mon collier pour carrément me l’enlever et me le présenter sous mes yeux :
- Vois-tu, Mon esclave, ton collier actuel, si on regarde bien sur sa partie latérale, on peut y voir deux anneaux d’or gravés en liseré, d’or également et profondément dans le cuir. Ces deux anneaux symbolisent ton degré mérité de ton esclavage envers Moi. Sans le savoir, tu as donc obtenu ces deux anneaux, depuis que tu es à Mes pieds, grâce à ta motivation à bien faire, ton investissement à Me service, ton obéissance absolue, ton potentiel à la soumission, ton puissant besoin à Me satisfaire en toi, ta totale et si forte allégeance envers Moi, ton besoin irrépressible à être ce que tu es, c’est-à-dire une esclave, mais grâce aussi à vivre ce que la Nature à fait de toi. Bref, ton comportement exemplaire à exprimer tout ce que je viens d’énumérer, t’a fait mériter ces deux anneaux symboliques et gravés à même ton collier de chienne... Mais désormais, j’ai décidé de t’octroyer le titre suprême qui est symbolisé par le troisième anneau. Celui-ci est amplement mérité et en principe, je le décerne après que ton comportement ayant mérité les deux premiers anneaux soit amplifié, confirmé et vérifié, dans le temps, sur la durée… Et c’est ce qui est le cas, visiblement à l’évidence, même si avec Moi jamais rien n’est pour acquis... Donc je vais te remettre ce nouveau collier aux trois anneaux… Et je tiens à t’en féliciter vivement, car je dois être honnête, tu le mérites sans conteste… Je suis fier de toi…
J’avais les larmes aux yeux, tellement j’étais remplie par l’émotion et la gratitude. Je perçus ce nouveau collier comme une récompense, certes, mais avant tout comme une reconnaissance de mon état, de ma condition, de ce que j’étais, la reconnaissance du Maître, par rapport à ce que je suis, comme déjà dit, mais pour Lui, de Son si précieux point de vue… Et aussi à comment je me comporte envers Lui, la perception de Sa part de mon comportement… Mais cette si forte émotion, à la fois, emplissait mon cœur qui battait très fort mais transcendait en même temps ma libido quasiment instantanément, car déjà fort excitée, je me mis à décupler ma cyprine que je sentais couler quand des mains du Maître, je sentis Ses doigts en train de fermer ce nouveau collier autour de mon cou d’esclave… Comprenant mon état trempé, qui visiblement était trahi par ma forte fébrilité à bouger mon bassin d’excitation comme une chienne remuant son popotin, le Noble se pencha et tout en passant Ses doigts le long de mes lèvres vaginales, Il ramassa alors ma cyprine abondante sur Ses doigts qu’Il présenta devant mes yeux :
- Qu’est-ce que c’est ça ?, parle, je t’y autorise …- De la mouille, Maître.
- Bien, c’est ta mouille générée par Ma reconnaissance de ton état, visiblement !
- Oh oui Maître, je ne sais comment Vous remercier- Sans le savoir tu es en train de Me remercier ! Le meilleur remerciement de ta part est exprimé en ce moment par ta très forte excitation qui Me démontre bien plus que de la gratitude … - Oui Maître, j’avoue en être fortement excitée, de ce troisième anneau ….
- C’est le comportement, la réaction normale de la véritable chienne esclave qui est en toi … Bien maintenant, nettoie mes doigts, salope !
Je les léchais avec avidité, ce n’était pas la première fois que je goûtais ma propre cyprine, mais celle-ci déposée sur les doigts du Maître avait une toute autre saveur, enfin je veux dire mentalement. Puis le Châtelain me fit me relever debout après avoir attrapé cette laisse accrochée au nouveau collier. Il me regardait tendrement et me dit :
- N’oublie jamais ce que tu es, tu es née esclave, tu resteras esclave toute ta vie et à Mes pieds… Mains derrière la nuque, la chienne…
Je restais ainsi, debout, les mains derrière la nuque, la tête baissée, les jambes écartées le plus possible, bien en appui sur les pieds espacés. Monsieur le Marquis passait derrière moi et baladait Ses doigts sur mon dos, descendant dans la courbure de mes reins puis sur le long de ma raie anale entre mes fesses, ce qui m’excitait encore plus fortement. Et en même temps, Ses doigts de Son autre main, me pénétraient à nouveau le sexe, mais pas pour récolter ma mouille, mais pour entrer plus profondément et avec vigueur cette fois en ma chatte trempée. Ces longs doigts visitaient chaque recoin de mon vagin, avec méthode et à nouveau mon envie de jouissance me reprit encore plus fortement. Il faisait des allers et venues en moi et j’avoue que j’étais sur le point de céder à l’orgasme quand Il se retira à nouveau portant encore une fois à mes lèvres Ses doigts maculés. Après avoir de nouveau léché Ses doigts, Il plaça la laisse sur le devant qu’il laissa tomber entre mes seins, se recula et Il me regarda de la tête aux pieds avec gourmandise...
Un long silence s’installa alors que j’avais la tête baissée, mon regard fixant mes pieds quand subitement un voile s’abattit sur mes yeux. Il me bandait la vue, ne voyant plus rien, je sentis da l’excitation supplémentaire. Le silence de la pièce, le noir absolu dans lequel j’étais plongé, tout me mit dans des états connus de mon sexe mais tellement excitant qu’encore une fois ce dernier me trahit laissant couler ma mouille abondante sur mes cuisses de pute...
- J’aime te voir ainsi, le clitoris bien érigé, prêt à Me servir, et ta chatte gonflée d’envies non assouvies. Tu es une belle chienne encore et toujours en cours de dressage, Ma salope…
Toujours debout, yeux bandés, j’entendais comme une sorte de meuble que l’on pousse sur des roulettes. J’entendis que le Châtelain se plaçait alors derrière moi, puis je sentis qu’Il m’enlaça dans Ses bras, déposant de petits baisers dans mon nuque, dans mon cou, léchant et mordillant mes lobes d’oreilles avec une sensualité érotique forte, tandis que Ses volumineuses mains soupesaient mes gros seins qu’Il aime tant, titillaient mes tétons dressés, les malaxaient, les étiraient, les pinçaient quand Ses mêmes mains descendaient vers mon nombril, mon clitoris se raidit encore plus. Je fondais d’envies, de désirs torrides. Puis, avec douceur mais fermeté, Sa main se posa sur ma nuque pour me la pousser doucement, me faisant comprendre de me pencher en avant, ce que je fis. Dans cette pose, Le sachant derrière moi, j’imaginais aisément ce qu’il devait regarder. Je sentis qu’Il écartait mes fesses, Ses doigts commençant à titiller mon anus après avoir caressé ma raie anale, anus qui immédiatement par réflexe de soumission, se détendit et Son long doigt entra sans ménagement et profondément en mon fondement, me fouillant honteusement, longuement... Ce doigt magique du Noble massait mes parois anales en profondeur, passant lentement sur chacune d’elles, dilatant mes parois. Monsieur le Marquis allait et venait par Son doigt inquisiteur, l’enfonçant le plus loin possible. Cela me provoquait des petits spasmes qui me remontaient tout le long de mon échine, faisant dresser encore mieux mes tétons de putain, faisant encore plus couler ma mouille de chienne en chaleur. Je m’ouvris alors plus, mon anus se dilatait doucement, c’était bon, tellement excitant, je me sentais offerte, ouverte, prête à être utilisée, je me sentais tout simplement à ma place...
Un divin doigt dans mon cul, alors qu’un autre, son pouce en l’occurrence, massait l’extérieur de mon anus, juste au-dessus de celui-ci par de petits cercles qui parfois étaient appuyés et d’autres fois juste caressants. Je ne restais pas insensible à cet excitant traitement. En effet, j’écoutais l’appel de mon corps, celui de mon bas-ventre qui s’humidifiait encore plus abondamment au rythme des allers et venues de ce prodigieux doigtage parfaitement réalisé m’enculant avec tant de savoir-faire. Jamais je n’aurai pensé qu’un seul et unique doigt puisse m’apporter autant de plaisirs, de ressentis physiques mais aussi mentaux. Oui mon cerveau était en ébullition et celui-ci me disait de plus m’offrir, de plus m’écarter, me rappelant ce besoin profond d’une incroyable envie de me faire prendre par le cul, une envie folle de me faire sodomiser, là sur l’instant … Cette masturbation anale, ce doigtage savamment travaillé durait encore et encore. Le Noble prenait Son temps, Il ne précipitait pas les choses, ce qui me laissait dans un état second d’excitation quasi en permanence… Alors que le plaisir montait de plus en plus, je souhaitais tellement qu’Il m’encule …
(A suivre …)
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