La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1606)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1606)
L’esclave salope au Château (suite de l'épisode précédente N°1605) –
Oui, c’est cela, j’étais tout simplement heureuse … Au bout d’une demi-heure ainsi sans bouger, à être caressée de la sorte avec tant de douceur, moi agenouillée avec ma tête toujours posée sur Sa cuisse, je perçus devant mes yeux, une bosse qui se formait sous le pantalon du Maître, quand je l’entendis m’exiger :
- Oui comme tu le vois, Ma chienne, tu Me fais encore bander, tu es si belle, si sensuelle… si femelle … ! Alors mets-toi à genoux face à Moi, dit-Il en déboutonnant Son pantalon, baissant Son caleçon, pour laisser apparaitre Sa grosse Verge impérieuse et bien droite à la verticale…
Je me mis donc à genoux sans attendre. Très doucement, il me prit la nuque et l’approcha lentement, mais quand même fermement, devant Sa Verge bien dressée. Il ne m’exigeait rien verbalement, car dans ce cas-là pas besoin de mots, les gestes suffisent à se comprendre. Alors j’ouvris ma cavité buccale pour prendre en bouche ce Sexe masculin si imposant de vigueur. Je pris le gland violacé, gonflé de sang et commença à passer ma langue dessus et sur ses contours… Je le ressortais, pour mieux le savourer des yeux… je vis les contours et y passais de nouveau le bout de ma langue gourmande, repassa dessus, sur la fente du méat humide. Puis, je poursuivais mon savoureux léchage en prenant ce fier gland turgescent entièrement, le gobant sur sa totalité et je l’aspirais avec envie, en pressant mes lèvres. Puis je descendais de plus en plus bas, mes lèvres se refermant sur cette chair afin de prendre toute la hampe jusqu’à la gorge quand enfin je l’avalais pratiquement entièrement. Lentement, très lentement, je remontais, puis redescendais, remontais encore et ainsi de suite. Et je sentais que ce je faisais Lui plaisait car le Maître me caressait les joues avec beaucoup de douceur, ce qui me fit remarquer Son bien-être qui m’importe tant… A un moment donné, le Châtelain me fit me relever, me mettre devant Lui et Il commença par me palper les seins, les soupeser, s’occupait à caresser mes tétons, léchais les aréoles de Sa large langue baladeuse, aspirait mes bouts de sein, les mordillais du bout de Ses dents. Puis Il les étirait mais toujours avec douceur, entre ses dents, je commençais à sérieusement avoir envie de jouir sentant mon bas-ventre réagir grandement à Son savoureux traitement par une forte humidité qui y régnait, mon excitation ne faisait que s’accentuer …
Tout en continuant Sa délicieuse utilisation de mes seins, le Noble passa Ses doigts le long de ma fente vulvaire parfaitement lisse et Il la trouva fort humide. Alors Il remonta sur mon clitoris, le toucha, et là, tout d’un coup, je me mis à trembler de tout mon corps de salope. S’en apercevant par de grands yeux Dominants et un sourire empli de gourmandise, le Maître décida d’accentuer Sa masturbation sur mon sensible bouton rose. Pour cela, le Châtelain prit mon clitoris entre deux de Ses doigts, et le branla à la manière d’un sexe masculin, lentement au début, tout en tapotant sur le haut du capuchon, puis Il le décalotta pour le faire émerger et le lécha avec avidité, m’envoyant dans d’autres planètes. Sa langue posée sur mon clito, Il s’occupait ensuite et aussi de lécher mes lèvres intimes et de s’insinuer à l’intérieur, léchant mes parois vaginales avec Sa dextérité buccale exquise. Cependant, je n’avais pas encore joui, quand par une flexion de Son bras sur ma nuque, je me retrouvais à nouveau agenouillée comme tantôt. Et il me fit me remettre ma bouche sur Sa tige droite comme un I, qui coulait du liquide pré-séminal. A nouveau à genoux donc, un peu déçue d’être abandonnée en pleine ascension concernant mon clitoris, je léchais ce liquide s’échappant de Son méat urinaire, puis, à nouveau tout le gland, avalant totalement cette épaisse et virile Verge dressée.
Ma bouche engloba donc de nouveau entièrement Son gros sexe entre mes lèvres buccales. Avec mes mains, je caressais ses testicules, ce qui avait l’air de Lui plaire car je l’entendais gémir de plaisir. Je sentais qu’elles étaient bien pleines et cela me donna envie de faire glisser encore mieux Sa grosse queue plus au fond de ma bouche de pute, de sentir Son gland sur ma langue. Positionnée comme je l’étais, je ne voyais pas Son visage mais j’imaginais qu’il devait exprimer du plaisir écoutant Son souffle court. Le liquide qui s’écoulait lentement de Sa divine Verge excitée avait plutôt bon goût, alors que je me mis à faire aller et venir mes lèvres en cadence tout en aspirant. Le Maître me tenait la tête et guidait mes mouvements. Il était doux et ça m’aidait à bien m’occuper de Lui. Je ne savais pas comment cela allait finir, mais je me devais de Le faire jouir. Il devait être fort excité aussi à sentir Sa grosseur raide, dure de Sa verge dans ma bouche de salope. J’accélérai ma cadence en gorges profondes, je pompais autant que je le pouvais quand je sentis des soubresauts de Sa hampe qui se mit à jouir m’envoyant une première giclée de sperme chaud, collant sur ma langue, suivie par d’autres en saccades successives alors que le Maître râlait longuement Son plaisir de mâles. Je me suis alors retrouvée avec Son sperme en bouche. Puis Il m’exigea de le garder en bouche et de l’ouvrir largement pour Lui montrer Sa semence stagnant en ma cavité buccale avec ma salive. Puis sur Son claquement de doigt, je me mis à tout avaler avec ce fort ressenti d’être honorée, voire privilégiée de pouvoir avaler Sa noble semence…
Le temps pour Lui de récupérer un peu, il me fit me remettre debout d’abord, reprit le branlage actif de mon clitoris, tandis qu’une main baladeuse passait et repassait sur mes fesses. Cette douce main vicieuse s’insinuait entre elles, cherchant ma raie anale pour aller jusqu’à mon anus. Celui-ci trouvé, Son doigt se posa dessus et je me desserrai de suite instinctivement par offrande. Le Châtelain m’exigea d’écarter moi-même mes fesses, ce que je fis de suite sans aucune hésitation… J’étais bien penchée en avant, alors Il entreprit à faire pénétrer Son doigt mais mon cul n’était pas lubrifié. Il me présenta alors Son doigt que je prenais dans ma bouche et celui-ci une fois bien mouillé, salivé, le Maître le représenta à l’entrée de mes fesses, puis il le poussa un peu sur mon anus et commença à le faire entrer lentement, puis le ressortit, puis rentra à nouveau plus profondément tout en faisant des cercles pour en élargir l’ouverture. Maintenant Son doigt entièrement entré en moi, Ses cercles détendaient doucement mon ouverture, dilataient mes parois anales qui peu à peu se relâchaient. Il ressortit Son divin doigt, me le donna à le saliver à nouveau mais avec un second doigt. Les deux doigts ainsi humidifiés firent leur entrée à nouveau. Et à un moment donné, je ressentis de très agréables sensations masturbatoires… En même temps, Monsieur le Marquis travaillait mon clitoris et me doigtait le cul. Et l’ensemble de Ses deux actions, commençait très sérieusement à m’exciter. Je me mis de nouveau à trembler de mon corps chaud sur mes jambes largement écartées…
Cet exquis traitement dura une bonne dizaine de minutes quand le Noble se leva, posa sur mon anus, Son gland redevenu dur et énorme tel un pieu de chair dressé. Je le sentis, derrière moi, qu’il poussait me tenant fermement par la taille, oui bien fermement par les hanches, et lentement le Maître entrait dans mon cul de salope. Mais Son volumineux sexe dépassait en largeur Ses deux doigts. Alors au fur et à mesure qu’Il s’enfonçait plus profondément en mon fondement, des fulgurances m’envahissaient, je tremblais encore de plus en plus, et mon clitoris excité subitement s’emballa si vivement, je remuais tant, que la noble Verge tendue s’enfonça d’un seul coup jusqu’à la garde par une poussée de reins fulgurante et puissante. J’étais prise à la hussarde, bien sodomisée profondément, ce qui provoqua dans tout mon corps, des spasmes qui remontaient sur toute mon échine, je me sentis saillie, telle une jument… Le Châtelain commença des va-et-vient, lents au début permettant de faire le passage de Sa hampe dans des allers et venues profonds et dilatants. Puis au bout d’un moment Il alla plus vite, plus rapides, par des va-et-vient qui m’électrisaient entièrement accélérant clairement la cadence à faire cogner Ses grosses couilles contre mes fesses. Je soufflais, je beuglais, je bavais, je me sentais pleine, remplie, chienne... Je devenais tétanisée d’excitation par l’impression foudroyante de cette phénoménale saillie…
Mon bas-ventre gonflait de plaisirs, je sentais encore et encore Ses testicules battre le long de ma fente vulvaire. Et ces battements déclenchèrent un ouragan orgasmique quand je fus enfin autorisée à lâcher mon orgasme, ainsi je trépignais, je gloussais, je tremblais, les allers et retours de Son noble Vit en mon cul de pute, se prolongeant, sans que Son éjaculation ne vienne. Le Maître me prenait sauvagement, bestialement et je jouissais telle une bête, possédée analement comme rarement j’avais été enculée, avec une sensation d’appartenance ressentie par moi, très fortement je me sentais possédée, j’étais possédée physiquement possédée ! Mon orgasme ce jour-là me fit si trembler sur mes jambes, que le Maître dut me retenir de Ses bras, pour ensuite me coucher sur le ventre à même le sol… Mais j’étais toujours empalée du cul par Sa grosse bite, alors Il me fit mettre ma jambe droite sur Son bras droit et la gauche sur Son bras gauche. Le résultat fut encore meilleur pour moi : Le Châtelain me soulevait le corps à même le sol comme un fétu de paille, et m’empalait en me laissant retomber très profondément sur Sa Verge dressée, ce qui me donna une sublime impression d’être prisonnière de Ses gestes, au point de déclencher à nouveau un second puissant orgasme, bien plus dévastateur que le premier.
Mais Monsieur le Marquis n’ayant pas encore joui dans mes entrailles, Il continuait encore et encore à me pistonner, me besogner, à m’utiliser de plus en plus fort, donnant des coups de reins d’une force inouïe tout en variant les cadences, me mettant en une folie orgasmique majeure. Tout vibrait en mon corps de délicieux spasmes, mes oreilles bourdonnaient quand je m’entendis dire de jouir de nouveau, alors j’éclatais de mille plaisirs jouissifs dans des orgasmes ininterrompus qui se succédaient tout aussi explosifs les uns que les autres… J’étais déchaînée comme une putain complètement désinhibée, je me lâchais entièrement… Le Maître était maintenant déchaîné Lui-même par Sa fougue virile mais aussi et certainement grâce au tableau que je Lui donnais. Alors c’est de longs jets de sperme, plusieurs fois renouvelés qui me remplirent le cul avec abondance dans des râles de jouissance incroyablement puissants et longs d’un mâle en rut... Je n’oublierai jamais cette sensation d’être remplie en cet orifice, de sentir un homme se vider ainsi, tout au fond de mon cul, comme en une sorte de lavement naturel… Le Noble me reposait doucement sur le sol, sortant de mon cul, j’avais du mal à rester sans bouger tant mes tremblements me secouaient encore… Inoubliable… Puis il m’enfila un gode anal très volumineux et un autre, vaginal, tout aussi imposant …
Ensuite le Maître m’emmena à quelques mètres dans le couloir jusqu’à Son Donjon où trônait en plein milieu de la large pièce circulaire, une vaste table de gynécologie. Sans attendre Il me fit m’allonger sur cette table d’examens, les jambes largement écartées reposant sur les étriers, largement ouverte devant lui. Assis sur Son tabouret et le front ceint d’une lampe, Il retira le gode vaginal qu’Il m’avait posé juste avant d’entrer dans le Donjon. Le Noble le sentit et le présenta devant ma bouche afin que je le lèche afin de le nettoyer de ma propre mouille. De ma vulve, s’écoula beaucoup de cyprine, au point que le Châtelain du placer entre mes cuisses, sous mes fesses, plusieurs couches d’essuie-tout. Il introduisit ensuite un speculum-écarteur qui ouvrit complètement ma vulve. Le Maître tâtait, regardait, visitait, palpait, fouillait, mesurait ma profondeur vaginale, la nature de mon col utérin, y introduisant ensuite un endoscope pour visualiser l’intérieur de mon utérus. Le Maître tel un gynéco, enfila dans ma chatte Ses doigts baladeurs et me fit une palpation en règle de chaque paroi vaginale, de mes lèvres intimes, les écartant largement, mais aussi me décapuchonnant mon clitoris, le masturba vicieusement, le fit se dresser... J’en étais trempée …
Puis Monsieur le Marquis me fit changer de position, sur le côté, jambe en l’air, regardant attentivement l’intérieur de mon sexe et me fit me remettre sur le dos. Il dégagea alors mon anus, et se montra fort satisfait de la grosseur mais surtout de la longueur du gode anal qu’il m’avait également introduit en même temps que celui vaginal avant d’aller au Donjon. Tandis que j’avais toujours la chatte distendue, écartée par le speculum, le Noble introduisit dans mon anus un écarteur anal qu’il ouvrait de plus en plus à l’aide d’une molette. Là aussi, je fus visitée, palpée comme la jument que je devenais, sans aucun état d’âme … Ensuite le Maître me fit me mettre à quatre pattes, sur cette table d’examens, ce que je m’empressais d’obéir avec mes ouvertures toujours remplies de l’écarteur anal et du speculum vaginal. Ainsi largement ouverte, je me vidais de ma cyprine et du sperme du Maître laissé tantôt dans mes intestins par la fabuleuse saillie sodomie… Quand j’entendis d’une voix claire :
- Ouvre la bouche, Ma salope de chienne esclave, me dit-il !
Pendant que j’ouvrais donc la bouche, il plaçait sur mon clitoris une sorte de vibro que je ne voyais pas mais qu’il régla à la bonne hauteur et qu’il activa depuis Son portable. Immédiatement, des vibrations très intenses m’envahirent mais pas en continue. Les vibrations semblaient aléatoires, allant d’une simple vibration, augmentant ensuite fortement, diminuant à nouveau pour repartir violemment parfois. Le vibro obéissant aux ordres transmis depuis le portable du Maître de façon qu’Il voulait que le vibro soit incontrôlable. Le résultat fut fulgurant, car en très peu de temps, j’étais arrivée au bord d’un orgasme qui s’annonçait violent. Monsieur le Marquis était toujours placé derrière moi, regardant l’intérieur de ma vulve et de mon cul tandis que la caméra de l’endoscope filmait et enregistrait mes spasmes utérins et que de ma chatte coulaient des torrents de glaire, de mouille vaginale. Subitement, le vibro s’affola au point que je ne pus me retenir de jouir mais ouf ! Car au même moment le Noble exigea que je lâche mon orgasme sans me retenir alors qu’il observait mes réactions de plaisirs, les yeux rivés sur l’endoscope, regarda attentivement mes modifications intimes de mon intérieur. De mon côté, je tremblais de jouissances énormes, écartée de toute part, lâchant des cris orgasmiques sans fin quand subitement le vibro s’arrêta. Le Châtelain se leva et me dit :
- Tu es une bonne chienne en chaleur très réceptive à l’excitation et qui mouille parfaitement bien, je n’en doutais pas, maintenant j’en ai la preuve physique après ce petit examen où je me suis improvisé gynéco, pour l’occasion…
(A suivre …)
Oui, c’est cela, j’étais tout simplement heureuse … Au bout d’une demi-heure ainsi sans bouger, à être caressée de la sorte avec tant de douceur, moi agenouillée avec ma tête toujours posée sur Sa cuisse, je perçus devant mes yeux, une bosse qui se formait sous le pantalon du Maître, quand je l’entendis m’exiger :
- Oui comme tu le vois, Ma chienne, tu Me fais encore bander, tu es si belle, si sensuelle… si femelle … ! Alors mets-toi à genoux face à Moi, dit-Il en déboutonnant Son pantalon, baissant Son caleçon, pour laisser apparaitre Sa grosse Verge impérieuse et bien droite à la verticale…
Je me mis donc à genoux sans attendre. Très doucement, il me prit la nuque et l’approcha lentement, mais quand même fermement, devant Sa Verge bien dressée. Il ne m’exigeait rien verbalement, car dans ce cas-là pas besoin de mots, les gestes suffisent à se comprendre. Alors j’ouvris ma cavité buccale pour prendre en bouche ce Sexe masculin si imposant de vigueur. Je pris le gland violacé, gonflé de sang et commença à passer ma langue dessus et sur ses contours… Je le ressortais, pour mieux le savourer des yeux… je vis les contours et y passais de nouveau le bout de ma langue gourmande, repassa dessus, sur la fente du méat humide. Puis, je poursuivais mon savoureux léchage en prenant ce fier gland turgescent entièrement, le gobant sur sa totalité et je l’aspirais avec envie, en pressant mes lèvres. Puis je descendais de plus en plus bas, mes lèvres se refermant sur cette chair afin de prendre toute la hampe jusqu’à la gorge quand enfin je l’avalais pratiquement entièrement. Lentement, très lentement, je remontais, puis redescendais, remontais encore et ainsi de suite. Et je sentais que ce je faisais Lui plaisait car le Maître me caressait les joues avec beaucoup de douceur, ce qui me fit remarquer Son bien-être qui m’importe tant… A un moment donné, le Châtelain me fit me relever, me mettre devant Lui et Il commença par me palper les seins, les soupeser, s’occupait à caresser mes tétons, léchais les aréoles de Sa large langue baladeuse, aspirait mes bouts de sein, les mordillais du bout de Ses dents. Puis Il les étirait mais toujours avec douceur, entre ses dents, je commençais à sérieusement avoir envie de jouir sentant mon bas-ventre réagir grandement à Son savoureux traitement par une forte humidité qui y régnait, mon excitation ne faisait que s’accentuer …
Tout en continuant Sa délicieuse utilisation de mes seins, le Noble passa Ses doigts le long de ma fente vulvaire parfaitement lisse et Il la trouva fort humide. Alors Il remonta sur mon clitoris, le toucha, et là, tout d’un coup, je me mis à trembler de tout mon corps de salope. S’en apercevant par de grands yeux Dominants et un sourire empli de gourmandise, le Maître décida d’accentuer Sa masturbation sur mon sensible bouton rose. Pour cela, le Châtelain prit mon clitoris entre deux de Ses doigts, et le branla à la manière d’un sexe masculin, lentement au début, tout en tapotant sur le haut du capuchon, puis Il le décalotta pour le faire émerger et le lécha avec avidité, m’envoyant dans d’autres planètes. Sa langue posée sur mon clito, Il s’occupait ensuite et aussi de lécher mes lèvres intimes et de s’insinuer à l’intérieur, léchant mes parois vaginales avec Sa dextérité buccale exquise. Cependant, je n’avais pas encore joui, quand par une flexion de Son bras sur ma nuque, je me retrouvais à nouveau agenouillée comme tantôt. Et il me fit me remettre ma bouche sur Sa tige droite comme un I, qui coulait du liquide pré-séminal. A nouveau à genoux donc, un peu déçue d’être abandonnée en pleine ascension concernant mon clitoris, je léchais ce liquide s’échappant de Son méat urinaire, puis, à nouveau tout le gland, avalant totalement cette épaisse et virile Verge dressée.
Ma bouche engloba donc de nouveau entièrement Son gros sexe entre mes lèvres buccales. Avec mes mains, je caressais ses testicules, ce qui avait l’air de Lui plaire car je l’entendais gémir de plaisir. Je sentais qu’elles étaient bien pleines et cela me donna envie de faire glisser encore mieux Sa grosse queue plus au fond de ma bouche de pute, de sentir Son gland sur ma langue. Positionnée comme je l’étais, je ne voyais pas Son visage mais j’imaginais qu’il devait exprimer du plaisir écoutant Son souffle court. Le liquide qui s’écoulait lentement de Sa divine Verge excitée avait plutôt bon goût, alors que je me mis à faire aller et venir mes lèvres en cadence tout en aspirant. Le Maître me tenait la tête et guidait mes mouvements. Il était doux et ça m’aidait à bien m’occuper de Lui. Je ne savais pas comment cela allait finir, mais je me devais de Le faire jouir. Il devait être fort excité aussi à sentir Sa grosseur raide, dure de Sa verge dans ma bouche de salope. J’accélérai ma cadence en gorges profondes, je pompais autant que je le pouvais quand je sentis des soubresauts de Sa hampe qui se mit à jouir m’envoyant une première giclée de sperme chaud, collant sur ma langue, suivie par d’autres en saccades successives alors que le Maître râlait longuement Son plaisir de mâles. Je me suis alors retrouvée avec Son sperme en bouche. Puis Il m’exigea de le garder en bouche et de l’ouvrir largement pour Lui montrer Sa semence stagnant en ma cavité buccale avec ma salive. Puis sur Son claquement de doigt, je me mis à tout avaler avec ce fort ressenti d’être honorée, voire privilégiée de pouvoir avaler Sa noble semence…
Le temps pour Lui de récupérer un peu, il me fit me remettre debout d’abord, reprit le branlage actif de mon clitoris, tandis qu’une main baladeuse passait et repassait sur mes fesses. Cette douce main vicieuse s’insinuait entre elles, cherchant ma raie anale pour aller jusqu’à mon anus. Celui-ci trouvé, Son doigt se posa dessus et je me desserrai de suite instinctivement par offrande. Le Châtelain m’exigea d’écarter moi-même mes fesses, ce que je fis de suite sans aucune hésitation… J’étais bien penchée en avant, alors Il entreprit à faire pénétrer Son doigt mais mon cul n’était pas lubrifié. Il me présenta alors Son doigt que je prenais dans ma bouche et celui-ci une fois bien mouillé, salivé, le Maître le représenta à l’entrée de mes fesses, puis il le poussa un peu sur mon anus et commença à le faire entrer lentement, puis le ressortit, puis rentra à nouveau plus profondément tout en faisant des cercles pour en élargir l’ouverture. Maintenant Son doigt entièrement entré en moi, Ses cercles détendaient doucement mon ouverture, dilataient mes parois anales qui peu à peu se relâchaient. Il ressortit Son divin doigt, me le donna à le saliver à nouveau mais avec un second doigt. Les deux doigts ainsi humidifiés firent leur entrée à nouveau. Et à un moment donné, je ressentis de très agréables sensations masturbatoires… En même temps, Monsieur le Marquis travaillait mon clitoris et me doigtait le cul. Et l’ensemble de Ses deux actions, commençait très sérieusement à m’exciter. Je me mis de nouveau à trembler de mon corps chaud sur mes jambes largement écartées…
Cet exquis traitement dura une bonne dizaine de minutes quand le Noble se leva, posa sur mon anus, Son gland redevenu dur et énorme tel un pieu de chair dressé. Je le sentis, derrière moi, qu’il poussait me tenant fermement par la taille, oui bien fermement par les hanches, et lentement le Maître entrait dans mon cul de salope. Mais Son volumineux sexe dépassait en largeur Ses deux doigts. Alors au fur et à mesure qu’Il s’enfonçait plus profondément en mon fondement, des fulgurances m’envahissaient, je tremblais encore de plus en plus, et mon clitoris excité subitement s’emballa si vivement, je remuais tant, que la noble Verge tendue s’enfonça d’un seul coup jusqu’à la garde par une poussée de reins fulgurante et puissante. J’étais prise à la hussarde, bien sodomisée profondément, ce qui provoqua dans tout mon corps, des spasmes qui remontaient sur toute mon échine, je me sentis saillie, telle une jument… Le Châtelain commença des va-et-vient, lents au début permettant de faire le passage de Sa hampe dans des allers et venues profonds et dilatants. Puis au bout d’un moment Il alla plus vite, plus rapides, par des va-et-vient qui m’électrisaient entièrement accélérant clairement la cadence à faire cogner Ses grosses couilles contre mes fesses. Je soufflais, je beuglais, je bavais, je me sentais pleine, remplie, chienne... Je devenais tétanisée d’excitation par l’impression foudroyante de cette phénoménale saillie…
Mon bas-ventre gonflait de plaisirs, je sentais encore et encore Ses testicules battre le long de ma fente vulvaire. Et ces battements déclenchèrent un ouragan orgasmique quand je fus enfin autorisée à lâcher mon orgasme, ainsi je trépignais, je gloussais, je tremblais, les allers et retours de Son noble Vit en mon cul de pute, se prolongeant, sans que Son éjaculation ne vienne. Le Maître me prenait sauvagement, bestialement et je jouissais telle une bête, possédée analement comme rarement j’avais été enculée, avec une sensation d’appartenance ressentie par moi, très fortement je me sentais possédée, j’étais possédée physiquement possédée ! Mon orgasme ce jour-là me fit si trembler sur mes jambes, que le Maître dut me retenir de Ses bras, pour ensuite me coucher sur le ventre à même le sol… Mais j’étais toujours empalée du cul par Sa grosse bite, alors Il me fit mettre ma jambe droite sur Son bras droit et la gauche sur Son bras gauche. Le résultat fut encore meilleur pour moi : Le Châtelain me soulevait le corps à même le sol comme un fétu de paille, et m’empalait en me laissant retomber très profondément sur Sa Verge dressée, ce qui me donna une sublime impression d’être prisonnière de Ses gestes, au point de déclencher à nouveau un second puissant orgasme, bien plus dévastateur que le premier.
Mais Monsieur le Marquis n’ayant pas encore joui dans mes entrailles, Il continuait encore et encore à me pistonner, me besogner, à m’utiliser de plus en plus fort, donnant des coups de reins d’une force inouïe tout en variant les cadences, me mettant en une folie orgasmique majeure. Tout vibrait en mon corps de délicieux spasmes, mes oreilles bourdonnaient quand je m’entendis dire de jouir de nouveau, alors j’éclatais de mille plaisirs jouissifs dans des orgasmes ininterrompus qui se succédaient tout aussi explosifs les uns que les autres… J’étais déchaînée comme une putain complètement désinhibée, je me lâchais entièrement… Le Maître était maintenant déchaîné Lui-même par Sa fougue virile mais aussi et certainement grâce au tableau que je Lui donnais. Alors c’est de longs jets de sperme, plusieurs fois renouvelés qui me remplirent le cul avec abondance dans des râles de jouissance incroyablement puissants et longs d’un mâle en rut... Je n’oublierai jamais cette sensation d’être remplie en cet orifice, de sentir un homme se vider ainsi, tout au fond de mon cul, comme en une sorte de lavement naturel… Le Noble me reposait doucement sur le sol, sortant de mon cul, j’avais du mal à rester sans bouger tant mes tremblements me secouaient encore… Inoubliable… Puis il m’enfila un gode anal très volumineux et un autre, vaginal, tout aussi imposant …
Ensuite le Maître m’emmena à quelques mètres dans le couloir jusqu’à Son Donjon où trônait en plein milieu de la large pièce circulaire, une vaste table de gynécologie. Sans attendre Il me fit m’allonger sur cette table d’examens, les jambes largement écartées reposant sur les étriers, largement ouverte devant lui. Assis sur Son tabouret et le front ceint d’une lampe, Il retira le gode vaginal qu’Il m’avait posé juste avant d’entrer dans le Donjon. Le Noble le sentit et le présenta devant ma bouche afin que je le lèche afin de le nettoyer de ma propre mouille. De ma vulve, s’écoula beaucoup de cyprine, au point que le Châtelain du placer entre mes cuisses, sous mes fesses, plusieurs couches d’essuie-tout. Il introduisit ensuite un speculum-écarteur qui ouvrit complètement ma vulve. Le Maître tâtait, regardait, visitait, palpait, fouillait, mesurait ma profondeur vaginale, la nature de mon col utérin, y introduisant ensuite un endoscope pour visualiser l’intérieur de mon utérus. Le Maître tel un gynéco, enfila dans ma chatte Ses doigts baladeurs et me fit une palpation en règle de chaque paroi vaginale, de mes lèvres intimes, les écartant largement, mais aussi me décapuchonnant mon clitoris, le masturba vicieusement, le fit se dresser... J’en étais trempée …
Puis Monsieur le Marquis me fit changer de position, sur le côté, jambe en l’air, regardant attentivement l’intérieur de mon sexe et me fit me remettre sur le dos. Il dégagea alors mon anus, et se montra fort satisfait de la grosseur mais surtout de la longueur du gode anal qu’il m’avait également introduit en même temps que celui vaginal avant d’aller au Donjon. Tandis que j’avais toujours la chatte distendue, écartée par le speculum, le Noble introduisit dans mon anus un écarteur anal qu’il ouvrait de plus en plus à l’aide d’une molette. Là aussi, je fus visitée, palpée comme la jument que je devenais, sans aucun état d’âme … Ensuite le Maître me fit me mettre à quatre pattes, sur cette table d’examens, ce que je m’empressais d’obéir avec mes ouvertures toujours remplies de l’écarteur anal et du speculum vaginal. Ainsi largement ouverte, je me vidais de ma cyprine et du sperme du Maître laissé tantôt dans mes intestins par la fabuleuse saillie sodomie… Quand j’entendis d’une voix claire :
- Ouvre la bouche, Ma salope de chienne esclave, me dit-il !
Pendant que j’ouvrais donc la bouche, il plaçait sur mon clitoris une sorte de vibro que je ne voyais pas mais qu’il régla à la bonne hauteur et qu’il activa depuis Son portable. Immédiatement, des vibrations très intenses m’envahirent mais pas en continue. Les vibrations semblaient aléatoires, allant d’une simple vibration, augmentant ensuite fortement, diminuant à nouveau pour repartir violemment parfois. Le vibro obéissant aux ordres transmis depuis le portable du Maître de façon qu’Il voulait que le vibro soit incontrôlable. Le résultat fut fulgurant, car en très peu de temps, j’étais arrivée au bord d’un orgasme qui s’annonçait violent. Monsieur le Marquis était toujours placé derrière moi, regardant l’intérieur de ma vulve et de mon cul tandis que la caméra de l’endoscope filmait et enregistrait mes spasmes utérins et que de ma chatte coulaient des torrents de glaire, de mouille vaginale. Subitement, le vibro s’affola au point que je ne pus me retenir de jouir mais ouf ! Car au même moment le Noble exigea que je lâche mon orgasme sans me retenir alors qu’il observait mes réactions de plaisirs, les yeux rivés sur l’endoscope, regarda attentivement mes modifications intimes de mon intérieur. De mon côté, je tremblais de jouissances énormes, écartée de toute part, lâchant des cris orgasmiques sans fin quand subitement le vibro s’arrêta. Le Châtelain se leva et me dit :
- Tu es une bonne chienne en chaleur très réceptive à l’excitation et qui mouille parfaitement bien, je n’en doutais pas, maintenant j’en ai la preuve physique après ce petit examen où je me suis improvisé gynéco, pour l’occasion…
(A suivre …)
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