La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1612)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-02-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1612)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1611 -
Chapitre 36 bis : Saillies à la chaine -
- Vas-y Ma salope, c’est bon, continue Ma putain de chienne, c’est bien !... C’est bon … !
Peu après, de longs jets chauds et onctueux venaient envahir ma bouche jusqu’à déborder d’entre les commissures de mes lèvres, et couler le long de mon menton. Monsieur le Marquis se retirait, de Son index replié, Il cueillait sur mon menton, Sa semence s’échappant de mes lèvres, puis glissait Son doigt dans ma bouche pour que je puisse ingurgiter les restes de cette forte éjaculation pour le moins abondante. Avant de remonter Son sous-vêtement et Son pantalon, Il essuyait Sa magnifique Verge, semi molle dans ma chevelure. Il rajustait ensuite Son pantalon me laissant ainsi à quatre pattes. J’étais là, sans y être vraiment, je planais et survolais un océan d’ivresse et d’exaltation, je m’envolais vers d’autres dimensions où plus aucun aspect de ma vie ou de mon identité n’avait de sens. Le Maître venait de contribuer à neutraliser mon corps et mon esprit pour que je souhaite davantage me soumettre, m’avilir et me déshonorer près de Lui, pour que mes souhaits d’être toujours plus à Lui deviennent un besoin, un véritable besoin viscéral… Markus était là, près de Monsieur le Marquis… Avait-il assisté à cette longue mais délicieuse fellation ? Il me regardait avec son sourire féroce et implacable. Ses yeux dévoraient mon corps affaibli, puant la transpiration, la pisse et le sperme. Il s’accroupissait devant moi et m’obligeait à relever mon regard :
- Tu n’es rien… même pas une petite merde, tu es juste pitoyable… lamentable… consternant ! Je suis certain que tu te complets dans cette situation de larve misérable. Tu n’es que bon à prendre du foutre dans ta petite gueule de putain, de salope et dans ton cul de bâtard.
Markus n’avait pas tort, j’acquiesçais en levant de bas en haut mon visage. Oui j’aimais le foutre, j’aimais sa saveur, sa texture, son odeur caractéristique, j’aimais l’ingurgiter, le sentir s’échapper de ma rondelle, le voir se répandre sur mon corps… Une véritable addiction... Un nouveau moment de silence se passait quand ensuite, la porte s’ouvrit et le Majordome faisait son apparition et s’adressait au Noble :
- Elle est prête, Monsieur le Marquis, Vous pouvez y amener Votre esclave salope quand Vous le voudrez ! Ils attendent tous dans l’autre pièce à côté d’où elle se trouve.
- Ah parfait, Walter, je te remercie ! Je l’emmène de suite !
Je me demandais de qui le Majordome voulait parler ! Une Domina ? Une soumise ? Et qui attendaient dans une autre pièce ? Je n’avais pas trop le temps de me poser des questions quand je sentis que le Maître tirait sans attendre sur ma laisse pour me mener dans une pièce attenante à celle où nous nous trouvions. Une fois arrivé, je compris vite de qui voulait parler, Walter ! En réalité ce n’était pas de qui, mais de quoi ! En effet devant moi se trouvait une chaise suspendue telle une balançoire, mais sans fond, juste le pourtour existait pour pouvoir s’y s’asseoir, laissant ainsi les fesses à l’air. Markus et Walter qui nous avaient suivis m’installaient sur cette bizarre chaise… Tout autour pendaient des sangles solidement arrimées au plafond…
Et en peu de temps, je me suis retrouvé les fesses posées sur cette assise percée. Et à moitié couché car j’étais presque en position horizontale quasiment suspendu ainsi dans le vide par toute une panoplie de sangles qui me maintenaient mes chevilles largement écartées. Mais aussi sous mes mollets, sous mes cuisses écartées, sous mes genoux les pliant au passage, l’assise elle-même était maintenue par deux solides sangles. D’autres sangles passaient aussi sous mon dos, sous mes épaules. Un repose-tête fut placé derrière moi, ce dernier fixé sur un solide et haut pied vissé au niveau du sol. Puis une pancarte fut installée au-dessus de ma tête. Une immense armoire à glace placée en face de moi me permis de lire à l’envers ce qu’il y avait d’inscrit. ‘‘ Grosse salope de chienne à utiliser puis à noter’’. Un tableau blanc sur trépieds fut avancé sur ma gauche. Il y avait inscrit au feutre, une vingtaine de prénoms listés. A la lecture, je constatais qu’il y avait pour moitié des prénoms de femmes et pour autre moitié des hommes… En face de chaque prénom, il y avait un espace suivi d’un /20. Je compris vite que l’espace servait à attribuer une note sur 20. Ce fut la derrière chose que je vis car Markus m’installait un bandeau noir sur mes yeux. Un bâillon me fut aussi installé par Walter… Puis ce fut le silence qui dura juste une minute…
J’entendis alors une porte sur le côté s’ouvrir et selon le brouhaha, je compris que ceux qui attendaient se tenait en file indienne devant moi… Instinctivement, je devinais même qu’on se branlait à tout va dans la file d’attente… Mon corps nu solidement et judicieusement suspendu, bondagé ainsi, mon cul était de fait visiblement très bien exhibé. Et je sentis deux mains se poser sur mes genoux repliés et écartés, puis un gland venir presser mon œillet… La sodomie fut spontanée, fulgurante, on m’enculait d’un seul coup et sans modération. La verge qui m’enculait avait dû être préalablement lubrifiée de gel, car malgré la vive douleur, je sentais que ça glissait assez aisément entre mes parois anales. Celui qui m’enculait ne ménageait pas ses coups de reins allant très profondément en moi jusqu’à qu’il éjaculait sans modération au bout de quelques minutes. Puis il se retira et j’entendis le bruit strident d’un feutre glissant sur le tableau blanc, je compris alors que l’homme qui venait de m’enculer, me mettait une note sur 20 devant son prénom. Et ainsi de suite, je suis enculé à la chaine, sans interruption, les hommes par des sodomies de leur grosse Verge, les femmes par des énormes godes-ceintures tout en enserrant ma nouille érigée de leur poigne sous leurs coups de boutoirs… Tous me notaient après avoir usé et abusé de mon trou anal… Je sentais le sperme s’épancher et couler entre mes entrailles, mais aussi les nombreux crachats sur mon visage des femmes en guise d’éjaculation quand elle se lassait de me sodomiser au gode-ceinture, crachats mélangés à des paires de gifles gratuites, comme ça, juste pour m’humilier. Elles me jetaient aussi un liquide sur le visage, et à l’odeur je compris que c’était de leur urine préalablement récoltée dans un grand verre à bière… Je me sentais ainsi profondément humilié, me sentant être juste un trou, un réceptacle à foutre, une chose, un objet à tester et à noter…
Ce délicieux calvaire de se faire enculer à la chaine par une vingtaine de personnes était tout simplement exceptionnel, jamais on avait abusé de mon trou du cul de si nombreuses fois en si peu de temps. Un, ou une, sortait de mon anus, et tandis qu’il, ou elle, me mettait une note, un, ou une, autre prenait sa place dans mon cul pour venir se soulager...
Quand le vingtième et dernier sodomite passait sur moi, je devinais que c’était un homme à la chaleur de sa grosse queue, je me sentais souillé, sale, puant le sperme, humilié, mais paradoxalement ultra excité… On me détacha, me libéra du bandeau et du bâillon et je pus souffler quelques minutes m’étant étaler, affaler sur le sol, telle une marionnette désarticulée qu’on laisse tomber… Je pus rester ainsi quelques minutes et quand je relevais la tête, mon regard se fixa sur le tableau blanc. Et je vis qu’on avait noté mon cul de différente manière. Certain avait marqué des 15, 17 et la note maximum fut un 18. Mais chez les femmes, les notes étaient plus sévères et ne dépassaient pas la moyenne… Quand j’entendis me dire :
- Mets-toi à genoux, la pute qui vient de se faire tringler à la chaine par des passes express ! … Le Maître veut te parler !, reprenait Markus
J’avais bien du mal à tenir ainsi, tous mes muscles étaient tétanisés. J’étais épuisé, exténué, totalement vermoulu… Comment ne pas être fracassé avec ce vécu impensable depuis mon arrivée, ce matin tôt au Château. J’avais du mal à remettre dans l’ordre tout ce que j’avais subi, tout ce que l’on m’avait fait vivre en si peu de temps, ces multiples fécondations près de Nala MDE, ces humiliations diverses et variées, ce phénoménale fist anal, cette fellation, et pour finir ces vingt incroyables saillies réalisées à la chaine … Bref mon cerveau était en vrac et mon estomac vide ! Oui j’avais faim, très faim même, mon estomac gargouillait, alors que je ne pus m’empêcher de lâcher des vents spermés. Le Noble entendit :
- Allons… un peu de tenue, Ma petite salope ! … Redresse-toi, cambre ton cul, bombe le torse, écarte davantage tes cuisses de chienne !, m’exigeait le Châtelain.
Après un effort considérable, j’ajustais ma posture afin que celle-ci soit conforme aux exigences du Maître.
- Tu as de la chance Ma salope, Markus, ici présent, t’apprécie beaucoup et je suis certain qu’il y a réciprocité, toi aussi tu sembles savourer ses attentions toutes particulières… je t’ai vu bander lorsqu’il écrasait tes minables petites couilles de chiot, autant bandé aussi durant toutes ces saillies…, reprenait Monsieur le Marquis !
Le Maitre se taisait un instant, me caressait le crâne comme Il aurait caressé un animal, puis reprenait Son monologue.
- J’ai décidé que Markus serait ton seul et unique témoin de mariage. Voilà un beau cadeau que je te fais, n’est-ce pas, Ma petite salope ?
J’acquiesçais une nouvelle fois en hochant de la tête de bas en haut.
- Mais voilà… il y a une contrepartie… Tu vas devoir subir Markus pendant 48 heures… Je te cède à lui pendant deux jours, deux jours intenses de soumission, de perversion, de dépravation… Tu vas et devras lui obéir, tu vas te donner et accepter tous les traitements qu’il va t’imposer. Je le veux, tu entends… Je le veux, je l’exige !
- Oui Maître !, osais-je répondre …
(A suivre…)
Chapitre 36 bis : Saillies à la chaine -
- Vas-y Ma salope, c’est bon, continue Ma putain de chienne, c’est bien !... C’est bon … !
Peu après, de longs jets chauds et onctueux venaient envahir ma bouche jusqu’à déborder d’entre les commissures de mes lèvres, et couler le long de mon menton. Monsieur le Marquis se retirait, de Son index replié, Il cueillait sur mon menton, Sa semence s’échappant de mes lèvres, puis glissait Son doigt dans ma bouche pour que je puisse ingurgiter les restes de cette forte éjaculation pour le moins abondante. Avant de remonter Son sous-vêtement et Son pantalon, Il essuyait Sa magnifique Verge, semi molle dans ma chevelure. Il rajustait ensuite Son pantalon me laissant ainsi à quatre pattes. J’étais là, sans y être vraiment, je planais et survolais un océan d’ivresse et d’exaltation, je m’envolais vers d’autres dimensions où plus aucun aspect de ma vie ou de mon identité n’avait de sens. Le Maître venait de contribuer à neutraliser mon corps et mon esprit pour que je souhaite davantage me soumettre, m’avilir et me déshonorer près de Lui, pour que mes souhaits d’être toujours plus à Lui deviennent un besoin, un véritable besoin viscéral… Markus était là, près de Monsieur le Marquis… Avait-il assisté à cette longue mais délicieuse fellation ? Il me regardait avec son sourire féroce et implacable. Ses yeux dévoraient mon corps affaibli, puant la transpiration, la pisse et le sperme. Il s’accroupissait devant moi et m’obligeait à relever mon regard :
- Tu n’es rien… même pas une petite merde, tu es juste pitoyable… lamentable… consternant ! Je suis certain que tu te complets dans cette situation de larve misérable. Tu n’es que bon à prendre du foutre dans ta petite gueule de putain, de salope et dans ton cul de bâtard.
Markus n’avait pas tort, j’acquiesçais en levant de bas en haut mon visage. Oui j’aimais le foutre, j’aimais sa saveur, sa texture, son odeur caractéristique, j’aimais l’ingurgiter, le sentir s’échapper de ma rondelle, le voir se répandre sur mon corps… Une véritable addiction... Un nouveau moment de silence se passait quand ensuite, la porte s’ouvrit et le Majordome faisait son apparition et s’adressait au Noble :
- Elle est prête, Monsieur le Marquis, Vous pouvez y amener Votre esclave salope quand Vous le voudrez ! Ils attendent tous dans l’autre pièce à côté d’où elle se trouve.
- Ah parfait, Walter, je te remercie ! Je l’emmène de suite !
Je me demandais de qui le Majordome voulait parler ! Une Domina ? Une soumise ? Et qui attendaient dans une autre pièce ? Je n’avais pas trop le temps de me poser des questions quand je sentis que le Maître tirait sans attendre sur ma laisse pour me mener dans une pièce attenante à celle où nous nous trouvions. Une fois arrivé, je compris vite de qui voulait parler, Walter ! En réalité ce n’était pas de qui, mais de quoi ! En effet devant moi se trouvait une chaise suspendue telle une balançoire, mais sans fond, juste le pourtour existait pour pouvoir s’y s’asseoir, laissant ainsi les fesses à l’air. Markus et Walter qui nous avaient suivis m’installaient sur cette bizarre chaise… Tout autour pendaient des sangles solidement arrimées au plafond…
Et en peu de temps, je me suis retrouvé les fesses posées sur cette assise percée. Et à moitié couché car j’étais presque en position horizontale quasiment suspendu ainsi dans le vide par toute une panoplie de sangles qui me maintenaient mes chevilles largement écartées. Mais aussi sous mes mollets, sous mes cuisses écartées, sous mes genoux les pliant au passage, l’assise elle-même était maintenue par deux solides sangles. D’autres sangles passaient aussi sous mon dos, sous mes épaules. Un repose-tête fut placé derrière moi, ce dernier fixé sur un solide et haut pied vissé au niveau du sol. Puis une pancarte fut installée au-dessus de ma tête. Une immense armoire à glace placée en face de moi me permis de lire à l’envers ce qu’il y avait d’inscrit. ‘‘ Grosse salope de chienne à utiliser puis à noter’’. Un tableau blanc sur trépieds fut avancé sur ma gauche. Il y avait inscrit au feutre, une vingtaine de prénoms listés. A la lecture, je constatais qu’il y avait pour moitié des prénoms de femmes et pour autre moitié des hommes… En face de chaque prénom, il y avait un espace suivi d’un /20. Je compris vite que l’espace servait à attribuer une note sur 20. Ce fut la derrière chose que je vis car Markus m’installait un bandeau noir sur mes yeux. Un bâillon me fut aussi installé par Walter… Puis ce fut le silence qui dura juste une minute…
J’entendis alors une porte sur le côté s’ouvrir et selon le brouhaha, je compris que ceux qui attendaient se tenait en file indienne devant moi… Instinctivement, je devinais même qu’on se branlait à tout va dans la file d’attente… Mon corps nu solidement et judicieusement suspendu, bondagé ainsi, mon cul était de fait visiblement très bien exhibé. Et je sentis deux mains se poser sur mes genoux repliés et écartés, puis un gland venir presser mon œillet… La sodomie fut spontanée, fulgurante, on m’enculait d’un seul coup et sans modération. La verge qui m’enculait avait dû être préalablement lubrifiée de gel, car malgré la vive douleur, je sentais que ça glissait assez aisément entre mes parois anales. Celui qui m’enculait ne ménageait pas ses coups de reins allant très profondément en moi jusqu’à qu’il éjaculait sans modération au bout de quelques minutes. Puis il se retira et j’entendis le bruit strident d’un feutre glissant sur le tableau blanc, je compris alors que l’homme qui venait de m’enculer, me mettait une note sur 20 devant son prénom. Et ainsi de suite, je suis enculé à la chaine, sans interruption, les hommes par des sodomies de leur grosse Verge, les femmes par des énormes godes-ceintures tout en enserrant ma nouille érigée de leur poigne sous leurs coups de boutoirs… Tous me notaient après avoir usé et abusé de mon trou anal… Je sentais le sperme s’épancher et couler entre mes entrailles, mais aussi les nombreux crachats sur mon visage des femmes en guise d’éjaculation quand elle se lassait de me sodomiser au gode-ceinture, crachats mélangés à des paires de gifles gratuites, comme ça, juste pour m’humilier. Elles me jetaient aussi un liquide sur le visage, et à l’odeur je compris que c’était de leur urine préalablement récoltée dans un grand verre à bière… Je me sentais ainsi profondément humilié, me sentant être juste un trou, un réceptacle à foutre, une chose, un objet à tester et à noter…
Ce délicieux calvaire de se faire enculer à la chaine par une vingtaine de personnes était tout simplement exceptionnel, jamais on avait abusé de mon trou du cul de si nombreuses fois en si peu de temps. Un, ou une, sortait de mon anus, et tandis qu’il, ou elle, me mettait une note, un, ou une, autre prenait sa place dans mon cul pour venir se soulager...
Quand le vingtième et dernier sodomite passait sur moi, je devinais que c’était un homme à la chaleur de sa grosse queue, je me sentais souillé, sale, puant le sperme, humilié, mais paradoxalement ultra excité… On me détacha, me libéra du bandeau et du bâillon et je pus souffler quelques minutes m’étant étaler, affaler sur le sol, telle une marionnette désarticulée qu’on laisse tomber… Je pus rester ainsi quelques minutes et quand je relevais la tête, mon regard se fixa sur le tableau blanc. Et je vis qu’on avait noté mon cul de différente manière. Certain avait marqué des 15, 17 et la note maximum fut un 18. Mais chez les femmes, les notes étaient plus sévères et ne dépassaient pas la moyenne… Quand j’entendis me dire :
- Mets-toi à genoux, la pute qui vient de se faire tringler à la chaine par des passes express ! … Le Maître veut te parler !, reprenait Markus
J’avais bien du mal à tenir ainsi, tous mes muscles étaient tétanisés. J’étais épuisé, exténué, totalement vermoulu… Comment ne pas être fracassé avec ce vécu impensable depuis mon arrivée, ce matin tôt au Château. J’avais du mal à remettre dans l’ordre tout ce que j’avais subi, tout ce que l’on m’avait fait vivre en si peu de temps, ces multiples fécondations près de Nala MDE, ces humiliations diverses et variées, ce phénoménale fist anal, cette fellation, et pour finir ces vingt incroyables saillies réalisées à la chaine … Bref mon cerveau était en vrac et mon estomac vide ! Oui j’avais faim, très faim même, mon estomac gargouillait, alors que je ne pus m’empêcher de lâcher des vents spermés. Le Noble entendit :
- Allons… un peu de tenue, Ma petite salope ! … Redresse-toi, cambre ton cul, bombe le torse, écarte davantage tes cuisses de chienne !, m’exigeait le Châtelain.
Après un effort considérable, j’ajustais ma posture afin que celle-ci soit conforme aux exigences du Maître.
- Tu as de la chance Ma salope, Markus, ici présent, t’apprécie beaucoup et je suis certain qu’il y a réciprocité, toi aussi tu sembles savourer ses attentions toutes particulières… je t’ai vu bander lorsqu’il écrasait tes minables petites couilles de chiot, autant bandé aussi durant toutes ces saillies…, reprenait Monsieur le Marquis !
Le Maitre se taisait un instant, me caressait le crâne comme Il aurait caressé un animal, puis reprenait Son monologue.
- J’ai décidé que Markus serait ton seul et unique témoin de mariage. Voilà un beau cadeau que je te fais, n’est-ce pas, Ma petite salope ?
J’acquiesçais une nouvelle fois en hochant de la tête de bas en haut.
- Mais voilà… il y a une contrepartie… Tu vas devoir subir Markus pendant 48 heures… Je te cède à lui pendant deux jours, deux jours intenses de soumission, de perversion, de dépravation… Tu vas et devras lui obéir, tu vas te donner et accepter tous les traitements qu’il va t’imposer. Je le veux, tu entends… Je le veux, je l’exige !
- Oui Maître !, osais-je répondre …
(A suivre…)
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