La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1616)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1616) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1616)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode N°1612 -
Chapitre 37 : Du rêve à la réalité –
- Oui Maître !, osais-je répondre …
Un peu plus tard, j’évoluais en quadrupédie dans une brume froide, incapable de comprendre ce qui m’arrivait, incapable de reconnaitre le lieu m’entourant. J’errais lamentablement, rampant comme un chien. Je grelotais parce que nu, totalement nu, comme au premier jour de ma naissance, sans aucun accessoire sur mon corps. J’avançais lentement, passant entre deux bâtiments inhabités, totalement délabrés, presque en ruine. J’avançais encore, plus rapidement, sans savoir pourquoi, sans savoir où, dans cette brouillasse blanche et humide qui au fil de ma progression devait vapeur d’eau chaude. Maintenant, je commençai à suer, de grosses gouttes perlaient de mon front, je n’avais plus un cheveu de sec, les paumes de mes mains devenaient humides, moites comme mes pieds, mes aisselles et mon cul. Je tentais de me rapprocher de cette vive lumière au fond de cette ruelle étroite et sans fin, malgré cette douleur persistante au niveau de mes couilles… Mon dieu, que j’avais mal ! Plus j’allais de l’avant et plus j’avais l’impression que quelqu’un s’agrippait à mes burnes comme pour me retenir et m’empêcher d’aller plus loin. Pourtant, personne derrière moi, mes couilles libres ballotaient naturellement entre mes jambes…
Où étais-je ? Pourquoi étais-je seul ici ? Je tentais de me redresser mais à cet instant je sentais s’abattre sur mon dos un coup de fouet terriblement douloureux, puis un autre sur mon cul, puis d’autres encore et encore, jusqu’à ce que ces coups s’arrêtent et que je reste allongé au sol, immobile et sanglotant. Mais c’était plus fort que moi, malgré le supplice enduré, il fallait que j’avance encore et toujours, c’était comme si tout mon être contrait la douleur en la muant en désir, comme si le feu dans ma peau, plutôt que de me consumer me faisait battre le cœur et me transcendait. Oui, j’étais bel et bien en transe… Ma poitrine s’emplissait de tout un réseau de plaisirs qui descendait jusqu’au creux de mes reins, où il restait enfoui, durcissant ma nouille et gonflant mes couilles toujours douloureuses, comme un signal impensable et inimaginable. Il fallait que j’atteigne cette lumière ! Elle était là à une vingtaine de mètres seulement, perçant cette espèce de fog londonien si épais… Il le fallait car je savais que celle-ci serait chaude et bienfaitrice. Elle l’était… une sensation étrange montait dans mon corps, conquérant d’abord mon bas-ventre, puis mon torse, mes omoplates et enfin ma nuque…
C’était comme une chaleur relaxante et réconfortante, un massage tendre qui provenait de l’intérieur de mes cuisses, qui augmentait, remontait et se propageait jusqu’à la racine de mes cheveux. Sans comprendre, sans explication, tout près de moi, sitôt après avoir quitté cette ruelle infâme et presque opaque d’un brouillard laissant passer juste cette luminosité qui m’attirait, et dès lors que la lumière enveloppait ce lieu autant étrange qu’extraordinaire, je me retrouvais dans un autre monde avec tout proche de moi, un couple enlacé, un homme et une femme, tous les deux nus, baisant sans retenu près d’une fontaine sur une immense place vide. Ils copulaient bestialement, elle, allongée sur le dos, les cuisses grandes ouvertes se laissait forniquer par cet homme laid et trapu qui la pénétrait sans douceur et en la tenant fermement par les seins. On aurait dit un porc dans son comportement bestial… Le visage de cette femme était habité d’un sourire terrifiant, inhumain tant elle semblait prendre du plaisir, à se faire baiser aussi sauvagement par cette grosse queue dressée qui entrait et sortait de son sexe à grands coups de reins. A chaque mouvement de hanches de son copulateur, tête en arrière, yeux révulsés, elle lâchait un gémissement rauque, puissant, puis avec une force inouïe redressait et relevait son torse du sol, telle une chienne en chaleur soulevant son bassin avec frénésie en tirant une langue avide qu’elle espérait glisser dans la bouche de ce mâle en rut la chevauchant sans concession. Lui, la giflait violemment, la renvoyant au sol pour mieux la ramoner et la baiser encore.

La femelle lâchait sa mouille abondante le long de ses cuisses tandis qu’elle hurlait, des hurlements sauvages d’agonie, de douleur, d’horreur, de joie, de plaisir. Elle gueulait qu’elle voulait de la bite, qu’elle voulait qu’on lui démonte la chatte et le cul en même temps… Je la regardais fixement mais elle ne me voyait pas… Mon regard ne pouvait lâcher le sien, même si derrière moi j’entendais un ensemble de cris confus, celui d’une foule acclamant, vociférant, un tumulte incroyable qui s’approchait lentement… J’avais douloureusement mal à ma nouille, je bandais comme un taureau en rut. Mais impossible de me branler, mes mains étaient maintenues dans mon dos par d’autres mains puissantes, m’empêchant de bouger, m’obligeant à me retourner et à faire face à l’invraisemblable, à l’inconcevable. Là, désormais, face à moi toute une meute se rassemblait. Des corps nus, luisants de salive, de cyprine et de foutre, escaladaient un escalier de pierre, rampaient les uns par-dessus les autres, braquant sur moi leurs yeux avides, tendant leurs mains ouvertes comme pour y recevoir un présent. Cette meute en rut avançait, poussait des gémissements jouissifs, émettait des cris insupportables dignes d’être entendus dans une extrême luxure orgiaque mêlant sexe et perversité.

Quelle étrange vision, ces corps nus, qui se trainaient, ces langues qui s’embrassaient, ces bouches grandes ouvertes, pleines de salive de cyprine et de foutre, ces corps en rut intense, en chaleur excessive, n’étaient plus qu’à quelques centimètres de moi. Impossible de bouger quand des mains tremblantes s’approchaient de mon visage… Un homme jeune, aux yeux foncés et gourmands se penchant en avant, enivré, son énorme pieu de chair bien tendu, il enroulait ses doigts longs et puissants autour de mon cou. Sa bouche baveuse se plaquait contre la mienne. Deux autres mains m’écartaient les jambes, d’autres encore empoignaient ma nouille et mes couilles. Des doigts s’enroulaient autour de mon gland dégoulinant, et le comprimait douloureusement, des pouces et index pinçaient et étiraient mes tétons en feu. J’étais effrayé… On me soulevait de terre comme un vulgaire pantin de chiffon, pour me déposer délicatement entre des corps nus et en sueur. Sitôt au sol d’autres mains me manipulaient, des bouches m’embrassaient avec fougue, me léchaient avec une énergie gourmande, une chaleur humide enveloppait mon sexe, des doigts s’enfonçaient dans mon cul…
Je perdais pied, me laissais faire en regardant cette vulve cramoisie et ruisselante devant ma bouche. Je percevais chaque avide coup de langue sur chacun de mes tétons, chaque pied s’imposant qui se plaçait sur mes bourses pour les faire durcir, chaque morsure quasi sensuelle sur mes cuisses, chaque baiser possessif dans mon cou. Des sensations qui explosaient sous ma peau répandant leur magie dans ma chair avec un torrent d’air souillé qui dévalait et noyait mes poumons. Mon cul se dilatait sous l’effet de l’excitation… Et puis… Quelle fut mon excessive excitation quand une verge monstrueuse, aux dimensions extraordinaires, hors normes, très longue et très épaisse terriblement veineuse, avec un gros gland rouge écarlate violacé couvert de liquide séminale dégageaient une odeur forte chargée de testostérone pressait mon anneau en feu. De mémoire, je n’avais vu un Vit aussi impressionnant, ce phallus aurait appartenu à un géant que cela ne m’aurait pas étonné ! Cette hampe de chair n’avait rien d’un simple sexe masculin en une érection d’une taille normale, c’était beaucoup plus que cela, c’était une érection de taille XXL !... Aussi cet individu, mi-homme, mi-bête rugissait et s’enfonçait en moi, alors que je dévorais cette chatte brulante plaquée maintenant sur ma bouche en m’imposant sa présence.

Une main me branlait très rapidement, alors qu’une autre me broyait les couilles. Un gland humide frottait contre mes joues pendant que je faisais tourner ma langue dans cette chatte dilatée, chaude déversant des flots de cyprine dans ma gorge. Près de moi, des sexes se cognaient, rebondissaient, des mains branlaient des chattes ou des bites. Au milieu de cette phénoménale orgie, j’entamais une danse par des mouvements amples et souples, des petits basculements de bassin, des petits gémissements de salope en chaleur. Je m’empalais sur cette queue XXL si énorme en essayant d’enlever désespérément cette main de ma nouille prête à exploser. Il ne me fallait pas jouir, je n’avais pas l’autorisation d’éjaculer, ça j’en avais pleinement conscience… Celui qui me pénétrait, que dis-je, celui qui me possédait physiquement de la sorte, se cabrait et poussait de vifs grognements gutturaux. Une déferlante de bonheur parcourait mon corps servile depuis mon cul jusqu’à mon crâne. Le sodomite à la verge de taille impensable venait d’exploser dans mon fondement de catin, tel un volcan entré subitement en éruption et sa lave épaisse, blanchâtre et brulante coulait dans mon cul et dans mon cœur, remplissant mon être d’une langueur assommante. L’ivresse se répandait en moi, j’expédiais mon foutre abondant à plusieurs dizaines de mètres en hoquetant et gémissant bruyamment, comme rarement mon gosier pouvait s’exprimer...

- Qu’est-ce que tu as fait là… regarde salope, là…, espèce de putain de bâtard !

Les coups de cravache de Madame Marie me sortaient brutalement de mon sommeil et de ce rêve follement érotique ! La revêche cuisinière, m’assenait des coups sur mes fesses, mes reins et parfois sur mes couilles. Elle était enragée et furieuse.

- Que sont ces souillures au sol… du foutre… ton foutre… Tu as joui comme un porc !, reprenait-elle en montrant ma semence du bout de sa cravache.
- Oh pardon, Madame Marie... oui j'ai joui parce que je rêvais.
- Tais-toi salope.

Oui, j’avais bel et bien joui…
(A suivre…)

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