La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1617)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1617) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-02-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1617)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1616) -
Chapitre 37 bis : Du rêve à la réalité –
Oui, j’avais bel et bien joui… Je ne pouvais le nier… J’avais éjaculé sans même me toucher, d’ailleurs je ne le pouvais pas… La cage de chasteté cadenassée sur ma nouille m’en empêchait. Mon foutre avait jailli à cause ou grâce à ce rêve terriblement érotique, pervers et vicieux.

- Lèche, nettoie tes cochonneries avec ta langue de porc, grosse salope !, m’ordonnait la Cuisinière
Je me mettais aussitôt à quatre pattes, langue pendante, langue allant cueillir ma semence pour l’ingurgiter au plus vite et ne laisser aucune trace de cette jouissance involontaire, hormis celle de ma salive sur ce sol bétonné. A cet instant, je sentais des mains manœuvrer et triturer mes testicules, les tirer vers le bas, les tordre douloureusement. Puis je percevais du métal froid, un déclic, un bruit de vis que l’on insérait et l’on faisait pivoter. Puis un étranglement à la base de mes couilles. Markus était là, c’était lui qui agissait. Il venait d’installer un troisième ballstrecher, un nouvel et lourd anneau métallique verrouillé autour de mes burnes.

- Chose promise, chose due ! Je t’ai promis d’étirer tes couilles, de les rendre bien pendantes entre tes cuisses. Tu verras, elles le seront d’ici quelques temps, elles seront tellement distendues qu’elles t’encombreront… Fais-moi confiance, j’y parviendrai salope, me disait Markus avec assurance.

Je comprenais pourquoi j’avais eu si mal aux testicules pendant mon rêve… Markus, la veille au soir, juste avant que je m’endorme, m’avait installé les deux premiers ballstrecher. Parce qu’équipé de ce matériel toute la nuit j’avais ressenti cet étranglement et ce poids autour de mes génitaux dès lors que je devais bouger... Et cet état, cette sensation ressentis avait allègrement alimenté mon rêve érotique… Toujours à quatre pattes, les cuisses écartées, Markus cette fois-ci accroupi devant moi, relevait mon visage et passant sa main sous mon menton.

- Tire ta langue de pute, montre-moi que tu as tout avalé…
J’obéissais, ma cavité buccale était nette, sans plus aucune trace de foutre, Alors, il saisissait ma chevelure et m’entrainait ainsi devant les pieds de la Cuisinière.

- Repends-toi salope, demande grâce à Madame Marie, lèche-lui les pieds, comme une petite salope doit le faire, vénère-là et remercie-là de tout ce qu’elle te donne.

Je n’hésitais pas une seconde, ma langue glissait sur ses ballerines, je m’appliquais et appuyais pour que la Cuisinière ressente mon sincère respect, mon admiration, ma considération. Elle semblait s’en satisfaire, je l’entendais doucement gémir, je la sentais tranquillement frémir… Jusqu’à cet instant, où d’une main elle remontait sa large jupe de l’autre elle m’attrapait les cheveux et plaquait ma bouche contre son sexe humide.

- Je suis sûre que cette catin, dans son rêve, se voyait bouffer de la chatte, je suis certaine qu’il devait se prendre de bon calibre dans son fion de putain… Ne croyez-vous pas, Markus ?

Pour seule réponse, Markus me saisissait par en dessous des hanches pour que mes fesses soient bien relevées, je l’entendais ensuite se racler la gorge et sentais son crachat frapper mon trou et dégouliner le long de mes fesses et entre mes cuisses, alors que son sexe bandé se présentait à l’entrée de mon cul. Je pouvais sentir sa chaleur intense, son gonflement, ses petites poussées préparant, contre mon œillet, son entrée en moi. Je fermais les yeux, respirais l’odeur de ce sexe gonflé d’envie possessive. J’entendais mes propres gémissements comme ceux de Madame Marie lorsque ma langue circulait entre ses lèvres intimes, lorsque celle-ci s’immisçait dans son antre bouillante et dégoulinante. Elle me cramponnait la tête, m’empêchant de respirer, pour que mon appendice buccal s’enfonce plus profondément en elle. Je bavais, léchais, avalais ces sucs doucement salés et agréablement acidulés. Je sentais les mains de Markus me malaxer, me broyer les hanches, tandis que son gros Vit m’écartait le cul et entrait progressivement en moi. Une douleur vive m’envahissait avant d’être très vite remplacée par une profonde sensation de bien-être.

Les hanches de Markus venaient frapper contre mes fesses, sa queue brulante m’emplissait tout entier. A chaque coup de butoir ma tête s’enfouissait plus encore entre les cuisses de la cuisinière, ma langue dardait son conduit brulant. Madame Marie se cramponnait à ma nuque et rugissait bruyamment… Son sexe dilaté laissait échapper des flots de cyprine que j’avalais au fur et à mesure, tandis que Markus me labourait. Il s’enfonçait plus intensément en grognant, je sentais ses couilles battre contre mon périnée, alors que les miennes lourdement lestées, claquaient contre ma cage de chasteté… Les yeux révulsés, la bouche grande ouverte ventousée à cette chatte béante, étouffant mes jérémiades, je n’entendais plus que le son de cette baise sauvage et matinale, je me délectais de son odeur, son gout et les flashes de lumières multicolores que me provoquait ses coups de piston dans mon cul écartelé. A quelques secondes d’intervalles, les deux Dominants jouissaient bruyamment, m’envoyant dans chacun de mes deux orifices, leurs délicieuses liqueurs intimes, de longs jets chauds venant envahir ma gorge et mon fondement.

Je restais ainsi, à quatre pattes, comme si cette position semblait des plus naturelles, à attendre les ordres suivants, à réaliser que je venais simplement et seulement de remplir ma raison d’être, celui de soulager des besoins et exigences sexuels pervers. Je prenais goût à ce que l’on m’imposait, qui s’inscrivait un peu plus dans mon instinct animal, ce besoin naturel en moi de servir, d’être démoli et reconstruit comme ici on l’entendait et l’exigeait ! Je vivais ce que la nature, ma Nature servile, avait inscrit dans ma chair et dans mes gènes… A cet instant tout me paraissait limpide et parfaitement normal… Après une bonne douche chaude et pour une fois, un copieux petit-déjeuner, je partais avec Markus, quittais le Château à pied nus sur les chemins dans l’Enceinte même de la Propriété de Monsieur le Marquis. Il faisait frais dehors et j’en frissonnais sur ma peau si réceptive à la température extérieure car j’étais totalement nu, ou presque, car seul un collier ornait mon cou, seuls mes attributs génitaux étaient enserrés dans des carcans lourds et volumineux. Markus ne m’avait pas imposé la quadrupédie mais d’évoluer en bipède alors je marchais mais je me déplaçais étrangement. En effet, les cuisses écartées, pour ne pas heurter mes pauvres couilles ballotant au grès de mes pas. J’étais donc debout mais tiré par une laisse, deux pas derrière Markus, sans savoir où il me conduisait… Après avoir traversé ainsi l’immense cour de la Bâtisse ancestrale, puis longé les vastes écuries pour les contourner, nous arrivions derrière les bâtiments équestres pour se rapprocher, sur la gauche, du vignoble proche de l’orée de la grande forêt du Domaine. Alors que nous longions une vigne, j’entrapercevais Antoine, à quelques pas de là, très occupé à se faire bourrer le cul par un inconnu. Celui-ci le besognait sauvagement, tenu debout, tout contre un talus. Nous passions près d’eux sans pour autant nous arrêter, Markus saluait « l’enculeur » en lui disant avec une perversité affichée :
- C’est une bonne chienne que tu as entre tes cuisses… Il aime la bite, il doit avoir le cul bouillant, ne le ménage pas !
- Hummm … Exact !..., lui répondait sobrement son interlocuteur trop affairé !

J’entendais Antoine gémir… Il semblait prendre du plaisir, ses râles étaient saccadés, hachés, tant les coups de butoirs étaient invasifs et percutants. J’éprouvais, pour la première fois, un sentiment de jalousie. Avec Antoine, je sentais grandir en moi un amour fort, sincère et authentique. Le voir ainsi utilisé me dépitait quelque peu. Mais je ne pouvais pas nier ce que nous étions, lui comme moi, juste des simples trous à utiliser, juste faits pour soulager en vide-couilles ou en vide-chattes, les dominants (tes). Et puis l’heure n’était pas venue de m’épancher sur mes ressentis, ni sur mes sentiments… Markus, à peine arrivé dans le bois, exigeait que je mette à quatre pattes et que je le précède ainsi. Tout juste installé, et avant de poursuivre notre chemin, il tirait sur la laisse en m’ordonnant d’écarter un peu plus encore les cuisses et de tendre mon cul.

- Tu vois salope, dans la vie, il y a ceux qui possèdent, comme moi, et il y a ceux qui sont nés pour servir et obéir, comme toi, ceux que la nature a fait naitre pour s’humilier aux pieds de ceux puissants. Toi, tu n’es qu’une petite merde, que dis-je… une sous merde ! Tu es vraiment fait pour être humilié et dominé, c’est une vérité, c’est dans ta Nature, c’est dans tes gènes. Je n’ai pas raison ?

Pourquoi à cet instant, je sentais un flot de honte me submerger… Était-ce cet homme qui savait savamment m’humilier ? Était-ce le lieu, ici à quatre pattes, tel un vulgaire clébard tenu en laisse en pleine nature ?

- Réponds-moi, la salope ?
- Oui, vous avez raison, Monsieur.
- J’ai raison sur quoi ?
- Je suis fait pour servir et obéir, Monsieur.
- Pour me servir et m’obéir à tout, y compris les actes les plus dégradants, à tout ce que je t’ordonnerai pendant ces 48 prochaines heures ?
- Oui Monsieur, je… Je vous le promets, Monsieur.
- Je l’entends bien ainsi… Faute de quoi je te punirai sévèrement, je serai impitoyable avec toi. Tu entends petite pute ? Comme t’en a informé Monsieur le Marquis, ce dernier m’a donné les pleins pouvoirs sur toi pour user et abuser de toi comme je l’entends et autant que j’en ai envie durant ces 48 heures… Alors je ne vais pas m’en priver…- Oui Monsieur, j’ai bien compris Monsieur.

Markus me contemplait avec une lubricité cruelle dans ses yeux. Sa main frottait son entrejambe gonflé. Avec lui, je n’avais plus d’égo, plus de fierté. Je le craignais et savais qu’il exigerait que je me conforme à mon rang : Celui d’une pute soumise, d’une chienne lubrique et débauchée, d’un esclave strictement obéissant et sincèrement respectueux…
(A suivre…)

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