La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1620)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1620) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-02-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1620)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1619) -
Chapitre 39 : Une double pénétration anale –
… il jouissait en plusieurs spasmes successifs, lâchait des râles longs et rauques, éjaculait m’envoyant à cinq ou six reprises sa semence brulante sur mon visage et ma chevelure… Markus tenait fermement mon collier, sa main crochetée sous mon menton, ses yeux mi-clos et vindicatifs, braqués dans les miens, ses joues empourprées. Il me contrôlait, exerçait sa pleine et entière domination en me tenant ainsi, mon visage à quelques centimètres du sien. J’étais là, incapable d’analyser, de penser, de réagir, mon cœur était en miette, je ne pigeais plus rien parce qu’anéanti. Mais la réalité est que je n’avais rien à piger, rien à comprendre, juste à obéir, juste à être utilisé, juste à servir de vide-couilles, juste à vivre ma condition d’esclave sexuel. Markus me contemplait avec un sourire pervers. Il posait son autre main sur mon épaule et la broyait entre ses doigts. Je grimaçais et gémissais. Il me rabaissait encore, comme si je n’avais pas été suffisamment humilié.

- Tu pues le foutre, la catin…, ça te plait d’avoir mon foutre sur ta petite gueule de pute ?, m’interrogeait-il.
- Oui Monsieur, j’aime sentir votre semence sur mon visage, Monsieur.
- T’inquiète la pute, je vais te parfumer ou te faire parfumer très régulièrement… Je le sais, les chiennes de ton espèce, ont besoin de renifler du foutre.

Markus ricanait en continuant à malaxer terriblement mon épaule gauche. Je me sentais inconsistant, lascif, dans l’abandon total de toute forme de résistance, comme si je flottais dans une sorte de plaisir éthéré, mon corps nu, servile, parcouru d’endorphines. Et ma nouille délicieusement chaude et raide, battant sous mon ventre, mes deux mains posées sur le sol crasseux, me donnant des airs de véritable clébard en chaleur ! A cet instant, Markus saisissait le lobe de mon oreille entre ses lèvres, et le mordillait doucement, le tirant un peu vers lui, avant de faire passer sa langue tout le long du pavillon et de le reprendre en bouche.

- Aller, viens la chienne, à la niche, me susurrait-il dans le creux de l’oreille.

Dans ce même local, qui devait servir autrefois de vestiaire, entre la rangée d’urinoirs et deux WC à la turque même pas cloisonnés, Markus soulevait une vieille trappe en bois que je n’avais pas repérée, tant elle était camouflée, à même le mur crasseux. Derrière celle-ci, se dissimulait un lieu clos, une forme de tunnel, entièrement bétonné, d’une hauteur et d’une largeur de quatre-vingts centimètres environ, avec devant une lourde porte aux barreaux d’acier. En actionnant une télécommande, la porte se soulevait doucement en grinçant.

- Entre là-dedans salope, ton cul en premier.

La porte se rabaissait lentement sitôt après mon passage, Markus refermais la trappe en bois, j’étais alors plongé dans l’obscurité totale et le silence absolu. Combien de temps allais-je devoir rester ainsi ? Je ne pouvais pas m’allonger, mes pieds buttaient contre d’autres barreaux au fond de ce petit espace exigu. Je m’installais, tant bien que mal en position fœtale en espérant pouvoir me reposer ! Sauf qu’à peine venais-je de trouver une position à peu près confortable, derrière moi, au niveau de mes pieds, une lumière entrait dans ce réduit étriqué. Je comprenais alors que l’on pouvait entrer dans ce local restreint par deux entrées distinctes.

- A quatre pattes la pute, vient coller ton cul contre les barreaux derrière toi.

Sitôt en place comme exigé, Markus attrapait mes couilles toujours lestées… Sans vraiment comprendre ce qu’il faisait, je sentais qu’il passait un lien au travers d’un anneau fixé sur l’un des ballstrecher, cordage qu’il nouait ensuite sur le plus loin barreau horizontal de la porte métallique.

- Voilà, c’est bien, tu vas pouvoir te recoucher si tu le souhaites, sache que moi, je n’y vois aucun inconvénient à ce que tu te reposes un peu. D’ailleurs je t’invite à le faire, parce que bientôt Rémy et Adrien vont venir tester ton cul et ta bouche de lope. Je veux que tu sois en forme pour accueillir leurs grosses bites bien épaisses…. Allez allonge-toi, la chienne en chaleur…
Sauf que m’allonger était simplement impossible… Le cordage était trop court, beaucoup trop court. Mes genoux touchaient à peine le sol, je devais rester le cul en l’air, si je voulais garder mes burnes. Markus riait à gorge déployée… Cet homme incarnait la perversité absolue… Il refermait la porte en me disant :
- Aller, bonne sieste, ma pute… Travaille bien tes petites boules de sale cabot et ne t’avise surtout pas à te branler.

Combien de temps restais-je ainsi, une heure, deux, plus encore… un temps interminable, un temps éprouvant, odieux et exténuant, mais aussi un temps délicieux et enivrant. Là, juste tenu par les couilles, le corps morcelé, reconstruit en une forme soumise et dévorante, la nouille et le cul en feu, j’étais simplement à ma place, j’étais celui que je souhaitais tellement être !… Au bout d’un temps certain, j’étais détaché, attrapé par les burnes et extirpé manu militari de ce réduit. En silence, cet homme ventru, poilu, barbu me faisait agenouiller sur le sol, juste devant lui, son gros gland luisant frappant contre mes lèvres. J’étais encore dans mes pensées lubriques, les paupières semi closes, pour tamiser cette lumière aveuglante. Sans qu’aucun ordre me soit donné, je prenais en bouche ce sexe humide, puant la transpiration et l’urine et l’enfonçait jusque dans ma gorge. L’homme attrapait ma nuque à deux mains, pour mieux enfoncer son membre au plus profond de ma bouche. Je fermais les yeux, me laissant pénétrer, enfouissant mon visage dans ses poils pubiens odorants. Peu après, il se dégageait de ma cavité buccale, attrapait son sexe et le soulevait, me présentant ses couilles près de ma bouche. Sans réfléchir, je les léchais alors qu’il marmonnait :
- Ouais, c’est bien, bouffe-moi les couilles salope, sale bâtard, pauvre merde… bouffe bien, je sais que tu aimes ça !

Je ne lui répondais rien, je n’avais rien à répondre, j’obéissais simplement, ouvrant grand la bouche pour y recevoir la masse pesante et odorante de ses testicules, léchant cette peau tendre, poilue et fripée au goût infâme. Je m’appliquais, posant ma langue bien à plat sous ce scrotum, puis la faisait glisser et remonter jusqu’à la racine de ce volumineux sexe tellement imposant. Je recommençais encore et toujours, jusqu’à ces coups de cravache terribles sur mon cul me faisant geindre. Markus était à la manœuvre, c’était lui qui me cinglait le cul douloureusement et sans concession, sans me ménager, on aurait cru qu’il se lâchait, qu’il se défoulait sur mon postérieur...

- Comment oses-tu te présenter ainsi face à Monsieur Rémy… Ce n’est pas parce qu’on s’occupe de ta bouche que tu ne dois pas cambrer ton cul de salope. Cambre tes reins, écarte toi… la chienne ! Montre à Monsieur Rémy que tu n’es qu’une pute désireuse de te faire mettre et remplir par tous tes trous ! C’est ainsi que tu dois être, aguicheur, excitant, provoquant, sachant émoustiller à chaque instant, ceux te dominant… Et je devrais même parler de toi au féminin, comme la bonne putain que tu es ! Alors je vais redire que tu dois être, aguicheuse, excitante, provoquante, salope, traînée, catin, chienne….

Alors que j’obéissais subissant toutes ses humiliations, verbales, comme physiques, je sentais la lourde masse de Monsieur Rémy se pencher par-dessus mon dos. Et pendant que je lui léchais et suçais son gland violacé, il attrapait mon cul et le malaxait jusqu’à me faire douloureusement mal. Plus il me pétrissait les fesses, plus sa grosse bite semblait prendre du volume. Elle atteignait son apogée lorsqu’il glissait un de ses doigts entre mes fesses, le pressant contre mon trou. La bouche pleine, toute entière dédiée à son plaisir, je laissais ce majeur se planter dans mon cul, répandant des flots de chaleur intense dans tout mon corps servile et si réceptif à ce genre de traitement. Monsieur Rémy insérait un second doigt, m’arrachant un cri de douleur.

- Ta gueule, la putain, laisse-toi doigter, je ne veux pas t’entendre, je veux te voir seulement docile, obéissante et donnant du plaisir !, hurlait Markus maintenant accroupi près de moi.

Alors en signe de soumission, je m’empressais de sucer Monsieur Rémy de plus en plus vigoureusement, par de grands allers-retours de ma bouche autour de son long et épais sexe, au rythme des mouvements vibratoires de ses doigts dans mon cul. Je ressentais de suite un torrent de plaisirs lubriques mélangés de dégout, de sueur, d’humiliations. Monsieur Rémy se redressait et me saisissait fermement par la nuque, avant de m’envoyer rouler sur un matelas posé sur le sol. Il soufflait comme un animal en rut, m’attrapait par les hanches, au point que ses doigts me martyrisaient douloureusement la chair, s’accroupissait derrière moi. Il présentait son viril sexe bandé, écartant mes fesses de son gland gluant. Je l’entendais cracher dans sa main, puis sentais ses doigts masser mon trou par sa salive, juste avant d’y placer sa grosse verge dressée. Sans un mot, sans autre préambule, il s’enfonçait tout entier en moi tout en me maintenant fermement par les hanches. Ensemble nous rugissions, lui de plaisir, moi de douleur, je m’écroulais sur le matelas avec cette impression que mon corps ne m’appartenait plus. Ce pervers personnage s’appropriait, possédait mon cul, faisait main basse sur mon être. Je n’étais plus rien, rien qu’un objet possédé et tourmenté. Affalé sur ce matelas, je le laissais me baiser, frappant mes fesses de ses hanches musclées. Sa hampe énorme était plus chaude que mon cul, elle le brulait, l’ébouillantait, l’ouvrait en deux…
Sa grosse queue était dure et longue, elle ramonait mon conduit, l’écartant, le dilatant outrageusement. Il y allait ardemment, me défonçait, me prenant le cul, mais aussi le cœur, l’esprit et l’âme. Il me laminait de l’intérieur à grands coups virils de sa bite pénétrant profondément mon fondement, brisant des pans entiers de ma personne, ravageant mes entrailles et mon égo, en y glissant sa virilité, sa chaleur, sa sueur, son envie dévorante de prédateur afin d’injecter sa volonté de faire de moi une catin, une putain, un soumis, un objet sexuel sans limite n’ayant à prendre autres décisions que de me faire baiser et d’obéir totalement et inconditionnellement. J’espérais que ce diabolique Rémy jouisse au plus vite, qu’il m’engrosse une bonne fois pour toute comme une pute, qu’il me souille de sa semence. Mais il continuait à me baiser comme un animal, dans une saillie plus que bestiale, il s’enfonçait et se retirait alors que je suffoquais sous son poids, sous ses coups de butoirs incessants... Alors que je tentais de me redresser, lui s’arrangeait pour glisser ses cuisses sous mes fesses. D’un coup d’un seul, lui et moi pivotions. Il se dégageait de mon cul et il s’allongeait à plat dos sur le matelas. Markus empoignait alors ma chevelure et m’installait accroupie au-dessus de Rémy, mes jambes de part et d’autre de son corps.

- A toi de faire le boulot, grosse salope, empale-toi sur cette bite et branle-là avec ton cul de putain !, m’ordonnait-il.

C’était moi qui devait bouger, moi qui devait m’enfoncer sur ce sexe tumescent et brulant. Mais très vite le bassin de Rémy se contractait et montait jusqu’à moi. Du coin de l’œil j’apercevais son visage dédaigneux et buriné, sa chevelure et sa grosse barbe hirsute, son regard de prédateur. Il me dévisageait et me dévorait tout en continuant à perforer mon cul inlassablement. Parfois, il mordait sa lèvre inférieure, son torse poilu et en sueur se gonflait et s’abaissait de plus en plus rapidement. Il allait jouir, je le sentais, mais je sentais aussi son gros Vit frotter tout contre ma prostate distendue. Il fallait que je le fasse jouir au plus vite, faute de quoi j’allais éjaculer avant lui. Comme une chienne, je m’activais sur cette queue, me levais, m’empalais, me relevais et renouvelais mes assauts inlassablement, je me donnais sans retenue, jusqu’à cet instant où Rémy m’attrapait à bras le corps, me faisant coucher sur lui, me cramponnant fermement, attirant ma tête contre la sienne, maintenant mon visage dans sa barbe trempée de sueur. Par des petits mouvements de bassin, sa volumineuse queue s’enfonçant plus doucement en moi. Alors qu’il me tenait parfaitement immobilisé, je l’entendais dire :
- Vas-y Markus, le cul de cette chienne est bien dilaté, c’est le bon moment…
Evidemment je ne comprenais pas, je sentais juste Markus s’installer sur le matelas derrière moi, entre les cuisses ouvertes de Rémy, puis quelques secondes après, je percevais la chaleur de son gland brulant se poser sur mes fesses, puis glisser dans ma raie, alors que mon cul était toujours assailli par la verge de Rémy. Markus se penchait, écartait mes fesses à deux mains, puis cherchait à enfoncer son sexe dur et tendu dans mon antre déjà comblé. J’hurlais en ravalant mes larmes ! Une douleur atroce, Markus venait de me pénétrer en un seul coup, se frayant un chemin entre mes parois rectales, mes sphincters et la bite de Rémy, tout en râlant. Tous deux m’enculaient en même temps jusqu’au bout, jusqu’à ce que leurs bourses se cognent, ravageant mon cul, m’écartelant mon anus maltraité, embrasant mon ventre. Une double sodomie douloureuse au départ qui au fil du temps devenait délicieuse. Ils me baisaient en rythme, associant et coordonnant leur mouvement de hanches, allant et revenant ensemble dans mon fion totalement dilaté. Tous deux colonisaient mon être, chacun de leurs mouvements étaient comme une tornade dans mon âme. Entre leurs mains et leurs queues, je n’étais plus que déprave, honte, qu’une salope lamentable, qu’une machine à baiser, qu’un simple trou doublement conquis, possédé… Presque au même moment, ils déversaient leur sperme en soupirant d’extase, alors que je me laissais emporter par leur bestialité excessive. Une déferlante de bonheur irradiait mon ventre, mon cul, ma nouille… Je poussais un gémissement plus aigu que les autres, quand ma nouille libérait mon foutre chaud entre mon abdomen et celui de Rémy...

(A suivre…)

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