La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1623)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1623) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1623)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode N°1620) -
Chapitre 40 : Markus et ses acolytes -
Je poussais un gémissement plus aigu que les autres, quand ma nouille libérait mon foutre chaud entre mon abdomen et celui de Rémy... Je n’en menais pas large, allongé sur ce matelas crasseux, à plat dos, exhibant ostensiblement mes attributs en écartant les cuisses outrageusement… Je m’attendais à être corrigé sévèrement pour avoir éjaculé en abondance et sans autorisation. Les deux Dominants, maintenant debout, me regardaient dédaigneusement, leurs yeux ascendants et hautains n’étaient qu’arrogance et affront. J’étais certain qu’ils allaient m’infliger une bonne tannée, une bonne raclée. D’ailleurs, lorsque Rémy se penchait sur moi, son slip pisseux en main, par réflexe, je croisais mes bras sur mon visage pour me protéger. Markus et Rémy se mirent à rire, en me dévisageant ainsi apeuré.

- J’aime te voir tremblant, inquiet et effrayé… Une salope de ton espèce doit toujours craindre celui qui la Domine… Pourquoi as-tu peur, salle pute ?, me questionnait Rémy tout en plaquant sa large main contre mon épaule en signe de supériorité.
- Par… parce que… Monsieur… j’ai… j’ai joui, Monsieur … sans y être autorisé… !
- Et pourquoi tu as joui, petite putain ?
- Par…Parce que… je… Je n’ai pas pu, ni su contenir mes souillures, Monsieur
Une paire de gifles fulgurantes vola sans que je m’y attende et m’ébranla vivement par sa virulence spontanée
- Ce n’est pas une bonne réponse, sale cabot en chaleur… J’ai bien vu que tu n’avais pas su te contenir… mais pourquoi n’as-tu pas réussi à le faire ?

J’hésitais à répondre, voulant me donner un temps pour trouver la réponse la plus appropriée afin de ne pas recevoir une nouvelle paire de baffes... Voyant mon hésitation, il reprit la parole, tout en me posant son doigt, l’index sous mon menton pour m’imposer son regard Dominant, en me faisant relever la tête.

- Eh bien moi je vais te dire le chien, je vais te dire pourquoi tu as lâché ton foutre de sale bâtard, c’est parce que tu n’es qu’une sale et grosse pute, une vraie salope, qui aime se faire enculer, une catin qui ne réclame que de la queue, qui n’attend qu’une chose, se faire saillir et remplir, là est ton seul plaisir et l’expression de ta Nature servile… N’ai-je pas raison, sale petit éjaculateur précoce de mes couilles ?
- Si Monsieur, vous avez raison.
- Alors dis-moi ce que tu es, rappelle-moi ce que tu es, que ce soit très clair dans ton esprit ?
- Je ne suis qu’une sale putain, Monsieur, une vraie salope qui aime se faire enculer, Monsieur !…- Et quoi d’autre encore, sale bâtard ?
- … Qu’une grosse catin qui ne réclame que de la queue, qui n’attend qu’une chose, Monsieur, c’est se faire remplir, saillir, enculer, Monsieur, se faire prendre et sucer des grosses bites, se faire remplir par mes deux trous de sale chienne, Monsieur…- Mais encore ?…- Se faire prendre pour donner du plaisir à ceux qui daignent me saillir, je dois leur servir de vide-couilles, je ne suis là uniquement pour être utilisé, pour les jouissances des Dominants, je suis leur objet sexuel, leur chose, leur esclave docile et offert à tous leurs vices… Et en cela, je suis à ma place, la seule à laquelle j’ai droit, c’est mon unique raison d’être …
Rémy, maintenant à genoux, essuyait le bout de son sexe gluant, couvert de sécrétions avec son slip, puis épongeait avec celui-ci, mon foutre posé contre son abdomen et lorsqu’il eut fini, il m’ordonnait :
- Ouvre ta petite gueule de pute…. Ta langue et ta bouche vont surement apprécier les émanations de mon sous-vêtement. Il faut que tu apprennes à apprécier les odeurs de Mâles, les vrais relents de Mâles Dominants mélangées à ton foutre de chien…
J’obéissais. Rémy me fourrait son slip souillé, dans ma bouche grande ouverte alors que Markus, jusqu’ici discret, enrubannait mon orifice buccal d’une bande adhésive en faisant trois tours autour de ma tête. Puis il décidait de m’attacher les mains dans le dos avec une paire de menottes en acier. De la pointe de sa chaussure sous mon épaule, il me faisait rebasculer sur le dos et me laissait là, dans l’avilissement le plus complet. Plusieurs flashes se succédaient dans mon esprit, des parts de mon âme qui me rappelaient mes anciennes ambitions de devenir un jeune homme brillant, rayonnant de succès après des études supérieures plutôt élogieuses. Pourtant j’étais là, nu, asservi, vivant l’infâme, le détestable, sur cet ignoble matelas posé à même le sol. Je me souvenais de mon enfance heureuse, élevé dans une famille bourgeoise, manquant de rien et encore moins d’argent, pourtant je gisais maintenant dans le dénuement total, sans cesse humilié et rabaissé, avec un slip dégueulasse enfoncé dans ma bouche enrubannée. Je me souvenais aussi de ces instants d’amour maternelle et paternel, chouchouté, câliné, dorloté pourtant je n’étais plus aujourd’hui qu’une chose calomniée, dénaturée, quasiment déshumanisée, souillée et n’ayant d’autres ambitions que celle-ci, d’être ainsi cette chose justement…
Présentement, mes pensées s’égaraient encore, je me voyais alors adolescent lire en cachette, deux livres trouvés dans la bibliothèque de mes parents : Les 120 journées de Sodome du Marquis de Sade (et j’étais loin d’imaginer, à l’époque, que je suivrais les traces de cet illustre écrivain via le Château de Monsieur le Marquis et de Son aïeul et ami de Sade) et Histoire d’O de Pauline Réage… Combien ces deux ouvrages m’avaient excité, m’imaginant à la place de ces soumises et soumis. Combien de fois m’étais-je masturbé en les lisant ? Etaient-ce les signes avant-coureurs de mon besoin de soumission ? A cette époque, je ne me doutais pas que je vivrais ainsi, comme les protagonistes de ces deux romans, totalement corrompu, aux pieds de deux pervers sexuels, me débauchant et me dépravant sans cesse… Je sortais de mes songes brutalement, avec un pied posé sur le bout de mes couilles sortant de ces ballstrechers. Markus souriait vicieusement en me regardant droit dans les yeux. Testait-il une nouvelle fois ma capacité à tenir bon, à ne pas refermer mes jambes, à ne pas tenter à fuir cette douleur écrasante irradiant mes entrailles. Je le laissais agir sans ciller cette fois-ci, je restais impassible sous cette nouvelle attaque, n’ayant que pour seul désir de rester cette chienne veule et parfaitement soumise.

- A genoux petite merde !, m’ordonnait-il.

Sitôt dans la posture ordonnée, Markus me détachait les mains, puis ce fut à son tour de me donner une gifle, ensuite une seconde plus appuyée celle-ci, et une troisième plus dense encore, une quatrième…. Jusqu’à une dixième. Je ne comprenais pas, ne cherchais pas à comprendre d’ailleurs, j’encaissais ces baffes qui allaient crescendo…
- Tu n’es qu’une merde, quelque chose de repoussant à voir. Ta seule interaction avec un autre membre de ton espèce doit être la soumission, l’obéissance et le goût de l’ordre bien accompli.

Une onzième gifle me sonnait véritablement, je tombais, m’affalais sur le matelas.

- En levrette, dépêche-toi, la putain de service… attrape ton cul, écarte ton fion de sale catin… Adrien va arriver... Il a peu de temps… Il faut que tu sois prêt à l’emploi, il va te baiser comme une chienne, à la hussarde !

Markus crachait sur ma rondelle offerte, ses doigts étalaient sa salive sans me pénétrer. Au contact de cette main baladeuse, ma nouille doucement durcissait. Evidemment Markus s’en apercevait :
- Tu vois bâtard, ton corps connait sa place, tu ferais bien de toujours l’écouter…
A cet instant, je percevais un courant d’air froid derrière moi. Quelqu’un venait d’entrer ici, sans doute celui se prénommant Adrien. Je l’entendais se déshabiller, ôtant un à un chacun de ses vêtements. Une main fraiche caressait mon cul, puis un doigt pénétrait mon entée. Peu après, je sentais le matelas ondulé alors que cet individu s’agenouillait dans mon dos. Je sentais sa grosse bite lourde et déjà bandée se poser dans ma raie, puis son gland venir titiller ma corole flétrie. Alors sans aucun préambule, il me pénétrait d’un coup sec, puissant, rapide, s’enfonçant jusqu’à la garde d’un seul coup, claquant ses couilles contre mon cul. Je poussais alors un cri étouffé, mes muscles se bandaient, mon ventre se contractait, alors que lui me laminait, me bourrait, me broyait en s’agrippant fermement à mes hanches. Il grognait, je sentais son souffle rauque dans mon dos, j’entendais ses petits grognements de mâle en rut, je sentais ses mains puissantes me maintenir par les hanches et me tirer vers lui avec force. Il me baisait, me baisait avec force, me baisait encore avec frénésie, frappant mes fesses par des coups de masse de ses hanches musclées. Il continuait à me péter le cul, une saillie inhumaine, pas même bestiale, quelque chose de violent et d’humiliant, sans aucune considération pour la préservation de l’intégrité de mon corps ou de mon âme. A chaque élan, j’avais l’impression qu’il m’enfonçait un peu plus sur le matelas. Parfois son énorme sexe (je le sentais énorme en moi) se dégageait totalement de mon cul pour me ré-emboiter immédiatement. Je suffoquais sous ces assauts, mordait ce slip crasseux imbibé de ma salive, ingurgitant par la même occasion, les vestiges intimes contenus dans les fibres de ce sous-vêtement…
Rémy s’était approché et posait son pied nu sur ma figure. Il appuyait fermement comme pour m’arrimer sur ce matelas. Ses orteils me recouvraient le front, frottant mes cheveux, et son talon débordait de ma bouche. J’avais le visage tout entier enfoui sous la plante de son pied me marquant tel un trophée de chasse. Il écrasait mes pommettes, mes lèvres, comme pour mieux imposer sa Dominance, alors que son pervers acolyte continuait à me limer copieusement, à me bourrer le cul continuellement, sans relâche, sans compassion… Que se passait-il dans mon cerveau, je ne réfléchissais plus, mon âme de faible le faisait pour moi. Je me laissais faire docile et soumis dans l’humiliation la plus totale, ainsi je montrais à ce sodomite fougueux que je ne connaissais même pas, mon véritable besoin d’obéir, de me déshonorer, de me dépraver, je vivais l’abandon total sans la moindre résistance. Pire… J’étais sur le point de m’évanouir, parcouru d’endorphines nageant en plein bonheur, alors qu’Adrien remplissait mon cul de son foutre en geignant fortement de cris rauques comme un cerf en rut...

(A suivre…)

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