La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1625)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1625)
Camélia au Château - Devenue chienne Maera MDE - (suite de l'épisode N°1598) -
- Je viendrais te chercher demain matin à l’aube, conclut le Majordome tout en quittant la cellule ...
Je m’endormis dans un sommeil profond et calme, récupérant ainsi au maximum pour être vraiment en forme pour le lendemain. Le lendemain matin, j'émergeais aux premiers rayons du soleil traversant les barreaux de ma cellule. Le Majordome m’avait informé que ma journée se passerait dans un des sexshops appartenant à Monsieur le Marquis. Un moment après, j’entendis des bruits de pas résonnant dans le couloir. Puis je vis Monsieur Walter entrer dans ma cellule et poser ma gamelle remplie d’une bouillie insipide et nourrissante sur le sol. Le Majordome effectua un claquement de doigts auquel j’étais bien sûr habituée. Je me mis alors à quatre pattes et me dirigeais jusqu’à ma gamelle. Puis je lapais avec appétit et reconnaissance ma pâtée. Je profitais de chaque bouchée pour prendre le maximum d’énergie et à ne pas gâcher cette nourriture qui m’était donnée. Une fois que j’eus fini de lécher les dernières traces de cette bouillie, j’attendis silencieusement la tête baissée, la prochaine directive. Monsieur Walter me dit d’un ton pervers et autoritaire :
- chienne Maera MDE, nous partons dans environ trente minutes. Dans la voiture, tu trouveras un imperméable afin de pouvoir marcher en toute discrétion dans la rue où nous nous rendons. Quand je te le dirais, tu devras l’enlever, une fois arrivés au sexshop… Je tiens à te rappeler que les membres du Cercle des Supérieurs sont des Dominants reconnus qui savent tous qu’une soumise du Cheptel MDE sera présente et est parfaitement éduquée à l’obéissance la plus absolue, au comportement irréprochable... Tout manquement sera bien entendu sanctionné…
Le Majordome marqua une pause, me toisa du regard et repris son propos :
- Nous allons partir avec la Rolls-Royce jusqu’à Lyon et une fois garée et je te mènerais dans la rue à pieds jusqu’au sexshop. Pour le trajet, tu es autorisée à relever ton imperméable afin de t’asseoir cul nu sur le cuir du siège arrière tout en adoptant bien sur une attitude humble comme toute soumise doit l’être... Je vais te remettre ton collier aux Initiales MDE, cela est et doit rester toujours un honneur pour toi de pouvoir le porter avec bonheur, honneur et reconnaissance...
Une fois le collier accroché à mon cou, Monsieur Walter tira sur ma laisse pour m’obliger à avancer. C’est à quatre pattes, que je le suivis jusqu’à l’extérieur, au perron du Château. Puis il claqua des doigts, je me relevai et le suivis en bipédie. La Rolls-Royce était juste en bas des vastes escaliers de pierre, prête à partir. Nous nous dirigeâmes vers la voiture, le Majordome me fit monter à l’arrière... Une fois que la voiture roulait, je me saisis de l’imperméable qui m’attendait sur la banquette, l'enfilais tout en laissant mes fesses nues en contact avec le cuir froid. Je restais tout le long du trajet ainsi, la tête baissée en une attitude humble et digne d’une soumise MDE et dans un silence total.
Puis quarante minutes plus tard, nous arrivâmes dans le centre-ville de Lyon, la luxueuse voiture se gara visiblement dans un parking privé d’un imposant immeuble haussmannien. Monsieur Walter me tendit et exigea de me saisir d’un masque-loup pour cacher mon visage. Je l'enfilais, puis nous quittâmes la voiture. Je marchais dans une rue très fréquentée et toujours quelques pas derrière lui. Après cinq minutes, nous arrivâmes dans une petite ruelle étroite pour accéder à un discret pas-de-porte aux vitres teintées, au porche sans relief d’une porte massive sans aucune indication, ce qui me fit comprendre que nous accédions au sexshop par une porte dérobée de l’arrière-boutique. Je suivis le Majordome qui se dirigea directement dans un petit couloir assez sombre où au bout se trouvait un épais rideau rouge. Une fois celui-ci franchi, nous nous trouvâmes de suite dans le sexshop juste derrière le comptoir-caisse. Monsieur Walter échangea rapidement avec le tenancier, puis claqua des doigts...
Alors je le suivis de nouveau pour traverser le magasin sur sa latérale pour arriver dans une autre pièce à la large ouverture sans porte et où de nombreux DVD pornographiques étaient exposés sur de nombreuses étagères et attendaient d’être vendus. Puis nous passâmes de nouveau derrière un autre rideau rouge de la même facture que le premier. C’est alors qu’il m’ordonna d’enlever mon imperméable, ce que je fis rapidement pour me retrouver nue dans une sorte de vestibule, puis je me mis à quatre pattes et on passa un troisième rideau pour déboucher dans une pièce sans fenêtre et qui ressemblait à un Donjon tout équipé de nombreux matériels BDSM. Monsieur Walter m’attacha alors à un pilori avec jambes et mains attachées au milieu de cet espace, sur une petite estrade. Il me mit un bandeau sur les yeux puis me dit que je ne devrais omettre aucun son, ni aucun bruit tant que l’on ne me donnera pas un ordre contraire, avant de quitter la pièce, me laissant donc ainsi nue, exhibée, à la merci de qui voudrait bien m’utiliser ….
Quelques minutes après, j’entendis une porte s’ouvrir derrière moi mais étant attachée au pilori, je ne pouvais pas me retourner et donc ne pas voir qui entraient, je devinais simplement aux bruits de pas que plusieurs personnes avaient pénétrer dans ce Donjon aux murs entièrement flanqués de teintures bordeaux. Puis je ressentis rapidement un premier coup de cravache sur mon fessier, puis une dizaine tout aussi appuyés avant que les coups ne s’arrêtèrent. Je les ai ressenti tout aussi forts que ceux du Majordome. Ensuite, une grosse bite se présentait sans attendre devant ma bouche que je suçais avec application tandis qu’une autre verge vint se frotter contre ma raie anale pour venir appuyer contre mon œillet. Et sans tarder, je sentis qu’on me maintenait fermement par mes deux hanches puis qu’on me pénétra mon cul de trainée dans une saillie quasi bestiale tant la poussée fut fulgurante et sans préambule. Je me sentais prise jusqu’à la garde, à la hussarde. Et je fis un énorme effort pour ne pas hurler d’avoir été sodomisée ainsi à sec sans préliminaires dans un profond assaut. De douleur, j’en lâchais l’autre queue qui se fourrait dans ma bouche en ouvrant grand celle-ci…
Le sodomite resta ainsi planté dans mon cul sans bouger, alors que celui qui se faisait sucer m’imposa de reprendre ma fellation en m’imposant les va-et-vient par des petites poussées de ses reins… L’enculeur se mit alors à bouger les reins et le passage effectué par ses allers et retours, en mon cul qui se dilatait, se transformait en plaisir, la douleur se changeant en excitation galopante… Je me sentais pleinement remplie, utilisée, chienne … Je n’eus aucun mal à faire jouir la grosse bite dans ma bouche qui lâcha tout un flot de semence par saccades et à tout avaler tandis que l’on me pilonnait désormais le cul à grands coups de reins puissants et virils. Alors que je nettoyais la verge ramollie avec mes coups de langues, le sodomite éjacula dans ma cavité anale au plus profond de mes entrailles, tout en fessant le cul et en me traitant de tous les noms d’oiseaux, comme sale putain, trainée, chienne, salope, vide-couilles, catin de bas quartiers etc…. Les humiliations verbales continuèrent ainsi pendant un bon moment alors que l’homme Dominant restait planté en coït anal immobile bien au fond de mon cul. Ensuite, il s’arrêta une fois sa queue redevenue molle et se retira de mon fondement, puis on m’enleva le bandeau des yeux. Une voix qui me paraissait familière mais que je n’arrivais pas à identifier s’adressa à moi :
- chienne Maera MDE, tu t’es bien comportée, on va maintenant expérimenter sur toi des nouveaux produits destinés à la vente du sexshop, pour voir leurs effets dans leur application, et si les tests sont concluants, ils seront bons à vendre dans le sexshop…
(A suivre …)
- Je viendrais te chercher demain matin à l’aube, conclut le Majordome tout en quittant la cellule ...
Je m’endormis dans un sommeil profond et calme, récupérant ainsi au maximum pour être vraiment en forme pour le lendemain. Le lendemain matin, j'émergeais aux premiers rayons du soleil traversant les barreaux de ma cellule. Le Majordome m’avait informé que ma journée se passerait dans un des sexshops appartenant à Monsieur le Marquis. Un moment après, j’entendis des bruits de pas résonnant dans le couloir. Puis je vis Monsieur Walter entrer dans ma cellule et poser ma gamelle remplie d’une bouillie insipide et nourrissante sur le sol. Le Majordome effectua un claquement de doigts auquel j’étais bien sûr habituée. Je me mis alors à quatre pattes et me dirigeais jusqu’à ma gamelle. Puis je lapais avec appétit et reconnaissance ma pâtée. Je profitais de chaque bouchée pour prendre le maximum d’énergie et à ne pas gâcher cette nourriture qui m’était donnée. Une fois que j’eus fini de lécher les dernières traces de cette bouillie, j’attendis silencieusement la tête baissée, la prochaine directive. Monsieur Walter me dit d’un ton pervers et autoritaire :
- chienne Maera MDE, nous partons dans environ trente minutes. Dans la voiture, tu trouveras un imperméable afin de pouvoir marcher en toute discrétion dans la rue où nous nous rendons. Quand je te le dirais, tu devras l’enlever, une fois arrivés au sexshop… Je tiens à te rappeler que les membres du Cercle des Supérieurs sont des Dominants reconnus qui savent tous qu’une soumise du Cheptel MDE sera présente et est parfaitement éduquée à l’obéissance la plus absolue, au comportement irréprochable... Tout manquement sera bien entendu sanctionné…
Le Majordome marqua une pause, me toisa du regard et repris son propos :
- Nous allons partir avec la Rolls-Royce jusqu’à Lyon et une fois garée et je te mènerais dans la rue à pieds jusqu’au sexshop. Pour le trajet, tu es autorisée à relever ton imperméable afin de t’asseoir cul nu sur le cuir du siège arrière tout en adoptant bien sur une attitude humble comme toute soumise doit l’être... Je vais te remettre ton collier aux Initiales MDE, cela est et doit rester toujours un honneur pour toi de pouvoir le porter avec bonheur, honneur et reconnaissance...
Une fois le collier accroché à mon cou, Monsieur Walter tira sur ma laisse pour m’obliger à avancer. C’est à quatre pattes, que je le suivis jusqu’à l’extérieur, au perron du Château. Puis il claqua des doigts, je me relevai et le suivis en bipédie. La Rolls-Royce était juste en bas des vastes escaliers de pierre, prête à partir. Nous nous dirigeâmes vers la voiture, le Majordome me fit monter à l’arrière... Une fois que la voiture roulait, je me saisis de l’imperméable qui m’attendait sur la banquette, l'enfilais tout en laissant mes fesses nues en contact avec le cuir froid. Je restais tout le long du trajet ainsi, la tête baissée en une attitude humble et digne d’une soumise MDE et dans un silence total.
Puis quarante minutes plus tard, nous arrivâmes dans le centre-ville de Lyon, la luxueuse voiture se gara visiblement dans un parking privé d’un imposant immeuble haussmannien. Monsieur Walter me tendit et exigea de me saisir d’un masque-loup pour cacher mon visage. Je l'enfilais, puis nous quittâmes la voiture. Je marchais dans une rue très fréquentée et toujours quelques pas derrière lui. Après cinq minutes, nous arrivâmes dans une petite ruelle étroite pour accéder à un discret pas-de-porte aux vitres teintées, au porche sans relief d’une porte massive sans aucune indication, ce qui me fit comprendre que nous accédions au sexshop par une porte dérobée de l’arrière-boutique. Je suivis le Majordome qui se dirigea directement dans un petit couloir assez sombre où au bout se trouvait un épais rideau rouge. Une fois celui-ci franchi, nous nous trouvâmes de suite dans le sexshop juste derrière le comptoir-caisse. Monsieur Walter échangea rapidement avec le tenancier, puis claqua des doigts...
Alors je le suivis de nouveau pour traverser le magasin sur sa latérale pour arriver dans une autre pièce à la large ouverture sans porte et où de nombreux DVD pornographiques étaient exposés sur de nombreuses étagères et attendaient d’être vendus. Puis nous passâmes de nouveau derrière un autre rideau rouge de la même facture que le premier. C’est alors qu’il m’ordonna d’enlever mon imperméable, ce que je fis rapidement pour me retrouver nue dans une sorte de vestibule, puis je me mis à quatre pattes et on passa un troisième rideau pour déboucher dans une pièce sans fenêtre et qui ressemblait à un Donjon tout équipé de nombreux matériels BDSM. Monsieur Walter m’attacha alors à un pilori avec jambes et mains attachées au milieu de cet espace, sur une petite estrade. Il me mit un bandeau sur les yeux puis me dit que je ne devrais omettre aucun son, ni aucun bruit tant que l’on ne me donnera pas un ordre contraire, avant de quitter la pièce, me laissant donc ainsi nue, exhibée, à la merci de qui voudrait bien m’utiliser ….
Quelques minutes après, j’entendis une porte s’ouvrir derrière moi mais étant attachée au pilori, je ne pouvais pas me retourner et donc ne pas voir qui entraient, je devinais simplement aux bruits de pas que plusieurs personnes avaient pénétrer dans ce Donjon aux murs entièrement flanqués de teintures bordeaux. Puis je ressentis rapidement un premier coup de cravache sur mon fessier, puis une dizaine tout aussi appuyés avant que les coups ne s’arrêtèrent. Je les ai ressenti tout aussi forts que ceux du Majordome. Ensuite, une grosse bite se présentait sans attendre devant ma bouche que je suçais avec application tandis qu’une autre verge vint se frotter contre ma raie anale pour venir appuyer contre mon œillet. Et sans tarder, je sentis qu’on me maintenait fermement par mes deux hanches puis qu’on me pénétra mon cul de trainée dans une saillie quasi bestiale tant la poussée fut fulgurante et sans préambule. Je me sentais prise jusqu’à la garde, à la hussarde. Et je fis un énorme effort pour ne pas hurler d’avoir été sodomisée ainsi à sec sans préliminaires dans un profond assaut. De douleur, j’en lâchais l’autre queue qui se fourrait dans ma bouche en ouvrant grand celle-ci…
Le sodomite resta ainsi planté dans mon cul sans bouger, alors que celui qui se faisait sucer m’imposa de reprendre ma fellation en m’imposant les va-et-vient par des petites poussées de ses reins… L’enculeur se mit alors à bouger les reins et le passage effectué par ses allers et retours, en mon cul qui se dilatait, se transformait en plaisir, la douleur se changeant en excitation galopante… Je me sentais pleinement remplie, utilisée, chienne … Je n’eus aucun mal à faire jouir la grosse bite dans ma bouche qui lâcha tout un flot de semence par saccades et à tout avaler tandis que l’on me pilonnait désormais le cul à grands coups de reins puissants et virils. Alors que je nettoyais la verge ramollie avec mes coups de langues, le sodomite éjacula dans ma cavité anale au plus profond de mes entrailles, tout en fessant le cul et en me traitant de tous les noms d’oiseaux, comme sale putain, trainée, chienne, salope, vide-couilles, catin de bas quartiers etc…. Les humiliations verbales continuèrent ainsi pendant un bon moment alors que l’homme Dominant restait planté en coït anal immobile bien au fond de mon cul. Ensuite, il s’arrêta une fois sa queue redevenue molle et se retira de mon fondement, puis on m’enleva le bandeau des yeux. Une voix qui me paraissait familière mais que je n’arrivais pas à identifier s’adressa à moi :
- chienne Maera MDE, tu t’es bien comportée, on va maintenant expérimenter sur toi des nouveaux produits destinés à la vente du sexshop, pour voir leurs effets dans leur application, et si les tests sont concluants, ils seront bons à vendre dans le sexshop…
(A suivre …)
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