La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1626) - histoire érotique

Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode N°1621) -
Vanessa est encore prise de quelques soubresauts d’excitation de temps en temps, ce qui fait sourire les deux amis... Une esclave femelle, au corps harmonieux, à la pastique superbe avec une chevelure magnifique, aux lèvres intimes et aux tétons annelés, apporte l’entrée sur un plateau sans troubler la discussion du trio, alors qu’elle allait repartir, le Noble claque des doigts, obtenant immédiatement qu’elle se fige.

- esclave Nala MDE, ramène-moi la soumise qui attend dans le couloir.

Sans un mot elle s’exécute, passe la porte puis revient en tenant la laisse de soumise Candice, esclave Nala MDE s’incline devant le Maître en lui tendant la dragonne. Ce dernier s’en saisit et la congédie d’un signe de main. soumise Candice reste à quatre pattes à la droite du Châtelain, entre sa chaise et celle du Commandant, ne sachant comment se comporter, attendant un ordre.

- Il me semble t’avoir enseigné la position d’attente, accuse le Maître.

Immédiatement la jeune femme encore inexpérimentée se positionne, à genoux, le buste droit, les mains dans le dos, la tête baissée, en tremblant légèrement. On peut lire le mélange de désirs et de stress sur son visage, Vanessa qui l’observe ne peut s’empêcher de repenser à ses premiers pas aux pieds du Maître, elle sourit. Ils reprennent leur discussion, sans se soucier de la jeune femme, mais Vanessa ne peut s’empêcher régulièrement d’observer ses réactions, ce qui fait sourire Monsieur le Marquis.

- Serais-tu nostalgique de tes débuts, Vanessa ?, interroge-t-Il amusé.
- Nostalgique n’est peut-être pas le bon terme, j’aime ce que je vis maintenant. Mes débuts à Vos pieds furent un passage riche en émotions, mais d’autres émotions aussi agréables m’habitent maintenant. Disons que je ne peux m’empêcher de ressentir les émotions qui doivent la traverser actuellement.
- Et quelles sont ces émotions, à ton avis ?
- L’envie de sentir Votre main l'effleurer, d’entendre Votre voix lui adresser la parole, de sentir Votre regard sur elle, c’est presque un besoin vital qu’elle ressent au fond d’elle, comme celui de respirer.

Le Noble sourit, Il ne s’est pas trompé en choisissant Vanessa pour accompagner les premiers pas de cette soumise novice, elle sera un excellent bras droit pour Laurent pendant la semaine à venir. soumise Candice qui écoute la conversation sans esquisser le moindre geste se sent d’un seul coup encore plus nue qu’elle ne l’est, comme s’il lui était impossible de cacher ses pensées, la honte l’envahit.

- Rien que ça ?, sourit le Maître des lieux- Pas tout à fait, maintenant qu’elle suit, entend, notre conversation, elle se sent mise à nue, elle n’arrive pas à assumer ses envies et besoins, se sent honteuse de ne pouvoir les cacher.
- soumise Candice, que penses-tu de l’avis de mon invitée, interroge le Châtelain d’un ton Dominant qui la sort de ses pensées.
- C’est … C’est vrai …, répond-t-elle d’une faible voix à peine audible.
- Vanessa, rappelle à cette chienne les règles pour s’exprimer en Ma Demeure ?
- Bien entendu Monsieur le Marquis. Une soumise doit répondre de façon audible, Le Maître n’a pas à faire d’effort pour la comprendre, et tu dois terminer tes phrases par ‘Maître’, lorsque tu Lui réponds, annonce Vanessa d’un ton moralisateur.
- As-tu enregistré, chienne ?
- Oui Maître, répond soumise Candice suffisamment fort, la gorge nouée.
- Donc, que disais-tu ?
- Que l’avis de Votre invitée était exact, Maître.
- Tu aimes donc te sentir chienne à Mes pieds ?, insiste le Noble pour la déstabiliser.
- Oui Maître, répond-t-elle honteuse.
- Oui quoi ?, insiste-t-Il pour accentuer le sentiment d’humiliation de la jeune femme.
- Oui j’aime me sentir chienne à Vos pieds, Maître, répond-t-elle en rougissant.
- Dans ce cas je vais t’aider à te sentir davantage chienne, vas te placer à quatre pattes au centre de la pièce et patiente ainsi Mon bon vouloir, ordonne-t-Il.

soumise Candice s’exécute, dans une démarche bien maladroite, Vanessa se dit qu’elle va devoir apprendre à se déplacer de manière plus féline.

- Vanessa, je veux que tu me rendes un service ?, interroge le Châtelain d’un ton énigmatique.
- Bien évidemment, Monsieur le Marquis.
- Va aux cuisines trouver Madame Marie, elle a quelque chose pour moi, tu n’auras qu’à le ramener.
- Entendu Monsieur le Marquis, répond la jeune femme en se levant.
- Ah, il faut que je te prévienne, jamais ma cuisinière ne sera aimable avec une femme qu’elle sait soumise, même si cette femme est en mode vanille invitée, comme toi en ce moment. Marie ne peut pas, c’est au-dessus de ses moyens… Donc il te faudra faire avec son tempérament viscéralement autoritaire... Mais si je ne peux pas lui changer son fort tempérament, elle a tout de même pour consigne de ne pas te soumettre physiquement, mais elle risque de te rabaisser mentalement… Je préfère te prévenir…- Oui je comprends Monsieur le Marquis, on ne la changera pas ! Merci de m’avoir prévenue… Pas de souci, je ferai avec son … fort caractère…
Vanessa traverse les couloirs du Château jusqu’aux cuisines, ses hauts talons sur les dalles noires et blanches en damier, résonnent, faisant lever les yeux des quelques serviteurs qu’elle croise au passage. Elle arrive devant la porte des cuisines, frappe et entre sur ordre de la cuisinière.

- Bonjour Madame Marie, dit-elle humblement.
- Tient voila cette chienne ! … Tu ne crois pas que je vais dire … comment déjà ? … Ah oui… Vanessa ! Et puis quoi encore ? Faudrait peut-être dire aussi ‘Madame Vanessa’ ?... Non, mais faut pas que tu rêves ! Si aujourd’hui tu es l’invitée de Monsieur le Marquis, pour moi, tu es et resteras toujours une sale chienne à dresser, à utiliser, soumise Keira MDE ! … Salope !, lui réplique Marie la cuisinière d’un ton pervers et avec des yeux quasiment sadiques- Oui Madame Marie, je comp... comprends, … je… je viens pour…, réponds Vanessa en baissant la tête pour ne pas la contrarier…- …pour récupérer ce que Monsieur le Marquis m’a demandé, bien entendu… Il attend dans le coin, répond la cuisinière en désignant un esclave mâle en position d’attente.
- Ah d’accord, c’est …, répond Vanessa ne s’attendant pas à devoir ramener un esclave mâle au Maître- Oui c’est un sale chien, comme toi tu n’es qu’une sale chienne, lui réplique Marie sur un ton énervé et pervers.

Marie se dirige vers l’esclave mâle, attache une laisse à son collier et tend la dragonne à Vanessa pour qu’elle s’en saisisse.

- Tient, ramène ce bâtard à Monsieur le Marquis et ne traine pas en route ! Il ne faudrait pas que tu te crois être supérieure à cet esclave parce que tu as une laisse en main à mener ce chien en quadrupédie, espèce de putain, lui rétorque la cuisinière en se retournant d’un coup énergique et hautain, surveiller les esclaves travaillant aux cuisines.
- Merci, Madame Marie…
Vanessa quitte les cuisines suivie de son frère de soumission qui la suit en quadrupédie, dans une attitude parfaite. Elle arrive devant la porte de la salle de réception, frappe et entre sur ordre, puis se dirige vers le Noble pour lui tendre la laisse de Son esclave.

- Merci Vanessa, alors comment s’est comporter Marie avec toi ?
- Comme vous m’aviez prévenue, Monsieur le Marquis, égale à elle-même en toutes circonstances envers celles et ceux qu’elle sait soumis ou soumise…- C’est-à-dire ?

Vanessa n’ose pas exprimer plus sa pensée. Le Châtelain s’en aperçoit d’emblée, connaissant parfaitement Vanessa
- Ecoute Vanessa, profite que tu es là, en invitée, en femme libre, pour me dire enfin ce que tu penses d’elle ! Je ne t’en tiendrai pas rigueur de ta franchise, tu as Ma parole !
- … Bien, puisque vous insistez !... C’est-à-dire qu’elle est hautaine, perverse, sadique, méchante, autoritaire, injurieuse, voire jalouse !
- Oui je le savais parfaitement qu’elle aurait ce comportement avec toi et tu as entièrement raison sur ses défauts ! Ce qui peut éventuellement paraître choquant, c’est que je cautionne sans réserve son comportement envers les soumis et esclaves car je sais que rien ne la fera changer et son autorité extrême me sert plus qu’elle me dessert dans tout ce qui se passe au Château… Marie m’est beaucoup trop précieuse pour que j’essaie de lui faire changer ce qui lui est impossible de changer, elle est ainsi… Et puis malgré ses défauts et son caractère de cochon, Marie a d’énormes qualités que tu es loin de soupçonner ! … Bien, aller, passons à ce qui nous concerne… libère cet esclave, lui dit le Châtelain en lui tendant une clé.

La jeune femme sourit, Monsieur le Marquis sait pertinemment qu’elle est mal à l’aise dans ce rôle, elle sait que Sa demande a comme objectif de la déstabiliser, et elle sait aussi que refuser serait très malvenu. Alors Vanessa prend une grande inspiration, se force à conserver son sourire, puis se saisit de la clé pour ouvrir la cage de chasteté de l’esclave mâle libérant un sexe qui se tend immédiatement. Elle pose ensuite la cage sur la table et reprend sa place à la gauche du Châtelain.

- esclave Matthieu MDE, Madame Marie t’a désigné comme le chien le plus méritant des cuisines pour la journée. Je ne doute pas qu’elle a du te récompenser par une volée de coups de spatule en bois sur tes fesses, visiblement, c’est difficile à cacher ça ! Quant à Ma récompense à Moi, tu vas donc avoir le privilège de te vider les couilles avec ma nouvelle chienne, vas-y je te l’offre et purge-toi les burnes, annonce le Maître suffisamment fort pour que soumise Candice entende bien.

L’esclave ne se fait pas prier, les semaines d’abstinences ont décuplé sa libido, il arbore un nouille tendue alors qu’il se déplace à quatre pattes jusqu’à la jeune soumise qui appréhende la suite des évènements. esclave Matthieu se place derrière elle, dans une forte érection et pose ses mains sur ses hanches, mais alors qu’il allait la pénétrer, soumise Candice se met à hurler.

- Rouge, rouge, rouge !, sanglote-t-elle.

Aussitôt le Noble claque des doigts et esclave Matthieu MDE se recule prenant immédiatement la position d’attente, la queue dressée.

- soumise Candice, au pied immédiatement !, ordonne le Maître d’un ton sans appel.

Tout en continuant de sangloter, elle se dirige à quatre pattes jusqu’à Monsieur le Marquis, puis se met en position d’attente, conservant la tête baissée, appréhendant Sa réaction. Vanessa est interloquée de la situation, elle n’en revient pas que cette jeune soumise ait pu utiliser son safeword dans une situation aussi simple, elle se demande ce que le Maître va décider la concernant.

- Bien, je tiens à te rappeler que tu peux utiliser ce mot pour tout stopper en cas d’urgence. Alors explique-Moi cette urgence ?, interroge le Châtelain d’un ton étonnement très calme.
- Je … je ne peux pas, je ne pourrais jamais, c’est au-dessus de mes forces, dit-elle prise d'une crise de panique qu’elle ne parvient pas à calmer.

Le Maître ne répond rien, il prend son menton avec une extrême douceur pour plonger Son regard bienveillant, dans ses yeux humides, caresse sa joue de Son autre main et prend une voix réconfortante.

- Tu es libre, si tu souhaites partir dès maintenant c’est possible, sans souci, rien ne te sera jamais imposé par la force. Bien évidemment, si tu pars maintenant ce sera pour ne plus jamais revenir. Souhaites-tu partir ?, ce qui ne posera aucun problème ! Ici, on M’obéit par envie, besoin, voire nécessité et évidence mais jamais par contrainte… - Je…non…je Vous supplie de ne pas me rejeter.
- Je ne garde pas à Mes pieds une soumise qui n’est pas capable de se plier à Ma volonté, explique toujours très calmement le Châtelain en relâchant son menton pour qu’elle baisse de nouveau la tête.
- Je souhaite exécuter Votre Volonté Maître, mais j’ai trop peur, je ne peux pas comme ça, pas maintenant, ça va trop vite, c’est trop difficile pour moi, répond-t-elle anxieuse.
- Hum, le souci est que j’ai promis une chienne à mon chien pour qu’il se vide, et je tiens toujours Mes promesses, répond le Noble envoyant un sourire entendu à Vanessa...

(A suivre…)