La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1633)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-03-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1633)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode N°1624) -
Chapitre 41 : Le chemin menant de la douleur au plaisir -
Je le savais désormais, j'avais juste besoin de tout ça pour être moi, pour être cette putain, pour être cette salope que j’aspirai à devenir ! … La trayeuse était débranchée et retirée de ma nouille tuméfiée et toujours gorgée de sang, le plug ne s’agitait plus dans mon cul de catin. Encore allongé sur le dos, je cherchais à retrouver une respiration calme et normale. De mon front coulait de grosses gouttes de sueur, des spasmes et soubresauts incontrôlables agitaient encore mon abdomen, mes membres restés tendus avaient du mal à se relâcher. Je me sentais brisé, totalement démoli, mon corps abusé et mon mental réduit en poussière. J’avais besoin de repos, d’un peu de quiétude et sans doute de sommeil. Mais ces deux infâmes pervers en décidaient autrement. Rémy me fixait un écarteur de bouche pour maintenir mon orifice buccal grand ouvert, alors que Markus retirait le plug de mon cul, pour installer autour de mon sexe un anneau pénien en silicone enserrant bien fermement ma nouille et mes couilles, afin de renforcer mon érection. Pire encore, cet accessoire se mettait à vibrer dans sa partie inférieure, juste sous mes burnes, excitant ainsi la base de ma hampe, mes testicules et mon périnée. Des vibrations parfois douces, parfois intenses et violentes exacerbant mon excitation. Ma nouille était prodigieusement dure, formidablement érigée, tellement raide que cette érection devenait insupportable et devenait même quasi douloureuse. Je geignais, poussais des gémissements, des grognements sourds et des hoquets plaintifs, crispant ma gorge.
- Tu jouis, la pute… tu aimes ça, grosse chienne ! me lançait Markus, un sourire carnassier et pervers aux lèvres.
Cet homme n’était qu’un dépravé ayant le vice dans la peau. Il jouissait en m’humiliant tant et plus, en me tourmentant sans cesse. Je ne comprenais pas pourquoi il tenait en main deux baguettes chinoises, il me les montrait en me disant.
- Tu le sais, le chien… les asiatiques mangent avec ça !
Evidemment que je le savais !
- Certains asiatiques sont merveilleusement machiavéliques… Ces baguettes sont des instruments de torture extraordinaire… J’ai vu des salopes de ton espèce se faire remplir le cul avec ces petites choses en bois. On insère une baguette, puis deux, puis dix, puis cinquante… jusqu’à ce que le trou de la lope soit bien écartelé… Humm, je suis sûr que tu aimerais que je m’occupe de ton fion ainsi… Je sais que tu aimes te faire dilater ta rondelle de chienne en chaleur que tu es… Désolé pour toi, la putain… Je suis contraint de te frustrer, je n’ai que deux baguettes à ma disposition !
« Ouf ! » pensais-je… Toutefois je m’inquiétais parce que je voyais bien que Markus n’allait pas en rester là. Très calmement, très lentement, il fixait à l’une des extrémités des deux baguettes un petit élastique pour les maintenir serrées l’une contre l’autre. Puis il empoignait ma nouille toujours bien raide, retroussait au maximum mon prépuce. De son autre main, avec son majeur, il maintenait écarté les deux baguettes puis engageait celles-ci sous mon gland. Sitôt son doigt enlevé, les deux baguettes, via l’élastique qui se rétractait, comprimaient ma hampe de chair turgescente. Un gémissement sourd sortait de ma bouche écartée.
- J’adore t’entendre geindre, la salope…. J’adore te voir prendre du plaisir ainsi, petit bâtard, me disait Markus
Peut-être n’avait-il pas tort ? Sans doute même, avait-il raison ! La douleur réveillait mon côté masochiste. J’éprouvais depuis peu ce besoin de souffrir pour mieux me soumettre, pour me donner plus encore à Monsieur le Marquis. Je souhaitais arriver à un lâcher-prise total pour que le Maitre puisse utiliser mon corps et mon mental selon Ses besoins, Ses envies, Ses exigences… Je ressentais en quelque sorte une jouissance mentale aussi forte qu’un orgasme sexuel… Markus fixait un autre petit élastique aux autres extrémités des baguettes, enserrant et comprimant douloureusement ma nouille sur toute sa hampe.
- Tu es beau ainsi, la pute ! La bouche bien ouverte, ta nouille étranglée et secouée par les vibrations de ce cockring te maintenant érigé… Regarde le chien… plus je rapproche les élastiques près de ta nouille, plus les deux baguettes vont se resserrer sur elle, et plus tu vas jouir…
Markus passait des paroles aux actes… Mon gland écarlate suffoquait parce qu’asphyxié, parce que muselé, parce que garroté ! Je me laissais malmener, la douleur m’emmenait vers d’autres plaisirs insoupçonnables jusqu’ici inconnus. Bien difficile à décrire ce que je percevais, bien difficile aussi d’admettre que je devenais un être sans consistance, sans raisonnement. J’acceptais, me conformais, endurais, me résignais et consentais à n’être qu’une chose malléable, qu’une simple marionnette dont on tirait les fils à volonté, qu’un pantin désarticulé, qu’un objet de distraction pour ceux qui me dominaient. Là, était mon plaisir, ma satisfaction, une forme de délectation mentale enivrante, une forme de délectation physique accentuant mon masochisme...
- Tu sais quoi, la chienne ?...
Markus ne me laissait pas le temps de faire ou dire quelque chose, il reprenait :
- …Par un pur hasard, sous le contrôle de Monsieur le Marquis, moi et celui qui sera le témoin de mariage de ton futur mari, nous avons joué à la courte paille !
J’écarquillais les yeux, ne comprenait rien à ce que voulait me dire ce pervers Markus. Lui souriait, un sourire lubrique, salace et vicelard….
- Tu te rappelles au moins que Monsieur le Marquis exige que tu te maries sous peu avec cette grosse salope d’esclav’antoine ?
J’hochais rapidement la tête de bas en haut, pour acquiescer.
- Bien… J’ai cru que tu avais oublié…
Markus se taisait encore, rapprochait les élastiques posés sur les baguettes chinoises d’un peu plus près autour de ma nouille, me faisant sursauter et gémir en même temps.
- Nous avons joué à la courte paille, te disais-je… et le hasard a voulu que tu sois désigné comme la femelle du futur couple que vous allez former avec ce bâtard de chien d’esclav’antoine.
Je ne comprenais toujours rien… mais cette fois-ci, je restais stoïque, admettant que je n’avais rien à gagner à montrer, par une expression de mon visage, un quelconque stress ou questionnement.
- Tu sais très bien que dans chaque couple de salopes, il y a un mâle et une femelle, un qui baise, et l’autre qui se fait baiser… Et bien le sort a voulu que tu sois l’enculé et qu’esclav’antoine soit l’enculeur. Ceci aura pour conséquence, lorsque vous serez ensemble tous les deux, à distance du Maitre, que tu portes en permanence une cage de chasteté pour t’empêcher d’utiliser ta nouille, alors qu’esclav’antoine portera un système verrouillant son cul, l’empêchant de prendre de la bite. Tu vois c’est simple…
Effectivement c’était simple… une simple turpitude supplémentaire, une infamie complémentaire. « Tu n’es plus à une abomination et humiliation près ! », me disais-je. Markus comme Rémy riaient d’un rire gras et grossier ! Tous deux étaient ignobles, dégradants, abjects… Rémy caressait ma poitrine, ses doigts effleuraient mes mamelons, alors qu’il interrogeait Markus.
- Une femelle doit avoir des bouts beaucoup plus marqués que ces minuscules tétons, ne crois-tu pas Markus ?
- On est bien d’accord, mon cher Rémy... On va lui travailler ses mamelles d’enculé !
Je lançais un regard anxieux vers Markus, lorsqu’il revenait vers moi, avec deux tubes en plastique achevés par des vis. Il se penchait sur ma poitrine glabre, avec un regard sadique et déposait l’embout de l’un des tubes sur mon téton droit. Lorsqu’il tournait la molette de la vis, le tube expulsait l’air, se remplissait de vide et aspirait mon téton, le bandant terriblement. Je poussais un long gémissement de douleur, qui montait en intensité lorsque Markus installait le second tube sur mon deuxième téton. Je voyais mes mamelons gonflés et rougir, les sentais durcir, ces tiraillements dans ma poitrine étaient à la fois terribles et jouissifs. Je bavais tant et plus, avec cet écarteur entre les dents, je ne savais, ni ne pouvais contenir ma salive, ma nouille bandée au maximum tressaillait à chaque pulsion et vibration. Une fois encore, j’étais tenaillé entre douleur et douceur, entre férocité et sensibilité, entre déferlement et libération… Des sensations inextricables, obscures, indémêlables, comme si mes sens ne pouvaient s’échapper d’un dédale confus, parsemés d’embuches, un véritable imbroglio dans ma tête soumise et dans mon corps d’esclave… Le plug que tenait Markus dans les mains était un engin somptueux, une sorte de courbe massive et chromée, avec sur l’extrémité, un renflement épais, pour éviter de perdre le contrôle. Sur cette partie bombée, était finement sculptées en lettres d’or trois initiales « MDE » brillant d’un vif éclat et ressortant visuellement de la partie chromée
- Une femelle se doit avoir ces orifices bien ouverts, bien souples et dilatés. Tu as de la chance, la pute… Monsieur le Marquis t’honore en te permettant d’entrainer tes sphincters avec un luxueux et magnifique objet, tel que celui-ci !, un plug gravé de Ses nobles Initiales fait sur mesure !, me disait Markus en emplissant sa main de gel lubrifiant.
Markus en recouvrait également le sex-toy, avant de placer l’embout à l’entrée de mon cul. Il se penchait vers moi, moi qui soupirais comme une bête, qui transpirais comme une chienne en chaleur. Je me sentais totalement et complètement vaincu avant même que ce volumineux plug glisse en moi. Markus plaçait sa main à l’arrière de l’objet, le laissait là un moment, à l’écoute de ma douleur, de mon plaisir, attendant le bon tempo, le bon moment. Une simple petite poussée, et l’objet s’enfonçait délicatement, passant un cap pour se propulser en avant jusqu’à ce qu’il soit plongé dans mes profondeurs intimes répandant des tressaillements dans tout mon corps servile. Une fois en place Markus se redressait et pressait le bouton de la télécommande cachée dans sa main, l’engin se mettait alors à vibrer. Je poussais de nouveau des petits cris, tremblais dès lors que les décharges électriques titillaient ma prostate. Je savais qu’elle allait gonfler peu à peu, surexcitée par la simulation, je savais qu’elle allait devenir si grosse qu’elle pousserait contre l’objet et que l’électricité la piquerait d’autant plus.
- Je t’interdis de jouir, tu entends, la putain, m’ordonnait Markus
J’acquiesçais une nouvelle fois par un hochement de tête… Alors, les deux pervers me détachaient, me faisaient mettre debout, me maintenaient en passant mes bras sur les épaules respectives. J’avançais doucement, lamentablement, tiraillé par la fatigue, par la douleur sur mes seins, sur le bout de mon gland, par mes mâchoires engourdies, excité par ses vibrations incessantes à la base de ma nouille, autour de mes couilles, de mon périnée et dans mon cul. Ils m’emmenaient ainsi jusque devant une porte, que Rémy ouvrait. Là encore j’étais stupéfait de voir ce que je voyais. Il s’agissait d’un simple placard, pas très large, de la hauteur d’un homme. Des demi-rayonnages en bois massif avec des trous dans chacun d’eux, ces rayonnages horizontaux étaient fixés de part et d’autre aux cloisons latérales. J’étais retourné, poussé contre et en quelques secondes seulement je me retrouvais dans un solide carcan, cou, poignets et chevilles bloqués, mais aussi la taille prise entre deux planches. Impossible pour moi de bouger, de m’assoir de me recroqueviller, je devais rester debout coincé, à la fois éreinté et stimulé par ces ondes et remous irradiant tout mon bas-ventre. Markus me nouait les couilles avec un cordage long, installant au bout du lien un poids relativement lourd, étirant mes burnes sauvagement. Avant de refermer la porte, il me photographiait en me disant.
- Voilà ce qu’est une vie d’esclave sexuel… Voilà ce que sera désormais ta vie, une vie que tu as choisie, une vie qui s’est imposée à toi-même par l’évidence de ta propre nature servile, gros bâtard !…
(A suivre…)
Chapitre 41 : Le chemin menant de la douleur au plaisir -
Je le savais désormais, j'avais juste besoin de tout ça pour être moi, pour être cette putain, pour être cette salope que j’aspirai à devenir ! … La trayeuse était débranchée et retirée de ma nouille tuméfiée et toujours gorgée de sang, le plug ne s’agitait plus dans mon cul de catin. Encore allongé sur le dos, je cherchais à retrouver une respiration calme et normale. De mon front coulait de grosses gouttes de sueur, des spasmes et soubresauts incontrôlables agitaient encore mon abdomen, mes membres restés tendus avaient du mal à se relâcher. Je me sentais brisé, totalement démoli, mon corps abusé et mon mental réduit en poussière. J’avais besoin de repos, d’un peu de quiétude et sans doute de sommeil. Mais ces deux infâmes pervers en décidaient autrement. Rémy me fixait un écarteur de bouche pour maintenir mon orifice buccal grand ouvert, alors que Markus retirait le plug de mon cul, pour installer autour de mon sexe un anneau pénien en silicone enserrant bien fermement ma nouille et mes couilles, afin de renforcer mon érection. Pire encore, cet accessoire se mettait à vibrer dans sa partie inférieure, juste sous mes burnes, excitant ainsi la base de ma hampe, mes testicules et mon périnée. Des vibrations parfois douces, parfois intenses et violentes exacerbant mon excitation. Ma nouille était prodigieusement dure, formidablement érigée, tellement raide que cette érection devenait insupportable et devenait même quasi douloureuse. Je geignais, poussais des gémissements, des grognements sourds et des hoquets plaintifs, crispant ma gorge.
- Tu jouis, la pute… tu aimes ça, grosse chienne ! me lançait Markus, un sourire carnassier et pervers aux lèvres.
Cet homme n’était qu’un dépravé ayant le vice dans la peau. Il jouissait en m’humiliant tant et plus, en me tourmentant sans cesse. Je ne comprenais pas pourquoi il tenait en main deux baguettes chinoises, il me les montrait en me disant.
- Tu le sais, le chien… les asiatiques mangent avec ça !
Evidemment que je le savais !
- Certains asiatiques sont merveilleusement machiavéliques… Ces baguettes sont des instruments de torture extraordinaire… J’ai vu des salopes de ton espèce se faire remplir le cul avec ces petites choses en bois. On insère une baguette, puis deux, puis dix, puis cinquante… jusqu’à ce que le trou de la lope soit bien écartelé… Humm, je suis sûr que tu aimerais que je m’occupe de ton fion ainsi… Je sais que tu aimes te faire dilater ta rondelle de chienne en chaleur que tu es… Désolé pour toi, la putain… Je suis contraint de te frustrer, je n’ai que deux baguettes à ma disposition !
« Ouf ! » pensais-je… Toutefois je m’inquiétais parce que je voyais bien que Markus n’allait pas en rester là. Très calmement, très lentement, il fixait à l’une des extrémités des deux baguettes un petit élastique pour les maintenir serrées l’une contre l’autre. Puis il empoignait ma nouille toujours bien raide, retroussait au maximum mon prépuce. De son autre main, avec son majeur, il maintenait écarté les deux baguettes puis engageait celles-ci sous mon gland. Sitôt son doigt enlevé, les deux baguettes, via l’élastique qui se rétractait, comprimaient ma hampe de chair turgescente. Un gémissement sourd sortait de ma bouche écartée.
- J’adore t’entendre geindre, la salope…. J’adore te voir prendre du plaisir ainsi, petit bâtard, me disait Markus
Peut-être n’avait-il pas tort ? Sans doute même, avait-il raison ! La douleur réveillait mon côté masochiste. J’éprouvais depuis peu ce besoin de souffrir pour mieux me soumettre, pour me donner plus encore à Monsieur le Marquis. Je souhaitais arriver à un lâcher-prise total pour que le Maitre puisse utiliser mon corps et mon mental selon Ses besoins, Ses envies, Ses exigences… Je ressentais en quelque sorte une jouissance mentale aussi forte qu’un orgasme sexuel… Markus fixait un autre petit élastique aux autres extrémités des baguettes, enserrant et comprimant douloureusement ma nouille sur toute sa hampe.
- Tu es beau ainsi, la pute ! La bouche bien ouverte, ta nouille étranglée et secouée par les vibrations de ce cockring te maintenant érigé… Regarde le chien… plus je rapproche les élastiques près de ta nouille, plus les deux baguettes vont se resserrer sur elle, et plus tu vas jouir…
Markus passait des paroles aux actes… Mon gland écarlate suffoquait parce qu’asphyxié, parce que muselé, parce que garroté ! Je me laissais malmener, la douleur m’emmenait vers d’autres plaisirs insoupçonnables jusqu’ici inconnus. Bien difficile à décrire ce que je percevais, bien difficile aussi d’admettre que je devenais un être sans consistance, sans raisonnement. J’acceptais, me conformais, endurais, me résignais et consentais à n’être qu’une chose malléable, qu’une simple marionnette dont on tirait les fils à volonté, qu’un pantin désarticulé, qu’un objet de distraction pour ceux qui me dominaient. Là, était mon plaisir, ma satisfaction, une forme de délectation mentale enivrante, une forme de délectation physique accentuant mon masochisme...
- Tu sais quoi, la chienne ?...
Markus ne me laissait pas le temps de faire ou dire quelque chose, il reprenait :
- …Par un pur hasard, sous le contrôle de Monsieur le Marquis, moi et celui qui sera le témoin de mariage de ton futur mari, nous avons joué à la courte paille !
J’écarquillais les yeux, ne comprenait rien à ce que voulait me dire ce pervers Markus. Lui souriait, un sourire lubrique, salace et vicelard….
- Tu te rappelles au moins que Monsieur le Marquis exige que tu te maries sous peu avec cette grosse salope d’esclav’antoine ?
J’hochais rapidement la tête de bas en haut, pour acquiescer.
- Bien… J’ai cru que tu avais oublié…
Markus se taisait encore, rapprochait les élastiques posés sur les baguettes chinoises d’un peu plus près autour de ma nouille, me faisant sursauter et gémir en même temps.
- Nous avons joué à la courte paille, te disais-je… et le hasard a voulu que tu sois désigné comme la femelle du futur couple que vous allez former avec ce bâtard de chien d’esclav’antoine.
Je ne comprenais toujours rien… mais cette fois-ci, je restais stoïque, admettant que je n’avais rien à gagner à montrer, par une expression de mon visage, un quelconque stress ou questionnement.
- Tu sais très bien que dans chaque couple de salopes, il y a un mâle et une femelle, un qui baise, et l’autre qui se fait baiser… Et bien le sort a voulu que tu sois l’enculé et qu’esclav’antoine soit l’enculeur. Ceci aura pour conséquence, lorsque vous serez ensemble tous les deux, à distance du Maitre, que tu portes en permanence une cage de chasteté pour t’empêcher d’utiliser ta nouille, alors qu’esclav’antoine portera un système verrouillant son cul, l’empêchant de prendre de la bite. Tu vois c’est simple…
Effectivement c’était simple… une simple turpitude supplémentaire, une infamie complémentaire. « Tu n’es plus à une abomination et humiliation près ! », me disais-je. Markus comme Rémy riaient d’un rire gras et grossier ! Tous deux étaient ignobles, dégradants, abjects… Rémy caressait ma poitrine, ses doigts effleuraient mes mamelons, alors qu’il interrogeait Markus.
- Une femelle doit avoir des bouts beaucoup plus marqués que ces minuscules tétons, ne crois-tu pas Markus ?
- On est bien d’accord, mon cher Rémy... On va lui travailler ses mamelles d’enculé !
Je lançais un regard anxieux vers Markus, lorsqu’il revenait vers moi, avec deux tubes en plastique achevés par des vis. Il se penchait sur ma poitrine glabre, avec un regard sadique et déposait l’embout de l’un des tubes sur mon téton droit. Lorsqu’il tournait la molette de la vis, le tube expulsait l’air, se remplissait de vide et aspirait mon téton, le bandant terriblement. Je poussais un long gémissement de douleur, qui montait en intensité lorsque Markus installait le second tube sur mon deuxième téton. Je voyais mes mamelons gonflés et rougir, les sentais durcir, ces tiraillements dans ma poitrine étaient à la fois terribles et jouissifs. Je bavais tant et plus, avec cet écarteur entre les dents, je ne savais, ni ne pouvais contenir ma salive, ma nouille bandée au maximum tressaillait à chaque pulsion et vibration. Une fois encore, j’étais tenaillé entre douleur et douceur, entre férocité et sensibilité, entre déferlement et libération… Des sensations inextricables, obscures, indémêlables, comme si mes sens ne pouvaient s’échapper d’un dédale confus, parsemés d’embuches, un véritable imbroglio dans ma tête soumise et dans mon corps d’esclave… Le plug que tenait Markus dans les mains était un engin somptueux, une sorte de courbe massive et chromée, avec sur l’extrémité, un renflement épais, pour éviter de perdre le contrôle. Sur cette partie bombée, était finement sculptées en lettres d’or trois initiales « MDE » brillant d’un vif éclat et ressortant visuellement de la partie chromée
- Une femelle se doit avoir ces orifices bien ouverts, bien souples et dilatés. Tu as de la chance, la pute… Monsieur le Marquis t’honore en te permettant d’entrainer tes sphincters avec un luxueux et magnifique objet, tel que celui-ci !, un plug gravé de Ses nobles Initiales fait sur mesure !, me disait Markus en emplissant sa main de gel lubrifiant.
Markus en recouvrait également le sex-toy, avant de placer l’embout à l’entrée de mon cul. Il se penchait vers moi, moi qui soupirais comme une bête, qui transpirais comme une chienne en chaleur. Je me sentais totalement et complètement vaincu avant même que ce volumineux plug glisse en moi. Markus plaçait sa main à l’arrière de l’objet, le laissait là un moment, à l’écoute de ma douleur, de mon plaisir, attendant le bon tempo, le bon moment. Une simple petite poussée, et l’objet s’enfonçait délicatement, passant un cap pour se propulser en avant jusqu’à ce qu’il soit plongé dans mes profondeurs intimes répandant des tressaillements dans tout mon corps servile. Une fois en place Markus se redressait et pressait le bouton de la télécommande cachée dans sa main, l’engin se mettait alors à vibrer. Je poussais de nouveau des petits cris, tremblais dès lors que les décharges électriques titillaient ma prostate. Je savais qu’elle allait gonfler peu à peu, surexcitée par la simulation, je savais qu’elle allait devenir si grosse qu’elle pousserait contre l’objet et que l’électricité la piquerait d’autant plus.
- Je t’interdis de jouir, tu entends, la putain, m’ordonnait Markus
J’acquiesçais une nouvelle fois par un hochement de tête… Alors, les deux pervers me détachaient, me faisaient mettre debout, me maintenaient en passant mes bras sur les épaules respectives. J’avançais doucement, lamentablement, tiraillé par la fatigue, par la douleur sur mes seins, sur le bout de mon gland, par mes mâchoires engourdies, excité par ses vibrations incessantes à la base de ma nouille, autour de mes couilles, de mon périnée et dans mon cul. Ils m’emmenaient ainsi jusque devant une porte, que Rémy ouvrait. Là encore j’étais stupéfait de voir ce que je voyais. Il s’agissait d’un simple placard, pas très large, de la hauteur d’un homme. Des demi-rayonnages en bois massif avec des trous dans chacun d’eux, ces rayonnages horizontaux étaient fixés de part et d’autre aux cloisons latérales. J’étais retourné, poussé contre et en quelques secondes seulement je me retrouvais dans un solide carcan, cou, poignets et chevilles bloqués, mais aussi la taille prise entre deux planches. Impossible pour moi de bouger, de m’assoir de me recroqueviller, je devais rester debout coincé, à la fois éreinté et stimulé par ces ondes et remous irradiant tout mon bas-ventre. Markus me nouait les couilles avec un cordage long, installant au bout du lien un poids relativement lourd, étirant mes burnes sauvagement. Avant de refermer la porte, il me photographiait en me disant.
- Voilà ce qu’est une vie d’esclave sexuel… Voilà ce que sera désormais ta vie, une vie que tu as choisie, une vie qui s’est imposée à toi-même par l’évidence de ta propre nature servile, gros bâtard !…
(A suivre…)
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