La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1634)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 1756 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de MAITREDOMINO ont reçu un total de 5 341 093 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-03-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 2 083 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1634)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1633) -
Chapitre 41 bis : Le chemin menant de la douleur au plaisir -
- Voilà ce qu’est une vie d’esclave sexuel… Voilà ce que sera désormais ta vie, une vie que tu as choisie, une vie qui s’est imposée à toi-même par l’évidence de ta propre nature servile, gros bâtard !...
Combien de temps restais-je ainsi enfermé, aiguillonné et assailli de tout côté, m’obligeant à contrôler mes envies d’éjaculer, d’envoyer mon foutre contre cette porte close, à chaque pulsation plus intense dans mon cul ou autour de ma nouille ?... Le temps durait ce qu’il durait car je n’avais plus aucune notion de la durée et donc lorsque la porte s’ouvrait enfin, je sursautais. D’abord ébloui, je distinguais une silhouette que je ne parvenais pas à reconnaitre, mais très vite je réalisais qu’il s’agissait de Monsieur le Marquis, en personne, me regardant fixement, l’œil à la fois sévère mais aussi plein de compassion. Impossible pour moi de baisser la tête en signe de respect, alors je baissais les yeux pour lui signifier ma profonde et sincère soumission.
- Alors, Ma pute… comment vas-tu ?
Là encore, impossible de répondre, avec cet écarteur de bouche, alors je soulevais un pouce pour Lui signifier que tout était OK.
- J’ai une bonne et mauvaise nouvelle pour toi, ma salope…, me lançait-il, toujours avec ce regard altier
Le Noble me fixait encore attentivement de la tête aux pieds, regardait chaque détail de mon anatomie malmenée. Je ne devais ressembler à rien… ma bave coulait de me lèvres écartées, les yeux rougis par la fatigue, ma nouille tendue sursautant à chaque décharge électrique… Et mon érection était encore plus accentuée par Sa présence. En effet cette présence du Maître en personne, me provoquait un excès érectile, et à l’évidence je ne pouvais la contrôler.
- Je vais commencer par la mauvaise nouvelle, Ma petite chienne !... Tu te souviens sans doute, de cette formation, ce stage d’une dizaine de jours, qui devait avoir lieu sous peu, où Je t’avais inscrit, pour parfaire ton éducation de salope soumise, eh bien ce stage, hélas, est malheureusement annulé. J’en suis navré pour toi parce qu’il me semble important que tu te réalises complètement, que tu deviennes véritablement une putain, une réelle salope, une vraie chienne continuellement en chaleur, une bonne femelle à féconder par la bouche et le cul. Tu le sais ça, tu le sais que J’exige ça de toi ? Tu le sais que tu dois être ainsi dressé pour M’appartenir totalement ?
Je clignais des yeux pour acquiescer. Le Châtelain poursuivait :
- Ce stage avait aussi comme autre intérêt de te faire découvrir et développer ton coté masochiste par des entrainements réguliers, progressifs, mais soutenus… Hélas, hélas ce stage est donc annulé et cette réalité n’est pas du tout de mon fait. Et donc Je suis le premier à déplorer cette annulation…
Monsieur le Marquis se taisait un moment, apparemment dépité, tout en me toisant toujours fièrement. Il se baissait un peu, attrapait la corde pendante de mes couilles, donnait deux ou trois coups secs sur celle-ci. Non sans mal, je parvenais à contrôler mes plaintes.
- Néanmoins, Je constate ici avec satisfaction, ta déchéance, ton avilissement. Tu vis l’opprobre, le déshonneur et l’humiliation constamment, alors, la bonne nouvelle, c’est que Je vais te laisser entre les mains de mon ami Markus, plus longtemps que prévu pour qu’il te dresse, pour qu’il t’éduque, t’élève et te familiarise à ce qui doit être ta nouvelle vie d’esclave. Je lui accorde tout pouvoir sur toi parce qu’il a ma totale confiance !
Je constatais un léger sourire sur les lèvres fines de Monsieur le Marquis. Il semblait satisfait de me voir ainsi, mon corps soumis maintenu dans une immobilité parfaite, n’ayant d’autres choix que de subir, que de vivre ces infamies et turpitudes constantes. Puis, je le voyais fouiller la poche de Son pantalon. Il sortait de celle-ci, Son téléphone portable.
- J’ai… comment dire… une petite récompense pour toi, ma putain… Une petite vidéo que j’ai réalisé ce matin même… Une vidéo te permettant d’avoir des nouvelles de ton futur mari, esclav’antoine. Tu vas voir, lui aussi est entrainé à devenir un bon chien…, tiens regarde !
De son index, le Noble appuyait sur l’écran de Son smartphone et déclenchait la visualisation de l’enregistrement, puis tenait Son téléphone près de mon regard. Je voyais d’abord le visage d’Antoine, transpirant, les yeux écarquillés, la bouche grande ouverte, comme s’il cherchait vainement à respirer. Je l’entendais pousser des gémissements alors que la caméra se déplaçait, sur son ventre maintenu sanglé, puis sur son entrejambe écarté outrageusement, puis sur sa nouille énorme, presque difforme installée dans un tube en plexi glace sur lequel était installée une pompe permettant de faire le vide. Une main pressait la soupape pour faire pénétrer un peu d’air et la pression diminuait. J’entendais Antoine pousser un soupir de soulagement mais de courte durée. La main recommençait à presser la poignée et la nouille d’Antoine s’épaississait, s’étirait monstrueusement, jusqu’à ce que le bout de son gland gros comme une prune et rouge écarlate vienne toucher le sommet du tube. Ces jérémiades reprenaient… alors que la vidéo montrait les burnes anormalement gonflées d’Antoine, puis son cul obstrué par un plug conséquent. Enfin, la vidéo s’arrêtait là.
- C’est pour toi, ma salope de chienne, qu’esclav’antoine se fait travailler la nouille… pour qu’il puisse bien te saillir le moment venu. Ce chien aura un bon calibre entre les cuisses, je te le promets, tu le sentiras passer lorsqu’il ramonera ton cul de salope et à outrance !, me disait le Maître en rangeant Son téléphone dans Sa poche.
Peu après, Monsieur le Marquis refermait la porte du placard et une nouvelle fois, je me retrouvais dans l’obscurité, l’esprit vidé et rempli à la fois… Mais quelques secondes plus tard, la porte s’ouvrait de nouveau. Markus retirait tous les accessoires qui meurtrissaient mon corps, sauf les ventouses posées sur mes tétons. Ensuite, il me dégageait de ces carcans, empoignait ma chevelure pour me faire sortir de ce maudit placard et me contraignait à m’installer à quatre pattes, juste devant Monsieur le Marquis, toujours là.
- En levrette !, m’ordonnait le Châtelain alors qu’il déroulait un fouet qu’il tenait en main.
Je tremblais de peur, de fatigue, d’excitation, des trois à la fois sûrement… Sans perdre une seconde, le Maître traçait une marque rouge sur la peau de mon épaule avec une précision parfaite. Je poussais un petit cri de bête. Au second coup, je m’écroulais mais me redressais aussitôt. Le troisième et les coups suivants paraient mon corps nu, le marquaient, l’ornaient de beautés rouges et brûlantes alors que je me contorsionnais, et bientôt, à force de coups, de brûlures et de marques, la douleur mystérieusement disparaissait. De plus, il faut avouer que la maitrise parfaite de l’intensité des coups et de leurs cibles étaient digne de Sa dextérité à manipuler avec un savoir-faire à ne pas renier, cet instrument qu’était ce long fouet… Plus une once de refus, plus de désir de m’échapper, de me débattre, je m’offrais, tendais et montrais mon cul bombé et ouvert. Heureux, je venais de trouver le chemin qui menait de la douleur jusqu’au plaisir. Le Noble le savait, Il venait de me pousser dans mes derniers retranchements pour que je comprenne qu’un corps, mon corps était capable de tout, que la douleur n’était qu’un soleil torride, dont on pouvait se protéger avec un peu d’expérience…. Monsieur le Marquis laissait le fouet tomber au sol. Sans doute devait-Il admirer mon cul rouge écarlate, strié et parfaitement exhibé à Son regard Dominant et connaisseur. Il passait alors Ses doigts sur mes blessures, et dans un silence parfait, Il écoutait ma respiration, Il entendait mon ivresse et mon plaisir. Glissant Sa main entre mes jambes, le Maître saisissait mes bourses qu’Il tirait doucement vers le sol, giflant avec tendresse mes deux cuisses pour que je les écarte encore davantage. Ainsi, je me retrouvais assis cul par terre, jambes et genoux repliés sous mon corps servile, dos droit, tête baissée, je restais dans une forme de béatitude, d’un bien-être inconnu, jamais perçu jusqu’ici.
- C’est bien, ma salope de chienne… C’est très bien… Tu progresses, Je suis fier de toi !
Le Châtelain sortait alors Son sexe bandé de Son pantalon et pointait Son gland sur mes lèvres.
- Fais-toi plaisir, ma pute ! Fais-Moi jouir, car Je sais que pour toi, c’est une divine récompense…
Je fermais les paupières et sans utiliser mes mains, je glissais ma langue baladeuse et agile tout le long de ce Joyau bandé, celui du Maître ! Savourant son goût salé avant de le prendre en bouche et d’offrir au Châtelain la plus délicate fellation. Je m’appliquais comme jamais en y mettant tout mon cœur, tout mon talent, tournant et retournant ma langue autour de ce Membre superbe, volumineux, épais, viril et long, le gobant, l’avalant sans cesse. J’humais ces odeurs sucrées qui envahissaient mes bronches et dynamisaient ma bouche. Je continuais par de grands mouvements de gorge profonde, suçais encore et toujours, revenais sur ce gland pour mieux engloutir encore ce noble Vit… Ainsi, après de longues minutes à travailler, du mieux possible, cette Hampe de chair dure comme du bois, à passer et repasser ma bouche dans des vifs va-et-vient de plus en plus rapides, tout en aspirant, gobant ce Joyaux de chair aux veines saillantes, Monsieur le Marquis jouissait enfin, m’expédiant au fond de ma bouche, par saccade, Sa divine semence chaude et crémeuse que j’avalais jusqu’à la dernière goutte. Une fois la fellation achevée, le Maître se retirait, alors je me léchais les lèvres, pour y récupérer ce qu’il restait du divin nectar…
(A suivre…)
Chapitre 41 bis : Le chemin menant de la douleur au plaisir -
- Voilà ce qu’est une vie d’esclave sexuel… Voilà ce que sera désormais ta vie, une vie que tu as choisie, une vie qui s’est imposée à toi-même par l’évidence de ta propre nature servile, gros bâtard !...
Combien de temps restais-je ainsi enfermé, aiguillonné et assailli de tout côté, m’obligeant à contrôler mes envies d’éjaculer, d’envoyer mon foutre contre cette porte close, à chaque pulsation plus intense dans mon cul ou autour de ma nouille ?... Le temps durait ce qu’il durait car je n’avais plus aucune notion de la durée et donc lorsque la porte s’ouvrait enfin, je sursautais. D’abord ébloui, je distinguais une silhouette que je ne parvenais pas à reconnaitre, mais très vite je réalisais qu’il s’agissait de Monsieur le Marquis, en personne, me regardant fixement, l’œil à la fois sévère mais aussi plein de compassion. Impossible pour moi de baisser la tête en signe de respect, alors je baissais les yeux pour lui signifier ma profonde et sincère soumission.
- Alors, Ma pute… comment vas-tu ?
Là encore, impossible de répondre, avec cet écarteur de bouche, alors je soulevais un pouce pour Lui signifier que tout était OK.
- J’ai une bonne et mauvaise nouvelle pour toi, ma salope…, me lançait-il, toujours avec ce regard altier
Le Noble me fixait encore attentivement de la tête aux pieds, regardait chaque détail de mon anatomie malmenée. Je ne devais ressembler à rien… ma bave coulait de me lèvres écartées, les yeux rougis par la fatigue, ma nouille tendue sursautant à chaque décharge électrique… Et mon érection était encore plus accentuée par Sa présence. En effet cette présence du Maître en personne, me provoquait un excès érectile, et à l’évidence je ne pouvais la contrôler.
- Je vais commencer par la mauvaise nouvelle, Ma petite chienne !... Tu te souviens sans doute, de cette formation, ce stage d’une dizaine de jours, qui devait avoir lieu sous peu, où Je t’avais inscrit, pour parfaire ton éducation de salope soumise, eh bien ce stage, hélas, est malheureusement annulé. J’en suis navré pour toi parce qu’il me semble important que tu te réalises complètement, que tu deviennes véritablement une putain, une réelle salope, une vraie chienne continuellement en chaleur, une bonne femelle à féconder par la bouche et le cul. Tu le sais ça, tu le sais que J’exige ça de toi ? Tu le sais que tu dois être ainsi dressé pour M’appartenir totalement ?
Je clignais des yeux pour acquiescer. Le Châtelain poursuivait :
- Ce stage avait aussi comme autre intérêt de te faire découvrir et développer ton coté masochiste par des entrainements réguliers, progressifs, mais soutenus… Hélas, hélas ce stage est donc annulé et cette réalité n’est pas du tout de mon fait. Et donc Je suis le premier à déplorer cette annulation…
Monsieur le Marquis se taisait un moment, apparemment dépité, tout en me toisant toujours fièrement. Il se baissait un peu, attrapait la corde pendante de mes couilles, donnait deux ou trois coups secs sur celle-ci. Non sans mal, je parvenais à contrôler mes plaintes.
- Néanmoins, Je constate ici avec satisfaction, ta déchéance, ton avilissement. Tu vis l’opprobre, le déshonneur et l’humiliation constamment, alors, la bonne nouvelle, c’est que Je vais te laisser entre les mains de mon ami Markus, plus longtemps que prévu pour qu’il te dresse, pour qu’il t’éduque, t’élève et te familiarise à ce qui doit être ta nouvelle vie d’esclave. Je lui accorde tout pouvoir sur toi parce qu’il a ma totale confiance !
Je constatais un léger sourire sur les lèvres fines de Monsieur le Marquis. Il semblait satisfait de me voir ainsi, mon corps soumis maintenu dans une immobilité parfaite, n’ayant d’autres choix que de subir, que de vivre ces infamies et turpitudes constantes. Puis, je le voyais fouiller la poche de Son pantalon. Il sortait de celle-ci, Son téléphone portable.
- J’ai… comment dire… une petite récompense pour toi, ma putain… Une petite vidéo que j’ai réalisé ce matin même… Une vidéo te permettant d’avoir des nouvelles de ton futur mari, esclav’antoine. Tu vas voir, lui aussi est entrainé à devenir un bon chien…, tiens regarde !
De son index, le Noble appuyait sur l’écran de Son smartphone et déclenchait la visualisation de l’enregistrement, puis tenait Son téléphone près de mon regard. Je voyais d’abord le visage d’Antoine, transpirant, les yeux écarquillés, la bouche grande ouverte, comme s’il cherchait vainement à respirer. Je l’entendais pousser des gémissements alors que la caméra se déplaçait, sur son ventre maintenu sanglé, puis sur son entrejambe écarté outrageusement, puis sur sa nouille énorme, presque difforme installée dans un tube en plexi glace sur lequel était installée une pompe permettant de faire le vide. Une main pressait la soupape pour faire pénétrer un peu d’air et la pression diminuait. J’entendais Antoine pousser un soupir de soulagement mais de courte durée. La main recommençait à presser la poignée et la nouille d’Antoine s’épaississait, s’étirait monstrueusement, jusqu’à ce que le bout de son gland gros comme une prune et rouge écarlate vienne toucher le sommet du tube. Ces jérémiades reprenaient… alors que la vidéo montrait les burnes anormalement gonflées d’Antoine, puis son cul obstrué par un plug conséquent. Enfin, la vidéo s’arrêtait là.
- C’est pour toi, ma salope de chienne, qu’esclav’antoine se fait travailler la nouille… pour qu’il puisse bien te saillir le moment venu. Ce chien aura un bon calibre entre les cuisses, je te le promets, tu le sentiras passer lorsqu’il ramonera ton cul de salope et à outrance !, me disait le Maître en rangeant Son téléphone dans Sa poche.
Peu après, Monsieur le Marquis refermait la porte du placard et une nouvelle fois, je me retrouvais dans l’obscurité, l’esprit vidé et rempli à la fois… Mais quelques secondes plus tard, la porte s’ouvrait de nouveau. Markus retirait tous les accessoires qui meurtrissaient mon corps, sauf les ventouses posées sur mes tétons. Ensuite, il me dégageait de ces carcans, empoignait ma chevelure pour me faire sortir de ce maudit placard et me contraignait à m’installer à quatre pattes, juste devant Monsieur le Marquis, toujours là.
- En levrette !, m’ordonnait le Châtelain alors qu’il déroulait un fouet qu’il tenait en main.
Je tremblais de peur, de fatigue, d’excitation, des trois à la fois sûrement… Sans perdre une seconde, le Maître traçait une marque rouge sur la peau de mon épaule avec une précision parfaite. Je poussais un petit cri de bête. Au second coup, je m’écroulais mais me redressais aussitôt. Le troisième et les coups suivants paraient mon corps nu, le marquaient, l’ornaient de beautés rouges et brûlantes alors que je me contorsionnais, et bientôt, à force de coups, de brûlures et de marques, la douleur mystérieusement disparaissait. De plus, il faut avouer que la maitrise parfaite de l’intensité des coups et de leurs cibles étaient digne de Sa dextérité à manipuler avec un savoir-faire à ne pas renier, cet instrument qu’était ce long fouet… Plus une once de refus, plus de désir de m’échapper, de me débattre, je m’offrais, tendais et montrais mon cul bombé et ouvert. Heureux, je venais de trouver le chemin qui menait de la douleur jusqu’au plaisir. Le Noble le savait, Il venait de me pousser dans mes derniers retranchements pour que je comprenne qu’un corps, mon corps était capable de tout, que la douleur n’était qu’un soleil torride, dont on pouvait se protéger avec un peu d’expérience…. Monsieur le Marquis laissait le fouet tomber au sol. Sans doute devait-Il admirer mon cul rouge écarlate, strié et parfaitement exhibé à Son regard Dominant et connaisseur. Il passait alors Ses doigts sur mes blessures, et dans un silence parfait, Il écoutait ma respiration, Il entendait mon ivresse et mon plaisir. Glissant Sa main entre mes jambes, le Maître saisissait mes bourses qu’Il tirait doucement vers le sol, giflant avec tendresse mes deux cuisses pour que je les écarte encore davantage. Ainsi, je me retrouvais assis cul par terre, jambes et genoux repliés sous mon corps servile, dos droit, tête baissée, je restais dans une forme de béatitude, d’un bien-être inconnu, jamais perçu jusqu’ici.
- C’est bien, ma salope de chienne… C’est très bien… Tu progresses, Je suis fier de toi !
Le Châtelain sortait alors Son sexe bandé de Son pantalon et pointait Son gland sur mes lèvres.
- Fais-toi plaisir, ma pute ! Fais-Moi jouir, car Je sais que pour toi, c’est une divine récompense…
Je fermais les paupières et sans utiliser mes mains, je glissais ma langue baladeuse et agile tout le long de ce Joyau bandé, celui du Maître ! Savourant son goût salé avant de le prendre en bouche et d’offrir au Châtelain la plus délicate fellation. Je m’appliquais comme jamais en y mettant tout mon cœur, tout mon talent, tournant et retournant ma langue autour de ce Membre superbe, volumineux, épais, viril et long, le gobant, l’avalant sans cesse. J’humais ces odeurs sucrées qui envahissaient mes bronches et dynamisaient ma bouche. Je continuais par de grands mouvements de gorge profonde, suçais encore et toujours, revenais sur ce gland pour mieux engloutir encore ce noble Vit… Ainsi, après de longues minutes à travailler, du mieux possible, cette Hampe de chair dure comme du bois, à passer et repasser ma bouche dans des vifs va-et-vient de plus en plus rapides, tout en aspirant, gobant ce Joyaux de chair aux veines saillantes, Monsieur le Marquis jouissait enfin, m’expédiant au fond de ma bouche, par saccade, Sa divine semence chaude et crémeuse que j’avalais jusqu’à la dernière goutte. Une fois la fellation achevée, le Maître se retirait, alors je me léchais les lèvres, pour y récupérer ce qu’il restait du divin nectar…
(A suivre…)
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par MAITREDOMINO
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...