La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1635)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-03-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1635)
Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) – (suite de l'épisode N°1583) -
Ce qui n’était pas impossible car la nuit n’était pas très avancée… Et en effet cette nuit-là, le Seigneur d’Evans se réveilla une seconde fois alors que Marion dormait profondément tout contre Lui. Avant de se rendormir Il avait songé à la punition de Marion et avait fait Son choix. Le Seigneur se leva alors, sortit de la pièce et appela l’esclave de garde qui somnolait dans le couloir. Ce dernier était d’une stature impressionnante et devait peser dans les 140 kgs pour environ 1m90 de haut, des bras gros comme des cornets de poêle. Le Maître lui exigea de venir chercher Marion endormie de l’emporter dans ses puissants bras et de l’emmener pour l’attacher à un solide carcan-pilori dans une pièce se trouvant tout au fond du couloir. Soulevée, déplacée tout en douceur, la belle ne s’aperçut de rien, étant dans un profond sommeil. C’est dans la position immobilisée par le carcan au niveau de la tête et les bras, que Marion se réveilla sur ses jambes pliées, les genoux sur le sol froid… Qu’elle ne fut pas sa surprise de se retrouver en cette posture inconfortable, le Seigneur étant debout, les bras croisés et bien planté sur Ses deux jambes, en face d’elle.
- Ah te voilà réveillée, Ma chienne ! Alors lève-toi comme tu peux, que tes genoux ne touchent plus le sol. Par cette manivelle, je vais lever le carcan en même temps afin que tu te retrouves debout, haute sur tes jambes, le buste penché bien en avant et bras et tête toujours emprisonnés du carcan.
Alors que Marion prenait la position exigée et que la manivelle fut bloquée dans son cran de sécurité, Il poursuivit.
- Je vais te prendre par derrière comme la chienne que tu es et je t’autorise à jouir autant de fois que tu en auras besoin et sans attendre Mon autorisation, salope !
Marion se demandait pourquoi cette autorisation, certes elle était excitée de se retrouver ainsi à Sa merci, ce qui la fit mouiller de suite. Elle était heureuse aussi que le Maître lui accorde la jouissance mais pourquoi à volonté et sans lui en supplie l’autorisation ? La belle en était là de ses réflexions quand le Maître alla se placer derrière elle et que Sa main cinglante s’abattit avec force sur ses fesses, puis une seconde, encore et encore dans une volée de fessées qui échauffaient Marion à une procure une excitation encoure plus forte.
- Ton cul est bien trop blanc, je remédie à cela, salope, chienne en chaleur, catin… !
Ses claques résonnaient dans la pièce. Entendre le Maître lui claquer le cul tout en la traitant de tous les noms d’oiseaux, comme Il savait si bien le faire, excitait encore mieux Marion au plus haut point. Elle aurait déjà pu jouir mais se retenait volontairement, car elle ne souhaitait pas jouir avant de Le sentir en elle. C’est à ce moment-là que le Seigneur d’Evans lui maintenait fermement les hanches avec Ses grosses mains. Puis Il la pénétra dans sa chatte par d’un seul et viril coup de reins puissant entrant avec une facilité déconcertante, jusqu’à la garde. Il resta ainsi bien planté en elle de longues secondes et se retira mais doucement, ce qui fit jouir Marion de se sentir ainsi pleine, remplie, possédée et baisée. Satisfait de Son effet, le Maître reprit Ses va-et-vient tantôt doucement, voire extrêmement lentement, de nouveau doucement, tantôt à une bonne cadence. Marion jouissait à n’en plus finir. Soudain le Seigneur d’Evans la besogna vivement avec une force et une vitesse inouïe, sauvage, ce qui fit même bouger les lourds pieds de stabilité du carcan. Après de longs, très longs va-et-vient accompagnés d’une autre série de fessées toutes aussi cinglantes, avec encore des mots crus dégradants mais si excitants pour Marion, ils jouirent ensemble de concert. Une fois que le Châtelain reprit ses esprit, il se retira, alla devant le carcan, positionna sa verge semi-molle et gluante des sécrétions de la belle et de Son propre sperme et exigea de la belle de le nettoyer. Marion ne se fit pas prier et tira le plus possible sa langue afin d’œuvrer à cette exigence. Une fois fait, le Maître détacha Marion du carcan, la fit mettre à quatre pattes et exigea qu’elle le suive jusqu’à Son lit dans la pièce à l’autre bout du couloir.
- Tu dormiras sur cette paillasse, là, au pied de Mon lit… Aller, couche-toi, la chienne et dort, j’ai dit… Et si par envie, dans la nuit, j’ai éventuellement besoin de me soulager de nouveau, je te réveillerai pour te prendre. Tu n’auras qu’à te mettre en levrette à même ce sol et ainsi je t’utiliserai… Et si je ne Me réveille pas de la nuit, pas de copulation, la chienne... Ah une dernière chose, tu sais comment demain main au réveil, je veux être réveillé et donc tu seras pour cela autorisée à monter sur le lit… Bonne nuit, salope !...
Le sommeil du Noble devait être profond car Il ne se réveilla plus de la nuit… Puis, quand le matin arriva, Marion se réveilla la première et vit le Maître dormir si profondément, si paisiblement, qu’elle décida d’attendre un peu avant de Le réveiller comme Il aimait et l’exigeait. Après un moment indéterminé et voyant qu’Il était sur le point de se réveiller Marion grimpa sans bruit dans le lit, se glissa sous les draps et se plaça confortablement entre Ses jambes. Ensuite elle prit Son Joyaux, délicatement dans ses mains pour le porter à sa bouche et commença par l’embrasser sur toute la longueur ainsi que sur le gland par des baisers plus prononcés. Le Seigneur d’Evans avait maintenant un bon début d’érection et Marion entreprit de Le lécher sur toute sa hauteur pour bien l’humidifier avant de le prendre totalement en bouche et rendre ainsi la fellation plus aisée pour elle et plus agréable pour le Châtelain. Maintenant l’érection du Maître était à son maximum. Marion suçait, léchait, pompait n’hésitant pas à titiller le gland violacé et gorgé de sang. Elle jouait de la vitesse et de la pression de ses lèvres. En écoutant attentivement les grognements de satisfaction du Châtelaine et Ses râles de plaisir qui par expérience lui indiquait quoi et comment faire. Quand n’y tenant plus, Il agrippa sa queue de cheval pour lui imposer Son propre rythmes et profondeur jusqu’à éjaculer dans la bouche de Sa favorite. Cette dernière avala le tout avec un plaisir non dissimulé, puis remercia le Maître de l’avoir honorée de Sa noble Semence de si bon matin.
- Va me chercher Mon repas du matin et le tien. Ensuite, je t’expliquerais quelle sera ta punition.
Marion descendit aux cuisines où l’attendait une large planche de bois en guise de plateau avec les deux repas. Après être de retour dans la chambre, elle servit abondamment le Maître, craignant toujours qu’Il meure de faim, et attendit à genoux devant ce qu’il restait sur la planche.
- Tu peux manger ce qu’il y a dans ton bol et boire ton lait qu’il y a avec, mais bien entendu à quatre pattes, lui ordonna le Seigneur d’Evans tout en déposant le bol à même le sol.
Quand le Noble eut terminé, que Marion eut aussi achevé d’avaler le contenu du bol, et sous l’exigence du Châtelain, Marion revint se mettre à genoux près de Lui, en position d’attente pour connaitre sa punition. Punition qu’elle redoutait et pour cause. Le Seigneur d’Evans prit la parole après un long silence. Il savait à quel point Marion redoutait Ses punitions et Ses moments de silence avaient toujours leurs petits effets, même après autant d’années.
- Ma chienne, Ma Marion. Cette nuit lorsque je Me suis réveillé une première fois, tu as été frustrée que je prenne Mon plaisir et que je ne t’autorise pas l’orgasme. Est-ce juste ?, tu peux répondre...
- Oui Maître Vous avez raison, je Vous supplie de me sanctionner pour laver cet affront car je n’ai pas à être frustrée de quoi que ce soit. Si vous ne m’avez pas autorisez de jouir, c’est que Vous aviez Vos raisons et je dois m’y conformer sans frustration.
- Voici ta punition, à dater de cet instant et pour 30 lunes complètes (NDLA : soit 1 mois de 30 jours), tu as interdiction formelle de jouir. Par ailleurs et uniquement durant ces 30 lunes, tu seras utilisée par tous les Dominants résidants au Château qui voudront t’utiliser pour se soulager. A certain moment décidé seulement par Moi et pour une durée déterminée, je t’offrirais à certaines de Mes propriétés mâles les plus méritants... Est-ce clair ou as-tu des questions? C’est le moment ou jamais…- Oui Maître, j’avoue avoir une question qui me trotte dans la tête. Cette nuit, ensuite, la deuxième fois, Vous m’avez autorisée à jouir à volonté, mais pourquoi puisque Vous aviez déjà décidé de ma punition ?
Le Seigneur d’Evans la regarda, lui sourit intérieurement et lui répondit :
- Marion depuis toutes ces années, tu devrais savoir que je ne punis jamais par plaisir. Tu étais déjà en manque de jouissances et j’allais te l’interdire pendant encore 30 lunes entières. Il était nécessaire pour bien démarrer cette sanction que tu sois vidée de ta cyprine de femelle… Autrement tu aurais fauté à la moindre caresse sur ta chatte de chienne.
Les 30 lunes d’abstinence de Marion commençaient. C’est ainsi que chaque jour, elle était souvent utilisée, baisée, possédée, besognée par un ou un autre Dominant du Château, parfois même par deux à la fois, venant se vider les couilles dans les diverses orifices de la belle et souvent à tous moments de la journée, voire aussi la nuit à être réveillée pour servir de vide-couilles… C’est ainsi, par exemple, qu’un début de nuit après une assemblée de travail où était présents le Seigneur d’Evans, Ronan, Antonin et Adrien, Le Maître les invita, accompagnés de leur ou d’une soumise à prendre une infusion dans la grande salle, où trônait un gigantesque cheminée derrière une massive table. Tous acceptèrent. Il y avait donc Le Seigneur d’Evans, Marion, Antonin, Marie, Ronan, Clémence, Adrien et Louise. La nuitée commença relativement sagement où chaque Dominant, tout en buvant une infusion et discutant de choses et d’autres, se faisait sucer par l’une des soumises présentes. A un moment donné, le Seigneur d’Evans ordonna à Marion de se caresser sensuellement et de se placer assise, les cuisses largement écartées sur un tabouret de bois, de façon à ce que chacun puisse voir son intimité exhibée ainsi à tous les regards, ce qu’elle fit sans tarder.
Marion se doutait que ce soir, elle serait fortement sollicitée et poussée jusqu’à ses dernières limites, n’étant pas autorisée à jouir, cela risquait d’être difficile de tenir bon, sans orgasmes. Elle commença en caressant lentement ses bras, son cou, sa clavicule puis descendit sur son ventre, remonta vers sa poitrine, malaxa ses merveilleux seins, et étira ses tétons déjà pointés et durs. Marion repartit ensuite de nouveau vers son ventre mais aussi ses cuisses caressant l’extérieur et l’intérieur sans jamais toucher sa chatte palpitante de désirs et amplement trempée, avide de sentir ses doigts, elle se sentait déjà en manque de sexe, en chaleur, à mouiller autant comme une bonne chienne… Elle regarda le Seigneur d’Evans qui, d’un léger signe de tête, l’autorisait à aller plus loin. Marion adorait, pour le Maître, mais en retirait aussi un immense plaisir, faire durer ledit plaisir. Elle passa d’abord un doigt frôlant à peine ses lèvres intimes puis de plus en plus loin jusqu'à ce que le bout de son doigt entre réellement dans sa chatte suintante. Elle fit de lents va-et-vient, mais de plus en plus profonds et titillant au passage son clitoris si réceptif. Puis, elle commença à augmenter légèrement la vitesse des allers et venues en mettant désormais 2 de ses doigts, tout en se caressant un sein avec son autre main. Elle allait entrer un troisième doigt, quand elle vit à sa gauche Adrien…
Adrien lui prit l’autre sein dans sa large main et le téton de l’autre dans sa bouche pour lécher, aspirer, titiller et mordiller ces beaux mamelons. Marion encore plus excitée par ce traitement qu’elle adorait avait à présent des va-et-vient ultra-rapides et profonds mais pas trop quand même afin de ne pas jouir. Soudain, elle vit Ronan approcher et lui ordonna de cesser de se branler, qu’il allait lui-même s’en occuper. Pour plus de facilité et en accord avec Adrien ils la firent se coucher sur le dos à même le sol près de la cheminée… Sur ces entrefaites, Antonin baisait frénétiquement la bouche de Marie qui se faisait doigter et lécher la chatte par Clémence. Quant au Seigneur d’Evans, ce dernier avait mis Louise en levrette et baissait sa chatte par derrière, le tout accompagné de claques excitantes sur son beau cul rebondi... Ronan toujours occupé à branler Marion avait fini par la fister totalement, ayant enfiler son poing entier sans la chatte trempée, sous ses cris de plaisir étouffés par Adrien qui après l’avoir abondement sucé, vrillé, malaxé, étiré et mordillé ses seins et ses tétons, l’embrassait de façon Dominante et inquisitrice à pleine bouche. Marion essayait tant bien que mal de penser à autre chose et à se concentrer sur sa Dévotion forte et sincère au Maître pour ne pas jouir, ne pas fauter. Elle l’ignorait, mais tous savaient, qu’ils ne devaient en aucun cas la pousser volontairement à la faute, en respectant ses limites physiques à retenir son orgasme…
(A suivre …)
Ce qui n’était pas impossible car la nuit n’était pas très avancée… Et en effet cette nuit-là, le Seigneur d’Evans se réveilla une seconde fois alors que Marion dormait profondément tout contre Lui. Avant de se rendormir Il avait songé à la punition de Marion et avait fait Son choix. Le Seigneur se leva alors, sortit de la pièce et appela l’esclave de garde qui somnolait dans le couloir. Ce dernier était d’une stature impressionnante et devait peser dans les 140 kgs pour environ 1m90 de haut, des bras gros comme des cornets de poêle. Le Maître lui exigea de venir chercher Marion endormie de l’emporter dans ses puissants bras et de l’emmener pour l’attacher à un solide carcan-pilori dans une pièce se trouvant tout au fond du couloir. Soulevée, déplacée tout en douceur, la belle ne s’aperçut de rien, étant dans un profond sommeil. C’est dans la position immobilisée par le carcan au niveau de la tête et les bras, que Marion se réveilla sur ses jambes pliées, les genoux sur le sol froid… Qu’elle ne fut pas sa surprise de se retrouver en cette posture inconfortable, le Seigneur étant debout, les bras croisés et bien planté sur Ses deux jambes, en face d’elle.
- Ah te voilà réveillée, Ma chienne ! Alors lève-toi comme tu peux, que tes genoux ne touchent plus le sol. Par cette manivelle, je vais lever le carcan en même temps afin que tu te retrouves debout, haute sur tes jambes, le buste penché bien en avant et bras et tête toujours emprisonnés du carcan.
Alors que Marion prenait la position exigée et que la manivelle fut bloquée dans son cran de sécurité, Il poursuivit.
- Je vais te prendre par derrière comme la chienne que tu es et je t’autorise à jouir autant de fois que tu en auras besoin et sans attendre Mon autorisation, salope !
Marion se demandait pourquoi cette autorisation, certes elle était excitée de se retrouver ainsi à Sa merci, ce qui la fit mouiller de suite. Elle était heureuse aussi que le Maître lui accorde la jouissance mais pourquoi à volonté et sans lui en supplie l’autorisation ? La belle en était là de ses réflexions quand le Maître alla se placer derrière elle et que Sa main cinglante s’abattit avec force sur ses fesses, puis une seconde, encore et encore dans une volée de fessées qui échauffaient Marion à une procure une excitation encoure plus forte.
- Ton cul est bien trop blanc, je remédie à cela, salope, chienne en chaleur, catin… !
Ses claques résonnaient dans la pièce. Entendre le Maître lui claquer le cul tout en la traitant de tous les noms d’oiseaux, comme Il savait si bien le faire, excitait encore mieux Marion au plus haut point. Elle aurait déjà pu jouir mais se retenait volontairement, car elle ne souhaitait pas jouir avant de Le sentir en elle. C’est à ce moment-là que le Seigneur d’Evans lui maintenait fermement les hanches avec Ses grosses mains. Puis Il la pénétra dans sa chatte par d’un seul et viril coup de reins puissant entrant avec une facilité déconcertante, jusqu’à la garde. Il resta ainsi bien planté en elle de longues secondes et se retira mais doucement, ce qui fit jouir Marion de se sentir ainsi pleine, remplie, possédée et baisée. Satisfait de Son effet, le Maître reprit Ses va-et-vient tantôt doucement, voire extrêmement lentement, de nouveau doucement, tantôt à une bonne cadence. Marion jouissait à n’en plus finir. Soudain le Seigneur d’Evans la besogna vivement avec une force et une vitesse inouïe, sauvage, ce qui fit même bouger les lourds pieds de stabilité du carcan. Après de longs, très longs va-et-vient accompagnés d’une autre série de fessées toutes aussi cinglantes, avec encore des mots crus dégradants mais si excitants pour Marion, ils jouirent ensemble de concert. Une fois que le Châtelain reprit ses esprit, il se retira, alla devant le carcan, positionna sa verge semi-molle et gluante des sécrétions de la belle et de Son propre sperme et exigea de la belle de le nettoyer. Marion ne se fit pas prier et tira le plus possible sa langue afin d’œuvrer à cette exigence. Une fois fait, le Maître détacha Marion du carcan, la fit mettre à quatre pattes et exigea qu’elle le suive jusqu’à Son lit dans la pièce à l’autre bout du couloir.
- Tu dormiras sur cette paillasse, là, au pied de Mon lit… Aller, couche-toi, la chienne et dort, j’ai dit… Et si par envie, dans la nuit, j’ai éventuellement besoin de me soulager de nouveau, je te réveillerai pour te prendre. Tu n’auras qu’à te mettre en levrette à même ce sol et ainsi je t’utiliserai… Et si je ne Me réveille pas de la nuit, pas de copulation, la chienne... Ah une dernière chose, tu sais comment demain main au réveil, je veux être réveillé et donc tu seras pour cela autorisée à monter sur le lit… Bonne nuit, salope !...
Le sommeil du Noble devait être profond car Il ne se réveilla plus de la nuit… Puis, quand le matin arriva, Marion se réveilla la première et vit le Maître dormir si profondément, si paisiblement, qu’elle décida d’attendre un peu avant de Le réveiller comme Il aimait et l’exigeait. Après un moment indéterminé et voyant qu’Il était sur le point de se réveiller Marion grimpa sans bruit dans le lit, se glissa sous les draps et se plaça confortablement entre Ses jambes. Ensuite elle prit Son Joyaux, délicatement dans ses mains pour le porter à sa bouche et commença par l’embrasser sur toute la longueur ainsi que sur le gland par des baisers plus prononcés. Le Seigneur d’Evans avait maintenant un bon début d’érection et Marion entreprit de Le lécher sur toute sa hauteur pour bien l’humidifier avant de le prendre totalement en bouche et rendre ainsi la fellation plus aisée pour elle et plus agréable pour le Châtelain. Maintenant l’érection du Maître était à son maximum. Marion suçait, léchait, pompait n’hésitant pas à titiller le gland violacé et gorgé de sang. Elle jouait de la vitesse et de la pression de ses lèvres. En écoutant attentivement les grognements de satisfaction du Châtelaine et Ses râles de plaisir qui par expérience lui indiquait quoi et comment faire. Quand n’y tenant plus, Il agrippa sa queue de cheval pour lui imposer Son propre rythmes et profondeur jusqu’à éjaculer dans la bouche de Sa favorite. Cette dernière avala le tout avec un plaisir non dissimulé, puis remercia le Maître de l’avoir honorée de Sa noble Semence de si bon matin.
- Va me chercher Mon repas du matin et le tien. Ensuite, je t’expliquerais quelle sera ta punition.
Marion descendit aux cuisines où l’attendait une large planche de bois en guise de plateau avec les deux repas. Après être de retour dans la chambre, elle servit abondamment le Maître, craignant toujours qu’Il meure de faim, et attendit à genoux devant ce qu’il restait sur la planche.
- Tu peux manger ce qu’il y a dans ton bol et boire ton lait qu’il y a avec, mais bien entendu à quatre pattes, lui ordonna le Seigneur d’Evans tout en déposant le bol à même le sol.
Quand le Noble eut terminé, que Marion eut aussi achevé d’avaler le contenu du bol, et sous l’exigence du Châtelain, Marion revint se mettre à genoux près de Lui, en position d’attente pour connaitre sa punition. Punition qu’elle redoutait et pour cause. Le Seigneur d’Evans prit la parole après un long silence. Il savait à quel point Marion redoutait Ses punitions et Ses moments de silence avaient toujours leurs petits effets, même après autant d’années.
- Ma chienne, Ma Marion. Cette nuit lorsque je Me suis réveillé une première fois, tu as été frustrée que je prenne Mon plaisir et que je ne t’autorise pas l’orgasme. Est-ce juste ?, tu peux répondre...
- Oui Maître Vous avez raison, je Vous supplie de me sanctionner pour laver cet affront car je n’ai pas à être frustrée de quoi que ce soit. Si vous ne m’avez pas autorisez de jouir, c’est que Vous aviez Vos raisons et je dois m’y conformer sans frustration.
- Voici ta punition, à dater de cet instant et pour 30 lunes complètes (NDLA : soit 1 mois de 30 jours), tu as interdiction formelle de jouir. Par ailleurs et uniquement durant ces 30 lunes, tu seras utilisée par tous les Dominants résidants au Château qui voudront t’utiliser pour se soulager. A certain moment décidé seulement par Moi et pour une durée déterminée, je t’offrirais à certaines de Mes propriétés mâles les plus méritants... Est-ce clair ou as-tu des questions? C’est le moment ou jamais…- Oui Maître, j’avoue avoir une question qui me trotte dans la tête. Cette nuit, ensuite, la deuxième fois, Vous m’avez autorisée à jouir à volonté, mais pourquoi puisque Vous aviez déjà décidé de ma punition ?
Le Seigneur d’Evans la regarda, lui sourit intérieurement et lui répondit :
- Marion depuis toutes ces années, tu devrais savoir que je ne punis jamais par plaisir. Tu étais déjà en manque de jouissances et j’allais te l’interdire pendant encore 30 lunes entières. Il était nécessaire pour bien démarrer cette sanction que tu sois vidée de ta cyprine de femelle… Autrement tu aurais fauté à la moindre caresse sur ta chatte de chienne.
Les 30 lunes d’abstinence de Marion commençaient. C’est ainsi que chaque jour, elle était souvent utilisée, baisée, possédée, besognée par un ou un autre Dominant du Château, parfois même par deux à la fois, venant se vider les couilles dans les diverses orifices de la belle et souvent à tous moments de la journée, voire aussi la nuit à être réveillée pour servir de vide-couilles… C’est ainsi, par exemple, qu’un début de nuit après une assemblée de travail où était présents le Seigneur d’Evans, Ronan, Antonin et Adrien, Le Maître les invita, accompagnés de leur ou d’une soumise à prendre une infusion dans la grande salle, où trônait un gigantesque cheminée derrière une massive table. Tous acceptèrent. Il y avait donc Le Seigneur d’Evans, Marion, Antonin, Marie, Ronan, Clémence, Adrien et Louise. La nuitée commença relativement sagement où chaque Dominant, tout en buvant une infusion et discutant de choses et d’autres, se faisait sucer par l’une des soumises présentes. A un moment donné, le Seigneur d’Evans ordonna à Marion de se caresser sensuellement et de se placer assise, les cuisses largement écartées sur un tabouret de bois, de façon à ce que chacun puisse voir son intimité exhibée ainsi à tous les regards, ce qu’elle fit sans tarder.
Marion se doutait que ce soir, elle serait fortement sollicitée et poussée jusqu’à ses dernières limites, n’étant pas autorisée à jouir, cela risquait d’être difficile de tenir bon, sans orgasmes. Elle commença en caressant lentement ses bras, son cou, sa clavicule puis descendit sur son ventre, remonta vers sa poitrine, malaxa ses merveilleux seins, et étira ses tétons déjà pointés et durs. Marion repartit ensuite de nouveau vers son ventre mais aussi ses cuisses caressant l’extérieur et l’intérieur sans jamais toucher sa chatte palpitante de désirs et amplement trempée, avide de sentir ses doigts, elle se sentait déjà en manque de sexe, en chaleur, à mouiller autant comme une bonne chienne… Elle regarda le Seigneur d’Evans qui, d’un léger signe de tête, l’autorisait à aller plus loin. Marion adorait, pour le Maître, mais en retirait aussi un immense plaisir, faire durer ledit plaisir. Elle passa d’abord un doigt frôlant à peine ses lèvres intimes puis de plus en plus loin jusqu'à ce que le bout de son doigt entre réellement dans sa chatte suintante. Elle fit de lents va-et-vient, mais de plus en plus profonds et titillant au passage son clitoris si réceptif. Puis, elle commença à augmenter légèrement la vitesse des allers et venues en mettant désormais 2 de ses doigts, tout en se caressant un sein avec son autre main. Elle allait entrer un troisième doigt, quand elle vit à sa gauche Adrien…
Adrien lui prit l’autre sein dans sa large main et le téton de l’autre dans sa bouche pour lécher, aspirer, titiller et mordiller ces beaux mamelons. Marion encore plus excitée par ce traitement qu’elle adorait avait à présent des va-et-vient ultra-rapides et profonds mais pas trop quand même afin de ne pas jouir. Soudain, elle vit Ronan approcher et lui ordonna de cesser de se branler, qu’il allait lui-même s’en occuper. Pour plus de facilité et en accord avec Adrien ils la firent se coucher sur le dos à même le sol près de la cheminée… Sur ces entrefaites, Antonin baisait frénétiquement la bouche de Marie qui se faisait doigter et lécher la chatte par Clémence. Quant au Seigneur d’Evans, ce dernier avait mis Louise en levrette et baissait sa chatte par derrière, le tout accompagné de claques excitantes sur son beau cul rebondi... Ronan toujours occupé à branler Marion avait fini par la fister totalement, ayant enfiler son poing entier sans la chatte trempée, sous ses cris de plaisir étouffés par Adrien qui après l’avoir abondement sucé, vrillé, malaxé, étiré et mordillé ses seins et ses tétons, l’embrassait de façon Dominante et inquisitrice à pleine bouche. Marion essayait tant bien que mal de penser à autre chose et à se concentrer sur sa Dévotion forte et sincère au Maître pour ne pas jouir, ne pas fauter. Elle l’ignorait, mais tous savaient, qu’ils ne devaient en aucun cas la pousser volontairement à la faute, en respectant ses limites physiques à retenir son orgasme…
(A suivre …)
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