La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1639)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-04-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1639)
Mattieu au Château – (suite de l'épisode N°1636) –
Demain est un jour nouveau, mais pas n’importe lequel, c’est Le Jour, celui qui va bouleverser ma vie, à jamais… La nuit fût très courte, j'étais à la fois mentalement apeuré et physiquement très excité. Je ne pouvais pas reculer, je sentais ma nature servile prendre le contrôle, tel un véritable appel de sa part à la rejoindre pour la vivre pleinement. Ca résonnait en moi désormais telle une évidence… Je ne me sentais plus à ma place dans cette société vanille car instinctivement de par cette nature servile, je savais, je ressentais où était ma véritable place, elle se trouvait dans ma condition même de servilité, d’esclave. Et j’avais une chance inouïe de vivre cette condition, une opportunité qui ne se représenterait peut-être plus jamais… Je ne crois pas au hasard, je reste persuadé que le destin ait voulu que mon chemin croise celui du Châtelain, qu’il m’a amené jusqu’à lui, ça devait être inévitablement écrit par Madame Destiné… 8h, de chez moi, j’appelle mon directeur.
- Oui bonjour Maxime, c'est Matthieu, écoutez ce matin je dois retourner au Château, Monsieur le Marquis m’a demandé de passer.
- OK, va y, mais tu prends ta voiture, car celles de la boîte sont toutes réservées aux diverses interventions programmées ce matin.
- Oui bien sûr, pas de souci… A cet après-midi.
Je regarde l'heure, je ne souhaite pas être en retard, je suis tout excité, qu'est ce qui m'arrive ! Je prends un café, j'embrasse ma femme et me voilà sur la route en cette mi-Avril. Il fait beau, le soleil est déjà bien chaud. Le printemps s’éveille par les arbres verdoyants… Je regarde sans cesse ma montre, je dois être à l’heure. Je n'ai plus besoin de GPS, car la route je la connais maintenant par cœur… Ah, voilà le village, j’arrive sur la place… tout est calme… Pas grand monde sauf ce jeune homme qui sort de la boulangerie (plus tard, j’apprendrai qu’il s’agit d’alexisoumis)… Là je suis un peu anxieux. Qui est cet ami dont m’a parlé le Châtelain ? Je vois le numéro sur la plaque contre un mur de propriété... Oui c'est bien là. Je stoppe mon véhicule, je sors et frappe à la porte. Un homme apparaît, la soixantaine, barbu et bedonnant :
- Bonjour monsieur, je viens de la part de Monsieur le Marquis d’Évans.
- Salut la pute ! Je t'ouvre le portail et tu mets ta charrette dedans.
Déjà il est qui lui, pour me traiter de pute, pour me tutoyer et traiter ma BMW de charrette !... Quel rustre personnage ! Je pense qu’il doit savoir par le Noble le but de ma présence pour me traiter de prostituée… J’allais lui rendre la monnaie de la pièce en l’insultant à mon tour, histoire de lui apprendre le respect en le regardant droit dans les yeux, quand je vois dans son regard des yeux fortement dominants, sévères. Des yeux tous ronds, presque globuleux. Résultat… Je me suis mis à baisser mon regard et je n’ai absolument rien dit, quasiment instinctivement, me sentant inférieur à cet énergumène. Pire encore, j’en éprouvais du plaisir, un plaisir de pure soumission, une forme de bien-être inexplicable d’infériorité… Alors c’est en silence, sans rien répondre que je rentre ma voiture dans sa cour et je viens le remercier le plus… poliment possible.
- Mer… merci monsieur, vraiment…- Ce n’est rien, la pute, tu me remercieras plus tard, hé ! hé ! hé !...
Et il se met à rire ! Bon, je le trouve bizarre ce grossier personnage, mais je pars sans tarder car j'ai maintenant 30 minutes de marche... Pourquoi me faire marcher comme ça ! Sur la place, il y a un large panneau touristique de la Communauté de Communes, avec bien détaillés, les sentiers pédestres balisés. Et je vois clairement que le chemin passant devant le Château des Evans est cité comme un lieu incontournable. Il me suffit de suivre les petits panneaux de deux barres, une jaune et une blanche. Il est même précisé 30 minutes pour le trajet à pieds, 15 pour les VTT. Je commence donc à suivre le parcours indiqué en quittant le bourg par un chemin goudronné passant entre la boulangerie et le bistrot… Je me retrouve vite dans cette coursière de chemins de terre entre les vignes et sous-bois… J'entends chanter les oiseaux, j'avance tranquille sans penser à rien jusqu'à ce que j’aperçoive le fameux Château droit devant moi ainsi que l’impressionnant portail. Et là tout change, je tremble, j'hésite, je sens mes mains moites…
- Mais que fais-tu là ? Tu es malade, me dis-je, je suis fou de revenir...
La grille aux volumineux ventaux est ouverte, j'entre sur les Terres du Noble. Je suis partie tôt pour être en avance alors je marche doucement, la peur au ventre, mais je sens déjà comme une laisse qui me tire vers ma destinée... Je parcoure ce vaste parc absolument magnifique, parfaitement entretenu, aux couleurs printanières avec ces parfums de fleurs et arbres en pleine floraison. Les fontaines coulent et donnent l’impression d’être dans le jardin d’Eden avec ces statues grecques et l’odeur des pelouses fraichement tondues, entre ces massifs copieusement fleuris… Monsieur le Marquis est vraiment quelqu'un qui sait mettre en valeur cette merveilleuse nature. Mais mon bas-ventre brûle de plus en plus de ce besoin d’être soumis, autant que mon esprit apeuré appréhende ce qui va suivre… Et pourtant, j’ai toujours cette petite voix intérieure qui me pousse à aller de l’avant… Et à chaque pas, j'ai du mal à respirer. Je ne sais pas pourquoi j'avance, c'est plus fort que moi, c’est cette petite voix qui me donne une force irrésistible et puissante et qui m'entraînera aux Pieds de cet homme. J'aperçois la porte dérobée sur le côté du Château, je vais dans sa direction comme téléguidé par ma nature servile qui me fait comprendre que mon égo avait assez dirigé ma vie, que maintenant c'est elle qui la contrôlerait dorénavant. Tout d’un coup, je croise le Majordome sortant de ladite porte dérobée, au moment où j’allais poser la main sur la poignée. Ce sinistre oiseau de Walter, ah celui-là je ne peux pas me le voir ! Je le toise et je ne le salue même pas ! Mais lui, me regarde d’un air sévère et réprobateur…
- Alors, le chien, on ne me dit pas bonjour, aujourd’hui ?… T'inquiète pas, tu baisseras la tête tout à l'heure, crois-moi, ça je te le garantis… Et tu regretteras de ne pas m’avoir salué ce matin...
Puis il se met à rire avec un rictus pervers, et poursuit son chemin. Je me retrouve devant cette porte restée ouverte, alors j'entre, je passe la porte du fond du petit couloir, je retrouve ces escaliers et ce premier étage. Et me revoilà dans cet autre couloir où jamais je ne pensais revenir... Et pourtant j'y suis et de mon propre chef. Je vois la porte, je reste devant au moins 10 minutes, je ne sais que faire, encore un combat, les derniers soubresauts de ma morale, ma conscience, et ma nature d’homme est sur le point de mourir. Alors, ça y est, je me décide enfin ! J'entre, apeuré, tremblant mais toujours physiquement très excité comme jamais auparavant. Mon sexe dressé dans mon slip est en effet dur comme du bois, mon bas-ventre réclame, il est en fusion. Ma tête ne contrôle plus rien, mes pulsions de soumission s’expriment sans réserves. Je vois à nouveau ces scabreux tableaux, cet homme ou plutôt cet esclave à genoux.... Mon corps, mon esprit savent déjà à quoi j'aspire maintenant... Et voilà ce magnifique bureau. Je m'approche et je vois les documents... Ils sont là et je les relis très attentivement… Tout est pareil dans leur contenu sauf que Monsieur Le Marquis a juste changé la date...
‘‘… Fait au Château d'Évans, le 14 Avril 2021’’…. Il pense à tout. Je relis et relis encore... Mais ce n’est pas possible, pourtant je bande tellement fort, je ressens un profond désir d'être ce soumis-esclave, de vivre maintenant cet état profond, cette vie enfouie depuis si longtemps, trop longtemps en moi et que j’avais durant des décennies balayé d’un revers de main. Je prends alors le stylo posé juste à côté. Je tremble, j'attends encore un sursaut, une réaction de mon moi, quand de derrière moi, j’entends une voix ferme et incitative...
- Allons, signe c'est bien ce que tu souhaites, sinon tu ne serais pas revenu !
C’est Lui, je ne l'ai pas entendu, je ne même l'ai pas aperçu venir… Mais Sa voix, quelle voix ! Elle me tient, elle me soumet déjà par son assurance, sa détermination, sa Dominance.
- Signe ou dégage, est-ce clair ? Tu sais pourquoi tu es revenu, alors si tu ne signes pas, tu fous le camp et ne remets jamais les pieds ici et cette fois pour de bon…
Anéanti, brisé, je lui dis un ‘bonjour’ très intimidé et je sens mon égo définitivement capituler, et je ressens de laisser la place à ma véritable nature servile qui maintenant va trôner sur ma vie. Tout tremblant avec en main le stylo qui se couche sur le premier document…. Ça y est j'ai signé, j'ai signé... Le Châtelain n’a pas à rajouter un seul mot, je sens Son regard imposant et puissant derrière moi et cela me suffit pour que vaincu, je signe les 3 autres avec une écriture toute tremblante. Je pose le stylo, j'ai peur, je ne peux avaler ma salive, mais je me sens bien. Enfin plus de combats avec mon moi vanille, plus de questions superflues et une profonde et inédite plénitude m’envahit subitement, presque surprenante, mais tellement salvatrice de ma nouvelle condition… Alors je reste là, debout penché sur le bureau et je sens ma nouille se redresser à une allure fulgurante...
- Maintenant, tu M’appartiens, salope, tu en es pleinement conscient ?, me dit-il en se rapprochant jusqu’à moi- Oui Monsieur, répondis-je tout tremblant
Une paire de gifles fuse, sans même m’y attendre :
- Oui Monsieur ? Je suis le Maitre maintenant, alors recommence !
Sa voix à changer, elle est plus dure, plus intransigeante, plus ferme, mais paradoxalement toujours calme, presque lente mais froide
- Oui Maître !…
(A suivre …)
Demain est un jour nouveau, mais pas n’importe lequel, c’est Le Jour, celui qui va bouleverser ma vie, à jamais… La nuit fût très courte, j'étais à la fois mentalement apeuré et physiquement très excité. Je ne pouvais pas reculer, je sentais ma nature servile prendre le contrôle, tel un véritable appel de sa part à la rejoindre pour la vivre pleinement. Ca résonnait en moi désormais telle une évidence… Je ne me sentais plus à ma place dans cette société vanille car instinctivement de par cette nature servile, je savais, je ressentais où était ma véritable place, elle se trouvait dans ma condition même de servilité, d’esclave. Et j’avais une chance inouïe de vivre cette condition, une opportunité qui ne se représenterait peut-être plus jamais… Je ne crois pas au hasard, je reste persuadé que le destin ait voulu que mon chemin croise celui du Châtelain, qu’il m’a amené jusqu’à lui, ça devait être inévitablement écrit par Madame Destiné… 8h, de chez moi, j’appelle mon directeur.
- Oui bonjour Maxime, c'est Matthieu, écoutez ce matin je dois retourner au Château, Monsieur le Marquis m’a demandé de passer.
- OK, va y, mais tu prends ta voiture, car celles de la boîte sont toutes réservées aux diverses interventions programmées ce matin.
- Oui bien sûr, pas de souci… A cet après-midi.
Je regarde l'heure, je ne souhaite pas être en retard, je suis tout excité, qu'est ce qui m'arrive ! Je prends un café, j'embrasse ma femme et me voilà sur la route en cette mi-Avril. Il fait beau, le soleil est déjà bien chaud. Le printemps s’éveille par les arbres verdoyants… Je regarde sans cesse ma montre, je dois être à l’heure. Je n'ai plus besoin de GPS, car la route je la connais maintenant par cœur… Ah, voilà le village, j’arrive sur la place… tout est calme… Pas grand monde sauf ce jeune homme qui sort de la boulangerie (plus tard, j’apprendrai qu’il s’agit d’alexisoumis)… Là je suis un peu anxieux. Qui est cet ami dont m’a parlé le Châtelain ? Je vois le numéro sur la plaque contre un mur de propriété... Oui c'est bien là. Je stoppe mon véhicule, je sors et frappe à la porte. Un homme apparaît, la soixantaine, barbu et bedonnant :
- Bonjour monsieur, je viens de la part de Monsieur le Marquis d’Évans.
- Salut la pute ! Je t'ouvre le portail et tu mets ta charrette dedans.
Déjà il est qui lui, pour me traiter de pute, pour me tutoyer et traiter ma BMW de charrette !... Quel rustre personnage ! Je pense qu’il doit savoir par le Noble le but de ma présence pour me traiter de prostituée… J’allais lui rendre la monnaie de la pièce en l’insultant à mon tour, histoire de lui apprendre le respect en le regardant droit dans les yeux, quand je vois dans son regard des yeux fortement dominants, sévères. Des yeux tous ronds, presque globuleux. Résultat… Je me suis mis à baisser mon regard et je n’ai absolument rien dit, quasiment instinctivement, me sentant inférieur à cet énergumène. Pire encore, j’en éprouvais du plaisir, un plaisir de pure soumission, une forme de bien-être inexplicable d’infériorité… Alors c’est en silence, sans rien répondre que je rentre ma voiture dans sa cour et je viens le remercier le plus… poliment possible.
- Mer… merci monsieur, vraiment…- Ce n’est rien, la pute, tu me remercieras plus tard, hé ! hé ! hé !...
Et il se met à rire ! Bon, je le trouve bizarre ce grossier personnage, mais je pars sans tarder car j'ai maintenant 30 minutes de marche... Pourquoi me faire marcher comme ça ! Sur la place, il y a un large panneau touristique de la Communauté de Communes, avec bien détaillés, les sentiers pédestres balisés. Et je vois clairement que le chemin passant devant le Château des Evans est cité comme un lieu incontournable. Il me suffit de suivre les petits panneaux de deux barres, une jaune et une blanche. Il est même précisé 30 minutes pour le trajet à pieds, 15 pour les VTT. Je commence donc à suivre le parcours indiqué en quittant le bourg par un chemin goudronné passant entre la boulangerie et le bistrot… Je me retrouve vite dans cette coursière de chemins de terre entre les vignes et sous-bois… J'entends chanter les oiseaux, j'avance tranquille sans penser à rien jusqu'à ce que j’aperçoive le fameux Château droit devant moi ainsi que l’impressionnant portail. Et là tout change, je tremble, j'hésite, je sens mes mains moites…
- Mais que fais-tu là ? Tu es malade, me dis-je, je suis fou de revenir...
La grille aux volumineux ventaux est ouverte, j'entre sur les Terres du Noble. Je suis partie tôt pour être en avance alors je marche doucement, la peur au ventre, mais je sens déjà comme une laisse qui me tire vers ma destinée... Je parcoure ce vaste parc absolument magnifique, parfaitement entretenu, aux couleurs printanières avec ces parfums de fleurs et arbres en pleine floraison. Les fontaines coulent et donnent l’impression d’être dans le jardin d’Eden avec ces statues grecques et l’odeur des pelouses fraichement tondues, entre ces massifs copieusement fleuris… Monsieur le Marquis est vraiment quelqu'un qui sait mettre en valeur cette merveilleuse nature. Mais mon bas-ventre brûle de plus en plus de ce besoin d’être soumis, autant que mon esprit apeuré appréhende ce qui va suivre… Et pourtant, j’ai toujours cette petite voix intérieure qui me pousse à aller de l’avant… Et à chaque pas, j'ai du mal à respirer. Je ne sais pas pourquoi j'avance, c'est plus fort que moi, c’est cette petite voix qui me donne une force irrésistible et puissante et qui m'entraînera aux Pieds de cet homme. J'aperçois la porte dérobée sur le côté du Château, je vais dans sa direction comme téléguidé par ma nature servile qui me fait comprendre que mon égo avait assez dirigé ma vie, que maintenant c'est elle qui la contrôlerait dorénavant. Tout d’un coup, je croise le Majordome sortant de ladite porte dérobée, au moment où j’allais poser la main sur la poignée. Ce sinistre oiseau de Walter, ah celui-là je ne peux pas me le voir ! Je le toise et je ne le salue même pas ! Mais lui, me regarde d’un air sévère et réprobateur…
- Alors, le chien, on ne me dit pas bonjour, aujourd’hui ?… T'inquiète pas, tu baisseras la tête tout à l'heure, crois-moi, ça je te le garantis… Et tu regretteras de ne pas m’avoir salué ce matin...
Puis il se met à rire avec un rictus pervers, et poursuit son chemin. Je me retrouve devant cette porte restée ouverte, alors j'entre, je passe la porte du fond du petit couloir, je retrouve ces escaliers et ce premier étage. Et me revoilà dans cet autre couloir où jamais je ne pensais revenir... Et pourtant j'y suis et de mon propre chef. Je vois la porte, je reste devant au moins 10 minutes, je ne sais que faire, encore un combat, les derniers soubresauts de ma morale, ma conscience, et ma nature d’homme est sur le point de mourir. Alors, ça y est, je me décide enfin ! J'entre, apeuré, tremblant mais toujours physiquement très excité comme jamais auparavant. Mon sexe dressé dans mon slip est en effet dur comme du bois, mon bas-ventre réclame, il est en fusion. Ma tête ne contrôle plus rien, mes pulsions de soumission s’expriment sans réserves. Je vois à nouveau ces scabreux tableaux, cet homme ou plutôt cet esclave à genoux.... Mon corps, mon esprit savent déjà à quoi j'aspire maintenant... Et voilà ce magnifique bureau. Je m'approche et je vois les documents... Ils sont là et je les relis très attentivement… Tout est pareil dans leur contenu sauf que Monsieur Le Marquis a juste changé la date...
‘‘… Fait au Château d'Évans, le 14 Avril 2021’’…. Il pense à tout. Je relis et relis encore... Mais ce n’est pas possible, pourtant je bande tellement fort, je ressens un profond désir d'être ce soumis-esclave, de vivre maintenant cet état profond, cette vie enfouie depuis si longtemps, trop longtemps en moi et que j’avais durant des décennies balayé d’un revers de main. Je prends alors le stylo posé juste à côté. Je tremble, j'attends encore un sursaut, une réaction de mon moi, quand de derrière moi, j’entends une voix ferme et incitative...
- Allons, signe c'est bien ce que tu souhaites, sinon tu ne serais pas revenu !
C’est Lui, je ne l'ai pas entendu, je ne même l'ai pas aperçu venir… Mais Sa voix, quelle voix ! Elle me tient, elle me soumet déjà par son assurance, sa détermination, sa Dominance.
- Signe ou dégage, est-ce clair ? Tu sais pourquoi tu es revenu, alors si tu ne signes pas, tu fous le camp et ne remets jamais les pieds ici et cette fois pour de bon…
Anéanti, brisé, je lui dis un ‘bonjour’ très intimidé et je sens mon égo définitivement capituler, et je ressens de laisser la place à ma véritable nature servile qui maintenant va trôner sur ma vie. Tout tremblant avec en main le stylo qui se couche sur le premier document…. Ça y est j'ai signé, j'ai signé... Le Châtelain n’a pas à rajouter un seul mot, je sens Son regard imposant et puissant derrière moi et cela me suffit pour que vaincu, je signe les 3 autres avec une écriture toute tremblante. Je pose le stylo, j'ai peur, je ne peux avaler ma salive, mais je me sens bien. Enfin plus de combats avec mon moi vanille, plus de questions superflues et une profonde et inédite plénitude m’envahit subitement, presque surprenante, mais tellement salvatrice de ma nouvelle condition… Alors je reste là, debout penché sur le bureau et je sens ma nouille se redresser à une allure fulgurante...
- Maintenant, tu M’appartiens, salope, tu en es pleinement conscient ?, me dit-il en se rapprochant jusqu’à moi- Oui Monsieur, répondis-je tout tremblant
Une paire de gifles fuse, sans même m’y attendre :
- Oui Monsieur ? Je suis le Maitre maintenant, alors recommence !
Sa voix à changer, elle est plus dure, plus intransigeante, plus ferme, mais paradoxalement toujours calme, presque lente mais froide
- Oui Maître !…
(A suivre …)
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