La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1640)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-04-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1640)
Mattieu au Château – (suite de l'épisode précédent N°1639) –
- Oui Maître ! …
Ça y est je l'ai dit, prononcé et finalement je n'attendais que cela... Car le dire me fait frissonner d’un plaisir intérieur profond qui irradie tout mon être de savoureux et infimes spasmes remontant toute mon échine. ‘Maître’, oui j'avais besoin de dire ‘Maitre’. Le Noble prend les documents, vérifie mes signatures et les range dans Son tiroir. Puis Il se met devant moi, dos à Son bureau. Je recule instinctivement au milieu de la pièce, comme si j’étais dans un état craintif, sur la défensive, tel un chien battu.
- Rends-toi présentable pour le Maitre, maintenant. Cette tenue n'est plus adéquate… A poil, salope ! La nudité est et sera désormais une normalité devant Moi. Te présenter, à Moi, habillé sera toujours une insulte à Ma personne, ne l’oublie jamais…
Alors tête baissée, j'enlève ma veste, j'essaie de la poser sur le dossier...
- Non, jette tout par terre !
Honteux, je jette ma veste, j'enlève mes chaussures, mes chaussettes. J'enlève ma chemise, je frissonne mais pas de froid, mais d’appréhension excitante. Je sens le regard du Maitre et j'en tremble de tout mon être. J'enlève mon pantalon, je suis en slip avec cette énorme bosse de mon érection que je ne peux pas cacher et qui fait dépasser mon gland du sous-vêtement.... Je l'enlève et le jette sur mon tas d’habits. Ca y est, je suis nu et honteux devant le Châtelain qui me regarde de haut. J’essaie de cacher ma nouille en érection avec mes mains, mais en vain :
- Tes mains, salope, derrière le dos.
Une voix forte, pure, sans appel, c'est la voix du Maitre. Mes mains sont derrière mon dos, je suis honteux, je me sens ridicule avec ma nouille dressée, mais quel épanouissement, quelle excitation jamais connue jusqu’à l’heure. Je me sens être un simple objet exposé, scruté. Jamais, à part quelques copines dès mon adolescence et avant de connaitre ma femme, jamais je ne m’étais montré nu et en érection devant quelqu‘un...
- A genoux, devant le Maitre !
Je tombe à genoux comme une évidence, c'était écrit et je ne peux plus rien y faire et même que je ne rêvais que de cela, me trouver ainsi devant Lui. Voilà, je suis à genoux, mains dans le dos et tête baissée.
- Tu m'appartiens salope et tu vas apprendre à te soumettre, crois-Moi ! Je t’interdis la honte, la pudeur, l’intimité, elles ne t’appartiennent plus, tu n’y as plus droit… A l’avenir, tout ce qui te paraitrait honteux devra et sera pour toi une normalité, Te montrer nu devant Moi ou à qui je te confierai sera une évidence pour toi et donc sans pudeur. Ainsi tu n’as plus droit à l’intimité… Maintenant lèche Mes chaussures. Tu as déjà fait cet exercice, tu sais comment faire, la salope !
Alors je me mets en position levrette prosternée, ouvre grand ma bouche, sort ma langue et commence à lécher le cuir d’une de Ses chaussures… Alors que je m’active à la tâche, le Maitre appuie sur un bouton se trouvant sur le bureau.
- Rejoins-Moi à la salle des punitions.
Le Maitre m'ignore totalement, je suis là, nu et à lécher les pompes ! Je respire doucement, je suis tremblant mais complètement excité de poser ma langue sur Son soulier parfaitement ciré. Au bout de cinq minutes, la porte s'ouvre, c'est le Majordome, ce Walter, ah non, pas lui, non !
- Monsieur Le Marquis ?
- Mon bon Walter, cette salope a osé m'appeler monsieur ! Cette salope m'a offensé en rejetant mes documents hier. Il va apprendre à obéir, attache-le et punis-le !
- Avec plaisir, Monsieur Le Marquis. Je tiens par ailleurs à informer Monsieur Le Marquis que ce chien ne m’a pas dit bonjour, là en arrivant au Château, alors que je l’ai croisé vers la porte dérobé…- Comment ça ? Il a osé te manquer de respect ?
Le Châtelain se recule, retire Son pied placé sous ma langue, me prend par les cheveux pour me redresser la tête et me regarde droit dans les yeux :
- Ne pas dire bonjour à Mon Majordome, c’est comme M’insulter ! Tu vas lui lécher ses chaussures mais avant tu vas lui dire bonjour et lui présenter tes excuses, espèce de chien mal poli… Et je lui laisse carte blanche pour te punir à sa façon afin de laver cet affront…
Sa voix est sèche, dure, sa voix claque et me percute. Le Noble m’approche de Monsieur Walter et m’oblige à poser mon nez sur la chaussure du Majordome en appuyant sur ma tête d’une main ferme. A terre, plié en deux en cette position prosternée, alors je n’ai d’autre choix d’obéir. C’est avec une voix fébrile que je me lance, le nez à quelques millimètres de la chaussure de bras droit du Maître.
- Monsieur Walter, je vous présente mes excuses de ne pas vous avoir dit bonjour, ni même adressé un seul mot. Je reconnais que c’est un manque profond de respect de la part d’un être inférieur comme moi, à votre égard…- J’accepterai tes excuses qu’une fois que tu auras subi ma punition. Il est hors de question que je laisse cet affront sans sanction, me répond le Majordome
- Lève-toi salope, réplique Monsieur le Marquis.
Monsieur Walter me prend par les cheveux, me redresse et me pousse contre cette croix de Saint André. Ça y est je suis fixé sur cet objet de supplice. J'ai peur, je tremble, mais je bande et je bande même très fort.
- Walter va te fouetter au martinet, mais ça ce n’est pas sa punition, c’est Mon exigence, que ce soit clair, pour m’avoir appelé monsieur et pas avoir signé hier… Tu comptes chaque coup à haute et intelligible voix et tu remercies le Maitre à chaque fois. Si tu oublies ou si tu prends trop de temps, on recommence. Tu subis en fermant ta gueule de chien, je ne veux rien entendre, juste le comptage et le remerciement.
Je tremble. Je me contracte en attendant le premier coup, jamais je n'ai été frappé, j'ai peur…. Schlaaaaaak
- ouaaaaaaa … Ca fait mal ! … Aïe ! … Arrêtez !
Je crie ça par réflexe de la douleur subite et cinglante. Mais je reçois une paire de gifles magistrale de la part du Majordome qui n’ a pas tardéà me corriger :
- Je t’ai dit de te taire, espèce de chien, on recommence !
Schlaaaaaak ! Le coup fuse à une allure folle et bien plus appuyé sur ma peau sensible. Je me retiens de crier cette fois-ci et arrive avec difficulté à sortir un :
- 1 mmmerr ciii Maitree.
Comme j'ai mal, il ne fait pas semblant, c'est dingue ! Schlaaaaaaak, le deuxième coup fuse, tout aussi fort, avec force.
- 2 merrrr ci Maitre.
Oh, j’ai mal … comme j'ai mal ! Schlaaaaaaak Schlaaaaaaak... Mon dos, mes fesses ne sont plus que des stries rouges. J'ai la tête baissée, mon nez coule, je pleure comme un gamin, ce sont les chaînes qui me tiennent tellement j'ai mal... On est à 40 coups de martinets quand une voix s’élève :
- Stop Walter, c'est Moi qui termine les 10 derniers.
Encore 10 ! C'est trop, j'ai trop mal, je pleure et je supplie doucement.
- Stop, SVP, Maître, j'ai trop mal…
Aucune réponse, Le Maitre prends une longue cravache et je pleure encore plus fort. Schlikkkkkkkkk … ohhhhhhhhh quelle douleur…
- 41 merrrrciiii M.. aitreee…
Shlikkkkkkkk, shlikkkkkkkkk... Les coups fusent sur mon cul en feu…
(A suivre …)
- Oui Maître ! …
Ça y est je l'ai dit, prononcé et finalement je n'attendais que cela... Car le dire me fait frissonner d’un plaisir intérieur profond qui irradie tout mon être de savoureux et infimes spasmes remontant toute mon échine. ‘Maître’, oui j'avais besoin de dire ‘Maitre’. Le Noble prend les documents, vérifie mes signatures et les range dans Son tiroir. Puis Il se met devant moi, dos à Son bureau. Je recule instinctivement au milieu de la pièce, comme si j’étais dans un état craintif, sur la défensive, tel un chien battu.
- Rends-toi présentable pour le Maitre, maintenant. Cette tenue n'est plus adéquate… A poil, salope ! La nudité est et sera désormais une normalité devant Moi. Te présenter, à Moi, habillé sera toujours une insulte à Ma personne, ne l’oublie jamais…
Alors tête baissée, j'enlève ma veste, j'essaie de la poser sur le dossier...
- Non, jette tout par terre !
Honteux, je jette ma veste, j'enlève mes chaussures, mes chaussettes. J'enlève ma chemise, je frissonne mais pas de froid, mais d’appréhension excitante. Je sens le regard du Maitre et j'en tremble de tout mon être. J'enlève mon pantalon, je suis en slip avec cette énorme bosse de mon érection que je ne peux pas cacher et qui fait dépasser mon gland du sous-vêtement.... Je l'enlève et le jette sur mon tas d’habits. Ca y est, je suis nu et honteux devant le Châtelain qui me regarde de haut. J’essaie de cacher ma nouille en érection avec mes mains, mais en vain :
- Tes mains, salope, derrière le dos.
Une voix forte, pure, sans appel, c'est la voix du Maitre. Mes mains sont derrière mon dos, je suis honteux, je me sens ridicule avec ma nouille dressée, mais quel épanouissement, quelle excitation jamais connue jusqu’à l’heure. Je me sens être un simple objet exposé, scruté. Jamais, à part quelques copines dès mon adolescence et avant de connaitre ma femme, jamais je ne m’étais montré nu et en érection devant quelqu‘un...
- A genoux, devant le Maitre !
Je tombe à genoux comme une évidence, c'était écrit et je ne peux plus rien y faire et même que je ne rêvais que de cela, me trouver ainsi devant Lui. Voilà, je suis à genoux, mains dans le dos et tête baissée.
- Tu m'appartiens salope et tu vas apprendre à te soumettre, crois-Moi ! Je t’interdis la honte, la pudeur, l’intimité, elles ne t’appartiennent plus, tu n’y as plus droit… A l’avenir, tout ce qui te paraitrait honteux devra et sera pour toi une normalité, Te montrer nu devant Moi ou à qui je te confierai sera une évidence pour toi et donc sans pudeur. Ainsi tu n’as plus droit à l’intimité… Maintenant lèche Mes chaussures. Tu as déjà fait cet exercice, tu sais comment faire, la salope !
Alors je me mets en position levrette prosternée, ouvre grand ma bouche, sort ma langue et commence à lécher le cuir d’une de Ses chaussures… Alors que je m’active à la tâche, le Maitre appuie sur un bouton se trouvant sur le bureau.
- Rejoins-Moi à la salle des punitions.
Le Maitre m'ignore totalement, je suis là, nu et à lécher les pompes ! Je respire doucement, je suis tremblant mais complètement excité de poser ma langue sur Son soulier parfaitement ciré. Au bout de cinq minutes, la porte s'ouvre, c'est le Majordome, ce Walter, ah non, pas lui, non !
- Monsieur Le Marquis ?
- Mon bon Walter, cette salope a osé m'appeler monsieur ! Cette salope m'a offensé en rejetant mes documents hier. Il va apprendre à obéir, attache-le et punis-le !
- Avec plaisir, Monsieur Le Marquis. Je tiens par ailleurs à informer Monsieur Le Marquis que ce chien ne m’a pas dit bonjour, là en arrivant au Château, alors que je l’ai croisé vers la porte dérobé…- Comment ça ? Il a osé te manquer de respect ?
Le Châtelain se recule, retire Son pied placé sous ma langue, me prend par les cheveux pour me redresser la tête et me regarde droit dans les yeux :
- Ne pas dire bonjour à Mon Majordome, c’est comme M’insulter ! Tu vas lui lécher ses chaussures mais avant tu vas lui dire bonjour et lui présenter tes excuses, espèce de chien mal poli… Et je lui laisse carte blanche pour te punir à sa façon afin de laver cet affront…
Sa voix est sèche, dure, sa voix claque et me percute. Le Noble m’approche de Monsieur Walter et m’oblige à poser mon nez sur la chaussure du Majordome en appuyant sur ma tête d’une main ferme. A terre, plié en deux en cette position prosternée, alors je n’ai d’autre choix d’obéir. C’est avec une voix fébrile que je me lance, le nez à quelques millimètres de la chaussure de bras droit du Maître.
- Monsieur Walter, je vous présente mes excuses de ne pas vous avoir dit bonjour, ni même adressé un seul mot. Je reconnais que c’est un manque profond de respect de la part d’un être inférieur comme moi, à votre égard…- J’accepterai tes excuses qu’une fois que tu auras subi ma punition. Il est hors de question que je laisse cet affront sans sanction, me répond le Majordome
- Lève-toi salope, réplique Monsieur le Marquis.
Monsieur Walter me prend par les cheveux, me redresse et me pousse contre cette croix de Saint André. Ça y est je suis fixé sur cet objet de supplice. J'ai peur, je tremble, mais je bande et je bande même très fort.
- Walter va te fouetter au martinet, mais ça ce n’est pas sa punition, c’est Mon exigence, que ce soit clair, pour m’avoir appelé monsieur et pas avoir signé hier… Tu comptes chaque coup à haute et intelligible voix et tu remercies le Maitre à chaque fois. Si tu oublies ou si tu prends trop de temps, on recommence. Tu subis en fermant ta gueule de chien, je ne veux rien entendre, juste le comptage et le remerciement.
Je tremble. Je me contracte en attendant le premier coup, jamais je n'ai été frappé, j'ai peur…. Schlaaaaaak
- ouaaaaaaa … Ca fait mal ! … Aïe ! … Arrêtez !
Je crie ça par réflexe de la douleur subite et cinglante. Mais je reçois une paire de gifles magistrale de la part du Majordome qui n’ a pas tardéà me corriger :
- Je t’ai dit de te taire, espèce de chien, on recommence !
Schlaaaaaak ! Le coup fuse à une allure folle et bien plus appuyé sur ma peau sensible. Je me retiens de crier cette fois-ci et arrive avec difficulté à sortir un :
- 1 mmmerr ciii Maitree.
Comme j'ai mal, il ne fait pas semblant, c'est dingue ! Schlaaaaaaak, le deuxième coup fuse, tout aussi fort, avec force.
- 2 merrrr ci Maitre.
Oh, j’ai mal … comme j'ai mal ! Schlaaaaaaak Schlaaaaaaak... Mon dos, mes fesses ne sont plus que des stries rouges. J'ai la tête baissée, mon nez coule, je pleure comme un gamin, ce sont les chaînes qui me tiennent tellement j'ai mal... On est à 40 coups de martinets quand une voix s’élève :
- Stop Walter, c'est Moi qui termine les 10 derniers.
Encore 10 ! C'est trop, j'ai trop mal, je pleure et je supplie doucement.
- Stop, SVP, Maître, j'ai trop mal…
Aucune réponse, Le Maitre prends une longue cravache et je pleure encore plus fort. Schlikkkkkkkkk … ohhhhhhhhh quelle douleur…
- 41 merrrrciiii M.. aitreee…
Shlikkkkkkkk, shlikkkkkkkkk... Les coups fusent sur mon cul en feu…
(A suivre …)
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