La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1641)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1641)
Mattieu au Château – (suite de l'épisode précédent N°1640) –
Les coups fusent sur mon cul en feu, ils pleuvent les uns après les autres, je ne suis plus qu'un réceptacle de douleurs. Mon dos et mes fesses sont copieusement zébrés, rougis marqués et je pleure à chaudes larmes tellement j'ai mal. Monsieur Walter, dans un silence absolu et avec une attitude assurée, enlève ensuite les attaches… Je tombe alors à genoux, le nez regardant le sol… Oh comme j'ai mal... Je ne suis plus un homme, plus un être humain, mais un animal, un chien qui a été battu afin d'être dressé ... Je pleure et en même temps, ce qui peut paraître paradoxal, je ressens toujours cette extrême excitation mentale et physique décuplée dans la souffrance... C'est fou, mais qui je suis en réalité ? … Je ne sais plus… Mais c’est Monsieur le Marquis qui va encore une fois, me révéler à moi-même en répondant à cette question :
- Regarde Walter, ce chien battu bande comme un taureau ! Il souffle, pleure de douleurs et en est excité comme un cerf en rut… Encore un soumis masochiste ! Tu entends, le chien, ce que Je dis, tu es un véritable maso… Et tu trouveras ton plaisir dans ton masochisme que je compte bien développer pour faire ressortir en toi, toutes les facettes de ta Nature servile… En oui, c’est clair désormais, tu m'appartiens maintenant, salope, tu en est conscient ?
Le Noble a encore tout compris avec Sa clairvoyance, Son réalisme, Sa lucidité face à l’évidence de ma condition. Monsieur Walter me pousse alors au centre de la pièce. Et, de moi-même, silencieux je me mets à genoux les mains dans le dos malgré la douleur terrible qui m’irradie encore sur toute mon échine. Le Maitre repose Sa question avec plus de fermeté.
- Tu m'appartiens maintenant, salope, tu en est vraiment conscient de tout ce que ça implique ?
Je ne fais pas la même erreur... Et je réponds en larmes et tête baissée :
- Oui Maitre, je Vous appartiens, j’en suis conscient, Vous pouvez faire ce que Vous voulez de moi...
Le Châtelain tend alors Sa chaussure et exige un ordre laconique.
- Lèche !
Je baisse la tête et cette fois je n'ai plus aucune hésitation, je sais ce que je dois faire... Ma langue s'active sur la chaussure du Maitre et je retrouve malgré la douleur, cette plénitude et ce bien être, me sentant à ma place, la seule qui me sied. Le Maitre assis sur Son confortable fauteuil à Son bureau me regarde lécher en tendant Sa jambe.
- Enlève doucement Ma chaussure, salope.
Je défais le lacet et enlève la chaussure en cuir du Maitre.
- Maintenant enlève Ma chaussette.
Je retire doucement la chaussette de Monsieur le Marquis.
- Parfait, embrasse Mon pieds, la chienne.
Je n’ai jamais fait ça mais instinctivement j'ai l'impression que c'est normal, que c’est une évidence en ma servilité naturelle, alors j'embrasse et lèche le pied du Maitre avec soin. Je ressens ce besoin de chérir ce pied car ce n’est pas n’importe quel pied… Le Noble me rentre Son gros orteil dans la bouche, fait quelques va-et-vient, puis tous les autres orteils en enfonçant Son avant-pied en ma cavité buccale. Je bave, je fais mon possible pour lécher le pied, il le ressort, le frotte sur mon visage et le remet en ma bouche de pute.
- Tu vois, Walter, je te l'avais dit. Cette race de chiens est très particulière. Il faut bien les corriger pour qu'ils se révèlent.
Le Maitre se lève, j'entends qu'il défait la boucle de Sa ceinture... Il baisse son pantalon et devant moi se dresse une grosse verge tendue, longue, veineuse avec un gland énorme violacé, gorgé de sang. Moi qui me disait toujours, avec mes stupides théories machiste, que seules les femmes devaient sucer, et voilà que je suis sur le point de le faire.
- Voyons voir maintenant comment est la bouche de ce clébard de bâtard… Embrasse Ma verge, sale chien de rue !
Je n'ose pas hésiter, car j'ai trop peur du martinet. Alors voilà pour la première fois de ma vie, j'embrasse une verge, un sexe d’homme... Je ne me connais pas homosexuel, mais à y réfléchir, je ne me connaissais pas non plus masochiste, je me croyais juste machiste. Et la réalité me montre que je suis loin d’être macho et même que je suis devenu maso et homo… Alors je l'embrasse et c'est maintenant pour moi chose normal, voire un désir profond.
- Lèche Mes couilles, grosse salope !
Ma langue lèche les couilles du Châtelain, je lèche maintenant comme un mort de faim, je sens le soumis en moi prendre toute la place. Je lèche sans honte, sans gêne et j'en bande terriblement.... Après 10 bonnes minutes de ce pur bonheur d’être ce lèche-couilles excité :
- Aller, suce maintenant, montre ce pour quoi tu es fait !
Alors, j'ouvre la bouche en grand et pour la première fois de ma vie, une verge me pénètre la gorge. Mais là aussi, ce n’est pas n’importe laquelle des Verge, c’est celle du Maître, celle que je rêve d’avoir en moi ! Celle que je rêve qu’elle me possède physiquement dans mes deux orifices, qu’elle prenne possession de mon corps !
- Suce, j’ai dit, sale pute !
Je commence à sucer, c’est dur mais agréable, j'avoue, je suce, je lèche la hampe et le gland, je reprends la hampe dressée en bouche, passant ma langue sur le gland, pompant aussi et je suis tout excité de sucer ainsi. J'ai refoulé cela depuis des années et là ma nature servile se régale, s’impose d’elle-même. Je suis à ma place. Le Maitre tout à coup bloque le dessus de mon crâne par une pression de Ses larges mains plaquées derrière ma nuque et m’impose ainsi une gorge profonde avant de faire des va-et-vient par des petits coups de reins... Que dis-je ? Le Noble me baise littéralement la bouche, Il me défonce désormais ma bouche humide, salivante et chaude qui n'est plus maintenant qu’une chatte, qu'un trou à bites. Je la sens s'enfoncer tout au fond, je suis au bord du vomissement causé par des hauts de cœur, je bave, je pleure, mon nez coule, mais le Châtelain me défonce la bouche sans tenir compte de mes petits désagréments qu’Il n’a que faire. Je me sens ainsi totalement possédé sur le plan physique mais aussi mental..
- Ouvre la gueule, le chien !, m’exige-t-Il en retirant Son noble Vit
J’ouvre la bouche et le Maître me crache dedans, j'en reçois dans les yeux, sur la joue...
- Aller, maintenant suce encore !
C’est réparti, Monsieur le Marquis me défonce et ça dure.... J'arrive à peine à respirer, je suis baisé comme une vulgaire putain...
- Ne perd rien de Ma Semence, sale chien, c'est toujours un suprême honneur que de la recevoir, ne l’oublie jamais !
Le Châtelain me baise encore et encore, Il s'enfonce jusqu'à ma glotte, accélère le rythme, me plaquant la tête contre Son bas-ventre quand je sens Sa Verge dure comme du bois vibrer tout à coup et le Maître pousse alors un râle bestial en se vidant les couilles dans ma bouche par des flots de sperme saccadés.... J’essaie d'avaler mais jamais je n'ai reçu de sperme, je ne connais pas son goût. Je sens cette matière gluante envahir ma gorge par ces puissantes giclées et je n’arrive pas à tout avaler. Je ne peux pas me retenir de recracher une partie sur le sol.... Alors le Maître me relâche et je recherche au plus vite mon souffle. Le sperme divin coule par mon nez, j'en ai sur le menton, le ventre mélangé à de la salive. Plusieurs filets de Sa précieuse Semence et de bave pendent à mes lèvres, quand je reçois en pleine figure, une mémorable paire de gifles.
- Espèce de sale bâtard, comment à tu oser !
Le Noble est outré, alors Il me soulève comme un fétu de paille, m’empoigne fermement par le bras et me couche sur le ventre sur un genre de cheval d’arçon. Ensuite, Il prend un paddle et me donne une raclée... 25 coups sur chaque fesse qui déjà étaient fortement meurtries et striées, J’hurle je supplie, je pleure mais rien n'y fait, le Châtelain me punit car j'ai laissé tomber à terre Sa noble Semence, ce qui est un sacrilège. Je retombe sur le sol anéanti, meurtri, je ne suis que douleur mais je sais au fond de moi que c'est ce dont j'ai besoin pour apprendre, être dressé et bien éduqué. Le Maitre me sort du cheval d’arçon, toujours en me tirant par le bras et me fait mettre en levrette prosternée pour me plaquer ensuite la tête sur le sol. Dans un premier temps, Il pose Son pied contre ma joue afin de bien me faire sentir Sa Dominance, tel un chasseur posant le pied sur son gibier abattu en guise de trophée… Puis Il empoigne mes cheveux pour me relever un peu la tête et me met le nez dans Sa semence à même le sol. Il me force à lécher le sperme tombé à terre. C’est ainsi que je tire ma langue et tel un véritable chien, je léché avec avidité, avec bruit, et j’avoue que le gout salé du sperme n’est pas pour me déplaire… Une fois terminé et peine le temps de respirer que déjà le Maître empoigne de nouveau ma chevelure, me relève la tête et me tire par les cheveux vers le Majordome. C’est ainsi que je me retrouve le nez devant la Verge de Monsieur Walter pile devant ma bouche de catin...
- Suce la putain et cette fois ne perd rien, me dit-il, tout en me relevant le menton avec ses doigts pour me parler ainsi droit dans les yeux. Dominé, je baisse mon regard et dès que le Majordome lâche mon menton, je prends en bouche son sexe déjà dressé. Comme tout à l'heure, à l’instar du Maitre, Walter me baise la bouche, entre et ressort, me crache dans ma cavité buccale et me rebaise pendant lui aussi dix bonnes minutes pour finir de se vider les couilles en exigeant avec force...
- Avaleeee, le chien !
Et là, cette fois-ci, je fais très attention, je ne laisse rien tomber, j'avale le sperme de Monsieur Walter et à son ordre, je lui nettoie entièrement son vit semi ramolli... Moi qui ce matin qui le toisait, l'ignorait, je venais de lui vider les couilles. Je suis là à genoux, honteux, les yeux pleins de larmes et la bouche encore avec du sperme dégoulinant. J'ai la tête baissée, je suis malgré tout toujours dans ce sentiment s'épanouissement total et je sens ma nouille toujours aussi dure.
- Walter, occupe-toi de ce chien et rend le présentable face à Mon regard…- Bien Monsieur Le Marquis, je m'en occupe dès à présent et je le ramène à Vos Pieds. Comme vous me l'avez accordé, je le punirai pour ce matin mais en son temps.
J’aperçois du coin de l'œil le Châtelain prendre ce qui me semble être une lanière en cuir sur une étagère… Mais non ce n'est pas une lanière, c'est plutôt un collier que j’aperçois distinctement une fois que le Noble se soit rapproché de moi... Un collier de chien avec une grande boucle et une inscription que je ne peux pas lire.
- Lève la tête, le chien...
- Le Maitre me place alors ce collier autour de mon cou, Il sert et le ferme.
C’est un moment très solennel car Monsieur le Marquis, scelle une bonne fois pour toute ma parfaite servilité acquise à Son égard, ma soumission absolue sous Son joug avec Ses mots :
- Mon chien, je te mets ce collier, symbole fort de ta soumission, de ton appartenance envers Moi. Tu n’auras jamais le droit de retirer ce collier en ce lieu, au Château. Tu n’as peut-être pas vu, mais ce collier est flanqué d’une plaque de cuivre où il est marqué ton nouveau nom de chien ‘‘esclave Katia’’. Un jour, peut-être, tu auras l’honneur, si tu le mérites que je fasse rajouter sur cette plaque Mes nobles Initiales MDE pour te nommer alors : ‘‘esclave Katia MDE’’. Mais le chemin est encore long, car avec Moi tout fonctionne sur la notion du mérite… Chemin long mais pas inaccessible, ne l’oublie jamais ! Avec détermination, grande obéissance, tu pourras y arriver avec ce seul et unique objectif en toi et qui reste désormais ton seul but, ta seule raison d’être : Me satisfaire, seul cela compte pour toi…
Je ressens une certaine excitation, c'est plus fort que moi et surtout une immense fierté avec une profonde reconnaissance. Alors c’est tout naturellement et sans un seul mot que pour exprimer cette forte reconnaissance, mes remerciements des plus sincères, que j’embrasse le bout des doigts que le Maître daigne me présenter sous mes yeux… En effet, je quitte désormais ma vie d'homme vanille et je deviens enfin ce chien servile, oui un chien qui appartient à cet homme que je connais que depuis 2 jours, mais qui m’a relevé à moi-même !... Ensuite Monsieur Walter me met une laisse, me tire et me dit :
- Aller le chien, suis-moi...
(A suivre …)
Les coups fusent sur mon cul en feu, ils pleuvent les uns après les autres, je ne suis plus qu'un réceptacle de douleurs. Mon dos et mes fesses sont copieusement zébrés, rougis marqués et je pleure à chaudes larmes tellement j'ai mal. Monsieur Walter, dans un silence absolu et avec une attitude assurée, enlève ensuite les attaches… Je tombe alors à genoux, le nez regardant le sol… Oh comme j'ai mal... Je ne suis plus un homme, plus un être humain, mais un animal, un chien qui a été battu afin d'être dressé ... Je pleure et en même temps, ce qui peut paraître paradoxal, je ressens toujours cette extrême excitation mentale et physique décuplée dans la souffrance... C'est fou, mais qui je suis en réalité ? … Je ne sais plus… Mais c’est Monsieur le Marquis qui va encore une fois, me révéler à moi-même en répondant à cette question :
- Regarde Walter, ce chien battu bande comme un taureau ! Il souffle, pleure de douleurs et en est excité comme un cerf en rut… Encore un soumis masochiste ! Tu entends, le chien, ce que Je dis, tu es un véritable maso… Et tu trouveras ton plaisir dans ton masochisme que je compte bien développer pour faire ressortir en toi, toutes les facettes de ta Nature servile… En oui, c’est clair désormais, tu m'appartiens maintenant, salope, tu en est conscient ?
Le Noble a encore tout compris avec Sa clairvoyance, Son réalisme, Sa lucidité face à l’évidence de ma condition. Monsieur Walter me pousse alors au centre de la pièce. Et, de moi-même, silencieux je me mets à genoux les mains dans le dos malgré la douleur terrible qui m’irradie encore sur toute mon échine. Le Maitre repose Sa question avec plus de fermeté.
- Tu m'appartiens maintenant, salope, tu en est vraiment conscient de tout ce que ça implique ?
Je ne fais pas la même erreur... Et je réponds en larmes et tête baissée :
- Oui Maitre, je Vous appartiens, j’en suis conscient, Vous pouvez faire ce que Vous voulez de moi...
Le Châtelain tend alors Sa chaussure et exige un ordre laconique.
- Lèche !
Je baisse la tête et cette fois je n'ai plus aucune hésitation, je sais ce que je dois faire... Ma langue s'active sur la chaussure du Maitre et je retrouve malgré la douleur, cette plénitude et ce bien être, me sentant à ma place, la seule qui me sied. Le Maitre assis sur Son confortable fauteuil à Son bureau me regarde lécher en tendant Sa jambe.
- Enlève doucement Ma chaussure, salope.
Je défais le lacet et enlève la chaussure en cuir du Maitre.
- Maintenant enlève Ma chaussette.
Je retire doucement la chaussette de Monsieur le Marquis.
- Parfait, embrasse Mon pieds, la chienne.
Je n’ai jamais fait ça mais instinctivement j'ai l'impression que c'est normal, que c’est une évidence en ma servilité naturelle, alors j'embrasse et lèche le pied du Maitre avec soin. Je ressens ce besoin de chérir ce pied car ce n’est pas n’importe quel pied… Le Noble me rentre Son gros orteil dans la bouche, fait quelques va-et-vient, puis tous les autres orteils en enfonçant Son avant-pied en ma cavité buccale. Je bave, je fais mon possible pour lécher le pied, il le ressort, le frotte sur mon visage et le remet en ma bouche de pute.
- Tu vois, Walter, je te l'avais dit. Cette race de chiens est très particulière. Il faut bien les corriger pour qu'ils se révèlent.
Le Maitre se lève, j'entends qu'il défait la boucle de Sa ceinture... Il baisse son pantalon et devant moi se dresse une grosse verge tendue, longue, veineuse avec un gland énorme violacé, gorgé de sang. Moi qui me disait toujours, avec mes stupides théories machiste, que seules les femmes devaient sucer, et voilà que je suis sur le point de le faire.
- Voyons voir maintenant comment est la bouche de ce clébard de bâtard… Embrasse Ma verge, sale chien de rue !
Je n'ose pas hésiter, car j'ai trop peur du martinet. Alors voilà pour la première fois de ma vie, j'embrasse une verge, un sexe d’homme... Je ne me connais pas homosexuel, mais à y réfléchir, je ne me connaissais pas non plus masochiste, je me croyais juste machiste. Et la réalité me montre que je suis loin d’être macho et même que je suis devenu maso et homo… Alors je l'embrasse et c'est maintenant pour moi chose normal, voire un désir profond.
- Lèche Mes couilles, grosse salope !
Ma langue lèche les couilles du Châtelain, je lèche maintenant comme un mort de faim, je sens le soumis en moi prendre toute la place. Je lèche sans honte, sans gêne et j'en bande terriblement.... Après 10 bonnes minutes de ce pur bonheur d’être ce lèche-couilles excité :
- Aller, suce maintenant, montre ce pour quoi tu es fait !
Alors, j'ouvre la bouche en grand et pour la première fois de ma vie, une verge me pénètre la gorge. Mais là aussi, ce n’est pas n’importe laquelle des Verge, c’est celle du Maître, celle que je rêve d’avoir en moi ! Celle que je rêve qu’elle me possède physiquement dans mes deux orifices, qu’elle prenne possession de mon corps !
- Suce, j’ai dit, sale pute !
Je commence à sucer, c’est dur mais agréable, j'avoue, je suce, je lèche la hampe et le gland, je reprends la hampe dressée en bouche, passant ma langue sur le gland, pompant aussi et je suis tout excité de sucer ainsi. J'ai refoulé cela depuis des années et là ma nature servile se régale, s’impose d’elle-même. Je suis à ma place. Le Maitre tout à coup bloque le dessus de mon crâne par une pression de Ses larges mains plaquées derrière ma nuque et m’impose ainsi une gorge profonde avant de faire des va-et-vient par des petits coups de reins... Que dis-je ? Le Noble me baise littéralement la bouche, Il me défonce désormais ma bouche humide, salivante et chaude qui n'est plus maintenant qu’une chatte, qu'un trou à bites. Je la sens s'enfoncer tout au fond, je suis au bord du vomissement causé par des hauts de cœur, je bave, je pleure, mon nez coule, mais le Châtelain me défonce la bouche sans tenir compte de mes petits désagréments qu’Il n’a que faire. Je me sens ainsi totalement possédé sur le plan physique mais aussi mental..
- Ouvre la gueule, le chien !, m’exige-t-Il en retirant Son noble Vit
J’ouvre la bouche et le Maître me crache dedans, j'en reçois dans les yeux, sur la joue...
- Aller, maintenant suce encore !
C’est réparti, Monsieur le Marquis me défonce et ça dure.... J'arrive à peine à respirer, je suis baisé comme une vulgaire putain...
- Ne perd rien de Ma Semence, sale chien, c'est toujours un suprême honneur que de la recevoir, ne l’oublie jamais !
Le Châtelain me baise encore et encore, Il s'enfonce jusqu'à ma glotte, accélère le rythme, me plaquant la tête contre Son bas-ventre quand je sens Sa Verge dure comme du bois vibrer tout à coup et le Maître pousse alors un râle bestial en se vidant les couilles dans ma bouche par des flots de sperme saccadés.... J’essaie d'avaler mais jamais je n'ai reçu de sperme, je ne connais pas son goût. Je sens cette matière gluante envahir ma gorge par ces puissantes giclées et je n’arrive pas à tout avaler. Je ne peux pas me retenir de recracher une partie sur le sol.... Alors le Maître me relâche et je recherche au plus vite mon souffle. Le sperme divin coule par mon nez, j'en ai sur le menton, le ventre mélangé à de la salive. Plusieurs filets de Sa précieuse Semence et de bave pendent à mes lèvres, quand je reçois en pleine figure, une mémorable paire de gifles.
- Espèce de sale bâtard, comment à tu oser !
Le Noble est outré, alors Il me soulève comme un fétu de paille, m’empoigne fermement par le bras et me couche sur le ventre sur un genre de cheval d’arçon. Ensuite, Il prend un paddle et me donne une raclée... 25 coups sur chaque fesse qui déjà étaient fortement meurtries et striées, J’hurle je supplie, je pleure mais rien n'y fait, le Châtelain me punit car j'ai laissé tomber à terre Sa noble Semence, ce qui est un sacrilège. Je retombe sur le sol anéanti, meurtri, je ne suis que douleur mais je sais au fond de moi que c'est ce dont j'ai besoin pour apprendre, être dressé et bien éduqué. Le Maitre me sort du cheval d’arçon, toujours en me tirant par le bras et me fait mettre en levrette prosternée pour me plaquer ensuite la tête sur le sol. Dans un premier temps, Il pose Son pied contre ma joue afin de bien me faire sentir Sa Dominance, tel un chasseur posant le pied sur son gibier abattu en guise de trophée… Puis Il empoigne mes cheveux pour me relever un peu la tête et me met le nez dans Sa semence à même le sol. Il me force à lécher le sperme tombé à terre. C’est ainsi que je tire ma langue et tel un véritable chien, je léché avec avidité, avec bruit, et j’avoue que le gout salé du sperme n’est pas pour me déplaire… Une fois terminé et peine le temps de respirer que déjà le Maître empoigne de nouveau ma chevelure, me relève la tête et me tire par les cheveux vers le Majordome. C’est ainsi que je me retrouve le nez devant la Verge de Monsieur Walter pile devant ma bouche de catin...
- Suce la putain et cette fois ne perd rien, me dit-il, tout en me relevant le menton avec ses doigts pour me parler ainsi droit dans les yeux. Dominé, je baisse mon regard et dès que le Majordome lâche mon menton, je prends en bouche son sexe déjà dressé. Comme tout à l'heure, à l’instar du Maitre, Walter me baise la bouche, entre et ressort, me crache dans ma cavité buccale et me rebaise pendant lui aussi dix bonnes minutes pour finir de se vider les couilles en exigeant avec force...
- Avaleeee, le chien !
Et là, cette fois-ci, je fais très attention, je ne laisse rien tomber, j'avale le sperme de Monsieur Walter et à son ordre, je lui nettoie entièrement son vit semi ramolli... Moi qui ce matin qui le toisait, l'ignorait, je venais de lui vider les couilles. Je suis là à genoux, honteux, les yeux pleins de larmes et la bouche encore avec du sperme dégoulinant. J'ai la tête baissée, je suis malgré tout toujours dans ce sentiment s'épanouissement total et je sens ma nouille toujours aussi dure.
- Walter, occupe-toi de ce chien et rend le présentable face à Mon regard…- Bien Monsieur Le Marquis, je m'en occupe dès à présent et je le ramène à Vos Pieds. Comme vous me l'avez accordé, je le punirai pour ce matin mais en son temps.
J’aperçois du coin de l'œil le Châtelain prendre ce qui me semble être une lanière en cuir sur une étagère… Mais non ce n'est pas une lanière, c'est plutôt un collier que j’aperçois distinctement une fois que le Noble se soit rapproché de moi... Un collier de chien avec une grande boucle et une inscription que je ne peux pas lire.
- Lève la tête, le chien...
- Le Maitre me place alors ce collier autour de mon cou, Il sert et le ferme.
C’est un moment très solennel car Monsieur le Marquis, scelle une bonne fois pour toute ma parfaite servilité acquise à Son égard, ma soumission absolue sous Son joug avec Ses mots :
- Mon chien, je te mets ce collier, symbole fort de ta soumission, de ton appartenance envers Moi. Tu n’auras jamais le droit de retirer ce collier en ce lieu, au Château. Tu n’as peut-être pas vu, mais ce collier est flanqué d’une plaque de cuivre où il est marqué ton nouveau nom de chien ‘‘esclave Katia’’. Un jour, peut-être, tu auras l’honneur, si tu le mérites que je fasse rajouter sur cette plaque Mes nobles Initiales MDE pour te nommer alors : ‘‘esclave Katia MDE’’. Mais le chemin est encore long, car avec Moi tout fonctionne sur la notion du mérite… Chemin long mais pas inaccessible, ne l’oublie jamais ! Avec détermination, grande obéissance, tu pourras y arriver avec ce seul et unique objectif en toi et qui reste désormais ton seul but, ta seule raison d’être : Me satisfaire, seul cela compte pour toi…
Je ressens une certaine excitation, c'est plus fort que moi et surtout une immense fierté avec une profonde reconnaissance. Alors c’est tout naturellement et sans un seul mot que pour exprimer cette forte reconnaissance, mes remerciements des plus sincères, que j’embrasse le bout des doigts que le Maître daigne me présenter sous mes yeux… En effet, je quitte désormais ma vie d'homme vanille et je deviens enfin ce chien servile, oui un chien qui appartient à cet homme que je connais que depuis 2 jours, mais qui m’a relevé à moi-même !... Ensuite Monsieur Walter me met une laisse, me tire et me dit :
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