La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1645)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1645) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-04-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1645)
Matthieu au Château – (devenu esclave Katia) - (suite de l'épisode précédent N°1644) –
- A quatre pattes et tu ne bouges plus, le chien, me dit-il en me donnant une petite tape sur la tête comme à un bon toutou...

Cet homme va ouvrir un grand placard et en sort tondeuse, crème épilatoire et autre ciseaux et objet divers. Je commence à comprendre, il va me faire un toilettage, comme on ferait sur un véritable chien ! Il me tond, m'enlève tous mes poils, sur le dos d'abord, puis les jambes et l’entrecuisse, sous et sur les bras, le ventre. Puis il rase tout autour de ma nouille, dessous et mon anus. Et avec de la crème il rend tout cela complètement imberbe. Ce Marcel me rase totalement ma moustache qui faisait partie de moi depuis des années, c’était d’ailleurs mon dernier signe de virilité qui disparait ! .... Il me fait bouger plusieurs fois simplement avec sa voix laconique et ça dure presque une heure de ce traitement, de ce toilettage…
- Sur le dos.... Assis, couché, sur le côté.

J’obéis, je n'ai pas d'autre choix devant son regard noir ! Marcel passe sur ma tête une tondeuse et me laisse juste environ 10 millimètres de cheveux et en souriant avec perversité, il me dit.

- Quand le Maître l’exigera, on rasera tout !

J'ai froid tout à coup. Je n'ai plus un seul poil sur moi, complètement rasé, je ne suis jamais senti aussi nu comme un ver !

- Voilà ! C’est mieux comme ça. N’est-ce pas le chien ?

Je ne réponds rien, je suis anéanti, brisé quand Marcel appelle Monsieur Walter.

- Ah super boulot, Marcel !

Voilà maintenant c'est un clébard ! Sa femme arrive et sourit en me voyant. La soixantaine, c’est une femme obèse et doit peser dans les 120 kgs…
- Venez boire la gnole, maintenant que c'est fait. Marcel on t’attendait, on vient juste de finir le café !

Alors on me laisse ainsi et je reste à quatre pattes, sur cette table, encore plus d'une demi-heure…Enfin ils reviennent. Monsieur Walter m’ordonne :
- Debout salope j'ai une dernière chose à faire, exigée par le Maitre.

Le Majordome passe mes couilles dans un anneau et je le vois couvrir ma nouille avec une cage... Non ! C'est une cage de chasteté ! Clac, il ferme l’ensemble avec un cadenas. Ça y est mon sexe n'est plus à moi.... J'avais depuis ce matin tellement envie de me branler... C'est fou, comment je vais faire ? La femme de Marcel fait bouger la cage en souriant sur un ton moqueur :
- Eh bien voilà, bienvenu dans le monde des soumis-bâtards, le chienchien !

Cette grosse femme rit aux éclats. Monsieur Walter me fait ensuite descendre de la table.

- Aller le chien, va remercier Monsieur Marcel de s'être occupé de toi, salope !

Je ne sais pas trop ce qu'il veut dire mais je comprends vite quand je vois marcel baisser son jean crasseux... Vraiment il n'est pas propre. Il sent jusqu'à là. Une odeur d'urine me prend les narines.

- Aller le chien, lèche ma bonne bite !

J'aperçois Monsieur Walter attraper une cravache, je ne souhaite pas être frappé, j'en ai assez pris depuis ce matin, alors j’obtempère prenant en bouche ce sexe pas très propre quand Marcel m’exige :
- Non lèche-le bien d'abord !

Et voilà, je lèche cette verge et les couilles de cet homme où l’hygiène ne doit pas être son quotidien. Je comprends mieux pourquoi ce matin quand j’étais venu garer ma voiture, il me disait que bientôt je le remercierai.

- Maintenant suce bien, ma bonne bite, le chien.

Je le suce, mains dans le dos, malgré cette odeur, je prends en bouche sa grosse bite et je ressens encore ce bien-être, ce pour quoi finalement je vis : obéir et sucer, ente autres choses, qui me feront me faire sentir simplement à ma place. Je sens ma nouille se durcir mais comprimée dans cette cage, aussitôt une douleur me rappelle son nouvel état d’être ainsi emprisonnée... Oui c'est vrai je suis encagé ! Marcel imprime, impose maintenant le rythme en me maintenant fermement par la nuque, il baise littéralement ma bouche comme un simple trou à remplir pour se soulager les couilles. Ça dure environ 5 minutes, je ne suis plus qu'un trou à bites quand il hurle son éjaculation comme un animal en rut :
- Putain que c'est bon, le chien, tient prends mon foutreeeeeee… Haaaaa ! Ouiiiiiiiiiiii ….

Je sens alors quatre ou cinq giclées frapper ma gorge. Et par peur de représailles à être durement corrigé mais aussi dominé maintenant par ma nature servile, j'avale tout ce sperme et je nettoie entièrement la queue de ce Marcel qui durant que je m’applique avec ma langue, me tapote le crâne comme on le fait avec un vrai chien obéissant. Moi qui n'avait jamais sucé, c'est déjà la troisième fois depuis ce matin.

- C'est bien, tu es un bon chien et comme tu viendras me voir souvent pour que j’entretienne ton rasage intégral, tu auras bien d'autres occasions de me remercier (Il tapote de nouveau ma tête...) - Bon chien ! Aller, maintenant tu vas donner du plaisir à ma femme Thérèse, regarde elle n’attend que ça !

En effet, je tourne la tête sur le côté, pour m’apercevoir que durant que je suçais son mari, cette grosse femme s’était installée avachie sur un vieux canapé. Elle avait remonté sa large robe et sans culotte se masturbait son sexe luisant, passant de son clitoris à ses lèvres intimes, les cuisses largement écartées, elle enfonçait ses gros doigts dans sa fente parfaitement lisse de tout poils…
- Aller va à quatre pattes entre ses jambes, lèche-là et ménage pas ta peine, le bâtard !

Tel un chien obéissant, je me déplace alors jusqu’à elle et commence à sortir ma langue sentant une odeur de moule, à se demander si elle s’était lavé le sexe ces derniers temps… Cette odeur nauséabonde me fait reculer un peu quand je me sens tirer en avant par une main sur mon collier.

-Approche, le bâtard et lèche, on t’a dit, m’exige-elle avec plus de fermeté tout en me plaquant la tête contre sa vulve gluante de cyprine
Alors sans aucun choix, je me mets à lui lécher son clitoris, ses lèvres intimes, passant ma langue aussi entre elles pour l’introduire ensuite dans son vagin. Je n’ai pas à la travailler trop longtemps car ce n’est qu’au bout de quelques minutes que j’entends son souffle s’accélérer, je sens aussi sa grosse main appuyer derrière ma tête plus intensément contre sa chatte en feu alors qu’elle lâche son orgasme bruyamment par un flot de mouilles qui inonde mon visage… Je reste ainsi mon visage plaqué immobile contre son bas-ventre de longues minutes sans bouger, respirant juste cette horrible odeur qui me donne des nausées. J’ai de la cyprine dans mes narines et sur mes joues quand enfin, et sans aucun mot, Thérèse décide de lâcher son étreinte pour me libérer d’entre ses grosses cuisses obèses… Alors à ce moment-là, Marcel me tire avec la laisse en disant au Majordome, tout en lui tendant ladite laisse :
- Voilà, je te le rends… C’est un bon chienchien… Je pense que Monsieur le Marquis sera content de ce toilettage complet…- Oui Marcel, jusqu'à ce qu’Il exige qu'il soit rasé définitivement.
- C'est quand il veut, d'ailleurs salue bien Monsieur le Marquis de ma part et demande Lui aussi ce que je fais de cette voiture qui est à lui maintenant.
- Oui, on fera comme les autres fois où on t’a déjà amené des bâtards à toiletter, on viendra la chercher cette bagnole… Aller, j’y vais… Merci Marcel et très bientôt... Au revoir Thérèse et merci pour le café et la gnole ! (puis s’adressant à moi : )… Quant à toi, vermine, suit moi.

Je remonte dans la bétaillère et me voilà nu, encagé, complètement rasé, sans ma moustache et avec des cheveux extra courts. Je tremble un peu par la fraicheur car je ne suis pas habitué à être ainsi nu à l’extérieur, même à l’abri sous une bâche de bétaillère. Durant le trajet du retour, je repense à tout ce que j'ai vécu depuis ce matin et à mon constat je me sens bien, vraiment à ma place. En effet, ce besoin d'être traité ainsi est resté enfoui trop longtemps en moi et c'est le Maitre, Monsieur le Marquis, qui a su ouvrir la porte à ma vraie nature servile qui maintenant contrôle ma vie. Je me sens bander mais c'est terrible de ne pas pouvoir se branler à cause de cette maudite cage. On arrive rapidement au Château. Monsieur Walter me conduit dans les sombres sous-sols par des étroits escaliers de pierre en colimaçon. Il me fait entrer ensuite dans un vaste couloir aux pierres nues, juste équarries, au plafond bas et donc ce couloir est très peu éclairé. De chaque côté, il y a des massives portes de chêne d’un autre âge, avec deux lourds verrous sur chacune d’elle… . J'aperçois au-dessus d’une de ces portes un écriteau sans équivoque où il est inscrit : « esclave Katia »… Monsieur Walter l’ouvre… Nonnn c’est un cachot ! Oui je suis dans le couloir des cachots du sous-sol du Château ! Le Majordome me fait entrer dans une cellule d’environ 2 mètres sur 3. Un soupirail à 1,50 du sol assure un minimum de lumière dans ce cachot peu haut… Le sol est couvert de paille. J'y vois un anneau scellé au mur, une paillasse à même le sol et une gamelle à terre. Monsieur Walter enlève ma laisse et me pousse sur la paillasse :
- Voilà ta niche, le chien !

Le Majordome referme la massive porte et part sans aucun autre mot…
(A suivre …)

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