La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1646)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-04-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1646)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode N°1643) -
Chapitre 44 : Ejaculation et copulation contrôlées -
- … Alors tu ne viendras pas couiner lorsqu’il te la fourrera dans le cul, nous t’aurons prévenu…
Cela faisait maintenant plusieurs jours que j’étais entre les mains de ce pervers Markus, sans savoir précisément depuis combien de temps. J’étais sous son joug étant sans cesse bafoué, rabaissé, utilisé, humilié, dépravé, sans plus aucune moralité. Markus, avec l’aide de son congénère Rémy, m’avaient transformé, converti, métamorphosé… J’étais devenu chienne, une véritable chienne affamée de sexe, une vraie salope de chienne en chaleur, avec ce constant besoin et féroce appétit sexuel de me faire prendre. Pourtant baisé, je l’étais souvent… Très souvent même, le jour comme la nuit, à n’importe quel moment, à n’importe quel endroit, dans n’importe quelle position, j’étais utilisé sans vergogne… Et malgré ça, mon corps réclamait plus encore, comme s’il était drogué d’une addiction vorace et avide. Mon cul, ma bouche imploraient, quémandaient, mon cerveau lui aussi, désirait, espérait, comme si j’étais toujours en manque et privé depuis des lustres de tout contact physique… Bref, j’étais dans cette addiction sexuelle, dans un état compulsif, dans la dépendance et l’accoutumance. Je m’étais vu ce matin dans le miroir de ce qui me servait de salle de bain, juste en sortant de la douche… Une douche prise à quatre pattes, sur un caillebotis en bois posé sur un chiotte à la turque, une douche au jet d’eau froide, pour soi-disant réveiller la chienne qui était en moi et raffermir mes chairs… oui, je m’étais vu ainsi dans cet état de dépravation ! A peine m’étais-je reconnu… Et paradoxalement, je me sentais parfaitement à ma place…
Oui, je me voyais dans cet état de dépravation avec ce teint blême, les yeux hagards perdus dans le vide, avec cette touffe de cheveux immonde sur le sommet de mon crâne, le corps encore strié par des marques rougeâtres laissées par la séance d’entrainement au fouet de la veille au soir, les couilles bien pendantes enfermées et étirées dans un lourd ballstrecher, j’étais méconnaissable ! Markus avait fait de moi une chose, un objet, une chienne, une salope, une pute, en me déconstruisant et en me remodelant selon les Exigences de Monsieur le Marquis qui tirait les ficelles de mon dressage. Oui je m’étais vu aussi avec la bite raide malgré l’eau glacée ! Je m’étais vu frissonnant non pas de froid mais de désirs lubriques, l’air salace et libidineux. Je m’étais vu concupiscent, à la fois lascif et les yeux qui sentaient le cul… je m’étais vu transformé ! Markus avait changé ma nature et ma structure pour n’être plus qu’un objet docile et dépravé, servile et obéissant totalement malléable et perverti. Une fois encore, j’étais allongé sur la grande table, le corps fermement tenu dans des cordages serrés, un bondage à la fois esthétique et extrêmement contraignant, m’empêchant tout mouvement. La base de ma nouille était elle aussi étranglée par un lien l’enserrant et l’empêchant de débander !
- Je pense que tu as désormais bien intégré, sale putain, que ta nouille ne te sers à rien, enfin juste pour pisser, c’est tout… que dis-je, nouille !… Ton clito de salope de chienne t’est parfaitement inutile… Tu le sais ça maintenant… Hein tu le sais ? Réponds !, m’ordonnait Markus- Oui Monsieur, mon clito de salope de chienne m’est inutile Monsieur.
- Bien… C’est comme tes couilles, tu ne devrais pas en avoir, seuls les mâles doivent en détenir ! Que veux-tu, la nature t’a ainsi malheureusement doté, mais disons que c’est une bizarrerie de la nature, car tu aurais dû naître sans couilles, la putain… Et donc tu dois en supporter les conséquences, n’est-ce pas salope ?
- Oui Monsieur, je dois en supporter les conséquences, Monsieur.
Markus semblait satisfait de mes acquiescements, un rictus pervers et carnassier tel un fauve sur le point de festoyer et doublé d’un sourire sadique totalement assumé se lisaient sur son visage. A cet instant toutes les pensées avaient déserté mon esprit, je n’étais plus qu’une coquille vide toute entière animée d’émotions serviles, de ressentis de reconnaissances, de chaleurs étranges et tournoyantes. Mon âme toute entière était parcourue de frissons, guidée comme une force supérieure, qui me poussait et m’encourageait à plonger encore plus loin dans le vice et la dépravation.
- Puisque tu en es conscient, puisque tu le dis, puisque tu le réclames, alors, nous allons t’en faire payer les conséquences.
Le Dominant tirait le grand tiroir de dessous de la table et sortait tout un dispositif d’électrostimulation, dont une petite sonde urétrale, des électrodes à poser et à faire adhérer sur mon corps, de l’adhésif et un petit plug métallique.
- Nous allons embraser ton bas-ventre, la salope, avec ce beau matériel… Regarde, quatre canaux et trente-sept programmes, de quoi renforcer la musculation de ton plancher pelvien, de quoi irradier ta nouille, tes burnes et ton cul… Je suis certain que tu vas regretter d’avoir un service trois pièces entre les jambes.
Je craignais le pire alors que Markus se saisissait de ma nouille, pressait ses doigts sur mon gland pour dégager et ouvrir mon méat urinaire. Rémy, quant à lui, tendait la sonde qu’il avait préalablement enduite d’un gel lubrifiant. Markus en un geste maitrisé et expert faisait glisser doucement cette sonde dans mon urètre alors que je serrais nerveusement les dents à m’en décrocher la mâchoire et crispais mes poings. Des picotements et une légère brulure me faisait gentiment gémir.
- Te faire prendre par le cul ou par la bouche ne te suffit plus… on dirait la pute…. Tu es déjà dans l’extase, salope ! C’est bon de te faire fourrer et ramoner la bite, je t’entends gémir la chienne.
Markus allait et venait, sortait et pénétrait ma nouille de cette sonde jusqu’à ce que celle-ci glisse et se loge dans mes chairs intimes. Je recommençais à respirer… parce que pendant tout ce temps j’avais bloqué mon souffle comme pour mieux maitriser mes peurs et mes craintes. Markus se fichait bien de mes appréhensions et de mes inquiétudes, il s’intéressait maintenant à mon cul. Il tirait sur les cordes passant sur mon anus pour le dégager afin qu’il puisse introduire ce volumineux plug en métal chromé et brillant. Celui-ci glissait aisément en moi. Alors, une fois le matériel installé, Markus se concentrait sur les branchements de chacun des fils sur cette petite box, pendant que Rémy faisait adhérer les patchs contenant les électrodes sur mon pubis, sur mon périnée, et sur mes couilles tendues et étranglées par le ballstrecher. Peu après, les premiers picotements se faisaient ressentir dans mon cul, puis sur les patchs et enfin dans ma nouille. Contrairement à ce que je craignais, les petits chocs électriques étaient plutôt agréables, du moins pour le moment… Mais à chaque fois que Markus augmentait l’intensité, très rapidement je changeais d’avis ! Le plug anal allait et venait entre mes fesses de plus en plus violemment, tout en vibrant, ma nouille se tendait toujours plus à chaque décharge, mes muscles tremblaient, mes couilles sursautaient… Je râlais… râlais de plus en plus fort, mon corps s’arcboutait, mes pieds prenaient appuis sur la table alors que mon corps se tendait puis se relâchait à chaque fois que l’intensité électrique retombait. Je ne râlais plus… j’agonisais de douleur et de plaisirs incroyablement mélangés que mon corps n’arrivait plus à distinguer la différence entre cette douleur et l’excitation engendrée !…
Pourtant… extraordinairement je sentais monter en moi une irrésistible envie… une envie de jouir, d’éjaculer, de balancer mon foutre… Le plaisir prenait le pas sur la douleur pourtant invasive, d’où ce mélange improbable et si réel. Oui j’agonisais, j’allais m’effondrer, j’allais sombrer sous peu. Je ne maitrisais plus rien, mon cerveau était en vrac, mon corps en perdition. Je n’avais plus la force de parler, de prévenir de mon imminente éjaculation. Une fois encore, mon corps s’arcboutait alors qu’un râle guttural sortait de ma bouche avant d’expédier mon foutre à plusieurs centimètres du bout de ma nouille… Accaparé par l’extase masochiste, mon corps et mon esprit totalement monopolisé par cette incontrôlable jouissance quasi hors norme, j’avais juste et seulement entendu des voix et vu passer des ombres devant moi, sans doute celles de Markus et Rémy, mais d’autres encore… Des larmes de plaisirs et de douleur mêlés, voilaient et troublaient ma vision. Ce fait, alors que je subissais toujours les assauts par vagues successives de ces électrodes dans mes chairs profondes. Telles des tsunamis dévastateurs ravageant mon corps servile, encombrant mon anus dilaté, monopolisant l’intérieur même de ma nouille, irradiant mes couilles et tout mon bas-ventre. Mais les décharges électriques ne me faisaient plus sursauter, ne bandaient plus mes muscles, je restais inerte, sans vie, dans un état de léthargie profond, plus capable de bouger, plus capable de gueuler. J’encaissais et supportais ces coups avec résignation. Je venais de capituler, mon corps m’abandonnait, mon mental abdiquait !
- C’est bien, ma salope de chienne !, entendais-je
J’avais bien évidemment reconnu cette voix qui me rassure tant, qui m’apaise aussi, celle de Monsieur le Marquis qui venait d’arriver. Le Maitre, d’un élégant revers de main, essuyait mon visage, épongeait mes larmes, avec une appréciable douceur qui se démarquait par rapport aux gestes plus brutaux de Markus et Rémy. Il me caressait doucement la joue et je voyais Son regard bleu acier tellement hypnotique plongé dans le mien alors qu’Il ordonnait à Markus de stopper cette machine infernale. Je soufflais et lui souriais, un sourire sincère, honnête, un sourire de mansuétude et de compréhension.
- Tu t’es bien donné ma pute… tu as tout lâché, y compris ton foutre ! Tu en as foutu de partout jusque sur ton front, me disait aimablement le Noble sur un ton calme et presque chaleureux…
Oui j’avais joui, terriblement joui… et sans y être autorisé… Je craignais le pire, j’appréhendais les représailles et sanctions futures.
- Toi le bâtard, monte sur la table, nettoie ces souillures avec ta langue de chienne !, ordonnait le Maître.
A qui s’adressait-Il ? Un homme… ou plus précisément un esclave, que je n’avais pas vu jusqu’ici parce que prosterné aux pieds du Maitre, bondissait sur ladite table sur laquelle j’étais toujours ficelé et bondé. Il était nu, portant simplement un collier autour du cou sur lequel était écrit « esclave Katia ». Je ne l’avais jamais vu encore au Château. Il portait les stigmates d’une sans doute sévère correction, son cul était rouge écarlate. Je le sentais timide et réservé, hésitant peut-être même un peu craintif sinon gêné par la situation. Était-ce ce nouvel esclave dont la perverse Madame Marie avait parlé ? Une nouvelle recrue, une salope à formater et dresser avait-elle dit à son sujet.
- Tu attends quoi pour M’obéir, espèce de salope !, reprenait le Châtelain...
(A suivre…)
Chapitre 44 : Ejaculation et copulation contrôlées -
- … Alors tu ne viendras pas couiner lorsqu’il te la fourrera dans le cul, nous t’aurons prévenu…
Cela faisait maintenant plusieurs jours que j’étais entre les mains de ce pervers Markus, sans savoir précisément depuis combien de temps. J’étais sous son joug étant sans cesse bafoué, rabaissé, utilisé, humilié, dépravé, sans plus aucune moralité. Markus, avec l’aide de son congénère Rémy, m’avaient transformé, converti, métamorphosé… J’étais devenu chienne, une véritable chienne affamée de sexe, une vraie salope de chienne en chaleur, avec ce constant besoin et féroce appétit sexuel de me faire prendre. Pourtant baisé, je l’étais souvent… Très souvent même, le jour comme la nuit, à n’importe quel moment, à n’importe quel endroit, dans n’importe quelle position, j’étais utilisé sans vergogne… Et malgré ça, mon corps réclamait plus encore, comme s’il était drogué d’une addiction vorace et avide. Mon cul, ma bouche imploraient, quémandaient, mon cerveau lui aussi, désirait, espérait, comme si j’étais toujours en manque et privé depuis des lustres de tout contact physique… Bref, j’étais dans cette addiction sexuelle, dans un état compulsif, dans la dépendance et l’accoutumance. Je m’étais vu ce matin dans le miroir de ce qui me servait de salle de bain, juste en sortant de la douche… Une douche prise à quatre pattes, sur un caillebotis en bois posé sur un chiotte à la turque, une douche au jet d’eau froide, pour soi-disant réveiller la chienne qui était en moi et raffermir mes chairs… oui, je m’étais vu ainsi dans cet état de dépravation ! A peine m’étais-je reconnu… Et paradoxalement, je me sentais parfaitement à ma place…
Oui, je me voyais dans cet état de dépravation avec ce teint blême, les yeux hagards perdus dans le vide, avec cette touffe de cheveux immonde sur le sommet de mon crâne, le corps encore strié par des marques rougeâtres laissées par la séance d’entrainement au fouet de la veille au soir, les couilles bien pendantes enfermées et étirées dans un lourd ballstrecher, j’étais méconnaissable ! Markus avait fait de moi une chose, un objet, une chienne, une salope, une pute, en me déconstruisant et en me remodelant selon les Exigences de Monsieur le Marquis qui tirait les ficelles de mon dressage. Oui je m’étais vu aussi avec la bite raide malgré l’eau glacée ! Je m’étais vu frissonnant non pas de froid mais de désirs lubriques, l’air salace et libidineux. Je m’étais vu concupiscent, à la fois lascif et les yeux qui sentaient le cul… je m’étais vu transformé ! Markus avait changé ma nature et ma structure pour n’être plus qu’un objet docile et dépravé, servile et obéissant totalement malléable et perverti. Une fois encore, j’étais allongé sur la grande table, le corps fermement tenu dans des cordages serrés, un bondage à la fois esthétique et extrêmement contraignant, m’empêchant tout mouvement. La base de ma nouille était elle aussi étranglée par un lien l’enserrant et l’empêchant de débander !
- Je pense que tu as désormais bien intégré, sale putain, que ta nouille ne te sers à rien, enfin juste pour pisser, c’est tout… que dis-je, nouille !… Ton clito de salope de chienne t’est parfaitement inutile… Tu le sais ça maintenant… Hein tu le sais ? Réponds !, m’ordonnait Markus- Oui Monsieur, mon clito de salope de chienne m’est inutile Monsieur.
- Bien… C’est comme tes couilles, tu ne devrais pas en avoir, seuls les mâles doivent en détenir ! Que veux-tu, la nature t’a ainsi malheureusement doté, mais disons que c’est une bizarrerie de la nature, car tu aurais dû naître sans couilles, la putain… Et donc tu dois en supporter les conséquences, n’est-ce pas salope ?
- Oui Monsieur, je dois en supporter les conséquences, Monsieur.
Markus semblait satisfait de mes acquiescements, un rictus pervers et carnassier tel un fauve sur le point de festoyer et doublé d’un sourire sadique totalement assumé se lisaient sur son visage. A cet instant toutes les pensées avaient déserté mon esprit, je n’étais plus qu’une coquille vide toute entière animée d’émotions serviles, de ressentis de reconnaissances, de chaleurs étranges et tournoyantes. Mon âme toute entière était parcourue de frissons, guidée comme une force supérieure, qui me poussait et m’encourageait à plonger encore plus loin dans le vice et la dépravation.
- Puisque tu en es conscient, puisque tu le dis, puisque tu le réclames, alors, nous allons t’en faire payer les conséquences.
Le Dominant tirait le grand tiroir de dessous de la table et sortait tout un dispositif d’électrostimulation, dont une petite sonde urétrale, des électrodes à poser et à faire adhérer sur mon corps, de l’adhésif et un petit plug métallique.
- Nous allons embraser ton bas-ventre, la salope, avec ce beau matériel… Regarde, quatre canaux et trente-sept programmes, de quoi renforcer la musculation de ton plancher pelvien, de quoi irradier ta nouille, tes burnes et ton cul… Je suis certain que tu vas regretter d’avoir un service trois pièces entre les jambes.
Je craignais le pire alors que Markus se saisissait de ma nouille, pressait ses doigts sur mon gland pour dégager et ouvrir mon méat urinaire. Rémy, quant à lui, tendait la sonde qu’il avait préalablement enduite d’un gel lubrifiant. Markus en un geste maitrisé et expert faisait glisser doucement cette sonde dans mon urètre alors que je serrais nerveusement les dents à m’en décrocher la mâchoire et crispais mes poings. Des picotements et une légère brulure me faisait gentiment gémir.
- Te faire prendre par le cul ou par la bouche ne te suffit plus… on dirait la pute…. Tu es déjà dans l’extase, salope ! C’est bon de te faire fourrer et ramoner la bite, je t’entends gémir la chienne.
Markus allait et venait, sortait et pénétrait ma nouille de cette sonde jusqu’à ce que celle-ci glisse et se loge dans mes chairs intimes. Je recommençais à respirer… parce que pendant tout ce temps j’avais bloqué mon souffle comme pour mieux maitriser mes peurs et mes craintes. Markus se fichait bien de mes appréhensions et de mes inquiétudes, il s’intéressait maintenant à mon cul. Il tirait sur les cordes passant sur mon anus pour le dégager afin qu’il puisse introduire ce volumineux plug en métal chromé et brillant. Celui-ci glissait aisément en moi. Alors, une fois le matériel installé, Markus se concentrait sur les branchements de chacun des fils sur cette petite box, pendant que Rémy faisait adhérer les patchs contenant les électrodes sur mon pubis, sur mon périnée, et sur mes couilles tendues et étranglées par le ballstrecher. Peu après, les premiers picotements se faisaient ressentir dans mon cul, puis sur les patchs et enfin dans ma nouille. Contrairement à ce que je craignais, les petits chocs électriques étaient plutôt agréables, du moins pour le moment… Mais à chaque fois que Markus augmentait l’intensité, très rapidement je changeais d’avis ! Le plug anal allait et venait entre mes fesses de plus en plus violemment, tout en vibrant, ma nouille se tendait toujours plus à chaque décharge, mes muscles tremblaient, mes couilles sursautaient… Je râlais… râlais de plus en plus fort, mon corps s’arcboutait, mes pieds prenaient appuis sur la table alors que mon corps se tendait puis se relâchait à chaque fois que l’intensité électrique retombait. Je ne râlais plus… j’agonisais de douleur et de plaisirs incroyablement mélangés que mon corps n’arrivait plus à distinguer la différence entre cette douleur et l’excitation engendrée !…
Pourtant… extraordinairement je sentais monter en moi une irrésistible envie… une envie de jouir, d’éjaculer, de balancer mon foutre… Le plaisir prenait le pas sur la douleur pourtant invasive, d’où ce mélange improbable et si réel. Oui j’agonisais, j’allais m’effondrer, j’allais sombrer sous peu. Je ne maitrisais plus rien, mon cerveau était en vrac, mon corps en perdition. Je n’avais plus la force de parler, de prévenir de mon imminente éjaculation. Une fois encore, mon corps s’arcboutait alors qu’un râle guttural sortait de ma bouche avant d’expédier mon foutre à plusieurs centimètres du bout de ma nouille… Accaparé par l’extase masochiste, mon corps et mon esprit totalement monopolisé par cette incontrôlable jouissance quasi hors norme, j’avais juste et seulement entendu des voix et vu passer des ombres devant moi, sans doute celles de Markus et Rémy, mais d’autres encore… Des larmes de plaisirs et de douleur mêlés, voilaient et troublaient ma vision. Ce fait, alors que je subissais toujours les assauts par vagues successives de ces électrodes dans mes chairs profondes. Telles des tsunamis dévastateurs ravageant mon corps servile, encombrant mon anus dilaté, monopolisant l’intérieur même de ma nouille, irradiant mes couilles et tout mon bas-ventre. Mais les décharges électriques ne me faisaient plus sursauter, ne bandaient plus mes muscles, je restais inerte, sans vie, dans un état de léthargie profond, plus capable de bouger, plus capable de gueuler. J’encaissais et supportais ces coups avec résignation. Je venais de capituler, mon corps m’abandonnait, mon mental abdiquait !
- C’est bien, ma salope de chienne !, entendais-je
J’avais bien évidemment reconnu cette voix qui me rassure tant, qui m’apaise aussi, celle de Monsieur le Marquis qui venait d’arriver. Le Maitre, d’un élégant revers de main, essuyait mon visage, épongeait mes larmes, avec une appréciable douceur qui se démarquait par rapport aux gestes plus brutaux de Markus et Rémy. Il me caressait doucement la joue et je voyais Son regard bleu acier tellement hypnotique plongé dans le mien alors qu’Il ordonnait à Markus de stopper cette machine infernale. Je soufflais et lui souriais, un sourire sincère, honnête, un sourire de mansuétude et de compréhension.
- Tu t’es bien donné ma pute… tu as tout lâché, y compris ton foutre ! Tu en as foutu de partout jusque sur ton front, me disait aimablement le Noble sur un ton calme et presque chaleureux…
Oui j’avais joui, terriblement joui… et sans y être autorisé… Je craignais le pire, j’appréhendais les représailles et sanctions futures.
- Toi le bâtard, monte sur la table, nettoie ces souillures avec ta langue de chienne !, ordonnait le Maître.
A qui s’adressait-Il ? Un homme… ou plus précisément un esclave, que je n’avais pas vu jusqu’ici parce que prosterné aux pieds du Maitre, bondissait sur ladite table sur laquelle j’étais toujours ficelé et bondé. Il était nu, portant simplement un collier autour du cou sur lequel était écrit « esclave Katia ». Je ne l’avais jamais vu encore au Château. Il portait les stigmates d’une sans doute sévère correction, son cul était rouge écarlate. Je le sentais timide et réservé, hésitant peut-être même un peu craintif sinon gêné par la situation. Était-ce ce nouvel esclave dont la perverse Madame Marie avait parlé ? Une nouvelle recrue, une salope à formater et dresser avait-elle dit à son sujet.
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