La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1655)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1655)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode N°1647) -
Chapitre 45 : Un couturier bien pervers –
Un rouleau entier d’adhésif fut utilisé pour enrubanner nos deux corps scotchés l’un à l’autre alors que la nouille d’antoine encombrait toujours et pour encore de longs moments mon cul ouvert à cette incroyable copulation… Nous restions ainsi collés, scotchés, enrubannés plus de deux heures où je sentis diverses copulations anales toutes plus torrides les unes que les autres quand enfin on nous désolidarisait l’un à l’autre… Je venais de rentrer à la Bastide, heureusement je n’avais croisé ni Louise, ni Charles à l’entrée de la propriété… Sans doute ne m’auraient-ils pas reconnu ! Car j’étais dans un piteux état : sale, brisé, éreinté, puant le sexe, l’urine et la transpiration, avec encore des traces de foutre séché sur le visage, des fragrances d’urine sur ma peau. Je ne ressemblais plus à rien, j’étais en vrac tant physiquement que psychologiquement. Sous la douche bienfaitrice, je ne pouvais penser qu’à Antoine, qui, sur ordre de Monsieur le Marquis était resté au Château. Antoine, esclav’antoine devrai-je dire, m’avait déboité le cul avec sa pine hors norme désormais. Sans discontinuer, pendant plus de deux heures, il m’avait bourré inlassablement et mainte fois rempli mon cul, de semence, ou plutôt ce qu’il était devenu. C’est-à-dire un anus vaginalisé, une chatte de salope.
En effet, Antoine m’avait ensemencé d’une quantité de foutre incroyable à multiples reprises. A chaque fois qu’il avait éjaculé et que sa pine mollissait, son corps étant scotché au mien, il devait attendre de rebander pour ressentir son sexe durcir de nouveau profondément planté dans mon cul emboité et donc qu’il n’avait jamais quitté, pour recommencer des va-et-vient torrides et ainsi de suite. esclave Katia avait l’ordre de tout faire pour refaire bander esclav’antoine par de multiples caresses sur tout son corps nu, par de multiples léchages de couilles et même sur et dans l’anus d’esclav’antoine. Ce dernier devait même parfois prendre en bouche esclave Katia pour excité de nouveau sa libido. Il avait même été obligé de consommer préalablement de puissants aphrodisiaques pour faire de lui un véritable étalon. Bref, tous les moyens pervers et excitant avaient été employés ! Jusqu’à ce que le Maitre exige l’arrêt de cette bestiale sodomie, saillie, jusqu’à ce que les couilles de ce mâle servile soient totalement asséchées. Mon cul suintait encore, malgré un nettoyage pourtant soigneux sous ma douche… Sitôt après cette douche, emmené par la fatigue, je me couchais et m’endormais avant même d’avoir posé mon second pied dans ce lit douillet dans un sommeil profond et récupérateur… Il me semblait avoir dormi seulement quelques minutes, lorsque j’entendais Louise me héler depuis la cour.
- Monsieur Alexandre… Monsieur Alexandre… Etes-vous là ?
Instinctivement je regardais le réveil posé sur mon chevet… Il était 10 heures, j’avais presque fait un tour d’horloge… Je sautais dans mon jogging, enfilais rapidement un teeshirt et ouvrais les persiennes de ma chambre.
- Oui, Louise, je suis bien là !
- Ah vous êtes…
Louise s’arrêtait net… Elle me regardait avec un air surpris !
- Qu’y a-t-il Louise ?
- Mais qu’avez-vous fait de vos cheveux, Monsieur Alexandre ?
- Oh… une simple fantaisie Louise, ne vous plais-je pas ainsi ?
- Euh… oui peut-être, enfin ça ne me regarde pas… Je vais devoir m’y habituer, Monsieur Alexandre.
Je regardais mon reflet dans la vitre de la fenêtre ouverte… En effet, cette perverse de cuisinière ne t’a pas loupé, me disais-je en voyant cette touffe hirsute sur le sommet de mon crâne…
- Je descends Louise, je vais vous ouvrir !
- Je n’ai pas trop de temps, Monsieur Alexandre…- Juste un petit café Louise.
- Non, vraiment, je pars avec Charles faire le marché à Villefranche, vous avez besoin de quelques choses ?
- Non merci, rien de particulier, Louise.
- Entendu… Autre chose Monsieur Alexandre, un Monsieur vous attend, là-bas sous le tilleul… Il m’a dit avoir frappé plusieurs fois à votre porte, il n’a pas eu de réponse, alors il est descendu chez nous.
- J’arrive Louise, vous savez qui est-il ?
- Oui, il m’a dit qu’il était le tailleur, qu’il venait prendre vos mesures pour votre costume de mariage… Ça approche dites donc ce mariage ! Aller, je vous laisse, ne faites pas trop attendre ce Monsieur, il m’a dit être pressé.
Je me chaussais d’une paire d’espadrille et alors que Louise s’en allait à petits pas, je descendais les escaliers, allais à l’extérieur et me précipitais vers cet homme, assez petit, mince, portant une fine moustache, à la chevelure argentée.
- Bonjour Monsieur !, lui disais-je en lui tendant la main pour le saluer
En guise de réponse et sans préambule, sans que je m’y attendre, cet individu m’assenait une paire de gifles terrible, me séchant littéralement
- Tu te prends pour qui, la salope ? Comment oses-tu me faire attendre ?
Une deuxième paire de gifles me dévissait la tête, elle me sonnait à m’en donner des étourdissements par sa force.
- Aux pieds, la pute et lèche mes pompes !, ordonnait-il
J’espérais grandement que Louise était vraiment partie… Elle est adorable mais sans être curieuse, elle se déplace doucement et parfois trainasse un peu pour quitter un lieu… J’étais là, dans ma cour, aux pieds de cet individu, totalement inconnu, le cul en l’air, à lécher ses chaussures vernies.
- Putain de salope, je vais te dérouiller, tu vas douiller sale chienne… Continue à lécher mes pompes tout en retirant ton pantalon, je veux voir ton cul de catin !
Je m’exécutais en hâte alors que mon estomac se nouait… J’avais peur, réellement peur d’être vu par Charles ou Louise. Heureusement, j’étais redressé, tenu fermement par les cheveux et conduit à l’intérieur. Là, le soi-disant tailleur me jetait au sol, avant de s’installer dans l’un de mes fauteuils comme s’il était chez lui. Je ne bougeais pas, restais ainsi, je venais juste, assez instinctivement, d’écarter les cuisses pour laisser bien en vue mon cul, mes couilles enfermées dans un lourd ballstrecher et ma nouille encagée.
- Crois-tu qu’il soit raisonnable de me faire attendre derrière une porte ? Lève-toi sale chienne, vient devant moi.
Je tremblais de froid, d’excitation… Difficile de décrire ce que je ressentais précisément, mais le fait de n’être rien, qu’un simple objet malléable et corvéable, qu’une chose utilisée de quelle que manière que ce soit, où que ce soit, ne me laissait pas indifférent, ces frissons n’étaient qu’une réaction chimique qu’envoyait mon cerveau en fusion, à mon épiderme physique.
- Ecarte mieux tes cuisses de salope, mains derrière la nuque, tend ta croupe de pute !
A cet instant, le tailleur sortait de sa mallette, un lourd martinet aux multiples lanières souples en cuir épais. Je voyais cet homme prendre tout son temps, pour m’effrayer davantage. Le premier coup tombait sur ma poitrine, il me séchait véritablement mais je ne le montrais pas, je ne bougeais pas. Les coups suivants étaient cuisants, cinglants, humiliants et insupportables… Mais je ne disais toujours rien, serrant ma mâchoire et mes poings pour tenir. Comment faisais-je pour ne rien lâcher, pas même un son ne sortait de ma bouche. Je n’opposais aucune résistance, alors que les coups donnés marquaient mon corps, striaient ma peau, à tel point que ma peau était devenue rouge écarlate. Je voyais ce sadique pervers préparer un énième coup et je savais que celui-ci comme les autres ne me ferait pas plier. Je me sentais fort, tenace, combatif avec de l’orgueil, de l’amour-propre, de la gloire peut-être, de la fierté, sûrement. Jusqu’à ce dernier coup, plus pernicieux, plus sadique, là juste entre mes jambes, cinglant mes couilles, celui-là me terrassait. Je tombais à genoux, bouche grande ouverte, je ne pouvais retenir des larmes. L’homme alors m’attrapait par les cheveux, me crachait à la gueule et me giflait à plusieurs reprises !
- Ton endurance vient de me surprendre sale pute, mais sache que j’ai plus d’un tour dans mon sac pour te faire plier, pour te casser et te rabaisser, tu es fait pour ça ! Tiens suce maintenant… la chienne.
Cet homme odieux venait de sortir son gros sexe de son pantalon et me le plantait directement au fond de ma gorge. Ses deux mains saisissaient mes oreilles pour labourer ma gueule à grands coups de butoir. Il s’enfonçait dans ma gorge pour se retirer et s’enfoncer plus loin encore, plus vite. J’étais assujetti à ces va-et-vient incessants et brutaux que lui seul dirigeait. Je me laissais faire, m’empalais sur cette bite pas très longue, mais épaisse, en me sentant bien à ma place tel un objet de distraction, un vide-couilles, un sex-toy, un esclave sexuel n’étant là que pour me donner et apporter délectation et bien-être à toute queue se présentant à ma bouche. Ce n’est qu’au bout d’une dizaine de minutes à me baiser littéralement la bouche sans discontinuité, que l’homme se raidissait, sa queue se contractait, ses couilles remontaient, quand il jouissait à grand bruit sans aucune retenue, tapissait mon palais et ma gorge de bonnes giclées saccadées de foutre que j’avalais sans me faire prier. Peu après, je nettoyais ce membre redevenu très rapidement flasque et me régalais de ces dernières traces de sperme que ma langue cueillait dans les replis de son prépuce. A cet instant, le téléphone de ce pervers personnage sonnait. Il décrochait :
- Re bonjour Monsieur le Marquis.
- …..
- Oui, je commence tout juste mes mesures… celle de sa bouche ! Je suis couturier et lui est un bon tailleur … mais de pipe, mon cher Edouard.
- …..
- En effet, il est assez doué ! Dites-moi, Edouard, vous comptez lui laisser tout cet attirail sur sa nouille et ses couilles, le jour de la cérémonie ?
- …..
- Bien…, alors il faut oublier le pantalon trop ajusté, pas de sous-vêtement non plus… j’ai une petite idée, que diriez-vous d’un pantalon assez ample, style sarouel, avec un système de brides permettant à ses burnes lestées de ne pas trop bringuebaler ?
- …..
- Entendu Monsieur le Marquis, je vais m’arranger pour ça aussi… Son plug ne bougera pas, soyez en certain ! De toute manière, au niveau de son cul, je prévois un zip discret, permettant d’ouvrir totalement derrière l’entrejambe, ça me semble indispensable, pour contrôler le cul de cette pute ! Et aussi pour le prendre du cul, disons à la va-vite, sans le défroquer !
- …..
- Oui bien sûr… Je crois aussi… Des couleurs chaudes et chatoyantes, je viens de recevoir de belles étoffes carmin… Elles sont dans le ton de la saison et puis cette couleur lui sied parfaitement à ce bâtard, je viens de laisser un bel échantillon de cette teinte, tout en nuance sur le corps de cette pute… Si vous voyez ce que je veux dire mon cher Edouard !
- ….
- Oui absolument, chemise blanche en soie naturelle, blousante, avec boutons pression sur le devant, car plus facile à dégrafer et col Mao fermé par un lien en cuir, telle une petite laisse, de la même teinte que le pantalon et la veste… Vous pouvez compter sur moi, Monsieur le Marquis…
Leur conversation perdurait, je n’écoutais plus… tellement abasourdi par ce que je venais t’entendre, tellement persuader que je ne ressemblerai à rien ou pas grand-chose dans ces vêtements, certes taillés sur mesure, mais parfaitement adaptés à mon conditionnement de bâtard… Que diraient mes proches, ma famille si toutefois j’avais l’autorisation de les convier ? Je préférais ne plus réfléchir… Alors, inlassablement, je continuais à lécher cette paire de couilles, cette raie anale maintenant écartée, cet anus s’offrant à ma langue, me sentant particulièrement bien à ma place entre les jambes de cet odieux personnage. Je m’offrais telle une pute, cuisses écartées, en laissant ses doigts me pénétrer, me fouiller, prendre possession de mon antre intime. Doigts qui n’avaient de cesse de m’humilier davantage et de m’encourager à n’être qu’une salope, sans retenue ni pudeur, dans l’abandon total et le désir d’être dépravé et avili… Une fois la conversation terminée, le couturier prenait mes mesures, sans plus un mot. Il notait celles-ci sur un petit carnet et lorsqu’il eut presque terminé, il s’intéressait plus attentivement à mes couilles, les tirant vers l’arrière, les tenant fermement et les remontant pour que celles-ci s’installent dans mon sillon anal. Je me laissais faire de cet homme qui devait être un proche du Maître, pour tantôt l’appeler Edouard, tantôt Monsieur le Marquis.
- Voilà qui est parfait, je vais faire en sorte que les lanières que je vais coudre depuis la ceinture du pantalon les maintiennent ainsi… tu verras ma pute, à chaque fois que tu t’assiéras tu écraseras tes minables burnes et ainsi, tu te rappelleras à mon bon souvenir. Et puis, tu vois l’avantage salope, regarde ta cambrure, regarde comme tu fais pute… J’espère que tu ne crains plus de t’afficher comme telle ?
Je ne répondais rien, qu’avais-je à dire d’ailleurs… La séance prenait fin, le couturier repartait, me laissant à quatre pattes au sol, pataugeant dans ma dépravation et ma perversion…
(A suivre…)
Chapitre 45 : Un couturier bien pervers –
Un rouleau entier d’adhésif fut utilisé pour enrubanner nos deux corps scotchés l’un à l’autre alors que la nouille d’antoine encombrait toujours et pour encore de longs moments mon cul ouvert à cette incroyable copulation… Nous restions ainsi collés, scotchés, enrubannés plus de deux heures où je sentis diverses copulations anales toutes plus torrides les unes que les autres quand enfin on nous désolidarisait l’un à l’autre… Je venais de rentrer à la Bastide, heureusement je n’avais croisé ni Louise, ni Charles à l’entrée de la propriété… Sans doute ne m’auraient-ils pas reconnu ! Car j’étais dans un piteux état : sale, brisé, éreinté, puant le sexe, l’urine et la transpiration, avec encore des traces de foutre séché sur le visage, des fragrances d’urine sur ma peau. Je ne ressemblais plus à rien, j’étais en vrac tant physiquement que psychologiquement. Sous la douche bienfaitrice, je ne pouvais penser qu’à Antoine, qui, sur ordre de Monsieur le Marquis était resté au Château. Antoine, esclav’antoine devrai-je dire, m’avait déboité le cul avec sa pine hors norme désormais. Sans discontinuer, pendant plus de deux heures, il m’avait bourré inlassablement et mainte fois rempli mon cul, de semence, ou plutôt ce qu’il était devenu. C’est-à-dire un anus vaginalisé, une chatte de salope.
En effet, Antoine m’avait ensemencé d’une quantité de foutre incroyable à multiples reprises. A chaque fois qu’il avait éjaculé et que sa pine mollissait, son corps étant scotché au mien, il devait attendre de rebander pour ressentir son sexe durcir de nouveau profondément planté dans mon cul emboité et donc qu’il n’avait jamais quitté, pour recommencer des va-et-vient torrides et ainsi de suite. esclave Katia avait l’ordre de tout faire pour refaire bander esclav’antoine par de multiples caresses sur tout son corps nu, par de multiples léchages de couilles et même sur et dans l’anus d’esclav’antoine. Ce dernier devait même parfois prendre en bouche esclave Katia pour excité de nouveau sa libido. Il avait même été obligé de consommer préalablement de puissants aphrodisiaques pour faire de lui un véritable étalon. Bref, tous les moyens pervers et excitant avaient été employés ! Jusqu’à ce que le Maitre exige l’arrêt de cette bestiale sodomie, saillie, jusqu’à ce que les couilles de ce mâle servile soient totalement asséchées. Mon cul suintait encore, malgré un nettoyage pourtant soigneux sous ma douche… Sitôt après cette douche, emmené par la fatigue, je me couchais et m’endormais avant même d’avoir posé mon second pied dans ce lit douillet dans un sommeil profond et récupérateur… Il me semblait avoir dormi seulement quelques minutes, lorsque j’entendais Louise me héler depuis la cour.
- Monsieur Alexandre… Monsieur Alexandre… Etes-vous là ?
Instinctivement je regardais le réveil posé sur mon chevet… Il était 10 heures, j’avais presque fait un tour d’horloge… Je sautais dans mon jogging, enfilais rapidement un teeshirt et ouvrais les persiennes de ma chambre.
- Oui, Louise, je suis bien là !
- Ah vous êtes…
Louise s’arrêtait net… Elle me regardait avec un air surpris !
- Qu’y a-t-il Louise ?
- Mais qu’avez-vous fait de vos cheveux, Monsieur Alexandre ?
- Oh… une simple fantaisie Louise, ne vous plais-je pas ainsi ?
- Euh… oui peut-être, enfin ça ne me regarde pas… Je vais devoir m’y habituer, Monsieur Alexandre.
Je regardais mon reflet dans la vitre de la fenêtre ouverte… En effet, cette perverse de cuisinière ne t’a pas loupé, me disais-je en voyant cette touffe hirsute sur le sommet de mon crâne…
- Je descends Louise, je vais vous ouvrir !
- Je n’ai pas trop de temps, Monsieur Alexandre…- Juste un petit café Louise.
- Non, vraiment, je pars avec Charles faire le marché à Villefranche, vous avez besoin de quelques choses ?
- Non merci, rien de particulier, Louise.
- Entendu… Autre chose Monsieur Alexandre, un Monsieur vous attend, là-bas sous le tilleul… Il m’a dit avoir frappé plusieurs fois à votre porte, il n’a pas eu de réponse, alors il est descendu chez nous.
- J’arrive Louise, vous savez qui est-il ?
- Oui, il m’a dit qu’il était le tailleur, qu’il venait prendre vos mesures pour votre costume de mariage… Ça approche dites donc ce mariage ! Aller, je vous laisse, ne faites pas trop attendre ce Monsieur, il m’a dit être pressé.
Je me chaussais d’une paire d’espadrille et alors que Louise s’en allait à petits pas, je descendais les escaliers, allais à l’extérieur et me précipitais vers cet homme, assez petit, mince, portant une fine moustache, à la chevelure argentée.
- Bonjour Monsieur !, lui disais-je en lui tendant la main pour le saluer
En guise de réponse et sans préambule, sans que je m’y attendre, cet individu m’assenait une paire de gifles terrible, me séchant littéralement
- Tu te prends pour qui, la salope ? Comment oses-tu me faire attendre ?
Une deuxième paire de gifles me dévissait la tête, elle me sonnait à m’en donner des étourdissements par sa force.
- Aux pieds, la pute et lèche mes pompes !, ordonnait-il
J’espérais grandement que Louise était vraiment partie… Elle est adorable mais sans être curieuse, elle se déplace doucement et parfois trainasse un peu pour quitter un lieu… J’étais là, dans ma cour, aux pieds de cet individu, totalement inconnu, le cul en l’air, à lécher ses chaussures vernies.
- Putain de salope, je vais te dérouiller, tu vas douiller sale chienne… Continue à lécher mes pompes tout en retirant ton pantalon, je veux voir ton cul de catin !
Je m’exécutais en hâte alors que mon estomac se nouait… J’avais peur, réellement peur d’être vu par Charles ou Louise. Heureusement, j’étais redressé, tenu fermement par les cheveux et conduit à l’intérieur. Là, le soi-disant tailleur me jetait au sol, avant de s’installer dans l’un de mes fauteuils comme s’il était chez lui. Je ne bougeais pas, restais ainsi, je venais juste, assez instinctivement, d’écarter les cuisses pour laisser bien en vue mon cul, mes couilles enfermées dans un lourd ballstrecher et ma nouille encagée.
- Crois-tu qu’il soit raisonnable de me faire attendre derrière une porte ? Lève-toi sale chienne, vient devant moi.
Je tremblais de froid, d’excitation… Difficile de décrire ce que je ressentais précisément, mais le fait de n’être rien, qu’un simple objet malléable et corvéable, qu’une chose utilisée de quelle que manière que ce soit, où que ce soit, ne me laissait pas indifférent, ces frissons n’étaient qu’une réaction chimique qu’envoyait mon cerveau en fusion, à mon épiderme physique.
- Ecarte mieux tes cuisses de salope, mains derrière la nuque, tend ta croupe de pute !
A cet instant, le tailleur sortait de sa mallette, un lourd martinet aux multiples lanières souples en cuir épais. Je voyais cet homme prendre tout son temps, pour m’effrayer davantage. Le premier coup tombait sur ma poitrine, il me séchait véritablement mais je ne le montrais pas, je ne bougeais pas. Les coups suivants étaient cuisants, cinglants, humiliants et insupportables… Mais je ne disais toujours rien, serrant ma mâchoire et mes poings pour tenir. Comment faisais-je pour ne rien lâcher, pas même un son ne sortait de ma bouche. Je n’opposais aucune résistance, alors que les coups donnés marquaient mon corps, striaient ma peau, à tel point que ma peau était devenue rouge écarlate. Je voyais ce sadique pervers préparer un énième coup et je savais que celui-ci comme les autres ne me ferait pas plier. Je me sentais fort, tenace, combatif avec de l’orgueil, de l’amour-propre, de la gloire peut-être, de la fierté, sûrement. Jusqu’à ce dernier coup, plus pernicieux, plus sadique, là juste entre mes jambes, cinglant mes couilles, celui-là me terrassait. Je tombais à genoux, bouche grande ouverte, je ne pouvais retenir des larmes. L’homme alors m’attrapait par les cheveux, me crachait à la gueule et me giflait à plusieurs reprises !
- Ton endurance vient de me surprendre sale pute, mais sache que j’ai plus d’un tour dans mon sac pour te faire plier, pour te casser et te rabaisser, tu es fait pour ça ! Tiens suce maintenant… la chienne.
Cet homme odieux venait de sortir son gros sexe de son pantalon et me le plantait directement au fond de ma gorge. Ses deux mains saisissaient mes oreilles pour labourer ma gueule à grands coups de butoir. Il s’enfonçait dans ma gorge pour se retirer et s’enfoncer plus loin encore, plus vite. J’étais assujetti à ces va-et-vient incessants et brutaux que lui seul dirigeait. Je me laissais faire, m’empalais sur cette bite pas très longue, mais épaisse, en me sentant bien à ma place tel un objet de distraction, un vide-couilles, un sex-toy, un esclave sexuel n’étant là que pour me donner et apporter délectation et bien-être à toute queue se présentant à ma bouche. Ce n’est qu’au bout d’une dizaine de minutes à me baiser littéralement la bouche sans discontinuité, que l’homme se raidissait, sa queue se contractait, ses couilles remontaient, quand il jouissait à grand bruit sans aucune retenue, tapissait mon palais et ma gorge de bonnes giclées saccadées de foutre que j’avalais sans me faire prier. Peu après, je nettoyais ce membre redevenu très rapidement flasque et me régalais de ces dernières traces de sperme que ma langue cueillait dans les replis de son prépuce. A cet instant, le téléphone de ce pervers personnage sonnait. Il décrochait :
- Re bonjour Monsieur le Marquis.
- …..
- Oui, je commence tout juste mes mesures… celle de sa bouche ! Je suis couturier et lui est un bon tailleur … mais de pipe, mon cher Edouard.
- …..
- En effet, il est assez doué ! Dites-moi, Edouard, vous comptez lui laisser tout cet attirail sur sa nouille et ses couilles, le jour de la cérémonie ?
- …..
- Bien…, alors il faut oublier le pantalon trop ajusté, pas de sous-vêtement non plus… j’ai une petite idée, que diriez-vous d’un pantalon assez ample, style sarouel, avec un système de brides permettant à ses burnes lestées de ne pas trop bringuebaler ?
- …..
- Entendu Monsieur le Marquis, je vais m’arranger pour ça aussi… Son plug ne bougera pas, soyez en certain ! De toute manière, au niveau de son cul, je prévois un zip discret, permettant d’ouvrir totalement derrière l’entrejambe, ça me semble indispensable, pour contrôler le cul de cette pute ! Et aussi pour le prendre du cul, disons à la va-vite, sans le défroquer !
- …..
- Oui bien sûr… Je crois aussi… Des couleurs chaudes et chatoyantes, je viens de recevoir de belles étoffes carmin… Elles sont dans le ton de la saison et puis cette couleur lui sied parfaitement à ce bâtard, je viens de laisser un bel échantillon de cette teinte, tout en nuance sur le corps de cette pute… Si vous voyez ce que je veux dire mon cher Edouard !
- ….
- Oui absolument, chemise blanche en soie naturelle, blousante, avec boutons pression sur le devant, car plus facile à dégrafer et col Mao fermé par un lien en cuir, telle une petite laisse, de la même teinte que le pantalon et la veste… Vous pouvez compter sur moi, Monsieur le Marquis…
Leur conversation perdurait, je n’écoutais plus… tellement abasourdi par ce que je venais t’entendre, tellement persuader que je ne ressemblerai à rien ou pas grand-chose dans ces vêtements, certes taillés sur mesure, mais parfaitement adaptés à mon conditionnement de bâtard… Que diraient mes proches, ma famille si toutefois j’avais l’autorisation de les convier ? Je préférais ne plus réfléchir… Alors, inlassablement, je continuais à lécher cette paire de couilles, cette raie anale maintenant écartée, cet anus s’offrant à ma langue, me sentant particulièrement bien à ma place entre les jambes de cet odieux personnage. Je m’offrais telle une pute, cuisses écartées, en laissant ses doigts me pénétrer, me fouiller, prendre possession de mon antre intime. Doigts qui n’avaient de cesse de m’humilier davantage et de m’encourager à n’être qu’une salope, sans retenue ni pudeur, dans l’abandon total et le désir d’être dépravé et avili… Une fois la conversation terminée, le couturier prenait mes mesures, sans plus un mot. Il notait celles-ci sur un petit carnet et lorsqu’il eut presque terminé, il s’intéressait plus attentivement à mes couilles, les tirant vers l’arrière, les tenant fermement et les remontant pour que celles-ci s’installent dans mon sillon anal. Je me laissais faire de cet homme qui devait être un proche du Maître, pour tantôt l’appeler Edouard, tantôt Monsieur le Marquis.
- Voilà qui est parfait, je vais faire en sorte que les lanières que je vais coudre depuis la ceinture du pantalon les maintiennent ainsi… tu verras ma pute, à chaque fois que tu t’assiéras tu écraseras tes minables burnes et ainsi, tu te rappelleras à mon bon souvenir. Et puis, tu vois l’avantage salope, regarde ta cambrure, regarde comme tu fais pute… J’espère que tu ne crains plus de t’afficher comme telle ?
Je ne répondais rien, qu’avais-je à dire d’ailleurs… La séance prenait fin, le couturier repartait, me laissant à quatre pattes au sol, pataugeant dans ma dépravation et ma perversion…
(A suivre…)
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